n° 18280 | Fiche technique | 10162 caractères | 10162Temps de lecture estimé : 7 mn | 28/02/18 |
Résumé: Première sortie travesti dans le métro. | ||||
Critères: hh jeunes train exhib lingerie hféminisé -travesti | ||||
Auteur : Iblis Envoi mini-message |
Ses dix-huit ans étaient passés depuis peu et il venait d’aménager au troisième étage d’un immeuble donnant sur l’arrière du parc des expositions, porte de Versailles à Issy-les-Moulineaux. Il continuait ses études sur Paris et ce studio, propriété de la famille, lui permettait enfin de jouir d’une liberté d’action qu’il avait en province, mais dont il n’avait pas vraiment profité, faute d’un anonymat lui permettant de satisfaire ses envies sans que celles-ci soient étalées sur la place publique.
Il avait voulu s’installer début août pour profiter d’un mois d’adaptation avant la reprise des cours. Il était seul depuis la fin de matinée, ses parents étant repartis après l’avoir aidé dans ses premières démarches. Il décida de visiter Paris.
Mais pour cette première, il voulait réaliser son fantasme et sortir en public travesti en fille. Il avait cette envie de se travestir depuis longtemps, mais malgré quelques essais dans le secret de sa chambre, il ne n’avait jamais franchi le pas de le faire en public sauf une fois lors d’une fête où il avait été décidé que les garçons seraient en filles et les filles en garçons. Cette première expérience et le plaisir qu’il en avait retiré l’avaient confirmé dans son envie.
Il s’était inscrit l’année dernière dans un club cycliste dans le seul but de se faire épiler sans que cela soit jugé bizarre. Il avait une silhouette fine, de longues jambes et de superbes fesses, on lui disait souvent qu’il était callipyge. Il avait réussi à acquérir une perruque châtain aux cheveux courts qui arrivent dans son cou. Il avait aussi quelques vêtements féminins acquis de-ci de-là. Il choisit pour cette première un string blanc en dentelle avec un devant qui recouvrait bien son sexe, des bas autofixants fins de couleur chair, une courte jupe beige plissée, un dos-nu sans décolleté et une veste féminine. Il termina sa tenue avec des sandales à talon. Il ne voulait pas trop attirer l’œil. Il se maquilla légèrement, se mit du rouge sur les ongles de pieds et de mains, il avait appris avec sa sœur qui sans le savoir lui avait aussi servi de prête-nom pour ses achats vestimentaires.
Tous ces préparatifs avaient pris une bonne partie de l’après-midi et il était déjà 6 heures quand il fut prêt.
Il s’admirait dans la grande glace de sa chambre, il se plaisait, il ressemblait vraiment à une fille. Il restait maintenant à faire le grand pas, le reste du monde allait-il avoir la même vison que lui ? Il ouvrit la porte de son appartement, sortit dans le couloir, personne, il referma la porte et mit les clefs dans son petit sac à main qui complétait son déguisement. On était samedi soir, il se disait que si quelqu’un l’interrogeait sur sa tenue, il prétexterait une soirée déguisée. Bien qu’il ait vu la limite de cette excuse, elle lui permettait d’avoir le courage de continuer. Il descendit l’escalier, personne.
Il était maintenant dans le hall de son immeuble. Quelques personnes passaient sur le trottoir, l’immeuble était dans une rue calme derrière le parc des expos. Il prit son souffle, ouvrit la porte et se retrouva sur le trottoir. Un couple, la cinquantaine, descendait la rue sur son trottoir, il fit semblant de chercher quelque chose dans son sac et resta immobile, le couple passa devant lui et il ne remarqua rien d’étrange dans leur attitude. Il se mit à marcher derrière eux. Un homme d’un certain âge remontait la rue, il le croisa. Il fit sembla de rentrer dans un hall d’immeuble pour pouvoir voir s’il se retournait, mais l’homme continuait sa route. Il arriva au croisement de sa rue avec l’avenue qui remontait vers la porte de Versailles. Il y avait plus de monde dans celle-ci, car il y avait un salon en ce moment. Il s’engagea résolument dans l’avenue. Il ne remarqua aucune attitude particulière ou remarque lancée à son encontre. Il prit confiance. Il se dirigea vers l’entrée du métro, il y avait foule, car c’était la sortie d’un salon. Rien dans la façon d’être des personnes ne lui semblait anormal à son égard. Il descendit dans la station, prit des tickets et se retrouva sur le quai.
Il y avait du monde et chacun semblait pressé de rentrer. Un métro arriva, la masse prit d’assaut les wagons, il se retrouva coincé contre la porte du fond entouré de trois femmes africaines en boubous. Le train démarra. Elles parlaient fort et l’écrasaient contre la porte, il se mit donc perpendiculaire à la porte et se faisant il heurta avec son dos et ses fesses un homme qui était debout contre les strapontins. Il se ré-avança un peu. Le train freina et les femmes le comprimèrent de nouveau contre l’homme sans qu’il puisse s’écarter. La situation était gênante. Il sentait son ventre dans son dos. Il se trémoussa involontairement, les talons ne l’aidaient pas à garder un équilibre stable, pour trouver une position plus confortable, mais cela ne fit qu’empirer le contact. Tout à coup, il sentit une main frôler sa fesse droite, il ne savait que faire, il me voulait pas créer un esclandre. Un instant passa et la main se plaqua carrément sur sa fesse. Que faire, avec le peu d’espace, c’était peut-être son imagination qui lui jouait des tours. Cette idée disparut quand il sentit la main caresser sa fesse, puis les doigts se mirent à remonter le tissu léger de sa jupe. Quand il n’y eu plus de tissu à remonter, la main arrêta son travail, semblant prendre son souffle avant le pas ultime. Il était tétanisé, pour une première sortie il ne s’attendait pas à une telle aventure. Le métro s’arrêta à une station, il aurait pu sortir, mais il ne songea à cette solution qu’une fois le train reparti après avoir ingurgité plus de monde qu’il n’en avait vomi. À peine la rame se fut ébranlée que la main se glissa sous la jupe et rentra en contact avec la peau nue. Il frémit, c’était la première fois qu’un homme le touchait de cette façon. Il avait eu une copine et connaissait l’amour physique, mais cette liaison et quelques autres avec des filles ne l’avaient pas satisfait
complètement bien qu’il aimât les contacts féminins. Cela lui faisait dire en riant qu’il était lesbienne.
La main descendit vers sa cuisse et caressa la lisière entre le bas et sa peau puis elle remonta vers la naissance de ses fesses cherchant à s’immiscer entre ses cuisses. Il serra d’instinct les fesses. Alors sûrement déçue la main lui malaxa les fesses, remontant haut pour trouver le peu de dentelle de l’arrière du string, un doigt passa sous l’élastique et entraîna la main sur sa hanche droite. Une nouvelle station, que faire ? Partir ? Rester ?
La main s’agrippa à sa hanche comme pour l’empêcher de bouger, quelques personnes montèrent, nul ne sortit, chacun fut encore plus comprimé. Seul Montparnasse sur cette ligne voyait les wagons se vider et il y avait encore cinq/six stations. Il fut de nouveau poussé vers l’homme par les trois femmes qui ne faisaient que répliquer le mouvement de la masse.
Avec sa jupe légèrement relevée par la main sur sa hanche, il sentit le tissu du pantalon contre le bas de ses fesses et son dos était plaqué contre le ventre et le torse de l’homme. La main descendit à nouveau sur ses fesses et aidée de la gauche, elles soulevèrent la jupe qui se retrouva coincée entre son dos et le ventre de l’homme. Il avait les fesses à l’air. Chacun était tellement compressé que cela ne pouvait se voir, c’est du moins ce qu’il espérait. Il sentit une excroissance dure se plaquer dans le sillon de ses fesses. L’homme était en érection et malgré l’épaisseur du jean, il sentait la bosse qui se frottait contre son cul.
Les deux mains plaquées contre son cul tentaient de l’écarter afin que le contact soit plus grand. Un mouvement brusque du train l’obligea à écarter les pieds et le déséquilibra un peu malgré la compression des corps. La main droite profita de ce mouvement pour venir se mettre entre ses fesses et le pantalon et s’agita tandis que la gauche lui agrippait la hanche sous la jupe, il crut entendre le bruit d’un zip que l’on descend, mais avec les trois femmes qui continuaient à jacasser, il imagina plus le bruit qu’il ne l’entendit et ce fut surtout le contact chaud et visqueux d’un bout de chair contre sa raie qui lui fit comprendre que l’homme avait sorti son sexe ou du moins le bout de son vit de son pantalon et qu’il le frottait maintenant dans son sillon. La main essayait d’introduire le gland lubrifié de liquide séminal entre ses fesses. Il sentait le souffle court de l’homme dans son cou.
Une nouvelle station, les deux mains le maintenaient fermement par les hanches tandis que le gland visqueux avait réussi à s’introduire quelque peu entre ses fesses et butait contre la ficelle de son string. Protection ultime avant son anus. Il faut dire que le pied droit de l’homme s’était mis entre ses propres pieds et avait poussé son pied droit vers la porte l’obligeant ainsi à écarter légèrement ses jambes. L’homme faisait de petits mouvements de va-et-vient, se branlant entre ses fesses. La main droite se permit même une petite claque contre son cul. Il avait chaud et la situation était à la fois excitante et troublante bien que dangereuse. Il ne savait que faire à part se laisser faire. Un liquide chaud et gluant se répandit entre ses fesses. Les mains s’agitèrent, le train s’arrêta à une station, un homme dit « Pardon, pardon, pardon… » et descendit. Il se retrouva poussé dans l’angle du wagon, entouré des trois femmes, sa jupe ayant repris sa position, il sortit discrètement un mouchoir en papier de son sac à main et entreprit de s’essuyer. Pour une première sortie travestie, c’était une sortie surprenante et la ficelle mouillée de son string le lui rappelait.