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Temps de lecture estimé : 44 mn
26/02/18
Résumé:  Alex est un homme que je connais très bien depuis l'enfance. Il est plus décidé que mon mari qui est plutôt réservé.
Critères:  fh 2couples couplus pénétratio fsodo -entrecoup
Auteur : Patrik  (Carpe diem diemque)            Envoi mini-message
Histoire d'O et d'A

La première partie est assez hard, par contraste avec la suite…

Bonne lecture




Du cul, du cul, rien que du cul



Alex est un homme que je connais très bien depuis l’enfance. Les hasards de la vie nous ont séparés vers nos vingt ans, lors de nos études supérieures, pour nous réunir vingt ans plus tard.


Il est devenu mon amant attitré quand j’ai besoin d’un bon coup de queue, comme il dit, car Alex n’est pas spécialement partisan des belles formules et du beau langage, mais cet encanaillement me plaît beaucoup. Nous sommes tous les deux mariés et heureux en ménage. Alex a épousé Alice, une gentille femme très douce, un peu effacée, son contraire. Moi, Opaline, c’est Olivier avec qui je suis heureuse, néanmoins, sa façon de m’envoyer au septième ciel est un peu fade. Vous aurez remarqué la similitude des initiales de nos prénoms, les hasards de la vie, comme je l’ai déjà dit. Lui comme moi, avons deux enfants qui s’entendent très bien, à tel point que nous avons dû les détromper plus d’une fois : non, ils ne sont pas cousins-cousines. De temps à autre, nous nous invitons en allant chez l’un ou chez l’autre.


Environ une fois par semaine, Alex vient me rendre une petite visite coquine, et aujourd’hui est justement le jour J.


Il adore me voir vêtue d’un short en jean, accompagné de talons assez marqués afin que ma démarche chaloupe. Pour l’accueillir dignement, je suis donc habillée avec un short en jean bleuté et un haut noir transparent, chaussée d’escarpins à forts talons. Je ne porte aucun sous-vêtement, ni sous mon top ni sous mon short, je sais que ça l’excite grave, et en plus, il ignore que mon petit cul qu’il adore est habillé par un rosebud ! Vous voyez le genre de détail…


Alors que je viens juste de lui ouvrir la porte, resté sur le palier, il m’a balancé spontanément, sans se soucier s’il pouvait y avoir du monde :



Il se colle à moi, sa bouche sur la mienne, ses mains baladeuses commencent à caresser possessivement mes fesses. Puis il pivote, se mettant derrière moi, collant sa bosse déjà bien gonflée sur mon cul. Puis il agrippe mes seins de ses mains, puis il m’embrasse en partant de mon oreille jusqu’à mon épaule. J’adore ça, et ce petit cochon le sait très bien !


Rien qu’avec ça, j’étais déjà complètement trempée, et nous étions toujours dans le couloir, ma porte d’entrée toujours largement ouverte ! C’est dire !


Après quelques agaceries, nos corps se séparent. Alex va dans le salon, tandis que je referme la porte pour avoir un peu plus d’intimité. Arrivé au milieu de la pièce, il dégrafe sans complexe son pantalon et abaisse son caleçon. Puis il s’installe sur mon fauteuil, celui face à la fenêtre.



Docile, je me mets à genoux devant lui et je le prends en bouche. Il est déjà complètement dur. J’ai faim de sa queue, longue et pas trop épaisse, idéale pour ma bouche et mes deux autres entrées.


Je le pompe comme il aime, tout doucement au début, très, très lentement. Parfois je délaisse sa queue pour aller gober ses couilles et les caresser avec ma langue, suavement.



Je le regarde droit dans les yeux en souriant. Puis je reprends sa bite dans ma bouche, je pose mes mains sur ses cuisses nues et je commence à accélérer le rythme. Tout ceci dure un certain temps et il finit par me demander d’arrêter pour ne pas éjaculer tout de suite. Je suis fière de moi, je suis loin d’avoir perdu la main !


Il reprend ses esprits, tentant de calmer les soubresauts de sa verge, signe qu’il était très près de craquer. Quelques instants plus tard, il parvient à stabiliser. C’est alors, toujours fidèle à son manque de bonnes manières, qu’il ordonne :



Il me prend par la main, m’aidant à me relever, puis il m’emmène dans ma chambre. Il ôte rapidement mon top transparent, je le débarrasse de sa chemise puis de son pantalon sans oublier son caleçon. Il est à présent nu, sa virilité triomphante.



Je me mets à quatre pattes sur le lit, il fait le tour de ma petite personne, pour me contempler sous toutes mes coutures. Puis après avoir maté à son saoul, il abaisse alors mon short et découvre enfin le rosebud qui orne mon entrée des artistes. Là, il devient fou !



Il commence à jouer avec, le faire tourner, à tirer dessus. Avide, il essaie de l’enlever, et après quelques essais infructueux, il me dit :



Il s’attelle à la tâche, puis posément, tire dessus afin de l’enlever de mon petit trou. À sa grande surprise, le bijou sort sans trop d’efforts.



Il se contente de rire. À présent, il joue avec le rosebud, le place à l’entrée de mon petit trou qui ne l’est plus vraiment, puis il l’insère un peu, le retire et recommence, tout ceci plusieurs fois. Un grand gosse avec son nouveau jouet ! Finalement, Alex finit par le replacer entièrement, rebouchant ainsi mon entrée interdite.



Il s’allonge sur le lit, sa bite comme i majuscule. Docile, je m’exécute. Après quelques succions, il me demande, alors que j’ai la bouche pleine :



Il est allongé sur le dos, moi entre ses jambes en train de le pomper consciencieusement. Je me cambre au maximum pour qu’il ait la meilleure vue possible sur ce cul qu’il aime tant.



Je ne me fais pas prier, je grimpe sur le lit telle une chatte, et je lui présente mon cul. Avec précaution, mais fermement, il retire le rosebud, il m’oblige à creuser mes reins plus encore afin que mes fesses remontent. Puis il se positionne derrière moi, venant se placer derrière moi, la bite tendue. Même si je ne le vois plus bien, je sais qu’il badigeonne son sexe de lubrifiant. Il pose son gland humide à mon entrée, le grand moment est arrivé !


Il agrippe mes hanches, puis il me pénètre. Ça rentre tout seul, bien entendu, le rosebud ayant préparé le terrain, sans parler du lubrifiant. Et peut-être l’habitude qu’il a de passer souvent par là. Que c’est bon de sentir son bâton de chair en moi ! Au début, nous utilisions un préservatif, et très vite, il est devenu évident que nous n’avions rien à craindre, l’un, l’autre. C’est avec soulagement que nous avons abandonné le latex.



Je gémis forcément, je le sens bien. Ses mots crus m’excitent, je lui permets des trucs qu’aucun autre homme n’aurait le droit de me dire ou de me faire. Je plonge ma tête dans les draps, soumise à son désir. Durant ce temps, Alex continue de me pilonner. Je sens distinctement son pion aller et venir dans mon entrée interdite.



Je suis complètement excitée, je gémis de plus belle ! Je me cambre au maximum pour qu’il me prenne bien à fond, c’est divin ! J’adore me sentir pute, une chose, sa chose !



Il accélère ses coups de reins, m’attrape les cheveux, puis se courbant, il vient placer ses lèvres près de mon oreille :



Je suis déjà au bord de l’explosion. Prononcer cette dernière phrase a fini de m’achever et je jouis violemment, sans doute au grand désespoir du couple voisin, s’ils étaient là, les parois de ces appartements étant si fines, bien que ça coûte les deux bras de s’en acheter un, vu le quartier.


Mon orgasme déclenche le sien et je le sens se contracter, et je sens les à-coups dans mon cul, signe qu’il se décharge, remplissant mes entrailles…


Toujours sans se retirer de moi, sa bite bien enfoncée en moi, nous nous mettons sur le côté pour un moment câlin des plus agréables.



Sans lâcher mon sein qu’il patine depuis tout à l’heure, il soupire :



Il se serre encore plus contre moi :



Puis nous continuons nos gros câlins de mille façons…




Cogitation, fornication



Après quelques grosses cochonneries, blottie contre mon amant qui balade ses larges mains partout sur mon corps, je me laisse aller. Soudain, sans cesser de me caresser, Alex lance :



Me redressant sur un coude, je rigole doucement :



Alex caresse à présent mes fesses, il n’y a pas à dire, il aime beaucoup ce morceau de mon anatomie ! Il réfléchit à haute voix :



Il se redresse, j’en profite pour m’allonger sur le ventre, lui offrant mon dos et surtout mon cul. Bien sûr, sa main s’égare à nouveau sur mes rondeurs. Même ses doigts s’insinuent dans mon sillon fessier, Alex n’en perd pas le fil de sa pensée :



Il réfléchit quelques instants avant de répondre :



Il prend un air conspirateur :



Puis sans transition, il embrasse voluptueusement mes fesses. La phase cogitation est terminée, place à la phase fornication.




Tirage au sort



Les enfants étant plantés devant la console de jeux dans une chambre à l’étage, nous, les adultes, sommes enfin au calme. C’est le bon moment pour le tirage au sort. Alex tend le seau rempli de petits papiers à sa femme :



Elle se contente de rougir, plonge sa main, en extirpe un papier plié en quatre. À peine, le papier capturé, elle manque de le faire tomber, suite à un faux mouvement du seau servant au tirage. Preste, son mari récupère le papier au vol, puis lui donne :



Avec application, elle déplie le papier en deux puis encore en deux, pour l’ouvrir complètement. Trois paires d’yeux la dévisagent, attendant le défi, le thème pour la prochaine soirée. Elle rougit comme une pivoine !



Je suis la plus rapide pour lui ôter le papier litigieux des mains, coiffant sur le poteau son mari et mon amant. Je consulte le texte :



Un large sourire se dessine sur mon visage :



Je tends le papier à Alex, Olivier se penche sur lui. Ils constatent que je n’ai pas menti. Mon mari se tourne vers mon amant :



Olivier se contente de hausser les épaules. De son côté, Alice est toute rouge, elle bafouille :



J’appuie son mari :



Curieusement, c’est mon mari qui vole à notre secours :



Alice le regarde, plutôt étonnée :



Il s’arrête en plein vol. Je ne sais pas ce qu’il allait dire, mais ça risquait de ne pas être triste ! Les minutes qui suivent voient mon mari parler de tout et de rien, volubilement, comme s’il cherchait à noyer le poisson. En gros requin qu’il est, Alex, qui n’en perd pas une, l’asticote durant dix minutes afin qu’il lâche le morceau :



Alex est assez surpris par cet aveu. Quant à Alice, écarlate, elle cache son visage entre ses mains. Perso, je ne suis pas tellement étonnée. Oui, Olivier et Alice auraient fait un mignon petit couple. Mais voilà, je suis passée par là. Et Olivier a bien confirmé : je reste la première, l’unique, ça me rassure.


Passé le moment de surprise, Alex se reprend, rigolard :



Sûr de lui, Alex se tourne vers sa femme :



Alice objecte faiblement :



Un peu pris au dépourvu, mon mari répond par une phrase banale :



Mon amant enchaîne aussitôt, se tournant vers son mari :



Mon mari se gratte l’arrière de la tête, tout en regardant franchement Alice. Je constate que mon homme s’émancipe, il y a peu, il n’aurait jamais osé regarder quelqu’un, surtout quelqu’une, en face dans pareille circonstance. C’est d’une voix calme qu’il répond, laissant la fin de sa phrase inachevée :



Sans grosse conviction, Alice proteste une dernière fois :



Jamais le dernier pour proposer des solutions, Olivier intervient :



Moins rouge que tout à l’heure, Alice regarde intensément mon homme :



C’est alors que je surprends l’étrange regard d’Alice, une fois que mon mari tourne la tête vers moi. Est-ce qu’Alex s’en est rendu compte ? Je ne pense pas. Quelques instants plus tard, mon amant et moi, nous nous regardons, nous échangeons un sourire. Finalement, l’idée d’Alex n’était pas si stupide que ça…


Et rien que d’être témoin de l’exploit de découvrir Alice en tenue sexy, ça vaut le coup, même si je suis une femme, et absolument pas bi !




Eaux troubles



Alors qu’il essuie la vaisselle, tandis que je la lave, Olivier est songeur :



Il s’approche de moi, pour me déposer un petit bisou dans le cou :



Je me contente d’un petit rire, les mains toujours dans l’eau de la vaisselle. Je lave une assiette que je lui tends :



Et nous nous faisons un petit bisou sur les lèvres, lui les mains dans son torchon, et les miennes dans l’eau chaude. Parfois, je me dis que je mets en péril mon couple qui fonctionne si bien pour une histoire de fesses, non, de cul avec Alex. Mais voilà, Alex, c’est plus qu’un simple amant.


J’en profite pour le taquiner :



Olivier se fige, me regarde, choqué :



Je caresse sa joue, sourire aux lèvres :



Mon mari est tout ému. Ça va faire dix-sept ans que nous sommes ensemble, et il se conduit toujours comme un jeune amoureux. Avec lui, je suis vraiment bien, il est doux, attentionné, mais le côté hard de la chose, c’est Alex qui me le procure. Mais à choisir entre les deux, je n’hésite pas une seule seconde, c’est Olivier que je garde. Point final.




Transparent et moulant



Je suis quand même un peu inquiète pour cette soirée, quelque chose me dit que ça peut déraper de façon inimaginable, et que les ennuis ne sont pas négligeables !


Imaginons qu’Olivier découvre que je le trompe depuis tout ce temps avec Alex, comment réagira-t-il ? Et comment Alice se comportera-t-elle si elle découvre que son homme la cocufie avec moi ? Et moi, quelle sera ma réaction si le plan d’Alec marche trop bien et qu’Alice et Olivier se jettent vraiment dans les bras l’une de l’autre ? Plein de questions, mais pas de réponse ! Aucune !


Je suis tendue, je trouve que nous jouons avec le feu. Mais peut-être, sans doute, il ne se passera rien… Olivier est fébrile, mais pour une autre raison, double celle-là. Il adore m’exhiber, ça je le sais depuis un certain temps. Mais ce soir, il est assez impatient de découvrir comment mon éventuelle remplaçante sera habillée sexy. Double excitation pour lui. Il a de la chance, lui !



Quelques instants plus tard, je le lui prouve. Olivier émet un sifflement admiratif, je suis fier de mon effet ! J’ai misé sur les deux, la transparence et le moulant : mon top bleu électrique laisse deviner sans obstacle mes formes, et le tissu moule mes pointes de sein comme il se doit. Plus bas, une jupette noire un peu courte ainsi que des talons aiguilles de la même couleur. De plus, j’ai mis un ruban dans mes cheveux afin de dégager mon cou, un morceau que mon mari et mon amant apprécient beaucoup ! Et quelque chose me dit qu’il y aura des bisous dans le cou dans les petits coins !


D’ailleurs, mon homme veut commencer tout de suite ! J’ai beau lui dire « bas les pattes », il continue de plus belle ! Je suis sauvée par le téléphone qui sonne. Faisant la moue, ma sangsue de mari décroche :



Quelques minutes plus tard, nos invités arrivent sur le palier, nous avons déjà ouvert la porte pour faciliter les choses. La porte de l’ascenseur de service s’ouvre, la tête d’Alex dépasse, il vérifie s’il n’y a pas d’importun dans les parages. Il n’y a personne, alors il pousse sans vergogne sa femme devant lui, éructant un sonore :



Pour un ta-dam, c’est un sacré ta-dam ! Mon homme est figé sur place, et moi, j’ai comme une boule au ventre ! Exception faite des sandales à lanières, Alice n’est vêtue que d’une robe bustier rose à épaules nues. Pas besoin d’avoir fait des hautes études pour constater qu’elle ne porte pas de soutien-gorge, ses tétons pointent distinctement ! Plus bas, le tissu, plutôt fin et léger, moule son corps tout en courbe, et je ne vois pas la moindre trace de culotte, à moins qu’elle n’ait mis un string.


Je suis tirée de mes réflexions par Alex :



Je m’exécute afin que mon amant puisse mieux voir ma tenue. Durant ce temps, mon mari se remet de ses émotions. Une sourde appréhension monte en moi. Alex passe devant nous, suivi de sa femme. Un jeu de lumière nous dévoile, à mon mari et à moi, un mignon popotin sous la transparence momentanée, et pour ma part, j’ai bien vu l’arrondi de son abricot secret ! Je n’ai toujours pas vu de culotte, et je suis incapable de dire si elle a mis un string, mais j’ai l’impression que non, puisque je ne discerne pas de ficelle autour de ses hanches ou de sa taille. Et il me semble avoir trop bien vu le double arrondi de ses lèvres. Est-ce que mon homme l’a vu, lui aussi ?


Toujours est-il que mon mari affiche une drôle d’expression, il se tourne vers moi, l’air de dire « eh bé ». C’est aussi mon opinion. Comment diable Alex a-t-il réussi son coup ? Je lui demanderai tout à l’heure quand je pourrais lui causer en paix.


Nous nous installons dans le salon. Alex ne me quitte pas des yeux, Olivier en fait de même avec Alice. Nous parlons de tout et de rien. À un moment, mon amant s’intéresse aux livres et autres bibelots qui garnissent une de nos bibliothèques. Mais Olivier répond souvent de travers, l’esprit visiblement ailleurs, et les yeux souvent rivés sur sa voisine. Trop souvent.


Intriguée et curieuse, je me lève et je demande :



Comme je m’en doutais, à peine, sommes-nous dans la cuisine qu’Alex met ses mains partout sur moi. Malgré le danger, je me laisse tripatouiller. Alors qu’il se frotte comme un caniche contre moi, me faisant sentir à sa façon son désir, il lâche :



Je secoue la tête, assez incrédule :



Il rigole posément :



Puis me caressant les fesses au passage, il retourne dans le salon.


Quand je reviens dans le salon, Alice et Olivier sont toujours assis côte à côte, ils continuent de discuter, mais je sens Alice gênée ; en effet, Olivier n’arrive pas à décrocher son regard de sa personne. De plus, comme mon homme est grand et sa voisine petite, il a une vue imprenable sur les seins qui frémissent sous la robe rose. Pour un peu, je me montrerai jalouse. Pourtant, je trompe mon mari depuis un bon bout de temps, mais là…


Soudain, une main se pose sur mon épaule, je manque de sursauter. Me caressant à nouveau les fesses, certain de ne pas être vu du canapé, Alex me murmure :



Il me montre son appareil photo. Puis il s’approche du couple assis :



Alice rougit, se recroquevillant un peu. À ses côtés, Olivier proteste :



Puis il se tourne vers sa voisine :



Son mari se veut rassurant :



Alice et Olivier se détendent un peu. Je reste en arrière, un peu perplexe, j’attends la suite. Elle arrive très vite quand Alex ordonne :



Pour être près, ils sont près ! Ils sont cuisse contre cuisse, leurs corps collés. Mais ce n’est pas encore assez pour Alex :



Et il se met à shooter le couple enlacé, sous tous les angles, même les plus improbables. Moi, je remarque qu’Alice est nettement moins rouge que d’habitude. Pourtant, vu la situation, elle devrait être cramoisie de la tête aux pieds ! Je constate aussi que son sein s’écrase sur la poitrine de mon homme et qu’Olivier ne doit certainement pas ignorer ce doux contact. Me déplaçant un peu sur le côté, je constate que la main de mon homme enserre non seulement la taille de sa voisine, mais qu’elle est carrément nichée sous son sein ! Crispée, je sens que la situation m’échappe, j’espère qu’elle n’échappera pas à Alex !



Les agneaux soupirent, mais ce n’est pas pour autant qu’ils séparent beaucoup. Alex consulte rapidement sur l’écran les photos faites. Soudain, il s’exclame :



Puis il se tourne vers moi :



Je trouve la ficelle un peu grosse, mais je marche quand même dans son plan :



Pour toute réponse, il rigole. Puis il tend l’appareil photo au couple toujours assis dans le canapé :



Je reviens aussitôt habillée d’un long gilet opaque, sans oublier mon sac à main, pour accompagner Alex à la boulangerie-pâtisserie, me demandant pourquoi je marche dans cette combine pourrie !




Pâtisseries



La porte refermée, nous prenons l’ascenseur. Bien sûr, Alex ne peut pas s’empêcher de toucher à tout, malgré mon gilet. À ma grande surprise, il descend au sous-sol. Tandis que nous rejoignons sa voiture, je lui dis :



Il extirpe son porte-clés, un déclic se fait entendre.



Je ne comprends pas bien où il veut en venir. Nous nous engouffrons dans sa voiture. Il plonge sa main sous son siège, il en ressort une tablette qu’il branche sur l’allume-cigare, et peu de temps après, je vois apparaître sa femme et mon mari sur l’écran miniature. Assez soufflée, je le questionne :



Il règle l’image, elle est très nette. Je constate au passage qu’il est même capable de faire pivoter l’objectif et même zoomer.



Je n’aime pas trop qu’on me dise ce genre de truc, je soupire :



Il est franchement étonné !



Et sans me laisser le temps de réagir, il m’embrasse et commence à mettre ses mains partout sur moi ! Je connais pourtant l’animal depuis des années, mais sa spontanéité en la matière, et son sans-gêne aussi, me surprendront toujours !


Après quelques agaceries, je jette un coup d’œil sur l’écran, je sens qu’il se passe quelque chose, mais l’image est devenue floue. Je demande à mon amant de régler l’image. Peu après, nous découvrons nos conjoints enlacés tous les deux, très occupés à s’embrasser à pleine bouche et de se peloter allégrement !



Je commence à m’énerver :



Les yeux rivés sur le petit écran, comme hypnotisé, Alex secoue la tête :



Je m’énerve un peu plus :



Fièrement, il me désigne la tablette :



Mon mari pelote Alice qui se laisse faire, leurs bouches rivées. Puis Olivier prend l’initiative de clore leur long baiser, il s’enfonce alors dans son cou, couvrant de baisers brûlants la nuque, les épaules et même l’orée du décolleté largement offert, tandis que, visiblement ravie, Alice se laisse faire. Sans vergogne, mon homme capture un sein pour en éprouver le moelleux, tandis que sa partenaire glisse une jambe sur celles d’Olivier.


Mi-agacée, mi-amusée, je fais remarquer à mon amant :



Soudain, les yeux toujours rivés sur l’écran, je m’exclame :



Sur l’écran, Alice vient de poser délibérément sa main sur la bosse du pantalon de mon homme, caressant le sexe de mon mari par-dessus le tissu. Je me tourne vers mon amant, persiflant :



En effet, Olivier vient d’abaisser la robe bustier, révélant deux mignons seins qu’il s’empresse de caresser, de peloter et d’embrasser ! C’est Alice qui le rappelle à la raison, le son étant étonnamment bon, ce truc-espion n’est assurément pas de la camelote :



Mon homme s’empare à pleine bouche d’un sein, il le dévore, l’engloutissant à moitié dans sa bouche vorace. Alice glousse :



Olivier ne répond rien, sa bouche est trop occupée à déguster la grosse friandise molle et blanche. Puis Alice le repousse tendrement, on voit bien qu’elle ne serait pas contre qu’il continue, mais l’heure tourne. Ils se calment tous les deux. Alice réajuste son bustier et ses cheveux, tandis qu’Olivier remet bien sa chemise. Néanmoins, sa bosse dans le pantalon reste très visible, sur l’écran, malgré la distance.


Un peu dépassé, Alex soupire, il s’essuie le front puis me déclare :



Alex se veut rassurant :



Il sort de la voiture, ouvre le coffre et s’affaire. Durant ce temps, je joue les voyeuses. Les deux tourtereaux sont debout, enlacés, en train de s’embrasser, et vu la façon dont cette salope d’Alice se frotte contre mon homme, ils risquent de se laisser aller une fois de plus !


La tête d’Alex surgit de l’autre côté de la vitre :



Alex préfère ignorer la fin de ma phrase :



Nous arrivons face à l’ascenseur de service, Alex grommelle :



Pris en défaut, il ne répond rien. Nous nous engouffrons dans l’ascenseur. Baissant les yeux, je fais remarquer à mon voisin :



Le regardant, je hausse des sourcils :



Je me mets illico un peu de déodorant, j’en ai toujours dans mon sac. Puis j’appuie sur le bouton, l’ascenseur monte. Je jette un coup d’œil à Alex, sa bosse est moins apparente. Je lui dis :



L’ascenseur vient d’arriver à notre étage. Je le regarde, interdite :



Assez anxieuse, j’ouvre la porte en fer pour arriver sur le palier. Je marque un petit temps d’arrêt avant de sortir mes clés de mon sac.




Un repas dont je me souviendrai toute ma vie



J’ouvre la porte de l’appartement avec ma clé. Puis d’un pas calme, mon amant et moi allons dans le salon. Nos conjoints sont debout, face à la bibliothèque, un gros livre dans les mains d’Olivier, livre d’art qu’il fait voir et explique à Alice. Je vois tout de suite qu’Alex a des sueurs froides. Je comprends illico que c’est précisément dans cette bibliothèque que la caméra-espion est cachée.


Eux, comme nous, font comme si tout était normal.


Une fois installés à table, en alternant les hommes et les femmes, le repas commence dans la joie et la bonne humeur, je suis moi-même surprise d’avoir tiré momentanément un trait sur ce que j’ai vu sur l’écran. Je pense qu’il en est de même pour Alex. Je constate même qu’il ne chambre ni plus ni moins sa femme comme mon mari. Il est égal à lui-même. Étrange quand même. Mais tout se passe bien, entrée, plat et dessert.


L’imprévu vient toujours quand on s’y attend le moins, c’est pour cela que c’est justement imprévu. C’est mon mari qui en est à l’origine quand il demande carrément à Alex qui est face à lui :



Alertée, je fronce des sourcils, il n’est pas dans les habitudes de mon mari de parler de moi de la sorte. Se tournant vers moi qui suis à sa droite, il m’adresse un adorable sourire :



Peu conscient de la tournure des choses, Alex se gargarise de sa bonne fortune, et confirme avec l’air suffisant du coq fier de sa poule :



Olivier se tourne vers sa voisine de gauche, Alice, qui refait sa timide :



Comme on pouvait s’y attendre, elle rougit sous le compliment. Je suis de plus en plus étonnée, quelque chose ne tourne pas rond. De son côté, Alex s’amuse. Mon mari continue de s’adresser directement à Alice :



Puis Olivier se tourne vers Alex qui lui fait face de l’autre côté de la table :



Une grosse sonnette d’alarme retentit dans mon cerveau. Ce n’est pas le genre d’expression de mon homme, je la verrais plutôt dans la bouche de mon amant. Alex est un peu surpris, quant à Alice, elle pique du nez vers son assiette. Cherchant des yeux mon appui, son mari répond :



C’est à présent une sirène qui hurle dans mon cerveau. Imperturbable, mon homme continue :



Un peu dépassée par la tournure des événements, j’interviens, le ton faussement enjoué :



Enjôleur, il se tourne vers Alice :



Olivier a maintenant un grand sourire aux lèvres, je ne sais pas ce qu’il faut en penser, pourtant il n’a rien bu, pas d’alcool, sauf son fameux jus de litchis et de l’eau à bulles. Toujours aussi flegmatique, il se tourne vers moi, puis vers Alex :



À ma grande surprise, joignant le geste à la parole, il touche mes seins, les caresses impunément, comme si nous étions seuls, lui et moi. Je proteste mollement :



Il saisit la main d’Alex qui se laisse faire, assez surpris. Il tourne la tête vers Alice qui est sidérée :



Puis sereinement, il pose la main d’Alex sur mon sein :



Pour ma part, je suis stupéfaite, je me laisse faire sans réagir, tellement je suis sciée ! Quant à Alice, elle a la bouche grande ouverte, mais aucun son ne sort. Olivier se lève, et vient se poster derrière moi, tandis que mon amant, un peu dépassé par la situation, a toujours sa main sur mon sein. C’est alors que mon mari relève carrément mon top, dévoilant mes seins à tout le monde.



Et joignant le geste à la parole, mon mari prend mes seins à leur base, et joue carrément avec eux, tandis que mon amant s’amuse avec mes tétons. Alice a toujours la bouche grande ouverte, toujours muette, complètement larguée. Moi aussi, je suis dépassée, le pire est que je me laisse faire !



Ballottée par les événements, machinalement, je lève les bras, et je me retrouve seins nus, à me faire peloter par deux hommes. Mon mari fait signe à mon amant de venir plus près :



Puis Olivier se recule, contemplant mon amant en train de s’amuser avec mes seins. Toujours avec le sourire, il s’approche d’Alice, qui ne comprend plus ce qui se passe sous ses yeux. Elle le regarde avec des grands yeux humides. Il se penche délicatement sur elle :



Il se positionne derrière elle, posant ses mains sur ses épaules dénudées.



Étonnée, elle lève la tête vers mon mari, le dévisageant comme s’il était fou, avant de prononcer d’une menue voix :



Oh si, moi, je vois très bien où mon mari veut en venir, même si je suis dépassée par la situation. Et je pense qu’Alex est dans le même cas que moi, car il a sérieusement ralenti le tripotage de mes seins, ne perdant pas une miette de la conversation entre Olivier et Alice. Toujours calmement, mon mari hausse un peu la voix pour que tout le monde entende :



Puis Olivier, d’un geste lent, pose ses mains sur le haut de la poitrine d’Alice, il les fait glisser graduellement vers le bas, abaissant posément la robe, révélant ainsi la poitrine d’Alice qui pousse un petit cri de surprise. Médusé, Alex se fige sur place. Tandis que mon mari commence à caresser voluptueusement les seins d’Alice, je pose ma main sur le bras de mon amant, lui murmurant :



Profitant de la surprise non feinte de la femme de mon amant, mon mari continue à caresser délicatement ses seins devant nous. Puis après avoir déposé quelques baisers dans le cou d’Alice qui reste pétrifiée, il dit :



Sans lâcher mes seins, Alex s’éclaircit la voix, puis lâche, d’un ton filou :



Sans arrêter de caresser délicatement les seins et les tétons d’Alice, sans se départir de son sourire, mon mari me demande :



Alex me fait un bref signe de la tête. Il est visiblement partisan la tournure des choses. Je ne suis pas contre, mais je déteste quand les choses m’échappent, ce qui est actuellement le cas. Néanmoins, je dis à haute et intelligible voix :



Satisfait de notre double réponse, il sourit, puis, sans toutefois enlever ses mains du corps quasi dénudé d’Alice, il contourne sa partenaire sidérée de la tournure des choses. Il s’accroupit devant elle, lui caressant à nouveau la poitrine :



Elle est totalement cramoisie, elle répond dans un tout petit filet de voix :



Fou de joie, mon mari embrasse passionnément sa nouvelle maîtresse. Devant ce spectacle et surtout la réponse de sa femme, Alex fait de grands yeux. Moi, je soupire, c’était prévisible. Il va falloir faire avec.




Deux plus deux



Alex, qui a le sens pratique, a vite exploité la situation, oubliant que sa femme s’était jetée sous ses yeux au cou de son rival. Je lui ai murmuré de ne pas en faire trop, sinon il serait évident que ce ne serait pas une première pour nous deux. Mon amant a rétorqué à voix basse :



Je ne pense pas que les deux autres nous aient entendus, ils sont trop occupés à se découvrir. En les voyant, j’en mettrais ma main au feu qu’ils n’ont jamais fricoté ensemble avant aujourd’hui, contrairement à Alex et moi.


Olivier s’occupe d’Alice sur le canapé. Pour ma part, je suis à présent allongée sur la large peau de mouton, Alex à mes côtés. J’aurais pu aller dans la chambre d’amis, mais je préfère surveiller mon homme en restant dans la même pièce que lui. Nous ne les gênons pas, Alice et Olivier sont comme coupés du monde, sur leur petite planète.


Moi, je redécouvre avec Alex, les joies simples des débuts, loin de nos séances bestiales.


Olivier est très doux, sa compagne s’abandonne sans réserve à ses caresses, à ses baisers. Elle est à présent allongée sur le canapé, poitrine nue, jambes dénudées elles aussi. La main de mon homme s’égare entre ses cuisses, sans aller plus haut. Néanmoins, je constate du coin de l’œil que cette petite garce écarte les jambes. Et la main de mon mari remonte petit à petit plus haut à chaque fois, repoussant le tissu de la robe rose.


Tandis qu’il lui dévore alternativement les tétons, ce qui devait arriver arrive. Les doigts de mon homme atteignent le petit nid douillet d’Alice, c’est flagrant aux soupirs qu’elle pousse et aussi à la jambe qu’elle a carrément mise sur le dossier du canapé afin de faciliter l’accès à son amant. Ce faisant, le tissu glisse sur son ventre, je constate qu’elle n’avait même pas mis un string sous sa robe. J’en fais la remarque à son mari :



Je m’occupe de mon amant comme il le réclame. En fond sonore, j’entends les soupirs d’aise puis de jouissance d’Alice. Mon homme l’a fait jouir uniquement avec ses doigts. Pas mal ! Je vois qu’il attaque la suite en enfouissant sa tête entre les cuisses de son amante qui l’accueille avec un plaisir évident. C’est alors que je perds le fil… La femme de mon amant s’envoie en l’air avec mon mari ? Eh bien, moi, je vais m’envoyer en l’air avec le mari de la salope qui se fait baiser par mon salaud de mari !


Alice jouit plusieurs fois, moi aussi.

Elle se fait prendre devant, derrière, sur le côté, moi aussi.


Mais ça me fait mal au cœur de les voir si assortis. Je les vois baiser, mais ce n’est pas sale. Il la lèche, elle le suce, c’est simplement beau. Il est en elle, il la pénètre, mais ce n’est pas sordide. Même quand il prend en levrette, son bas-ventre qui claque sur les fesses rebondies, on sent néanmoins une grande délicatesse entre eux, une communion. Je réalise que c’est comme ça que mon homme me faisait l’amour, que c’était simple, facile, naturel, coulant de source.


J’ai cru que c’était banal alors que c’était harmonieux. À la place de ça, j’ai cherché à être plus secouée, possédée, violentée, ballotée, souillée. Pourquoi faut-il que je constate seulement maintenant quand mon mari s’éloigne, que je ne suis plus le centre de sa vie ?




Deux plus deux



Un bon mois s’est écoulé, je dois reconnaître que notre nouvelle situation simplifie bien des choses, néanmoins, je n’ai plus en bouche le sel des amours coupables et cachées. En contrepartie, mon amant me visite plus souvent, et nos parties de jambes en l’air n’en sont pas moins torrides !


Le gros hic est que mon mari s’amuse lui aussi avec Alice. Que puis-je dire ? Je m’aperçois que je suis quand même un tantinet jalouse et possessive. Les rares fois où j’ai piqué une crise devant lui, il m’a calmement rembarré, m’expliquant en catimini que sa vie serait peut-être plus simple avec la femme de mon amant, une femme plus calme, compréhensible et docile. J’ai alors compris qu’une partie de mon mari s’était enfuie, et que j’y étais pour quelque chose.


Néanmoins, dans notre vie de tous les jours, le comportement de mon mari n’a pas changé, il est toujours aux petits soins pour moi, mais je sens bien qu’il a mûri. Il m’aime vraiment, mais il est moins en adoration enfantine comme avant, et ça me manque un peu.


Ce que j’ai gagné d’un côté, je l’ai perdu de l’autre, comme dans son histoire de loi de l’alchimie.


J’avoue que la première fois où j’ai surpris mon mari sur le canapé en train de tringler allègrement sa putain de fausse nitouche, tandis que je rentrais plus tôt que prévu, ça m’a fichu un sacré coup. Nullement gêné, contrairement à Alice plutôt confuse, placidement, il m’a dit alors :



Et il a continué à faire ce qu’il était en train de faire, naturellement. Alors que j’étais dans la cuisine, des cris de jouissance ont éclaté, et pas des moindres ! J’ai dû prendre sur moi pour ne pas me saisir d’un couteau de boucher et de ne pas faire ensuite une très grosse bêtise !


Une autre fois, c’est lui qui est survenu à l’improvise, pendant que j’étais en train de me faire royalement enculer en levrette par mon amant. Alex lui a adressé un joyeux bonjour sans cesser de me pistonner le cul. Mon mari s’est alors fendu d’un :



Ce qui a fait rire Alex comme un idiot pendant au moins cinq minutes !


Un autre point positif concerne Alice. Je l’aime beaucoup, mais elle avait un côté gourde. Maintenant, même si elle garde un fond de timidité, Madame s’est visiblement émancipée. Son homme est d’ailleurs très content, il m’a carrément dit un jour :



Oui, c’était Alice avant…

Me souvenant de leur précédente visite, un peu acide, je lui réponds :



De temps à autre, nous pratiquons purement et simplement l’échangisme sur plusieurs jours quand les enfants ne sont pas là : je change d’homme et mon mari de femme. Parfois, nous poussons le vice à cohabiter sous le même toit. Cette situation est un peu curieuse, mais excitante. Je me surprends même à vouloir aguicher mon vrai mari quand je vis maritalement avec Alex. D’ailleurs, j’apprécie de plus en plus la façon de faire l’amour de mon mari. Je veux redevenir sa seule et unique !


Mais Alice veille au grain, et la partie sera rude !

Comme quoi la vie nous réserve des surprises incongrues.