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n° 18285Fiche technique48567 caractères48567
Temps de lecture estimé : 28 mn
06/03/18
corrigé 06/06/21
Résumé:  Ce soir, je suis invité à dîner chez un bon ami. Nous avons plein de choses à nous dire et nous reprendrons notre conversation interrompue il y quelques semaines.
Critères:  fh fhh cadeau inconnu hdomine voir exhib noculotte fellation fsodo sm init -fsoumisah
Auteur : Patrik  (Carpe diem diemque)            Envoi mini-message
Kt1

Si les étranges joies et jeux de la Domination/Soumission vous révulsent, évitez de lire ce texte.




Prologue



Ce soir, je suis invité à dîner chez un bon ami. Je connais Dominique depuis un bon bout de temps, le collège précisément. Quand son ex est partie planter ses choux ailleurs, je l’ai aidé à remonter la pente. Il est vrai qu’il en avait fait de même pour moi quelques années auparavant.


Pour ma part, depuis la traîtrise de Béatrice (mon ex-femme), je suis devenu un célibataire endurci. J’ai diverses aventures ci et là, mais le sale tour que m’a joué mon ex m’a vacciné contre la vie de couple. Et je ne m’en porte pas plus mal.


Je me gare devant chez lui. Le temps que je sorte de la voiture, Dominique est déjà sur le seuil de sa porte. C’est moi qui l’apostrophe le premier :



Après une accolade, nous entrons. Je ne l’avais pas revu depuis deux bons mois, pour cause d’un chantier qui m’a envoyé à cinq cent kilomètres d’ici, mais je n’avais pas perdu le contact pour autant. Après avoir palabré debout quelques minutes, il me désigne un fauteuil :



Je fais la moue :



Je rigole, et pour éviter de répondre, je fais bifurquer la conversation sur lui :



Il se contente dans un premier temps de sourire, puis il finit par dire :



Je m’installe mieux sur le fauteuil. Dominique commence son explication :



Écartant une petite cloche dorée, il s’empare de la tablette qui est posée sur la table basse de salon. Il pose l’écran sur ses genoux, tout en l’allumant, un petit jingle se fait entendre. Il poursuit :



Après quelques manipulations, il me tend la tablette afin que je lise cette fameuse annonce que je lui aurais inspirée. Assez intrigué, je me saisis de l’engin et je commence la lecture.




Petite annonce



Bonjour à toutes, je suis un cinquantenaire à la recherche d’une compagne de vie et de jeu.


Posons le décor : je ne roule pas sur l’or, mais je gagne honnêtement ma vie. Il m’arrive souvent d’avoir du temps libre, et je me refuse de le passer devant un écran de télé ou d’ordi. Comme la photo ci-jointe l’indique, je ne suis pas Quasimodo, sans être Apollon. Je suis modéré dans beaucoup de domaines et de choses, certains diront sans sel, sauf dans les cheveux. Le sel, ce n’est pas en faisant du tape-à-l’œil, on peut s’en procurer en vivant pleinement certaines choses que la plupart des gens ne comprennent pas et donc condamnent.


La compagne que je recherche et que je désire, peut-être vous, je la veux à moi, rien qu’à moi et pour moi. Je suis possessif, mais pas jaloux. Je souhaite faire un bon bout de chemin avec elle. Mais je ne suis pas partisan de me prendre la tête ou d’être enquiquiné, j’ai déjà donné, et je ne veux plus refaire les mêmes erreurs. Peut-être vivrons-nous ensemble ou séparément, nous le déciderons d’un commun accord.


Je ne déteste pas certains jeux, je précise tout de suite en utilisant le mot « jeu ». J’aime jouer les dominants, ordonner. Ce sont des parenthèses dans la vie, durant lesquelles une femme devient la chose de l’homme. Elle est sa soumise, elle lui obéit. Une fois la parenthèse refermée, la vie reprend son cours normal. Peut-être que plus tard, la parenthèse sera plus longue, très longue…


Cette femme, je la préfère en chair, c’est nettement mieux pour la caresser, l’avoir à moi. Sa taille, son poids importent peu. Je préfère des cheveux longs, c’est plus féminin. Pour son âge, sachant que je suis dans la cinquantaine, je souhaite de mon âge ou un peu plus jeune. Par contre, je veux une femme qui sache où elle met les pieds. Même si la soumission ne sera pas toute sa vie, elle devra jouer le jeu, m’offrir son obéissance. En retour, je lui offrirai ce qu’elle attend, afin que nous explorions à deux cette contrée étrange qu’est la D/s.


Pour plus de détails, contactez-moi.




Décompte



Je suis assez surpris de ce que je viens de lire, je repose la tablette sur la table basse :



Haussant des sourcils, je m’étonne !



Joignant ses mains, il me sourit :



Alléché par la bonne histoire qu’il a à me conter, je m’assieds au bord du fauteuil :



À mon grand étonnement, il fait tinter la petite cloche qui trône sur la table basse.




Attestation et confirmation



Soudain, une femme châtain un peu plus jeune que nous, mais plutôt dévêtue fait son apparition dans le salon. À présent, elle se tient immobile face à nous, les mains derrière le dos.



J’ouvre de grands yeux étonnés :



La femme qui est devant moi est solidement charpentée avec des belles courbes sur lesquelles on aime s’attarder. Elle est vêtue de noir de la tête aux pieds. Ses jambes sont enrobées par des cuissardes qui lui arrivent à mi-cuisse. Par-dessus et en dessous, des bas reliés par des lanières à un bustier, ou plutôt un serre-taille, qui ceinture le ventre, encadrant une chatte nue, et révélant sans vergogne deux seins lourds et un peu pendants aux tétons décorés par des anneaux auxquels pendent une chaînette qui les relie tous les deux. D’autres lanières partent du serre-taille pour venir s’accrocher à son cou qui est enfermé dans un collier d’où pend une laisse à maillons métalliques. Le haut donne l’illusion d’un soutien-gorge auquel on n’aurait conservé que l’armature et enlevé tout le tissu.


Ses ongles sont vernis de rouge, un rouge vif putassier, idem pour sa bouche, rouge à lèvres carmin, yeux cernés de noir. Ses cheveux châtains mi-longs sont un zeste bouclés. Je croiserai la dame habillée de la sorte sur un trottoir, un soir, il est certain que je ne me poserai aucune question sur son métier déambulatoire !


Assurément, c’est une tenue bandante, une tenue plutôt de pute que de soumise, sauf éventuellement les chaînettes, que je découvre sur cette femme ainsi habillée de si peu, ou cette femelle, comme diraient certains…


Je me remets petit à petit de mes émotions. Dominique s’en amuse :



Mon hôte boit tranquillement son verre, tandis que sa soumise reste toujours immobile, offerte à mes yeux qui ne manquent pas de la détailler à fond. Posant son verre, puis la désignant de la main, Dominique explique :



En peu décontenancé, je réponds par une banalité :



Je compte intérieurement, deux en haut et cinq plus bas, ça fait sept piercings d’un seul coup. Ces deux-là n’y ont pas été de main morte ! Je suppose qu’il faut dire « les deux », car je présume que cette femme a eu son mot à dire, même si elle a signé un contrat, comme Dominique l’a dit. Sachant que ce n’est pas une mince affaire que d’avoir le corps transpercé, un peu curieux, je demande :



Et sans aucune pudeur, elle écarte les jambes, projetant son bassin en avant. Prenant ses anneaux entre ses doigts vernis de rouge, elle écarte ses lèvres, et je peux constater en effet quatre anneaux rivés à l’orée de sa chatte et un autre plus petit niché plus haut. Ça a son charme, un charme étrange, mais excitant. Je me dis que Dominique a bien fait d’oser faire paraître une telle annonce !


Après avoir bien maté, je me penche vers mon ami pour lui demander, en catimini :



Je pensais qu’il se cherchait une compagne de vie, je constate qu’il a trouvé un peu plus… Et même un peu trop que plus… Soudain, mon hôte s’adresse à sa soumise dans une langue inconnue, tout en articulant distinctement :



Je n’ai strictement rien compris, pourtant, suite à mon métier et ses chantiers européens, j’ai des rudiments quelques langues européennes, comme l’anglais, l’allemand, l’italien, l’espagnol, le portugais et même un zeste de polonais et de tchèque, mais là, je suis perdu. Ce n’est même pas de l’espéranto ! Suite à la réponse de sa soumise, un certain sourire s’affiche sur le visage de Dominique. Il poursuit en français :



Intrigué, je demande des précisions :



Lentement, à pas mesurés, volontairement aguichante, ondulant de la tête aux pieds, elle s’approche de moi, puis avec naturel, elle s’agenouille à mes pieds :



Voyant que je suis surpris par la tournure des événements, Dominique intervient :



Je fronce des sourcils, je crains avoir mal compris :



Je suis en train de me demander si, en effet, je ne suis pas en train de rêver. Spontanément, je réponds franchement :



Ne sachant pas comment réagir et quoi faire, je saisis la perche :



Et se levant lentement de son fauteuil, il s’en va s’asseoir sur le canapé.




Démonstration



Je suis très intrigué et curieux de connaître la suite. Ce n’est pas tous les jours qu’on a sous les yeux une femme, une soumise, qui soit prête à faire des cochonneries avec vous, tout simplement parce que votre ami de longue date le lui a demandé !


En général, ce genre de situation, c’est un scénario torché en quatrième vitesse sur un coin de nappe pour mauvais roman, ou pour film pornographique. Il est vrai que, dans ce genre de cas, la vraisemblance n’est pas le premier souci des auteurs ainsi que des lecteurs ou des spectateurs. On ne compte plus les plombiers ou les électriciens à biscoteaux qui, en moins de cinq minutes, sautent des pauvres épouses esseulées en nuisette qui ont toutes la fâcheuse manie d’être des top-modèles particulièrement splendides et sensuelles, et surtout très cochonnes !


Pour un peu, je chercherais s’il n’y a pas une caméra cachée dans un coin, mais je vois mal où elle pourrait se nicher dans cette pièce ! Bien qu’à y réfléchir, on fait des prodiges dans la miniaturisation, car on sait mettre une caméra dans un stylo ou dans une cravate.


Toujours assis dans le canapé, Dominique s’adresse à moi sur un ton doctoral teinté d’ironie, comme si j’étais un élève récalcitrant ; je le laisse dire.



Je lève momentanément les yeux vers le plafond. Dominique m’agace un peu, je ne suis pas ni un crétin ni un neuneu, il me semble :



Je trouve qu’il pousse un peu ; il a beau être mon ami depuis de longues années, j’estime quand même qu’il y a des limites à certaines choses, et je pense qu’on est en plein dedans ! Je ne sais pas si je dois me fâcher ou en rire :



Il ferme les yeux, il semble se concentrer, puis son expression se métamorphose, puis d’une voix plus impérieuse, il demande à sa soumise :



Sans mot dire et sans complexe, il extirpe un phallus déjà bien dressé. Aussitôt, sa soumise s’agenouille pour ensuite faire disparaître tout ce beau morceau dans sa bouche. Et je constate qu’elle lui pratique consciencieusement une fellation dans toute sa splendeur ! Je suis admiratif et jaloux en même temps. Jamais je n’ai connu ou vu de femme obéir de la sorte ! Sauf dans certains films, mais pas dans la vie réelle. Et pourtant, j’ai eu un certain nombre de partenaires féminines dans ma vie !


Tandis qu’elle le suce avec application, mon ami me déclare doctement :



Il s’interrompt un court instant avant de reprendre, pensif :



Elle s’arrête de le sucer, libérant sa bouche afin de répondre docilement :



Puis, elle reprend son ouvrage, absorbant à nouveau une bite luisante de salive. Assez fasciné, je la regarde s’activer consciencieusement, naturellement, alors que je suis présent, et qu’elle ne cache rien de ses charmes, son affriolant cul remuant lubriquement au rythme des va-et-vient de sa bouche, ses seins ballottant, telles deux masses lascives…



Elle ôte le fier phallus de ses lèvres, puis se recule un peu, toujours agenouillée, attendant visiblement le prochain désir de son maître. Celui lui intime :



Disciplinée, elle s’exécute, s’embrochant sans complexe sur le pieu de chair qui s’enfonce en elle avec facilité. Toute la colonne disparaît dans des profondeurs que je devine moites et chaudes…



Une fois de plus, elle obéit et je peux contempler le spectacle étrange d’une soumise utilisée comme une vulgaire poupée gonflable, une chose qui obéit sans état d’âme, juste pour la satisfaction du mâle qui l’embroche. Je découvre aussi le curieux spectacle d’une chatte décorée d’anneaux dorés qui s’agitent sous les soubresauts d’une queue conquérante. Je reconnais que c’est très excitant, et même beaucoup plus que je ne l’aurais cru !



Tandis qu’elle remue des hanches pour mieux profiter de l’intrus qui la transperce, Dominique saisit les deux seins dénudés et commence à les malaxer de forte façon. Parfois, il broie les chairs tendres, parfois il étire les délicats tétons en tirant sur les anneaux qui sont rivés dedans ou en jouant avec la chaînette. De temps à autre, il envoie quelques petites claques sur les deux masses afin qu’elles vibrent tels des flans gélatineux.



Puis s’adressant à sa soumise tout en lui martyrisant les seins, il ordonne :



Je me dis que le vocabulaire d’une soumise n’est pas très varié. Il est vrai que son rôle est de dire oui-amen, ce qui limite un tantinet les échanges…


Peu après, Kt1, agenouillée à nouveau entre les jambes de son maître, le nettoie méthodiquement, suçant, lapant la moindre trace luisante. Une fois qu’elle en a fini avec lui, elle lève la tête vers son maître lui signifiant que tout est OK. La saisissant par la chaînette afin qu’elle se relève, Dominique se tourne vers moi.



Il tire sur la chaînette, étirant les seins qui y sont attachés, obligeant la soumise à se rapprocher de mon fauteuil. Puis il dépose les maillons dans ma main, me confiant ainsi sa poupée vivante. Ensuite, les sortant de sa poche, il pose quelques préservatifs sur la table basse. Jouer, c’est très bien, mais, en effet, faisons-le néanmoins avec prudence…




Je (u) pratique



C’est donc à mon tour. Je crois avoir compris le message, la façon de faire pour ce curieux, mais excitant jeu de rôle. Et tant pis pour la galanterie et l’émancipation des femmes ! Assis au bord du fauteuil, jouant avec la chaînette, je m’adresse à la soumise penchée sur moi, ses seins laiteux et oscillants presque sous mon nez :



Je la libère, la chaînette rebondit sur son ventre, elle se recule de quelques pas. Puis jouant le jeu, lentement, à pas mesurés, toujours aussi lascive, elle s’approche à nouveau de moi, puis elle s’agenouille à mes pieds :



Elle sourit et son Maître aussi. Il semblerait que mes débuts soient corrects. Il est vrai que notre conversation très olé-olé d’avant mon départ n’avait pas été triste, mais actuellement, j’ai l’incroyable possibilité de passer du virtuel au réel. Et ce genre de chose n’arrive que très peu dans une existence !


Avec application, elle défait ma ceinture, elle déboutonne ma braguette, et en un rien de temps, ma verge déjà bien dure se présente sous son nez. Elle s’en empare naturellement et enveloppe mon gland de ses lèvres carmin. Je soupire de satisfaction !



Se faire sucer, c’est un véritable plaisir. Dommage que peu de femmes aiment donner ce genre de gâterie. En tout cas, la plupart de filles et de femmes que j’ai pu rencontrer n’étaient pas des grandes adeptes de la chose. Pour une fois que je bénéficie des services d’une belle salope dressée à faire ce genre de truc et même pire, il est vrai que je serais un crétin fini de ne pas en profiter. Mais ce n’est pas toujours évident d’ordonner des cochonneries, même si dans certains de mes rêves, j’y vais de bon cœur ! Toujours cette fichue différence entre l’imaginaire et le réel !



Ses doigts agiles s’emparent de mes boules. Cette belle salope me les masse voluptueusement, elle me caresse doucement, suavement. Elle est incontestablement douée, et si elle continue, je vais finir par tout lâcher sans avoir vraiment pu profiter d’elle ! Sans compter qu’elle sait se servir et de ses lèvres et de la langue autour de ma queue. Oui, c’est génialement bon !


Je me tourne vers mon ami :



Une réponse claire et nette ! Je ne peux m’empêcher de réfléchir tout haut :



Il rigole, tandis que sa soumise s’active toujours autour de ma bite bien raide :



Oui, ça, j’ai compris que ça allait ma plus grosse difficulté ! Imaginez que vous ayez un gros gâteau sous les yeux, un énorme gâteau succulent avec plein de bonnes choses dedans et dessus. Et on vous dit : pas de problème, vous pouvez y aller de bon cœur ! Le souci est de savoir par où commencer et aussi de ne pas risquer la crise de foie ou le haut-le-cœur !



Docilement, elle s’exécute, et j’ai le bonheur de nicher ma queue entre ses seins lourds et doux. Penchant le cou au maximum, elle arrive à me donner des coups de langue sur mon gland. Du coup, je me relève un peu pour lui faciliter la tâche et en profiter encore plus.


Je sens que si elle enfourne ma queue, je vais éjaculer illico dans sa bouche, ce qui serait dommage, car j’ai tellement envie de faire durer les choses ! Alors j’opte pour une autre pratique.


Me dégageant de ses seins, je me cale à califourchon au-dessus de sa tête, présentant mes deux boules velues à sa bouche pulpeuse. Comprenant vite le message, docilement, elle absorbe une première boule qu’elle suçote, tandis que ma queue grimpe vers des sommets auxquels je ne croyais pas ! C’est dire l’effet qu’elle me fait ! Peu après, à ma très grande surprise, sans ôter la première, elle gobe l’autre couille et les câline, les dorlote, les mastique toutes les deux voluptueusement.


Quelle bouche et quelle science en la matière ! C’est totalement dément et divin !


Mais toute bonne chose à une fin, surtout quand on se sent qu’on va tout lâcher dans quelques secondes ! D’une voix impérative, j’ordonne :



Tandis qu’elle s’exécute sans rechigner, je coiffe mon sexe d’un préservatif, j’espère que cet intermède fera descendre un peu la pression. Le cul en buse, à genoux sur la couchette, les seins aplatis dans la couette, ma poupée de chair attend la suite.



Et c’est avec une grande volupté que je pénètre dans la chatte béante de cette belle soumise docile ! Oui, c’est paradisiaque d’entrer de la sorte dans une femelle qui est à votre disposition ! Bien calé au chaud, je commence à mieux comprendre certaines anecdotes qui émaillent de façon pas très reluisante des tas de pans de l’Histoire avec un grand H. Avoir du pouvoir, c’est jouissif, c’est comme une drogue.


En attendant, je pistonne cette belle chatte déjà lubrifiée naturellement. À prime vue, la situation excite aussi cette femme, si j’en crois la facilité avec laquelle je coulisse en elle. Une belle salope sous le couvert de la soumission ! Mais j’aurais tort de me plaindre, n’est-ce pas ?


Quand je sens que j’atteins à nouveau ma limite, je me retire prestement. Mon préservatif est trempé de cyprine. Tant mieux, la suite n’en sera que plus facile !



Ses fesses bien écartées par ses mains, offrant une vue et un accès imprenable à son mignon petit trou, je ne me fais pas prier : je frotte mon gland empoissé contre la sombre cuvette. La délicate rondelle s’élargit, se dilate et ma queue caresse les bords chauds de l’anus. Lentement mais sûrement, le petit trou s’élargit. Je m’amuse à taquiner l’orée de ce trou défendu, puis je décide qu’il est temps de plonger dans les entrailles chaudes de cette soumise qui ne demande que ça, être asservie par ma bite, par le mâle que je suis.


Mon gland passe comme une fleur la rosace entrouverte. Kt1 pousse un petit cri étranglé. Mon bout, déjà enfoui jusqu’au frein, est à présent bloqué par un anneau récalcitrant. Je décide d’attendre un peu. Ma soumise a la tête nichée contre le coussin du siège, le cul encore plus en buse. Soudain, elle écarte comme une folle ses fesses qu’elle a attrapées à pleines mains.



N’y tenant plus, la tige toujours plantée dans ce fion un peu récalcitrant, je décide de forcer ma chance. Avec un grognement sourd, je force le passage, coulissant avec peine dans le fondement étroit. Kt1 pousse des petits cris de douleur, quelques larmes perlent à ses yeux, la déchirure est forte. Sadique, ma queue vissée en elle continue sa lente progression vers la profondeur sombre de ses entrailles. Peu après, mes couilles battent ses fesses, signe évident que j’ai réussi à tout mettre ! Elle lâche alors ses fesses pour aller se masturber. En moi-même, je me dis : tant mieux, j’aurais encore moins de remords à la défoncer comme il se doit !



Et je commence un pistonnage sadique et profond. Tandis que je la pistonne à tout va, je réalise que je viens de l’insulter avec une facilité désarmante. Excité par la chose, j’accentue mon bestial coulissement en elle. Sous l’assaut délibéré d’une grosse queue qui la bourre, ma soumise gémit tandis que je contemple avec satisfaction toute ma tige coulisser entre les fesses rebondies de ma victime. Je ne pensais pas qu’on puisse éprouver un tel plaisir à dominer une femelle de la sorte. Je me découvre une facette sombre…


Son rectum s’échauffe, je suppose qu’elle doit éprouver une certaine douleur persistante, mais aussi un certain bien-être qui l’envahit, si j’en crois certains frémissements. Alors, vorace, je me plaque encore plus sur ma proie, lui capturant au passage un sein qui ballotte, masse de chair tendre et douce. Que c’est doux, que c’est mou et voluptueux !


Je me sens fort, puissant, herculéen !


Pris d’une folie douce, je m’empare alors de la chaînette comme s’il s’agissait des brides d’un cheval, des rênes de ma jument, celle que je chevauche actuellement, et je tire dessus pour contempler un sein blanc qui remonte sur le flanc de ma pouliche, le téton totalement étiré.



À ces mots, à cette vision sadique, à cette idée d’être si puissant, dominateur, j’éjacule dans les profondeurs de ses entrailles, délaissant la chaînette meurtrissante, plongeant mes doigts voraces et crispés dans la chair tendre de son sein. Je perçois en elle des contractions qui naissent au plus profond, puis après quelques autres coups pour bien me vider, elle jouit aussi et ainsi, contrainte, possédée et humiliée de n’être qu’une chose à plaisir, tandis que je me vautre sur elle !


Tandis que je sombre, je me demande si une soumise se doit de jouir. Je pense que certains diront non, d’autres diront oui. Pour ma part, je pense qu’il est juste qu’elle ait sa part de plaisir, mais il est vrai que je suis un néophyte dans le domaine étrange du BDSM et du rapport dominant-dominée. J’ai fait fort en l’enculant tout de suite, mais je voulais voir si c’était possible, et je dois reconnaître que j’aime cette pratique, même si je trouve peu de femmes qui l’acceptent. Mis à part son cul, il va falloir que j’explore avec joie et application les autres paysages de cette belle salope.


Pris d’un coup de barre, je cligne des yeux, la soirée n’est pas finie, il va falloir que je montre encore plein d’entrain pour continuer à profiter du beau cadeau qui m’est fait et de le visiter, de l’exploiter comme il se doit, à fond et sans remord ni regret !


Oui, profiter d’elle éhontément, encore et encore, sans état d’âme, comme dans un jeu de rôle, à fond, dans lequel je suis un ardent et vaillant guerrier surpuissant. Juste une parenthèse dans la vie de tous les jours.




Épilogue



Aujourd’hui, je suis en train de flâner dans le rayon des DVD d’une grande surface, consultant le résumé de diverses jaquettes à la recherche de la perle rare, quand soudain, j’entends derrière moi une voix féminine connue :



Je me retourne, et je me retrouve nez à nez avec Kt1. Depuis notre première fois, nous nous sommes revus plusieurs fois depuis maintenant bientôt deux mois, et j’ai eu le grand plaisir de bénéficier à chaque fois de ses faveurs et de sa bonne volonté à exécuter mes diverses folies. Entre-temps, j’ai appris quelques mots de leur langue inconnue, elle est assez simple, et je reconnais que ça ajoute une couleur particulière à ce type de jeu.


Néanmoins, je suis un peu perturbé de la rencontrer hors situation, en pleine lumière dans cette grande surface, je bafouille quand je réponds à sa salutation :



Elle se contente de sourire. Ayant repris mon assurance, je demande :



Je repose le DVD que j’avais en main. Puis je la questionne :



Cette réponse me semble plausible, je hoche de la tête :



Rassuré et flatté, je hoche la tête :



Je marque un léger temps d’arrêt avant de prononcer :



Décidément, la Domination/Soumission et ce que ça implique, j’ai un peu de mal à m’y faire, surtout le mot « saillie » dans pareil cas :



Spontanément, je réponds :



Ravi de cette proposition, mais un peu inquiet, je jette furtivement un coup d’œil autour de moi, personne n’a dû entendre. Ça la fait rire. Je me penche sur elle :



Je me penche à son oreille pour les énumérer, une à une. Quand j’en ai fini, je me redresse et je constate sur son visage que ma liste lui a plu. Je sens qu’il ne faut pas gâcher les moments suspendus en tentant de trop les retenir, alors nous nous disons au revoir. Je lui fais la bise, puis je lui mordille l’oreille :



Je la regarde s’éloigner au bout du rayonnage, dandinant sur des talons aiguilles qui chaloupent agréablement sa démarche. Dominique est bien tombée avec Kt1, et moi aussi. Le seul ennui est que, maintenant, bon nombre de femmes que je croise me semblent insipides. De plus, je ne peux pas bénéficier de cette splendide salope à mon gré, matin, midi et soir, sans parler de la nuit, et c’est bien dommage ! Et comme ces deux-là ont tissé un lien très fort, je ne peux pas piquer Kt1 à Dominique. Néanmoins, souvent, dans pareil cas, l’amitié, même très ancienne, passe au second plan.


C’est alors que je songe qu’il serait peut-être temps pour moi aussi, de rédiger une petite annonce, et avec un peu de chance, j’aurais aussi ma Kt1 à moi…




Nota : les jeux dominant/dominé existent depuis la nuit des temps. La plupart du temps, ils sont sexuels, le sexe étant l’un des moteurs de l’humanité, ainsi que le pouvoir. Cela dit, ce n’est pas la majorité des gens qui y jouent. Néanmoins, certaines personnes éprouvent réellement du plaisir à être rabaissées, humiliées de la sorte, c’est une question de goût et de couleur. Idem, d’autres personnes éprouvent aussi du plaisir à dévaloriser, à asservir l’autre. Et du moment que toutes les parties soient consentantes sans contrainte…

Un certain couple se reconnaîtra dans l’histoire que vous venez de lire.

Merci à eux deux pour la matière première !