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n° 18273Fiche technique50908 caractères50908
Temps de lecture estimé : 29 mn
24/02/18
corrigé 06/06/21
Résumé:  Un homme, une femme, des désirs, une soirée mémorable pour un couple normal qui débouche sur une nouvelle sexualité...
Critères:  fh 2couples fbi extraoffre boitenuit fmast intermast fellation cunnilingu pénétratio fsodo -entrecoup
Auteur : Marika  (60aine distinguée, auteure depuis 6 ans)      Envoi mini-message
Saint Valentin 2018




I. Bonjour


Je suis Anne-Marie, mariée et fidèle, la quarantaine, blonde aux cheveux longs, 95B, rien que du naturel…

J’ai eu deux enfants qui ont quitté le nid… Je suis cadre dans le secteur automobile. J’aime la lecture, le cinéma, les balades…


Mon mari, Frédéric, est militaire, quadra lui aussi, cheveux clairs, bien coupés, sans barbe. Sa fidélité reste à déterminer, mais je fais mon possible pour honorer le contrat, être douce et sensuelle, lui faire de bons petits plats, et mettre des épices dans notre intimité.


Nous habitons un pavillon dans une petite ville, agréable et tranquille.


Notre vie sexuelle est active et suffit à ma libido, la sienne je ne sais pas, un couple naturel, comme des milliers.


Des fantasmes ? Certainement chez lui, ils restent dans sa tête, et les miens aussi…


Après quelques années de mariage, la routine s’installe, et si les prestations sont toujours nombreuses, nous entretenons une certaine complicité, et je ne lui ai jamais rien refusé…




II. La soirée


C’est la Saint Valentin… Il rentre ce soir d’une semaine en Allemagne, cinq jours, une éternité. Je tremble de désir quand il ouvre la porte, les bras chargés d’un magnifique bouquet…

Depuis douze jours, je n’ai pas fait l’amour, j’avais mes règles le week-end précédent… Si on ajoute son départ, c’était un dimanche de m…

Juste un petit câlin sur le canapé, de tendres baisers, des caresses à mes seins et, en fin de journée, la poitrine défaite, quelques frivolités sur mes tétons pointés…


Il adore ma poitrine, alors, en récompense, pour le remercier de ce tendre au revoir, après m’avoir gâtée de ses succions expertes, et portée à l’orgasme mammaire, sentant mon ventre couler tant j’aime ces délices, j’ai glissé son dard dans mes rondeurs, puis les ai agitées, tandis qu’il se masturbait dans ce fourreau de chair…


Il était aux anges, et grognait tant et plus, déchirant le silence de notre humble demeure.

Enfin le sentant proche d’arriver à ses fins, je l’ai pris dans ma bouche pour finir en beauté, et le boire à sa source.


Que de plaisir gâché par la mère Nature, mais on ne peut rien dans ces quelques journées, alors autant inventer des jeux très érotiques et se faire du bien en attendant la fin.



a) Apéro


Il avance vers moi, après les fleurs en vase, je viens de me doucher et je suis en peignoir…

Je n’ai pas le temps de dire autre chose, ses lèvres sont plaquées aux miennes, sa langue vient me fouiller, le peignoir s’entrouvre, mes seins font son bonheur. Il aime les embrasser, les titiller, les exciter, sucer les pointes érigées aux aréoles sombres, ses mains sont sur mon ventre, et cherchent une ouverture…


Je suis déjà trempée, c’est un assaut parfait, tant pis pour le protocole et les préliminaires, j’ai trop envie de lui, il me prend sans attendre, autant excité que moi, son sexe me pénètre comme une lettre à la poste, et je remplis la pièce de mes sonorités…



Je veux tout qu’il me donne, j’aime quand je délire, j’aime lorsqu’il me possède, tendre ou bien viril, ou parfois agressif, à grands coups de reins s’enfoncer dans mon ventre et lorsqu’il jouit à en perdre haleine, soufflant et ahanant dans cette position qui me fait délirer, en levrette, offerte, mes seins emprisonnés, il me porte à l’extase, en me claquant les fesses jusqu’à me brûler.


Il reprend de plus belle, sans me laisser de temps de calmer mon esprit, m’envoyant vers le ciel, alors je m’offre à lui, relevant mon bassin, accompagnant ses gestes, ses coups de boutoir, en écartant mes fesses pour mieux le ressentir…


Je griffe ses épaules, rugissant mon plaisir, il pince mes tétons, je serre ses attributs…


J’aime aussi après, ou bien avant, devenir amazone et mener les débats, les cuisses écartées sur mon cheval fougueux, me mener à l’extase, en criant du plaisir de chevaucher sa queue…


Enfin, après m’être donnée, comblée par ses caresses et sa démonstration, je le sens s’arc-bouter, et en moi se répandre, une douce chaleur et ses derniers assauts déclenchent mon orgasme, il adore m’entendre commenter ces instants…


Je suis à toi chéri, serre-moi contre toi, donne-moi ta tendresse, lèche mes tendres chairs, et mon sexe repu et puis après, attends ! J’irai te nettoyer…


L’apéro était bon, mais il manque une phase, elle ne revient plus depuis quelques années…


Nous avons terminé, face à la cheminée, sa douce chaleur venant nous lénifier, je suis si heureuse quand je suis dans ses bras, ce soir sera une fête, il l’a prévu, je crois…


Il me propose un bain, pour me faire patienter, la fête va commencer, ça, c’était du rattrapage…



b) Le repas


Une heure plus tard, la table est parfaite, le champagne attend, signal du départ.

Lorsqu’il me voit entrer, il att**** mon bras, me serre contre lui, je lui tends mes lèvres, il glisse une main sur moi, de la tête aux pieds…

Ma robe courte en mousseline rouge illumine le salon, avec mes escarpins noirs…

Il n’avait pas pu me détailler avant, occupé qu’il était avec le repas.

Le tissu vaporeux laisse deviner mes seins, sublimés par cette nouvelle bralette, soutien-gorge de sport, mais aussi de fête, avec ce string orangé, orné de dentelles, et de bretelles tout autour de ma taille…


Mais, il me délaisse… Quelque chose a sonné, l’urgence se manifeste…

Un zeste de champagne et la fête commence, je suis emportée dans un tourbillon de senteurs…


Huîtres de Marennes, foie gras du Périgord, civet de Marcassin, pommes de terre vapeur, fromage de Normandie, glace à la fraise de Plougastel…

Vin de Pomerol, café arabica des montagnes du Congo, chocolats « Mon chéri » et calvados hors d’âge….


Je n’en peux plus, je vais grossir partout, mais qu’est-ce que c’était bon !…



c) Cadeau


La musique de fond est celle de notre mariage, un slow des années 80, remis à la page… Le champagne se finit, mais un cadeau arrive, un petit écrin noir orné d’un petit mot :


« Saint Valentin 2018, hommage à ta beauté »


Magnifique collier d’or et de pierres, si ce sont des vrais… Il est fou cette année…



Un baiser langoureux met fin à ma demande…

Il débarrasse tout, grogne si je me lève, branche le lave-vaisselle, me propose du café, il sait que j’adore ça après un bon repas…


Il a quitté son tablier, a passé un haut de sport, ses yeux sont pétillants, il me tend la main, le slow est lancinant, démoniaque, érotique…


Il me prend dans ses bras, nos lèvres se rencontrent, on ne bouge presque pas, juste nos papillons qui volent autour de nous, la musique, ma robe, mes escarpins, il veut voir de près son cadeau déballé…

Oui, ton cadeau, ce soir, c’est moi…


Que de douceur et de tendresse, je suis en un clin d’œil, comme Ève dans le jardin d’Éden…

Et il est nu aussi, mes dessous coquins ont fait leur effet, son sexe est en émoi, c’était recherché… Enlevé le papier, le bonbon est à toi…


Il replace des coussins, à notre place favorite, la cheminée crépite, il a remis du bois, nos deux corps s’épousent, se fondent, ses mains partent découvrir sa nouvelle Anne-Marie, cette femme directive, qu’il voit rentrer parfois, énervée, occupée, revoyant sa journée, notant dans son agenda des remarques et les solutions qu’elle a entrevues dans les embouteillages du trajet de retour…


Nous sommes allongés, ses mains volent partout sur mes seins excités, sa bouche est tyrannique, et j’en ferme les yeux…

Je ressens son désir, sa main dans ma nature, la mienne a trouvé l’objet de mon plaisir…


Ma bouche s’en délecte, pour une fois j’en profite, tandis qu’il met en émoi mes intimes douceurs…


Mon désir est puissant, le sien dur comme du bois…


Il approuve mon choix pour mes nouveaux dessous, il aime ma douceur, ma patience, je l’enjambe. Ce soir j’ose, directe, et sa langue envahit ma vallée du plaisir… Ma source est libérée, la porte est entrouverte, tout mon ventre se tait, s’offre, se délecte…


Sa langue m’électrise, tourne sur mon bourgeon, je reprends lancinantes mes douces vocalises, mes onomatopées, de chatte en chaleur…


Il adore mes délires, me lèche de plus belle, et de ses longs doigts fins, me fait monter au ciel !…


Je serre un peu mes lèvres autour de son pénis, glissant sur cette hampe détrempée de salive, je l’entends grogner, il me signale un risque, il est temps d’interrompre… J’arrête et me laisse caresser, les cuisses écartelées pour goûter ces prémices…


Alors j’ose…

Oui, depuis longtemps j’avais envie de la lui donner.

Cette feuille de rose que les hommes apprécient…

Après un temps d’arrêt, je caresse ses bourses, il aime ma façon d’honorer ses parties…


Ma langue s’éternise, mes lèvres jouent avec, pinçant délicieusement leur peau distendue… C’est lui qui maintenant remplit le silence, il s’est calmé un peu du côté de ma chatte, je fonds du fond sonore, que je lui imprime, et puis je lèche tout, de la cave au grenier, minaudant mes actions, la tête entre ses fesses, je jouis du partage et de ce premier cadeau.

Il apprécie tellement que, quand je vois son sexe, je ne résiste pas à m’en emparer, de la base au sommet, décalottant le gland, le faisant coulisser et l’embouche totalement en glissant mes lèvres, il se tient aux draps, pour me résister…


Je jouis doucement, mais la ligne est franchie, je le veux maintenant, j’ai besoin de lui !



Il me prend dans ses bras, et comme un fétu de paille, m’emporte et me dépose dans notre couche blanche ornée de quelques fleurs, notre lit conjugal…

Les draps sentent le frais, une odeur de lavande, la chaleur du Midi et je m’épanouis, m’offrant dévergondée, allongée sur le dos, complètement ouverte, et son dard impérial, qui n’a aucune peine à faire son chemin, jusqu’au fond de ma grotte qui se desserre, détrempée par nos préliminaires…


Ses allers-retours, provoquent mes suppliques, il m’emmène là-haut, je perds mes repères, un orgasme énorme me submerge soudain, je me mets à trembler tellement je jouis.


La chambre est saturée par mes cris de félin, il me prend comme avant, à grands coups de sa verge, et je jouis encore, décuplant son ardeur, en griffant les draps blancs à en arracher les fleurs…


« Oh, oui ! Viens !… Prends-moi comme j’aime, le champagne et toi êtes des sorciers, je reviens à mes vingt ans, me faire déflorer, viens, mon bel amant, que je te dise je t’aime… »


Offerte, fesses en l’air, dans notre intime demeure, je feule dès qu’il reprend sa place de Roi du Monde et ses aller-retour effacent mes inquiétudes, il m’aime comme avant.

Je hurle de plaisir, ses doigts pincent mes seins, sa main s’abat en rythme sur mon fessier ouvert, un doigt dévergondé entre dans mon anus et un nouvel orgasme, m’envoie au paradis…


Il vient de me combler, de tenir mes hanches et de me pilonner en malaxant mes seins.

Il sait que j’adore ça, il m’a donné la force, sa tendresse, son amour, et sa semence, au plus profond de moi…


Je sens cette chaleur qui envahit mon ventre, il me fait un bébé comme on faisait avant, couchés sur le côté, mes cuisses écartées.

Il me prend en ciseau, et je suis sur une plage, le ressac de la mer, m’emmène au paradis…


Je m’endors dans ses bras, ressentant son amour qu’il vient de me prouver.

Il ne peut pas voir mes larmes, le bonheur qu’elles trahissent vaut tous les cadeaux…


À vous, je peux l’avouer, je lisais parfois, les commentaires inquiets de femmes de mon âge, sentant leur libido décroître au fur et à mesure.

Leurs maris occupés, une maîtresse plus jeune peut-être, pour être plus enclins à faire la bagatelle ?

Prendre un corps de jeune femme, essayer tous les programmes, pour redevenir l’amant qu’il avait été…


L’homme a besoin de tester son pouvoir de séduire, c’est un besoin ancré, la tête ne guide pas ces moments de délire, il peut tout perdre ainsi sur un coup de folie…


Je ne veux pas attendre, je veux vivre aujourd’hui de tous les plaisirs que mon corps peut donner.

Alors j’avais pensé, juste avant ce mercredi, que j’allais devoir faire ce qu’elles font toutes, donner un coup de ciseaux, pour me libérer, et connaître l’envers du miroir, obéir à l’appel de ma libido sevrée…


J’allais franchir la ligne, une question de jours…

J’ai des propositions, elles sont légion, parce que je suis jolie, très appétissante et que sous mon vernis, mon regard perçant, on trouve le volcan et que certains espèrent pouvoir faire éclater…


« Viens me donner encore ce que tu dissimules, ce que tu as oublié, fais-moi jouir encore, jusqu’au bout la nuit… »


Ses mains reprennent vie, cherchent mes points sensibles, ses lèvres dans mon cou, mordillent mes lobes, je me retourne vers lui, son sourire m’enchante, je me penche en avant…

Je le prends dans ma bouche et lui redonne vie…


Il est de nouveau apte à travailler, je m’offre tendrement en soulevant mes fesses, il comprend mon désir et vient me préparer…


Sa main tourne comme une guêpe, ses doigts dans mes trésors me donnent des ailes et préparent mon corps…


Doucement, tendrement, il commence à me prendre, le gland rougissant remplace une phalange, je sais qu’il va pousser, ça y est, il le fait…


« Oh, oui, viens, baise-moi par là aussi, sublime mon plaisir ce soir, viens dans mon jardin secret… »


Sa verge devient plus dure, il pousse, et c’est divin…

Au second coup de rein, je crie sans m’arrêter, il me prend jusqu’au bout, puis accélère encore…

Je jouis tant et plus, j’écartèle mes fesses, je le veux plus profond, je le veux rugissant…


Et comme s’il comprenait, il se met à gifler mes tendres rondeurs, qui rougissent sous cette punition pour femme qui a fauté, et je feule de plaisir, ces coups sont des boosters…


Oh, qu’il me fait du bien, je ne le fais jamais seule, mais un objet nouveau, vient m’électriser, je sens dans mon vagin une présence irréelle, un gode pleins de couleurs, avec son ergot clitoridien…


Là, je me mets à pleurer, le plaisir est complet, l’appareil se déchaîne, vibrant dans mon intimité, lui vilain macho fait ce que j’adore, sodomise sans arrêter mon anus dilaté…

Son sexe est énorme, sublimé par mes cris, le gode et mes doigts attisent en même temps mes seins et mon sexe.

Je cale l’appareil, le tourne dans mon vagin, il pousse mon utérus, comme parfois son phallus, un liquide transparent gicle sur les draps roses, vient arroser mes cuisses…

Je suis exténuée, au bord de la rupture, par tant d’excitation…


C’est la première fois que nous franchissons ce cap, quatre heures de plaisir, quatre heures de jouissance, un objet délirant pour pimenter le final, réveillant ma fontaine, endormie depuis dix ans au moins…


Je m’endors dans ses bras, il est 3 heures passées.

Nous travaillons bien sûr, c’est un jour ordinaire, après la Saint Valentin …


Mais celle de cette année, je m’en souviendrai, car le lendemain, je n’ai jamais pu m’asseoir…



FIN



Marika842010

Février 2018




III. On va plus loin ?



Cette journée de la Saint Valentin a marqué notre couple.

Il était plus présent, plus tendre aussi…

Une soirée réussie, une communion des sens, sortir de la routine est vraiment efficace pour notre libido…


J’ai compris qu’il fallait que l’on communique, car si les nuages arrivent, je risque d’être arrosée.


J’ai tenté simplement de lui tendre la perche, avant de s’endormir, un ultime baiser, et puis un grand sourire…




a) Soirée ordinateur


La semaine se déchire, le week-end arrive… Ouf, enfin, un calme précaire, mais je suis indisposée jusqu’à ce soir, vendredi…


Il rentre vers 17 heures, c’est bien d’être cadre, surtout dans l’armée…

Mais non, Fred est instructeur dans la Marine. Il forme les futurs soldats, qui formeront à leur tour, d’autres petits soldats qui deviendront grands, et ainsi de suite…

L’armée de métier est le berceau actuel de nos anciens bleus, appelés sans désir de devenir soldat, marin, officier de marine… La professionnalisation a apporté une gestion plus facile des personnels.


La technologie a apporté son lot d’ingénieurs en tous genres.

Au bout du compte, Frédéric a pu grimper plus haut et d’année en année, sa formation originale s’est transformée en une expérience unique dans ses spécialités.

Il est très demandé, partout en France, et lui-même doit se former sans cesse, raison de ses absences et de mes sautes d’humeur…


Le lundi suivant, je suis en RTT, je passe mon après-midi devant l’ordinateur…


xHamster m’a apporté de nouveaux amis en puissance… Je viens d’en faire le tour, c’est une catastrophe… Que des abrutis le sexe à la main, aucune politesse, rien… Juste quelques profils que j’ai découverts cette semaine, mais ils ne répondent pas à mes mails…

J’ai douze amis juste ce mois-ci, je débute vraiment…

Je parle avec une femme qui a vu ma demande…

Classée en recherche de couples libérés, pour motiver son couple à reprendre une sexualité plus active…

Je parle quelques minutes… mais elle est très loin d’ici…


Une autre est allemande, très difficile de s’entendre, d’autres cherchent des femmes uniquement, pour se donner en spectacle par vidéo ou photos interposées ou pour se rencontrer… Enfin, des salons de chat en live pour les demeurés du sexe, prêts à payer du virtuel…


Je continue ma quête, en visualisant des profils… Tiens, Paule et Thierry, la quarantaine, bretons aussi… Ah…

Un petit mot gentil et j’envoie le message… Ils sont là, ils répondent…


« Oui, non, il n’est pas avec moi… »


C’est Paule au clavier…


Ils ont eu une expérience d’échange entre couples, mais n’ont pas donné suite, ce n’était pas génial…


Laure n’a pas joui, n’aimait pas ce gros mec, sans relief, malpoli, en plus en passant aux affaires, il l’a prise d’un coup, en lui faisant mal…

Sa femme aimait les femmes, elles ont pu jouer devant un Thierry affamé, le mari, bien marri dans son coin…

Thierry a bien aimé, la femme était très belle, brune aux yeux verts, un corps équilibré, des habits soignés, élégante, elle l’a relancé en cachette pour se rencontrer à trois ou à deux… La salope !


Nous nous présentons, présentons nos époux, ils ont l’air éduqués, sympas, ils habitent à deux pas, du moins dans la région, je ne parle pas de mon travail, lui est cadre dans la fonction publique, elle dans l’éducation nationale… Comme nous, leurs enfants sont loin…


Quarante-cinq et quarante-sept ans, ils aiment voyager en camping-car, faire des marches le long des côtes, échanger, visiter, acheter sur les marchés…


Oui, au cas où ils viendraient, ils peuvent stationner chez nous, notre terrain est très grand…


Oh, elle demande si cela ne gêne pas de faire juste une soirée, comme si on s’était rencontrés dans un restaurant ou dans une visite de la ville, en car ?


Au contraire, se connaître avant d’aller très loin dans l’échange ne peut être que profitable et je lui rapporte notre dernière discussion, avec Fred…

Elle est ravie de notre logique et c’est très volontiers que nous échangeons nos portables, nos photos, notre vie…


Lorsque Fred rentre ce soir-là, je suis excitée comme une puce, j’ai trouvé des amis, un couple super bien… La femme va lui plaire, le mari est grand et costaud, ils aiment voyager, dîner au restaurant, comme nous… Ils ont eu une première aventure négative et sont sur le qui-vive…

Après notre discussion, ils souhaitent nous rencontrer dans un lieu neutre, restaurant, par exemple…



b) Objectif en vue


La semaine d’après, Fred est à Paris et rentre le vendredi soir. Nous pourrions essayer avec le couple n° 1, une rencontre au restaurant du Port…


J’appelle Laure, elle répond, oui, le 24, un vendredi ? Oui, nous sommes libres… Au Restaurant du Port ?

Ils sont d’accord !


Fred me caresse, là, dans la cuisine !

Allongée sur la table, les cuisses écartées, il me bouffe la chatte comme un affamé…


Il bande comme un âne et me propulse sur mon nuage préféré, m’emporte dans notre chambre, et à poil tous les deux pour la suite du programme improvisé, on commence par moi… Il m’explose par-devant, puis me troue le derrière, il semble inarrêtable, j’enchaîne les orgasmes, une nouvelle position semble l’intéresser…

Il me pose sur la moquette, le dos contre le lit, il me plie en deux, intimité offerte et les cuisses repliées…


Il a tout le loisir de minauder l’ensemble, s’en délecte longtemps…

Il caresse, lèche, suce, excite, puis il plonge sa bite, dans mon fondement, préparé par ses doigts, droite, à la verticale, il me possède sans attendre, sans douleur, je ruisselle de toutes parts, continue comme un fou, je m’étouffe, je respire mal, me donne un peu d’air…

Il pistonne mon fion, un vrai mécanicien, je déballe des mots, mélangés à des râles, je me tiens à ses chevilles, je le vois à l’envers, il est debout sur moi, et replie les genoux pour enfouir son sexe dans mon fourreau arrière…


Il est beau mon chevalier aimant, chevauchant sa proie, je caresse mes seins, les pince, me fais jouir d’eux, augmentant mon délire….


Il continue à me sodomiser dans cette position, soumise, mais ô combien consentante, il tend la main dans le tiroir et me donne le gode, c’est moi qui fais le reste…


Je les sens tous les deux, le membre et puis l’engin qui vibre mon vagin, excite mon clitoris, me fait la totale, m’envoie parmi les anges, je change de sonorité, j’ai le cou replié, à force de bouger, de jouir sans compter, crier comme une hyène, je le sens exploser…


Oui, ça y est, il s’est surpassé, et je ne me souviens plus de ce qu’il s’est passé, j’ai eu un orgasme, et je suis entrée en transe, tétanisée de plaisir, écartelée, pendante, je me sens dilatée, mon vagin rendant l’âme, l’appareil sur la moquette à moitié explosé…


Il m’apporte à boire, il masse mes vertèbres, j’ai dû me les coincer…


Il se couche contre moi, je reprends mes forces, je lui donne un baiser qui dure des années…


Lucide, bien réveillée, j’attends son explication, il s’est passé un truc, la voix au téléphone ? Elle l’a maraboutée ?




c) Rencontre programmée


Le 24 arrive, je me suis faite belle, dénudée, mais correcte, juste de quoi rêver pour des yeux ébahis…

La robe est un peu courte, je pense à ce qu’il m’a dit, une main aura du mal à se faire un chemin…


Il est dans la salle de bains, astique ses cheveux, tout ce qu’il peut astiquer, rajeunir, parfumer, puis je le vois hésitant entrer dans notre chambre, ouvrir son armoire et prendre un ensemble décontracté, chemise blanche ouverte, pantalon côtelé, mocassins marron, veste en cuir marron clair…


Mes escarpins vont bien, j’ai remis mes sous-vêtements coquins, on ne sait jamais, la chance peut nous sourire…


Veste de tissu clair, un mélange de laine, il fait frais à la mer. J’ajoute une étole, mon sac porte-bonheur, un « baise-en-ville » de chez Hermès, folie de mon mari…


Je le trouve magnifique, un zeste bourlingueur, un peu comme un acteur, un mec pas compliqué aux bras d’une séductrice…


Je ferme notre porte, un sourire aux lèvres, les dés sont jetés…



d) Rencontre effectuée


Notre table se dresse un peu à l’écart, au premier étage, en bord de véranda, avec vue sur le port, c’est plus calme pour discuter.


Nous sommes les premiers, et mon cœur s’accélère, que va-t-il se passer ?

Le soleil est couché, la nuit est belle et claire, un vent léger fait trembler quelques feuilles…


J’allais me réfugier dans mes tourments secrets, mais j’entends des pas, nous nous levons ensemble, un sourire aux lèvres, une main avancée…


Moi :

Mon dieu, qu’elle est belle !… Blonde, cheveux mi-longs, une robe éthérée quelque peu ajourée, un vert délicat, je bredouille mon prénom, mais je reste sans voix, prise par l’émotion… Enfin, elle est Laure, avance sa joue et son parfum m’enivre, je regarde son mari, ses yeux m’électrisent, décontracté aussi, un costume de sport, un polo ouvert, une veste en tweed…


La bise aussi, direct, il se penche en avant, et on enchaîne sur l’apéritif, nos goûts sont les mêmes, on se souhaite bienvenue, une bonne soirée, une première rencontre…


Lui :

Mon dieu, cette blonde est superbe, comment ne pas aimer ses yeux francs et brillants, la robe qui la sculpte, et ce corps magnifique… Je tombe sous le charme, immédiatement, ses lèvres effleurent ma joue, je lui rends le bonjour, elle a l’air conquise… Lui a du charisme, il plaisante sans rire, il nous met à l’aise, écoute sans interrompre, plaisante naturellement, et c’est un bon vivant.


La soirée :

Je ressens tout de même ce petit sentiment, il me faut boire un coup, oublier ces tourments, mes pensées négatives sur ce premier contact…

Ses yeux me détaillent, en face de Frédéric. Son mari c’est Thierry, nous connaissons leurs passions, il nous parle de tout, il est intéressant.


Quand les plats arrivent, que les verres se vident, l’ambiance est plus simpliste, joyeuse et agréable, comme un couple d’amis, qui se rencontrent à table…

Ce contact est parfait, l’impression est favorable et lorsqu’au bout de deux heures, nous nous levons de table, je suis dépitée que cela se termine…


Frédéric nous montre le Casino, tout le monde est d’accord, jeux, danse, bar…


Les machines à sous nous invitent à danser, par couple tout d’abord, chacun après l’autre…

Ensuite on échange, Thierry vient avec moi, et sa douce compagne rejoint mon Frédéric dont les yeux s’illuminent comme les écrans…


Bingo, ça marche et glinglin très long, des pièces dégringolent, c’est bibi qui fait un très beau score, ce n’est pas la cagnotte, mais elle est passée près…


D’autres se succèdent, nous sommes excités, mais le rêve s’échappe, et nos 30 euros, ne sont que souvenir…


Il se fait tard, mais ils semblent enjoués de rester avec nous et proposent de danser, le club est sur la droite dans le même bâtiment…


On nous conduit vers une table ronde, basse, la piste devant nous, des couples évoluent, musique disco, puis des chansons actuelles, des succès, puis des slows…

Nous abandonnons nos verres, et nous nous regardons, Thierry me tend la main, il était à côté…

J’accepte de le suivre, il me prend dans ses bras, sa femme et mon mari, parlent cet endroit…

Il se détend un peu, je sens sa chaleur, il parle de nos premiers instants, fait le point sur ces heures…



Il me quitte un instant, va voir sa femme ; Fred m’appelle du bras…



Nous reprenons la danse, il me sourit, heureux de cette entente…



Ses lèvres se collent aux miennes, ses mains serrent mes reins, je lui plais, il me plaît, quand je lui rends son baiser, en me laissant aller, le doute n’est plus permis…



Post coupé (message 2 coupé ici)



La lutte est inutile, nous nous embrassons sans cesse sur cette piste et les slows s’enchaînent, et la lumière vacille, nous sommes dans un coin, je ne vois pas Freddy…


Ses mains sont épouvantables, pires que… Il ne faut pas penser, pas comparer, pas… Juste le plaisir, juste se découvrir, juste se ressentir, juste…

Sa main est dans ma chatte, je n’ai rien vu venir, discret et rapide, dans un recoin discret et sombre, un vrai piège à souris…


Alors pourquoi attendre semblait-il me confier ? Ma main part en balade, repère la bosse, et tâte gentiment, caresse et pousse… Il va exploser !…


Il me flirte réellement, fait monter mon désir, dans ce recoin intime, il caresse mes fesses, s’est glissé de partout, passant sous ma culotte…



Son sexe est libéré, ma main qui se referme, qui coulisse en sentant la sienne prendre sa place, un doigt s’insinuer, il est face à moi. Collée dans le recoin, j’éclate entre ses doigts, libère ma fontaine, coule mon désir, implore sa clémence… Il est dans mon vagin tourne ses doigts, mes jambes vont flancher, se dérober sous moi…

Je flirte avec son sexe, l’excite jusqu’au bout… Il est face à ma grotte, il est énorme et dur… Il peut me pénétrer… Il écarte la culotte, et rentre dans mon sexe…

Je jouis contre lui, il me savoure, pousse et repousse, je le sens, je le veux, je soulève une cuisse, et comme pour une putain, il donne un coup de reins, et se propulse en moi, je retiens mes cris de plaisir, mes cris d’être prise, j’ai trompé mon mari contre un mur cette nuit…


Il a sorti mes seins, les malaxe sans arrêt, je m’agrippe à son cou, il soulève mes fesses, mes cuisses autour de ses hanches, il m’a empalée… Je pleure en silence, des larmes de plaisir, nos lèvres soudées, une ambiance torride, de femme adultère en train de jouir…

Il a de la force, me soutient longuement, la musique est divine, un de ces anciens rocks. Il me prend doucement, se plantant dans ma chatte sur ce rythme effréné des années cinquante, excitant mes tétons, me poussant à l’orgasme, en même temps que lui…

Puis je sens sa semence, couler le long des cuisses…


Il me maintient toujours, plantée sur son pénis, qui a certain remord à quitter mon calice…

Puis d’un geste tendre, il me repose doucement, embrassant mes seins avec un regret certain, je referme ma robe, rajuste mon décolleté…

Nous sommes présentables, et regagnons à nos places…



Elle a fait l’adultère, elle l’a fait cocu, maintenant elle veut réparer, pouvoir encore le faire, mais sans le lui cacher, avec un partenaire accepté par Thierry…


Je lui demande un instant, me dirige vers les toilettes dames…

Là, je les entends, elle jouit c’est certain… J’espionne les cabines, je trouve la seule occupée… Je prends la suivante, monte sur les w.c….

Ils sont là, nus, il la prend en levrette, elle est appuyée sur l’abattant fermé… Elle jouit doucement, il la lutine sans cesse, la baisant sans arrêt, elle enchaîne ses orgasmes, en réfrénant ses râles… Il n’y a aucun bruit, ils savent qu’ils sont seuls…


Elle le suce activement en lui offrant sa chatte, il l’assoit sur lui et elle se pénètre du sexe de mon mari…

Elle monte et descend, s’active, il empaume ses seins, excite les tétons, elle gémit, se fait jouir sur lui, à s’en déchirer, il est olympique, démesuré !… J’en ai la chatte avivée à les contempler…

Ma main s’enfile et je me fais du bien… En même temps, c’est fou, il l’a sodomisée…

Elle se donne et se tord, jouissant de sa bite, arc-boutée sur le siège, position idéale, elle a une main en elle et se masturbe la chatte, il la prend comme un fou risquant de l’exploser… Elle jouit d’un coup, libérant son orgasme, il a joui en elle, elle le prend contre lui…



La soirée se termine, mais la question est posée, vont-ils finir la nuit ensemble ou rentrer chacun dans leurs pénates et bien récupérer ?



e) Une nuit en offrande


Après un dernier verre, ils sortent du Casino… Aucun des partenaires n’aborde le sujet, ils commencent une promenade, à trois heures du matin, sur le port, du côté des voiliers.

Ils sont remis par couple, Thierry commence…



Nous les rejoignons, Thierry prend la parole…



Je sers à boire, de quoi nous retaper, mais le repas était vraiment copieux.


Ils sont ravis de découvrir notre intimité, Anne-Marie fait l’honneur de sa maison à Claire, je sors un vrai cognac, le partage avec Thierry…



Lorsqu’on arrive dans la chambre, elles sont en accord, lovées l’une contre l’autre, à mélanger leurs charmes, caresser leurs corps…



Nous retrouvons nos cognacs, chacun dans ses pensées…


Je peux dire maintenant que ma femme est bisexuelle, cette soirée lui a fait comprendre que le plaisir existe, dès lors que l’on est deux…



Nous nous sommes revus, la dernière fois, juste avant les vacances…


Ces ébats interconjugaux ont rallumé nos flammes, et c’est avec plaisir que dès qu’elles vacillent, nous les ranimons ensemble, pendant toute une nuit…


Claire est devenue docile, aimante, et ne s’absente plus pour des raisons futiles…

Anne-Marie a changé, est devenue active, au lit comme dans la vie, lançant facilement des remarques coquines ; elle m’a dit :



Elle l’a fait ! C’étaient les meilleures vacances que l’on ait passées depuis notre mariage…

Notre chambre d’hôtel est devenue la plage, et toutes les nuits, nous allions nous baigner, rejoignant d’autres couples épris de liberté…



FIN



Marika84210