| n° 18283 | Fiche technique | 48332 caractères | 48332Temps de lecture estimé : 28 mn | 02/03/18 corrigé 06/06/21 |
| Résumé: Bafouée par son mari, une jeune femme rencontre une amie qui l'aide à fomenter sa vengeance | ||||
| Critères: fh ff grp vengeance vidéox fellation cunnilingu fist pénétratio partouze -vengeance | ||||
| Auteur : Marika (Auteure, la soixantaine) Envoi mini-message | ||||
Mon amie Paty, la Belle
Je ne serais plus rien sans elle, sans Paty…
Mon mari m’a détruite…
Mariée depuis plus de dix ans, deux beaux enfants, je n’aurais jamais pensé le trouver dans une vidéo d’un site X amateur bien connu…
Il m’a fait ça, le cochon, avec un homme jeune et une jeune femme, sans doute mis en relation tous les trois grâce aux petites annonces de ce site…
Et cet idiot qui oublie son portable juste dans notre chambre… Ma curiosité fait le reste, lorsqu’un message vient me réveiller.
Dans ce genre de vidéo, pas de mise en scène complexe, on va direct au but : baiser, jouir, exciter les internautes…
Un plan à trois sans complexe, débridé, immonde lorsque c’est son mari que l’on voit te tromper en direct, jouir dans la chatte d’une femme excitée…
Deux hommes, chacun sa vie, elle accepte tout, devant derrière, juste quelques râles pour faire vrai, et des gémissements lorsque le plaisir monte et que l’on voit le sperme jaillir à grands jets, entre ses seins…
Et puis ça recommence, caressée par les deux hommes, ensemble, baisée par les deux trous, leurs sexes en gros plan, et la super caméra qui filme au ralenti, deux sexes enfichés, deux bites énormes, elle qui en jouit en se pinçant les seins…
Le sperme omniprésent, une chatte qui coule, un anus distendu, des visages heureux, d’avoir baisé autant…
Tout cela me dégoûte. Tout ce que je lui ai refusé, moi si prude au lit, il l’a eu avec une autre et le fait partager à tous
Voilà, minute par minute, seconde par seconde pour les actions rapides, je peux vous la décrire, cette vidéo immonde, rapporter leurs paroles, celles de trois adultes, en train d’être filmés dans un film porno, où le sexe est le roi, et les textes si pauvres, que d’onomatopées, que j’ai aucune peine à mémoriser…
Paty, tu es mon ange, j’étais désespérée, je pleurais en silence… Tu es venue me voir, m’a prise dans tes bras, puis dans ta voiture j’ai raconté tout ça…
Tu n’as rien dit. Silence de mort, tu connais mon mari, dans les fêtes de fin d’année…
Mes larmes ont séché, tu m’as dit :
Je n’étais pas tranquille en rentrant chez moi, avait-il réagi à cet oubli idiot, ou bien allait-il faire le lâche et ne pas m’affronter pas, attendant que je craque si je suis au courant ?
En fait, c’est bien cela, aucune vague, pas un mot pour au moins savoir si j’ai vu son portable, ce matin, en partant ou espère-t-il que sa femme change pour devenir la salope qu’il fantasme…
Paty, tu es la meilleure, je vais suivre tes conseils, on va construire un scénario, mais pas que, je veux le mettre au pied, le piétiner… Sandrine va s’en charger !
La revanche
Quelques jours plus tard, on se trouve au vestiaire…
Elle reste sans voix… Bouche bée, me regarde…
Elle me suit après m’être garée…
On le fait, on s’installe en terrasse, je remonte mon soutif, je sors bien ma poitrine, lève une cuisse, prend un large sourire, l’hameçon est lancé…
Le garçon arrive, on commande deux cafés, un verre d’eau, un croissant chaud…
Elle rentre son visage, presque elle pleurerait !
Un jeune homme s’approche, s’assied à la table voisine…
Je pars avec ma conquête, arrivée au magasin, il m’ouvre la porte, un stand de plage, des trucs à vomir…
Je fais le tour des allées, trouve une robe pas trop moche, il me conduit à la cabine…
Je passe le vêtement, il me va, évidemment, car c’est ma taille, et même au-dessous…
J’oublie la fermeture et l’invite à venir dans ce petit recoin avec la glace en pied…
Il monte le zip, sa bouche à deux centimètres de la mienne… Je me tourne, il prend un sein dans l’œil !
Il tend sa main, l’approche de ma poitrine, je le regarde dans les yeux, elle se pose lentement, fait le tour de la chose… Nos lèvres se rencontrent…
Je repasse ma robe, il détaille mon corps, je sors la première, il est sur mes talons…
Il reste les yeux ronds, la bouche ouverte, il la croyait derrière, elle s’est foutue de lui… On se retrouve dans sa voiture, elle rit aux éclats…
Sandrine me sourit…
Le défi
Tout a été pensé, ses enfants sont gardés les jours sans école, on a trouvé une salle avec un coach de vie, une femme, qui va lui faire faire un régime, sans trop de contraintes.
Elle peut perdre deux kilos par semaine, affiner ses fessiers, retendre son ventre…
De mon côté, mon amie a été très compréhensive lorsque je lui ai tout expliqué.
Elle a téléphoné à une amie esthéticienne pour lui raffermir ses traits, enlever quelques rides, la traiter sans douleur, rien que du naturel, mais des bains de vapeur, le froid, des massages et se donner à fond pour regagner ses galons de femme désirable.
La première semaine, c’était bof, aucun résultat probant.
La seconde semaine, sa robe flottait, la troisième elle n’avait plus faim à longueur de journée, elle se sentait reine dans son corps retrouvé, elle a refait sa garde-robe, enfin !
C’était gagné, huit kilos en moins, un ventre qui revenait en place, des abdos raffermis, des cuisses plus dans la norme, des fesses de jeune fille.
Encore une semaine, on va chercher des spots, vidéos entre adultes, trios, on écrit une annonce,
« j.f. aimerait tourner une vidéo, la mettre en ligne, cherche deux acteurs, une actrice, amateurs comme moi »
Deux jours plus tard, avec photos mises en ligne de la nouvelle Sandrine, 12 réponses, 7 mecs, 2 filles…
On est dans les clous…
Ah, oui, un détail… Comment cacher ces changements à son mari ?
Elle a gardé ses habits, porte un corset, a mis une perruque, mais sans la coiffer, cheveux en bataille, sales et mal peignés.
Pour se promener dans l’appartement, les mêmes combinaisons de grand-mère, des culottes assorties en coton, bien bouffantes, et l’ancienne Sandrine reparaît chaque soir, devant un mari absent, qui s’adonne à la bière, ne s’occupant même plus des enfants, des devoirs, de les mener à l’école, vivement le dénouement…
Elle commence à lui dire que ça ne peut plus durer…
Il la traite de boudin, de remède à l’amour, et qu’il va s’en aller avec ses enfants, mais cette fois Sandrine n’en a plus cure, la vengeance est en route et il va vite regretter ses propos blessants.
Elle arrive au bureau, hors d’elle, il l’a menacée, il faut faire le film, trier les messages, un portable haut de gamme ou une caméra de sport, un bon caméscope, peu importe, mais il faut un expert pour manier la caméra, pas question de montage et de trucs compliqués, on va chercher tout ça…
La caméra on l’a, par un copain motard, il adore filmer, d’abord en moto, puis enregistrer et monter lui-même ses souvenirs de voyage.
Il m’explique les fonctions en filmant sous ma robe, je lui fiche une gifle qu’il pare sans problème. Quand il me passe le film sur le ‘tit écran, je fonds, tant la définition est surprenante, et même sans lumière, ma culotte est super sexy, on y voit même quelques poils qui sont réapparus, je prends rendez-vous avec mon amie… la coiffeuse lesbienne…
Voilà, je suis prête à jouer, car ça m’a émoustillée ce deal « vidérotique »…
J’ai envie de le faire, l’ambiance va être chaude, j’ai demandé à quelqu’un de préparer un script, histoire de rendre vrai cet instant de tournage, et que le spectateur en ait pour son compte…
Sandrine m’a scotchée, elle a pris une semaine de vacances et elle a demandé à sa mère de garder les enfants.
Elle a dit à son homme de ne pas s’inquiéter et que pour les vacances scolaires, elle ira chez sa mère, se reposer avec les enfants.
Sandrine peut s’occuper de son aspect physique, la cerise du gâteau, lorsque je la revois, je tombe des nues, elle a perdu dix ans, au moins quinze kilos, elle est plus (ou du moins) aussi belle que moi, la Sandrine d’avant son mariage.
Nous sommes mercredi, deux jours avant le spot.
J’ai arrêté mon choix à ces deux personnes :
Une jeune femme de 28 ans, Anna, ce sera son second film. Le premier, elle m’a envoyé quelques photos assez coquines, n’avait pas soulevé un tollé, de la baise basique, sans originalité, mais agréable à voir pour ceux qui aiment.
Un homme, Didou, 32 ans, bien de sa personne, trois films réalisés. Viril et très endurant, d’après ce qu’il m’a confié au téléphone, il a retenu toute mon attention et grâce à ses photos, je suis de plus en plus décidée à me mêler au jeu… Son nombre d’amies dans son profil prêche en sa faveur…
Le fait qu’il soit guadeloupéen de souche ajoute un plus certain, je ne sais plus pourquoi !
Mon cameraman, Didier, sera prêt vendredi, il a pensé aux éclairages et au surtout au son…
Je sens son impatience à réaliser ce film, il m’a demandé sans trop insister, si moi aussi, j’allais être de la partie, va savoir…
J’ai rendez-vous jeudi soir avec Sandrine, nous partirons ensemble emmener ses enfants chez sa maman, une trentaine de kilomètres…
Ultime préparation
Jeudi est bien rempli, Sandrine a une journée chargée, elle a tout reporté, ses derniers soins esthétiques, dernière touche pour son nouveau visage, maquillage de star, et sa coach l’a accompagnée pour son choix de lingerie.
J’ai de mon côté demandé aux acteurs de prévoir plusieurs tenues, robes, shorts, maillots, etc.
Au bureau tout va bien, mes absences répétées n’ont pas désorganisé mon équipe.
Je vole vers un week-end passionnant, un des plus intenses qui m’ait été offert, enfin je l’espère.
Sandrine me dit qu’elle est prête, elle vient me chercher… Il est 17 heures, les enfants sont contents d’aller chez leur grand-mère, il y a des animaux, des poules, des lapins, une mare aux canards, des prés à perte de vue, une vraie carte postale de la campagne.
Quand elle arrive en bas de chez moi, je rate une marche, je me rattrape in extremis, j’ai du mal à tout voir, mais je suis sur le cul.
Le changement est prenant, enivrant, je me rends compte qu’il y avait du travail, j’en pleure de joie, transformée à ce point, c’est un conte de fée, encore mieux qu’une émission de télé-réalité !
Je lui demande si je peux l’embrasser, pas de problème c’était juste un essai, le vrai sera demain, en fin d’après-midi, elle veut être une star, elle sera LA star.
Les enfants m’assaillent, ils ne me connaissent pas, le trajet est plaisant, surtout dans la campagne.
Elle me raconte à mots couverts, ses efforts, ses contraintes, sa lutte contre le poids, elle a obéi, à la lettre, allant même au-delà, elle ressentait chaque soir ses progrès constants, elle dormait sans calmant…
Il ne voyait rien, ne regardait même pas, jusqu’à dormir sur le sofa…
Plus un mot depuis une semaine, il sait qu’elle va passer les vacances avec les enfants, chez les parents, le papy ne plaisante pas, un ancien militaire…
La maman est ravie, elle nous installe, oui, dans la même chambre, nous sommes entre amies…
Les enfants sont excités, s’amusent avec le grand-père, vélos regonflés, la petite a des petites roues de côté, elle s’en souvient et roule comme une grande…
Soupe et rôti maison, les enfants dévorent, puis tombent de sommeil, on les mène se coucher, leur chambre près de Mamie…
Le papy nous regarde…
Nous embrassons les petits, on se retire dans la chambre.
Sandrine a une question…
Elle me regarde, me sourit, mais une larme glisse.
Je la regarde dans la pénombre de la chambre, je l’aide à se déshabiller… Je découvre en détail, le travail accompli, ses formes agréables, ses seins de jeune maman, pleins mais surtout de charme, des seins faits pour l’amour, et ses cuisses divines, sa peau devenue lisse, son visage affiné, ses yeux mis en valeur, je sens le changement faire son effet sur moi, je fais le premier pas pour la mettre en confiance.
Aux premières caresses, elle devient chatte, se libère peu à peu, m’avoue ses sentiments.
Elle se donne alors, s’ouvre comme une fleur. Mon esprit s’embrouille, je ne sais que penser, Sandrine devient liane, s’offrant en silence, gémissant de ma langue, nos corps enchevêtrés.
Debout, puis sur le tapis, dans le lit, en travers, on se mange la chatte, on échange nos plaisirs, je lui fais ce que j’aime, elle fait ce qu’elle aurait aimé… Nous gémissons ensemble, feulant nos orgasmes, arrivant à l’extase, chacune à notre tour…
L’amour avec Sandrine, c’est facile et très dur… Chacune à ses pensées, son retard, ses envies, je la mets à niveau, lui rappelle les bases. L’amour au féminin, il doit être très doux, un échange tabou, mais ô combien libéré. Je la sens hésitante, elle ne l’a jamais fait, j’explore ses fesses, les écarte, mon doigt dans son anus la fait presque crier.
Elle ressent dans ses entrailles, l’amour au féminin, l’amour tendresse, l’amour donnant, et nos lèvres se soudent pour des baisers déments, son pubis de velours me fait défaillir de plaisir…
Sa chatte devient si tendre, plusieurs doigts s’y glissent, elle se laisse fister, en délirant son plaisir.
On a fait le premier, en pleine nature, sur la plage, de nuit, j’ai joui si longtemps, que je n’avais plus de voix, j’étais tuméfiée, il ne me reconnaissait pas… Je lui avais fait l’amour, chevauchant comme une reine, le prenant dans ma bouche à le mener au bord… Ça n’a duré qu’un temps, on a repris notre vie, le bébé est arrivé, on s’est détachés.
On a fait la seconde, en Corse, dans le maquis, sur une couverture, nus, pleins d’espoirs déçus… J’en garde un bon souvenir de cette nuit d’amour, il me l’a reprochée, je ne l’avais pas sucé. Pourtant il m’avait prise, caressée, j’étais très excitée… À la fin, quand j’ai senti qu’il arrivait au bout, il m’a dit des « je t’aime » en embrassant mes seins…. J’ai senti sa semence, et me suis mise à pleurer. Lorsque nous sommes rentrés, et que je lui ai dit que j’étais enceinte, il m’a regardée et a dit « tu le gardes ? », j’ai su que quelque chose s’était brisé dans cette forêt de pins.
Le casting
Date du tournage : Ven. 22 à 21h
Lieu : Le salon de Rose
Durée du tournage : 2 heures de tournage
Acteurs : Sandrine dans le rôle Rose, Anna dans celui de Blanche et Didou dans son propre rôle
Décor : studio de Paty, réorganisé par l’équipe technique (tout le monde)
Caméra : Didier
Le synopsis
Anna a invité Sandrine à dîner, elles sont amies, amantes à l’occasion, travaillent ensemble.
Didou, un africain, coursé par la Police tape à leur porte, affolé…
Ils se retrouvent tous les trois au salon, habillé n’est pas jouer.
Scènes au naturel, prise de son efficace, tableaux sans truquage, durée 1 h.
Le tournage
1. Rose et Blanche, repas
2. Rose et Blanche se caressent sur le canapé
3. On sonne… Rose passe un peignoir et va ouvrir…
4. Didou vend des articles à la sauvette, il vient d’entrer dans le couloir pour échapper aux flics… Rose le fait entrer, il est tout affolé.
5. Rose prépare un café dans la cuisine, elle l’invite à le suivre au salon, pose le tout sur la petite table basse… et présente Blanche, en peignoir blanc très court…
6. Didou entrevoit les seins de Rose lorsqu’elle sert le café…
Les cuisses de Rose se découvrent lorsqu’elle se rassied à côté de son amie. Didou est ébloui par les cuisses divines de Blanche assise face à lui…
Il ne peut que réagir honteusement… Une bosse apparaît…
Les filles débarrassent la table, elles échangent des idées…
7. Didou trouve une culotte entre les coussins là où il est assis… Il les a interrompues… Il leur montre l’objet… Rose avoue, toute rouge…
Blanche cherche à se justifier, contester, le faire taire, elle se rue sur lui…
8. Le peignoir s’ouvre d’un coup, tombe à terre, elle met les mains devant ses seins.
9. Didou cherche à l’aider, perd l’équilibre, ils roulent ensemble auprès de Rose qui pleure de rire…
Elles ne voient que la bosse, Blanche veut se venger d’être nue devant lui, libère le pantalon, puis le slip et prend l’objet si énorme dans ses mains les yeux toujours rivés sur le membre, qu’elle en tremble de désir…
Rose vient l’aider, câline et soupire, une main s’est glissée…
Blanche lui cède la place et les lèvres charnues glissent sur l’engin, mais la taille est si grande, qu’elle ne peut que lécher, alors elles se partagent la tâche, savourant les caresses multiples de notre black ami, sur leur poitrine d’abord, puis entre leurs cuisses où c’est torrents qui s’écoulent lentement…
Le trio se délecte, mutuellement, Didou est allongé, chacune prend son pied en le chevauchant… Rose a découvert ce qu’était un beau mâle, Blanche se fait jouir, se souvenant de ses derniers orgasmes sur un membre aussi gros.
Rose chevauche Didou, les cuisses écartelées, elle s’en prend plein le vagin, appuie un peu plus fort, le sens contre l’utérus… Elle ne connaissait pas cette sensation divine d’être perforée. Un premier orgasme, puis un second, elle sautille sur lui, la vulve dilatée, rougie, où les doigts de Blanche viennent la sublimer…
Quand Blanche la remplace, c’est un feu d’artifice, le jeu de l’expérience, la soif de recommencer, elle s’éclate la chatte sur le membre dressé.
Rose offre sa chatte à Didou assoiffé…
Elles jouissent ensemble dans un concert de râles, de gémissements et de plaintes félines…
Elles changent de posture, Rose veut l’inaugurer, se place en levrette, il la prend sans arrêt, la portant à l’orgasme, scandé par ses cordes vocales, rudement mises à l’épreuve.
Blanche reprend son souffle en regardant le couple, une main dans sa chatte, elle se fait du bien… Un appel au mâle.
Didou la voit offerte, calée sur l’accoudoir, les cuisses grandes ouvertes, il la prend sans attendre, la porte au nirvana…
C’est un combat de chattes, Blanche change de ton, indique qu’elle est prête, il change d’orifice, en prenant tout son temps, glisse langoureusement entre les fesses ouvertes, et tandis qu’elle jouit, sous un torrent de paroles et de gémissements, Rose s’approche d’elle et lui fiste la chatte, elle ressent dans ses doigts les mouvements divins du sexe qui la lutine.
Rose en jouit d’aise sous cette double pénétration, se laissant envahir par un brusque désir.
Voyant les fesses offertes, l’anus préparé par les mains expertes d’une Blanche, effondrée, Didou se positionne…
« Oh oui… Prends-moi par-là aussi, donne-moi du plaisir, baise-moi comme une chienne, explose ma rondelle… Je veux être prise, jouir jusqu’au matin, être épuisée de sexe, sevrée par vos ardeurs… »
Le membre imposant disparaît peu à peu, en dilatant les lèvres, pénétrant doucement dans les chairs intimes d’une Rose apeurée, qui pousse des gémissements en le sentant entrer.
Elle jouit maintenant, la peur oubliée et Didou se surpasse, calme, les mains sur les seins de la jeune femme, il la porte à l’extase, dans un concert de râles, il joue la mélodie du bonheur…
Rose est épuisée au bout de cet ébat, elle vient de faire l’amour pour la première fois depuis son accouchement. Deux ans et demi, déjà.
Nous arrêtons la caméra, pour changer de carte mémoire…
Une heure de prises de vue, de rushes divers sur le décor, de mises au point lumière…
Nous buvons un café, Didou s’offre une boisson adaptée, dédiée aux sportifs
Les actrices se détendent dans la salle de bains…
Sandrine tombe dans les bras d’Anna.
Tu as été superbe, ton corps épanoui, ton regard franc et pur, donnent un effet sensuel à nos scènes lesbiennes, mais elles étaient trop rares dans cette première heure.
Tout le monde est d’accord, nous regagnons nos places, Sandrine et Anna debout, devant le canapé…
Elles discutent gentiment, la caméra se tourne vers le tapis, Didou est allongé, et ronfle doucement…
Alors elles profitent de ce temps de repos, viennent sous la lumière, s’embrassent tendrement, leurs mains qui se faufilent, Rose ouvre ses cuisses, les peignoirs tombent, elle a envie de vivre ce moment intense, une femme avec une femme, comme la nuit dernière…
Blanche est une liane et excelle dans cet art. Ses doigts fins transportent notre Rose, dans un monde lesbien, un monde de douceur, chaque geste est précis, doux, terriblement sensuel…
Leurs râles emplissent la pièce, Rose n’oublie pas de lui rendre la monnaie…
Blanche en est surprise et se lâche d’autant, que Rose l’emporte dans un orgasme étourdissant.
Les deux femmes s’enlacent, s’embrassent, sexe contre sexe, donnant des plans divins, la caméra les suit, éclairant leurs corps, filmant tous les détails, leurs langues excitées, leurs sexes épilés, encore luisants des doigts qui les pénètrent…
Le son est transcendant, résonne dans la pièce, et vient halluciner les autres spectateurs…
Paty, depuis le début, guidait les acteurs par gestes, avec ses mains, hors du champ d’action, voyant immédiatement comment les replacer, écoutait le retour du son sortant du caméscope, signalait une erreur, et rallongeait la scène.
Elle était derrière tout le monde, comme un pantin, regardant son œuvre, Sandrine transformée…
Didier est impassible, toujours en mouvement, il ne rate rien, zoome au plus près, revient, se penche, s’allonge en douceur, reprend un plan d’ensemble…
Elle n’en revient pas, il est dans son monde… Ne se souciant de rien d’autre que la qualité des images.
Paty ne sent plus son ventre, elle n’ose pas bouger… Une heure de torture, à les voir excités, les entendre jouir, ce déluge de caresses, ces bouches avides, et leurs deux corps offerts, ce membre impressionnant qui ravage leurs sexes, et qui les prend sans cesse, les tordant de plaisir…
Puis cette relance, moment particulier, sa Sandrine incroyable, cet instant de plaisir, à la voir se donner…
Sa partenaire avec son expérience la met bien en valeur, elle l’avait redit à Anne, en commençant la scène, lui rappelant que Sandrine devait crever l’écran…
Les ébats se terminent, elles sont vannées, Didou applaudit, il vient de se lever, le pieu au garde-à-vous…
La caméra éteinte, les puces sauvegardées, Sandrine vient la trouver, les larmes aux yeux…
Ses lèvres sur les miennes, Didier filme la scène, une main sous ma jupe, l’autre sous mon chemisier…
Quand je tourne la tête, je vois Anne sur Didou, Sandrine sous sa copine, les cuisses écartées… Elle était là… Eh bien !… Elle a compris tout de suite et me laisse Didier…
Didier pose sa machine, je lui sors son machin, la suite de la nuit est une nuit sans fin…
Personne ne veut sortir, nous en sommes aux prémices…
Personne ne veut à boire, nous rassemblons nos forces, tous les cinq sur mon sofa.
Didier est incroyable, il n’osait pas me draguer…
Il m’a mise à l’envers, je suis toute retournée.
Didou est venu me partager, je me suis laissé prendre par mes deux compagnons, ensemble et en parfait accord… Ils ont joui ensemble, pour la première fois…
Tandis que Sandrine et Anne remettaient le couvert…
Puis Didier en acteur de réserve, a débriefé les deux, dans un concert d’artiste…
Oui, Didou n’a jamais été au bout, respectant le principe des acteurs X, j’avais interdit de répandre son jus, pensant que c’était mieux pour la qualité des vues…
Mais là, il se rattrape, je suis remplie de sperme, Didier m’a étonnée, bandant comme un cheval dès qu’il est sollicité. Il est mignon, adorable de gentillesse, serviable et compétent en imagerie.
Il a baisé Sandrine et Anne pendant au moins une heure, pendant que Didou me remodelait l’anus.
On a fini sur les genoux, jusque vers 6 heures, je n’étais pas fraîche pour faire le montage avec Didier.
Avant, Sandrine est repartie chez elle voir ses petits anges, nous avons voulu, Didier et moi, revisualiser l’ensemble, dans le petit écran…
C’était une erreur de ma part, on a fini par terre, à midi, son sexe dans le mien, inondés de sperme, tétanisés tous les deux, à bout de forces…
Nous avons dû attendre que tout ça se calme, reprenne son état de base. Alors on a pu se désaccoupler, prendre un bain de siège, pour se calmer enfin.
Didier a pris sa voiture, est retourné chez lui, avec le matériel, il bossé jusque tard dans la nuit, calme et heureux de toutes ses prestations.
Dimanche matin, en m’apportant les croissants, on a regardé le DVD ensemble sur l’ordinateur, le film était parfait, j’ai joui comme une dingue, en les revoyant, il m’a prise par-derrière, un peu avant la fin.
J’ai appelé Sandrine, elle était fatiguée.
Quand je lui ai expliqué, elle a sauté dans sa voiture, elle n’avait pas eu le temps d’avaler quoique ce que soit, elle était énervée, a voulu le voir sans attendre, son premier porno.
Entre Didier et moi, elle était comme une puce excitée, nous a caressés tous les deux pendant tout le film, soit quarante minutes.
Elle pleurait comme une madeleine, elle avait sa revanche, ce condensé de charme allait le scotcher ce mari indigne.
Magnifiquement salope, se délectant de sexe, se prenant sur Didou, dans une scène torride, elle s’offrit à lui, en position levrette, cliché si brûlant, que moi aussi, je n’ai pas résisté…
Je me mis à me délecter du membre de Didier, et m’en suis empalée, en jouissant sur lui, chevauchant sa bite, aidée par mon amie qui triturait mes seins… Puis le sentant exploser, remplir mon vagin, puis laissant la place, afin de nettoyer, et Sandrine qui s’en charge, le cul relevé…
J’avais amené un gode, en cas de problème, je l’ai fourrée avec, la portant au délire, explosant sa rondelle, pire que Didou, la main entière de Didier dans sa chatte explosée.
Elle a joui si fort de notre complicité, que les murs ont tremblé quand elle se vida, en jets longs et puissants.
Nous regardions la suite…
Des gros plans intenses, des râles pénétrants, ce sexe énorme qui les pistonnait en cadence, Anne qui l’assistait en masturbant sa chatte et caressant les bourses d’un Didou en folie.
La portant à l’extase, puis la prenant par derrière, Anne, une main dans son vagin, un orgasme divin, qui la cloua sur place, les cuisses écartelées, ses bras écartés, Anne dans sa chatte, la léchant sans compter.
On y voit, pour terminer le film, leurs ébats si tendres, accouplement lesbien, jouissances partagées, orgasmes incroyables, deux chattes en chaleur, se roulant des pelles, s’offrant de tous côtés, Didier multipliant les gros plans de leurs intimités martyrisées, ouvertes et abandonnées.
Notre cameraman a eu l’idée sympa, avant qu’on se sépare, de demander aux trois protagonistes, de s’habiller, en maillot, en jean et dans une tenue sexy.
Il a multiplié les clichés et fait un diaporama pendant le générique de fin.
Mise en ligne et final de l’histoire
Voilà, nous venons de regarder le film pour la seconde fois, Sandrine est au plus mal…. Elle a tant envie que tout cela se termine, qu’elle passe à autre chose, comme elle me l’a dit, elle a un moral de fer, depuis qu’elle se permet de se regarder nue dans la glace de sa salle de bains.
Nos deux acteurs sont revenus un soir juste pour leur accord final, on n’est pas à leur place et ils peuvent voir des trucs que l’on n’aura pas vu.
Tout s’est bien passé, la vidéo totale c’est 26 minutes, c’est du condensé, Didier a eu plein d’idée, et nous les a cachées avant qu’on ne les visionne…
Nous avons fini tous les cinq, après une pizza party, complètement à poil, dans une orgie générale… Sans film et sans chorégraphie.
Cela fait deux week-ends que Didier passe avec moi… Le film est sur le Net, on attend un retour.
Avant, juste une chose, un extrait de cinq minutes avait été copié sur la portable de Sandrine en cette dernière soirée… Elle l’a laissé une nuit sur son bureau, le clip en évidence.
Il a suffi de quelques photos du groupe, puis un message à son mari, anonyme du portable de Didier :
« Elles sont super ces filles avec leur premier prix… Chaudes comme la braise, on y a mis le temps, mais ça valait la peine de leur donner leur chance au concours des Actrix… »
Il y a eu d’abord, son portable au bureau complètement à plat.
Deux jours plus tard, le nombre de connexions au était de 1686…
Une semaine après, 2879, puis un mois 27456, record battu…
Elle reçut alors une lettre recommandée, d’un avocat du coin.
Demande de divorce, bla-bla…site
Son mari veut la garde…
On a répondu ensemble :
1. Si Monsieur mon mari, qui ne l’était plus dès mon accouchement, continue dans cette voie, c’est sa vidéo qui sera divulguée sur Facebook et dans tous les médias locaux, on le verra avec ses tristes prouesses, validées par notre enquête, auprès de ses maîtresses, actrices dans son clip…
2. Si Monsieur mon mari, ne fiche pas le camp de notre appartement, dans les huit jours, pour une autre vie, en laissant à son ex-femme, la totalité des avoirs du couple, les enfants, la voiture, c’est à ses employeurs actuels et futurs que l’on accrochera ce clip à son CV digital…
3. Le monsieur qui figure dans les photos du book, de cette œuvre pour adultes, vient d’aménager avec Mme Sandrine, et se tient prêt pour tout renseignement.
Retour de l’Avocat :
1. Madame, nous avons bien noté, erreur de notre part, l’invalidité de notre premier courrier.
2. Le monsieur en question n’aura pas à se déranger, l’appartement a été vidé des affaires de notre client sous notre vigilance.
3. Client indélicat, car la facture ne nous a pas été réglée… Mais nous nous y attendions et avions pris assez d’arrhes pour couvrir tous nos frais.
4. Nous vous souhaitons, madame et monsieur son nouveau compagnon, une nouvelle vie agréable, un bonheur mérité…
Une note était glissée :
« Auriez-vous, madame, au vu de notre diligence active pour régler cette affaire, l’amabilité de nous adresser, une copie du film, en toute discrétion, pour verser au dossier…
D’autre part, si d’autres productions identiques venaient à être en ligne, soyez gentille de nous en informer, j’adore votre plastique et aime l’humour noir.
Un lecteur anonyme de votre premier club de fans… »
FIN
Marika842010
Février 2018