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n° 18277Fiche technique44247 caractères44247
Temps de lecture estimé : 26 mn
27/02/18
corrigé 06/06/21
Résumé:  Marie m'est apparue. Nue. Y aura-t-il un miracle ?
Critères:  fh ff hplusag jeunes douche amour hdomine cérébral revede voir noculotte pénétratio
Auteur : Lacducoucou  (Récidiviste)            Envoi mini-message
L'apparition de Marie... nue !

Je connais Marie depuis longtemps, presque vingt ans si le presque cinquantenaire que je suis a bien compté. À l’époque, je coachais le volley féminin du club local, et elle pratiquait ce sport avec brio. Une joueuse alerte et vive, une des locomotives de l’équipe. Elle était la plus jeune, mais sans doute aussi, la plus douée. Elle attirait sur elle avec un égal bonheur l’œil du célibataire et du non-célibataire. Pas moi, heureusement, car j’étais marié et chacun sait qu’un homme marié ne regarde pas les autres femmes.


Marie est très grande, elle me dépasse de dix bons centimètres. Elle possède des courbes harmonieuses malgré sa taille élancée, des muscles façonnés par le sport, une petite poitrine bien dessinée, des cheveux châtain et un visage juvénile illuminé par un éternel sourire. Marie possède aussi une sacrée personnalité. Et on lui aurait donné le Bon Dieu sans confession. Pas que le Bon Dieu, d’ailleurs, surtout pour les mécréants.


Cela dit, en tant qu’entraîneur, j’étais plus préoccupé par la forme des joueuses que par leurs formes : les matches à préparer, la composition de l’équipe, les stratégies à déployer, etc. Sans être asexué, je mettais toujours ma libido en veilleuse d’autant plus que le trentenaire que j’étais voyait ces jeunesses comme encore des gamines. À tort, peut-être ? Je me conduisais en technicien exigeant d’une phalange sportive, et pas, disons-le poliment,… en moniteur d’« auto-école ».


Pourtant, Marie a explosé ma libido lors d’une circonstance bien particulière et cela avait transformé mon regard sur elle. Ce fut à l’occasion d’une péripétie festive dont je fus le héros malgré moi. À l’issue d’une finale de Coupe que nous avions remportée de haute lutte, les choses dégénérèrent. Les joueuses s’emparèrent de leur coach et le tirèrent de force dans leur antre, tout habillé sous la douche, avec fanfare musicale de hurlements hystériques et de fou-rires.


Jamais, ô grand jamais, je n’aurais mis les pieds chez les filles sauf que, dans cette embuscade, elles étaient trop nombreuses, remplaçantes comprises, pour que je puisse résister. Impossible de me rebeller sans réagir trop brutalement. Je ne cherchais même plus à me débattre, je me laissais faire en attendant, résigné, la fin du déluge.

Qu’aurais-je dû faire : rentrer la tête dans les épaules et fermer les yeux ?

Surtout pas, j’aurais fait la connerie de ma vie !

Car c’est sous le jet, à travers les gouttes, que m’apparurent deux filles déjà dévêtues. Elles devaient nous avoir précédés dans le local. L’une des deux était Marie.


Je fus pétrifié par cette vision inattendue. Marie valait le coup d’œil… et pas que d’œil. Elle éclipsait totalement sa camarade. La révélation pour moi ! Je ne vis plus que Marie, Marie et rien que Marie ! Et je vis… tout.

Oui mon Père, je le confesse, j’ai vu le sexe de Marie, le triangle de sa toison, ses petits seins, ses longues jambes, et ses yeux fixés sur le pauvre moi qui n’en pouvais mais. Et son regard !

Oui mon Père, la vierge Marie m’est apparue. Nue ! Et c’est l’Enfer qui m’attend, car cette vision ne me quittera plus jamais. Je refuse de la chasser, je n’en aurais d’ailleurs ni la volonté ni l’envie. Resplendissante dans sa nudité, elle avait un petit gigantesque quelque chose… Ah, mon Père, je n’ai pas de mots, je n’aurais que des gestes.


Je me mis un point d’honneur à ne rien laisser paraître de mon émoi et, dans la confusion ambiante, me suis (très lentement) dépêché, dès que libéré des griffes de ces harpies, de fuir ce lieu de perdition. Trempé certes, mais l’esprit ébloui et le pendule au zénith.


A-t-elle capté mon regard, lorsque j’ai flashé sur elle ? Est-ce cela qui l’a poussée à glisser deux doigts dans sa bouche et les faire coulisser lentement, plusieurs fois, en me fixant droit dans les yeux ? Une provocation, n’est-ce pas, mon Père ?

Il ne me restait plus, après cette apparition, qu’à craindre un miracle.


J’ajoute qu’aucune suite désagréable n’est venue prolonger mon intrusion forcée dans les douches des filles, bien que l’histoire eût filtré. Le président du Club me fit juste une remarque compatissante :





**********




Un changement dans ma vie professionnelle, impliquant de nombreux voyages à l’étranger, me contraignit à cesser mes fonctions au club.

Et, quelques années plus tard, à me séparer de mon épouse qui ne supportait plus mes longues absences. Elles la contraignaient, la malheureuse, à combler celles-ci par une succession de « présences » diverses et variées, autres que la mienne, bien sûr. Cela lui avait mis des idées coupables dans la tête et surtout torrides sous la jupe. Bref, comme l’on dit, je ne passais plus les portes. Nous nous quittâmes d’un commun accord et en bons termes. D’ailleurs chaque année, le jour anniversaire de notre séparation, au nom du bon vieux temps, j’ai le droit de lui ouvrir les cuisses et c’est toujours un plaisir de remettre ma bougie sur son exquis gâteau.


Exit le volley, exit la vie associative. Il ne me restait que la vie de citoyen lambda au village, où j’avais gardé mon domicile-pied-à-terre parce que je m’y trouvais bien. Au fil des ans, les gens me reconnaissaient toujours et me saluaient, échangeant quelques paroles amicales avec moi. Heureux rappel du bon vieux temps ! D’anciennes joueuses venaient encore me faire la bise si d’aventure j’en rencontrais une, mais cela s’arrêtait là.


Parfois aussi, je croisais Marie, mais là, pas de bise, juste un petit sourire et un salut amical de loin. Elle me snobait ? Et pourtant, je t’ai vue nue, Marie… J’ai vu ton trésor quand mon regard est remonté le long de tes cuisses, j’ai vu… Mais peut-être était-ce justement à cause de cela que tu gardais maintenant tes distances ?


Pour raison de mariage, elle arrêta le volley quatre ans après mon départ du club… Elle avait épousé son patron, un petit industriel chez lequel elle travaillait comme secrétaire. Celui-ci vit d’un mauvais œil ses escapades en soirées d’entraînements ou en week-ends de matches et lui imposa de se consacrer à son foyer. Elle obtempéra en épouse soumise.


Je m’étais toujours demandé quel charme elle avait pu trouver à ce pâle couillon, et pourquoi elle avait épousé cette caricature de playmobil embourgeoisé. L’ascenseur social ? Sans doute, et cela, je ne saurais le lui reprocher. Mais je dois reconnaître que les trop rares fois où je l’ai croisée, l’épouse de notable avait l’air bien dans sa peau. Ou bien ? Car par la suite allait souffler un vent contraire.




**********




Bien des années, bien trop beaucoup d’années plus tard, coup de tonnerre ! Par hasard, à la caisse d’un supermarché, elle « queutait » (si, si, cela se dit !) derrière moi et la surprise de cette retrouvaille inattendue nous combla de joie. Exclu de passer outre.



Son visage s’illumina :



Nous voici installés face à face devant deux tasses. J’attaquai :



Et toc ! J’en restai bouche bée.



Elle rit franchement puis enchaîna :



Encore son rire. Je continuai :



Je ne trouve pas monotone

La verdeur de tes quarante ans.

Je préfère tes fruits, automne,

Aux fleurs banales du printemps.



Puis elle se tut et son visage se referma :



Elle releva les yeux et plongea un regard triste dans le mien.



Et elle se tut. J’insistai :



Elle prit une grande inspiration :



Elle rit :



Elle rit de bon cœur et, par dérision pour elle-même, ajouta :



Elle rougit et plongea son nez sur sa tasse. Je l’observai. Elle était magnifique, elle avait cet éclat de femme mûre propre à réveiller la libido d’un iceberg. Un fruit appétissant et dégoulinant de sensualité. Je n’avais plus pour elle les yeux de l’entraîneur de naguère, mais le regard attentif d’un prédateur agité par un tourbillon de pensées inavouables. Stop ! Sérieux, retour à la réalité.



Ébahissement ! Marie, tu n’es pourtant pas une demeurée. Marie, tu es jolie ! Marie, tu as un sexe, si, si, je l’ai vu ! Et tu ne saurais pas ? Attends, je vais t’aider à ne pas mourir idiote :



Là, je venais de marquer un point. Elle resta interdite face à cette logique aussi lourde qu’hypocrite. Elle m’avoua que l’idée d’un amant ne l’avait jamais effleurée. (Et pourtant il y a la pub : Il n’y a que mâle qui m’aille). Elle était toujours restée murée dans son statut d’épouse fidèle.


Lorsque la tension devenait trop forte, m’avoua-t-elle, elle se masturbait ce dont elle avait presque honte. D’une part en être réduite à cela, et d’autre part parce que, depuis gamine, on lui avait toujours ressassé que c’était « sale ». Ah, le bonheur d’une éducation chrétienne ! Dans la joie du Seigneur, vibre, ô ma sœur.


Elle s’accorda une pause pour prendre une gorgée de café. Puis contre-attaqua :



Court silence. Un ange passa, poursuivi par une horde de démons…



Nous éclatâmes de rire et cela détendit l’atmosphère. Elle réfléchit un long moment en silence, puis me fixa dans les yeux pour m’annoncer gravement :



Elle me l’envoya en pleine tronche :



La réponse de la bergère au berger. Son choix me prenait totalement au dépourvu, car je n’aurais jamais imaginé un seul instant que je puisse être concerné. J’en étais resté à mon statut de naguère. Un coach ne peut pas être un sextoy, chacun le sait. Vous n’en trouverez aucun de cette sorte même sur le net.



Elle marqua une courte pause, l’œil brillant.



C’était, c’était… ouuuuh… j’en tremble encore. Mais sais-tu ce qui a accéléré mon orgasme, et c’est ce pourquoi je te le raconte : je n’ai pensé qu’à ta queue pendant tout le temps que je me faisais bouffer la chatte. Comme si la langue de cette adorable salope était devenue ta queue. Ce fut mon premier vrai orgasme. Gigantesque. Et il y en a eu d’autres, toujours avec la même fille, et toujours avec l’image de ta queue. Alors tu peux mesurer combien j’étais malheureuse quand tu as quitté le club. Par révolte contre le sort, je me suis bêtement précipitée sur le premier venu, mon patron de l’époque, mon mari actuel. Mais pourquoi, pourquoi m’as-tu abandonnée, imbécile ?



À mon tour de baisser la tête.



Je la laissais mariner dans son jus une bonne dizaine de secondes.



Fou rire. Son regard était lumineux et son esprit déjà ailleurs… Elle reprit :



Je m’échauffai à l’échauffer :





**********




L’heure tournait, il était temps de se séparer. Échange de 06 et dernières recommandations :



Je la raccompagnai jusqu’à sa voiture. Pas de bise, surtout pas en espace public. En fait, j’avais autre chose en tête, de beaucoup plus osé, de beaucoup plus traître. Je n’avais plus de raison de me gêner. Elle était déjà assise au volant lorsque, de l’extérieur de la voiture, je m’autorisai un geste qui la surprit : je lui plaquai sans crier gare la paume de ma main sur son entrejambe et le malaxai. Elle sursauta, mais n’afficha aucune révolte. Au contraire, elle écarta ses cuisses et poussa ses fesses vers le rebord du siège… Puis elle posa sa main sur le dos de la mienne, en rejetant la tête en arrière. Du cinéma muet, certes, mais quel film ! Elle augmenta soudain la pression sur ma main. Sa respiration s’accéléra, devint sifflante, s’emballa. La mèche devait être courte, car le baril de poudre explosa sans attendre. Son corps s’arc-bouta, Marie émit comme un sanglot puis s’abandonna contre le dossier du siège. Un murmure presque inaudible s’échappa ensuite de ses lèvres :



Pensif, je la regardais s’éloigner avant de rejoindre mon véhicule. Une pensée me vint, qui m’amusa : un orgasme sur le parking d’un supermarché ? De mémoire de caddies, on n’avait jamais vu ça.


Arrivé chez moi, je m’offris une boisson forte pour accompagner mes méditations. Aujourd’hui, en un instant, une digue s’était rompue, lâchant un flot furieux qui emportait tout. Ce que j’ai fait au Bon Dieu pour mériter ça ? Je l’ignore, mais je sais ce que je vais faire à Marie. Et elle, elle aura largement ce qu’elle mérite : le meilleur.




************




Tout fut combiné par SMS, sans traîner. Et le grand jour arriva. Moi, dans mes petits souliers, elle dans les siens. Nous étions convenus de nous rencontrer chez moi. Risqué ? Aucun danger, j’habitais à l’écart, dans un vieux moulin retapé, à un bon kilomètre de la première maison. Je la vis arriver de la fenêtre de ma cuisine. Elle s’arrêta, vérifia autour d’elle, puis trottina vers ma porte d’entrée. Elle n’eut pas à sonner, j’étais déjà sur le seuil.



Elle se précipita contre moi, pieuvre affamée de câlins. Je la repoussai gentiment :



Je retournai à la porte d’entrée, l’ouvris et la provoquai :



Bien sûr, elle ne chicha pas. De toute façon, je ne l’aurais plus laissée repartir, pas avant de m’être plongé dans sa géographie des Bermudes. Je lisais du désappointement sur son visage. À moi de reprendre les choses en main :



Je la menai jusqu’à ma chambre et j’attaquai. Nous étions debout l’un contre l’autre. Notre premier baiser sur la bouche, enfin ! Embrasser enfin cette fille qui m’avait tant marqué ! Un délice de langues et salives mélangées. Nous nous mangeâmes les lèvres voluptueusement, sans hâte. Je la laissai reprendre haleine.



Elle se coula dans le rôle d’une petite fille impatiente et capricieuse :



Je la fis se pencher en avant et tirai sur son haut de jogging pour le lui enlever par-dessus bras et tête. Dans la foulée, je lui dégrafai son soutien-gorge. Rien que pour ses seuls seins, ça valait déjà l’effort.

Elle frissonna lorsque je les empaumai puis roulai les tétons entre mes doigts. Ils durcirent immédiatement. J’insistai en pinçant plus fort et elle marqua le coup par un petit gémissement. Mes mains se promenèrent sur l’épiderme soyeux. Caresses amoureuses dans le dos, sur le ventre, des aisselles aux hanches, à nouveau sur les tétons et le globe des seins. Marie commençait à se tortiller, des frémissements la parcouraient sans qu’elle puisse les contrôler. Elle se mit à trépigner légèrement. C’était le moment de marquer à nouveau le coup. Je lui empoignai brusquement l’entrejambe et le triturai sans ménagement, voire brutalement à travers le tissu. Ses genoux plièrent, elle s’accrocha à moi, pantelante.



Et le voici, mon Graal ! Alléluia ! Le moment fabuleux où je vais retirer sa culotte à Marie et poser mes yeux sur son trésor offert… Dans l’adultère, c’est peut-être ça, oui à coup sûr, c’est ça le plus beau moment : celui du premier regard.


Je me mis à genoux devant elle et tirai d’abord le pantalon vers les chevilles, sans hâte, en caressant ses jambes fuselées de joggeuse. Frémissante, Marie avait posé ses mains sur ma tête, les miennes remontant délicatement vers son entrejambe caché par le triangle de coton blanc, béni sois-tu, Petit Bateau. Je caressai son sexe bombé à travers le tissu, puis passai mes index sous l’élastique du vêtement de part et d’autre des hanches. Nooon… pas si vite ! Petit à petit, la toison apparut. Je marquai une courte pause pour lisser le poil fin et soyeux et repris ma descente vers l’enfer. Marie était tremblante et… trempée. L’humidité sourdait de ses grandes lèvres, qui dissimulaient bien ses nymphes, sa fente brillait.

Ce spectacle qui me transportait vers des summums de jubilation. Je n’y tins plus, finies les fioritures. Comme le dernier des soudards, je lui arrachai le slip d’un geste brusque. Sa chatte orgueilleuse se révéla dans toute sa splendeur. Papa, Papa où t’es ? Il est là, le pa, le pa… le paradis.


Tu es venue… j’ai vu… j’ai… Je me relevai, serrai Marie contre moi, sa tête sur mon épaule, ma main droite agile entre nos deux pubis, la gauche dans son dos. Elle resta collée contre moi lorsque je la repoussai contre le grand lit de la chambre. Bloquée par le rebord, elle tomba sur le dos en m’entraînant dans sa chute.



Elle se releva sans se faire prier. J’avais aussi mis un pantalon de jogging, pour faciliter la dévêture. Assise sur le bord du lit, elle fit le descendre puis s’attaqua au sous-vêtement avec fébrilité et empressement. Enlevé !

Elle demeura pétrifiée, interdite, au bord de la panique. La panique ou l’admiration ? Ou la… convoitise ?



Elle ne répondit pas et se pencha vers la bête. En fait, il n’y avait pas de problème de longueur. C’était plutôt un problème de diamètre. J’avais un pénis anormalement épais, une anomalie naturelle que le Pr XY du CHU voisin avait longuement étudiée sans parvenir à un diagnostic avéré. Il avait poussé la conscience professionnelle jusqu’à me mettre une infirmière cobaye sous l’Adam. Celle-ci avait hurlé, mais pas de douleur. J’eus d’ailleurs toutes les peines à m’en décramponner par la suite. Le Professeur en avait conclu que si je pouvais mener à bien un rapport avec une infirmière de son service modèle, il n’y avait pas lieu de se tracasser, j’étais apte à une vie sexuelle normale. J’ajoute que si mon ex-épouse tenait à fêter rituellement l’anniversaire de notre divorce, c’était selon ses dires parce que « une fois par an, je veux être remplie par une vraie bite, pas une pauvre petite merguez ».


Marie était donc « penchée sur la bête ». Elle hésitait, elle hésita puis s’enhardit : un petit baiser du bout des lèvres, un second, un troisième, puis elle ouvrit la bouche et tenta d’enfourner le pieu. En vain. C’était trop gros. Elle releva son visage, le dépit dans les yeux.



Et elle se réfugia de toutes ses forces contre moi tandis que je me couchai sur elle :



Je la caressais, je la choyais, je lui disais des mots tendres pour accompagner la délicate progression de mon mandrin dans sa fente puis dans son vagin. Attentive et docile, elle gardait les yeux ouverts, abandonnée au bon vouloir de son seigneur et maître.



Les choses allèrent au mieux, je parvins sans trop de peine à investir à fond ma douce amie. Vu sa taille, ce n’était pas insurmontable. Elle prit le rythme lorsque, poussé par le désir irrépressible je me mis à accélérer. J’avais attendu ce moment depuis trop longtemps. Je me transformais en bête. Elle ressentit des sensations nouvelles, ses mains agrippèrent mes hanches. Elle essayait de surnager, mais semblait surtout ravie de se noyer.



Alors je la matraquais sans ménagement, à grands coups de boutoir. Sa respiration se fit sifflante, elle s’agita, secoua la tête de tous côtés, puis se mit à balbutier des mots obscènes sans discontinuer qui transformèrent mon dard en dare-dare ardent. Ma semence jaillit. Son orgasme faillit me désarçonner. Je restais couché sur elle jusqu’à ce qu’elle se calme. Elle émergea petit à petit.


Elle commenta d’un seul mot, un cri du cœur, un cri de bonheur : Salaud !


Je ne raconterai pas la minette d’anthologie qui nous occupa ensuite ni la seconde giclée de sperme qui vint conclure une levrette brutale et impitoyable.




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La suite du film ?


Nous avons poursuivi nos rencontres régulièrement, avec toujours la même ardeur.


Passons aux choses plus sérieuses. Je pouvais retourner le problème comme je voulais, je constatais que je n’arrivais plus me passer de Marie. J’envisageais de trouver une nouvelle activité professionnelle à proximité qui ne me contraindrait plus à voyager. Et m’éloigner. J’en ai déjà une en vue. Financièrement, je n’y perdrais pas grand-chose., tandis qu’en qualité de vie… Marie, je l’avais trop dans la peau.


Puis les évènements prirent brusquement un tour inattendu.

SMS de Marie :


Suis enceinte. Tu es le papa.


Hein ? Le coup de bambou. Comme ça, de but en blanc ? Comment devais-je réagir ? Accablé ou fou de joie ? Pourtant, elle est stérile, non ? Du moins le croyait-elle ?


Mais la journée n’était pas terminée, je n’étais pas au bout de mes surprises. Vers le soir, un coup de sonnette à ma porte :



Elle s’arrêta, sa bouche de mit à trembler nerveusement puis elle éclata en sanglots. Elle n’avait pas besoin de m’expliquer, j’avais compris les raisons de son désarroi. Une pression énorme avait dû s’abattre sur ses épaules tandis qu’elle roulait jusque chez moi. Et si le coach… et s’il ne voulait pas d’elle ? Son sort était suspendu à mes lèvres.

Je l’attirai contre moi, tout contre. La tête sur mon épaule, elle continua de sangloter.



Et j’ajoutai :



Les sanglots redoublèrent d’intensité, portés par une gigantesque vague de soulagement. Elle hoqueta :