n° 18291 | Fiche technique | 24606 caractères | 24606Temps de lecture estimé : 16 mn | 13/03/18 |
Résumé: Aurel et Mélanie forment un couple solide. Mais ils ont des activités occultes malsaines. | ||||
Critères: fh couple couplus hotel intermast fellation pénétratio fsodo -extraconj | ||||
Auteur : Tito40 Envoi mini-message |
Aurel et Mélanie sont ensemble depuis près de vingt ans. Il y a des jours avec, il y a des jours sans, ainsi va la vie. Il bosse dans l’industrie à un poste d’encadrement, elle est éducatrice dans un centre pour adolescents en perdition. Il aime diriger des équipes, les faire progresser. Elle aime redonner des perspectives à des jeunes dits difficiles, leur faire briller les yeux. Au boulot, Aurel et Mélanie sont des références, des guides, des personnes sérieuses et engagées.
Il faut les connaître intimement pour savoir qu’en dehors, ce sont de fieffés escrocs. Ils se sont bien trouvé ces deux-là. Entre les petits détournements à répétition, les fausses notes de frais et autres magouilles, ils s’éclatent véritablement. Ce n’est pas tant l’argent, d’ailleurs, qui les anime, que le sentiment de puissance qu’ils partagent quand ils manipulent leurs interlocuteurs et victimes.
Alain est Juge au Tribunal correctionnel, et a parfois en charge des dossiers de mineurs. Un type sérieux, drapé dans sa dignité de magistrat, auréolé de son parcours universitaire sans faute et de ses résultats dans la magistrature, il a peu d’amis, ce qui pourrait sembler curieux quand on le voit dans les soirées où il est très entouré. En réalité, il est entouré de flatteurs qui se disent que connaître quelqu’un du tribunal peut toujours servir. Mélanie et lui se côtoient régulièrement pour traiter de cas de jeunes dont elle a la garde administrative. Bien que marié, il a semblé à Mélanie qu’il avait besoin de se confier sur sa vie privée, mais qu’il n’arrivait pas à franchir le pas. À l’occasion d’une réunion, elle lui a proposé d’aller boire un café, « un de ces jours », occasion sur laquelle il s’est jeté en lui fixant immédiatement un rendez-vous. Loin du Palais de Justice, avait-il précisé, comme s’il était nécessaire de préciser qu’il voulait éviter d’être vu.
C’est devenu une habitude. Alain et Mélanie prenaient dorénavant un café ensemble au moins trois fois par semaine, toujours au même endroit. Il se montrait affable, sympathique et souriant, en rupture avec l’image austère qu’il renvoyait dans son environnement professionnel. Petit à petit, il a livré à Mélanie ses angoisses, ses doutes, les misères de sa vie. Il lui a raconté son enfance et sa vie d’homme, allant de plus en plus loin dans l’intime. Elle l’écoutait, souriante, ouverte, mais faisait peu de commentaires. Elle ne posait aucune question, ça venait tout seul, comme s’il satisfaisait un besoin de se confier, de ses confesser. Puis il a parlé de sa vie d’homme, de son mariage, de son épouse, de leurs relations. Au début, c’était des banalités. Leurs livres, leurs vacances, leur maison, leurs familles, les sujets sur lesquels ils étaient d’accord, puis les sujets de friction, comme le fait qu’ils ne pouvaient pas avoir d’enfant. À chaque rendez-vous, il reprenait le fil, complétait, commentait, rappelait. Quand il a raconté le décès de son frère, les larmes lui sont venues toutes seules. Mélanie a posé gentiment sa main sur la sienne, comme pour le consoler. Il a retourné sa main pour serrer celle de Mélanie, la caresser, même, un peu, dans un geste tendre en complice, puis s’est tu, visiblement ému et perturbé. Au rendez-vous suivant, il n’a pas attendu de parler de choses tristes pour la toucher à nouveau, caresser d’un doigt le dos de la main de Mélanie, puis lui caresser le bras tout en lui parlant. Comme elle ne le repoussait pas, il a continué. Et au moment de la quitter, sur le trottoir, c’est sans un mot qu’il a ouvert ses bras pour qu’elle s’y blottisse, et enfin il l’a embrassée tendrement sur la joue.
Aurel n’est pas un dragueur. Il aime charmer les femmes, mais c’est davantage pour se rassurer sur ses capacités de séduction que pour conclure. Il aime que les femmes aient envie de lui et sait faire ce qu’il faut pour ça. En fonction des attentes de l’une, il se montrera charmeur et tactile ; et des attentes de l’autre, il se montrera macho et direct. Il s’adapte, fait l’acteur, et veut sentir que sa cible pourrait succomber. Quand elle est mûre, il cesse de jouer et s’éloigne. Son but, plaire, est atteint. Alors il passe à une autre. Sauf que quand il a rencontré Sylvie, la commerciale d’une société qui lui fournit des composants, il a oublié de jouer. C’est elle qui est venue vers lui avec l’intention manifeste de le séduire. Il a trouvé ça inhabituel et après tout, assez sympa. Il semblait lui plaire ainsi, brut de décoffrage, sans qu’il fût nécessaire d’en rajouter. Il aimait finalement que cette jolie femme à l’air un peu triste soit tout à coup souriante et enjouée quand elle croisait son regard. Il aima aussi qu’elle prenne l’initiative de lui proposer d’aller boire un verre après le travail. Ce qu’il goûta moins, c’est cette conviction qu’elle semblait avoir chevillée au corps qu’aucun homme sain d’esprit ne pourrait lui résister. Ainsi, quand elle lui avait proposé ses lèvres en guise d’au revoir, il avait ostensiblement tourné la tête pour montrer sa désapprobation. Il n’était pas homme à se jeter ainsi sur la première proie facile, fut-elle appétissante et en âge de copuler.
Mélanie n’est pas cachottière. Aurel connaît tous les détails de ses rencontres discrètes avec le Juge, et s’en amuse. Sa confiance en son épouse est totale et définitive. D’ailleurs, il est tellement confiant que lui aussi livre ses confidences à sa femme, sans omettre le moindre détail. Par exemple, il n’a pas attendu que Mélanie lui demande s’il avait ressenti de l’attirance pour Sylvie. Il a anticipé en lui avouant qu’il avait dû se faire violence pour ne pas la suivre dans le premier hôtel venu pour la sauter puisque visiblement c’est ce qu’elle voulait. Oui, il avait ressenti quelque chose de physique, d’animal, que son instinct de mâle avait traduit par une érection solide qu’il avait eu du mal à cacher. Il n’en avait pas honte et n’en éprouvait aucune gêne puisque Mélanie ne s’était pas cachée non plus d’avoir été émue au contact d’Alain. Sans doute ne serait-elle pas allée jusqu’à le suivre dans un hôtel pour se livrer à lui, mais elle avait aimé être caressée ainsi, délicatement, être regardée avec tendresse, être désirée ardemment. Et pour elle aussi, son corps avait manifesté des signés de désir, comme une chaleur au bas de son ventre révélatrice d’une envie de sexe.
Ils s’en amusent de ces confidences, et finalement ça met un peu de piment dans leur vie.
Aurel a revu Sylvie, sans jamais céder, pendant que Mélanie sentait le désir monter à mesure qu’Alain se faisait plus pressant.
Alain, naturellement, n’avait rien dit à son épouse quant à ces rencontres clandestines. D’ailleurs, elles étaient platoniques. Ce n’était pas tromper. Et puis son épouse, finalement, ne méritait pas qu’il lui portât plus ample attention. Elle refusait ses avances de plus en plus souvent, et lorsqu’elle ne les repoussait pas, on aurait pu croire qu’il s’agissait d’accomplir un acte mécanique, vite fait, mal fait. Une corvée en somme. Certes il jouissait quand même, mais son plaisir n’était que physique. Il en était venu à se dire que sans doute il était cocu.
Sylvie, naturellement, n’avait rien dit à son époux, de plus en plus distant, de plus en plus froid, de moins en moins attentif à ses envies qu’il ignorait somptueusement. Il lui faisait l’amour de temps à autre, sans passion, sans cris et sans caresses. Il se vidait rapidement les couilles puis lui tournait le dos pour dormir, ne prenant pas même le temps d’aller sous la douche. Elle essuyait le sperme qui coulait entre ses cuisses, puis s’endormait dans ses larmes. Son mari avait mal vieilli, elle peut-être aussi, en tout cas il ne l’aimait plus.
Aurel et Mélanie, toujours complices à l’insu de leurs cibles respectives, s’étaient mis en tête de s’amuser, sans que le jeu ait quelque chose à voir avec l’argent.
Aurel a laissé Sylvie s’accrocher solidement à son hameçon. Il la complimentait régulièrement, lui envoyait des textos un peu chauds, mais jamais vulgaires, lui faisait des remarques positives sur son teint, sur sa coupe, sur ses vêtements. Quand elle a voulu aller plus loin, il a été délicat dans son refus ; il ne voulait pas lui faire du mal, lui faire espérer l’impossible. Il ne se sentait pas digne d’elle, ne voulait pas briser son ménage. Plusieurs fois il l’avait pris dans ses bras, lui avait caressé le dos, l’avait embrassée dans le cou, lui avait fait sentir son érection en se collant contre elle. Il avait effleuré ses seins au travers de ses vêtements, puis l’avait embrassée avec passion avant de se reculer, la larme à l’œil, feignant de devoir lutter contre lui-même pour s’éloigner, et reporter à plus tard l’acte irréparable. Au retour chez lui, ils riaient de bon cœur avec Mélanie, ces salauds !
Elle n’était pas en reste. Alain était devenu plus direct, plus insistant, mais elle s’en sortait toujours par une pirouette. Elle lui avait confié qu’elle avait très envie de lui, qu’il lui arrivait de plus en plus souvent de se masturber en pensant à lui, qu’elle ne dormait plus à cause de lui, mais elle se refusait parce qu’elle avait promis d’être fidèle, et qu’elle le resterait quoiqu’il lui en coûte. Mais elle résistait de moins en moins, et ce soir-là, quand il l’a conduite vers une petite ruelle sombre, qu’il l’a collée dos au mur pour l’embrasser et qu’il en a profité pour lui glisser une main dans la culotte et lui caresser le sexe, elle s’est dit que le but était atteint. Il était chaud comme une baraque à frites. Ses doigts étaient agiles dans sa petite chatte glabre et mouillée. Il montrait une véritable dextérité avec son clitoris gonflé de sang. Cet homme savait s’y prendre avec les femmes. Il devait être un amant formidable. Ils ont ri à nouveau avec Mélanie. Quels salauds ces deux-là, qui ont baisé comme des animaux en rigolant du malheur de leurs proies.
Ils avaient envie tous les deux de succomber. Baiser Sylvie, il y avait pensé. Mélanie le savait. Se faire prendre par Alain, Mélanie l’avait imaginé. Il le savait. Ça les excitait tous les deux. Il était temps de passer à l’action.
Mélanie a adressé un simple SMS à Alain, un message de quelques lignes pour lui donner rendez-vous dans une chambre d’hôtel. Elle serait là avant lui. Il devrait se couvrir les yeux d’un masque opaque. Elle accepterait tout de lui à condition qu’il ne la voie pas. Et pas de photos, pas d’enregistrement de la voix. Elle ne parlerait pas, lui non plus. Ils seraient dans cette chambre pour faire l’amour, doucement, longtemps, tendrement. Il ne devrait pas porter de protection ni chercher, le moment venu, à se retirer. Il devrait accepter les risques, quels qu’ils soient. Elle voulait qu’il se donne, qu’il donne, qu’il accepte, qu’il la fasse jouir et l’honore. Il n’avait mis que quelques minutes à répondre qu’il était prêt à tout, et qu’il serait à l’heure. Parole de Juge.
Sylvie a également reçu un SMS d’Aurel, le bel Aurel qui voulait qu’elle le rejoigne dans une chambre d’hôtel, discrètement, pour lui offrir son corps. Il la voulait soumise, silencieuse, offerte. Elle devrait porter un masque opaque et se laisser guider par ses mains, par sa bouche, par sa queue. Elle ne pourrait dire non à rien ; d’ailleurs il ne lui demanderait rien. Il la prendrait comme il le souhaite, aussi longtemps qu’il le souhaiterait, comme il le souhaiterait. Elle n’aurait pas son mot à dire et devrait se laisser faire, se laisser baiser. Il lui avait précisé, pour que les choses soient claires, qu’il lui baiserait la bouche avant de venir entre ses cuisses et que peut-être, si l’envie le prenait, il lui prendrait le cul. Elle avait réagi très vite par un « tout ce que tu voudras ».
Il est 11 heures. Mélanie est nue comme un vers. Elle est fine, blanche, longue, ferme. Ses seins sont petits, mais bien dessinés. Elle est assise, pensive, face à la porte. Les rideaux sont tirés. La chambre est sombre. Seuls quelques rais de lumière passent sur les côtés de la toile. Ça frappe. Elle vérifie par l’œilleton que c’est bien Alain qui arrive. Elle ouvre, lui pose une main sur la bouche, puis passe plusieurs fois son autre main devant les yeux pour s’assurer qu’il ne voit rien. Elle saisit sa main et le guide dans la chambre en refermant. Elle l’aide à se déshabiller, le caresse délicatement, lui mordille l’oreille. Elle ne le laisse pas la toucher, c’est elle qui dirige. Elle veut le chauffer à blanc, le faire attendre. Son sexe est dressé comme un pieu solide. Il bande dur, le Juge, et il est bien monté. Il a essayé de parler, mais à chaque fois elle lui a mis la main sur la bouche sans répondre. Pas de mots, juste des actes. Il a compris qu’il devait garder ses mains derrière son dos pendant qu’elle lui suçait les tétons en les mordillant. Elle a descendu une main sur son ventre, et a senti plusieurs fois le contact de sa queue raide. Son envie de la prendre en bouche et même entre les cuisses est forte, violente, mais elle résiste. Lui pousse quelques râles quand il sent la peau de sa tortionnaire toucher celle de son sexe. Il sent son sang pousser ses tempes, son cœur tape fort. Il lui tarde de la prendre dans ses bras, de l’allonger au sol ou de la mettre à quatre pattes pour la baiser comme elle mérite. Cette sainte nitouche mérite une raclée et peut-être même de se faire enculer. Elle se faisait passer pour une femme fidèle et elle le caresse. S’il a accepté ses règles du jeu, c’est pour pouvoir la sauter, pour pouvoir lui enfiler sa queue et jouir en elle. Il ne pense plus qu’à ça depuis des semaines au point que ça l’empêche de bosser. Et pire encore depuis le SMS. Patience, se dit-il, ça va venir.
Mélanie sent l’impatience grandir chez Alain, et elle-même mouille de plus en plus. Mais ce n’est pas le moment. Elle a maintenant pris le sexe tendu dans une main et le caresse doucement. Il est gros. Il est chaud. Il est dur. Qu’il doit être bon une fois bien planté dans une chatte. Elle est très excitée, et lui, clairement, n’en peut plus. Quand elle se baisse pour le sucer, elle a peur qu’il jouisse trop vite, alors elle y va doucement. Elle aurait très envie de le pomper à fond et de le sentir cracher dans sa bouche, mais elle n’est pas persuadée qu’il banderait à nouveau ensuite. Alors, autant être patiente. Elle le fait mariner, et c’est de plus en plus difficile.
Il est 11 h 20. Aurel est assis dans sa chambre d’hôtel et comme convenu, Sylvie frappe à la porte. Il est dans l’obscurité quand elle entre. Il lui ordonne de mettre son masque, ce qu’elle fait dans l’instant sans protester. Elle a eu le temps de voir qu’il était nu, musclé, et que sa queue pendait entre ses jambes. Il est plus beau encore que ce qu’elle imaginait et l’idée de se faire baiser par lui, idée qu’elle rumine depuis des semaines, va se concrétiser. Ce qu’il lui a écrit état assez clair. Il va abuser d’elle, la malmener, la défoncer. Elle sait qu’elle va prendre du plaisir ainsi avec un homme viril, qu’il va sans doute la pousser dans ses retranchements, lui faire mal au cul, l’humilier, mais c’est ça qu’elle veut. Elle y est presque.
Aurel a refermé la porte, lui a ordonné de se taire et de se laisser guider, puis lui a arraché littéralement ses vêtements. Il ne montre aucune tendresse, aucune retenue. Il lui a claqué plusieurs fois les fesses et elle en a ressenti une douleur plaisante. Elle a de plus en plus chaud. Il vient de lui ôter sa culotte et de lui mettre une nouvelle claque sur une fesse. Elle a hurlé. Il en a profité pour lui mettre une main entre les cuisses et lui enfoncer plusieurs doigts dans la chatte. Elle a sursauté. C’est bon de se faire traiter ainsi. Il la masturbe brutalement, puis son pouce vient chercher son anus et sans ménagement, s’y introduit directement. Il la pénètre fortement au point qu’elle a failli basculer en avant, mais il la tient de son autre main plaquée sur ses seins qu’il pince et malaxe. Elle a tendu la sienne pour attraper sa queue, mais il l’en a empêché. Elle a juste eu le temps de la saisir avec l’intention manifeste de le tirer vers elle, mais il l’a prise par le poignet et l’a retirée avec autorité. Pas touche ! Alors, il n’allait sans doute pas tarder à la prendre, à la baiser debout comme une pute. Elle en avait tellement envie. Aurel l’aurait volontiers défoncée tout de suite tellement il bandait. Et elle était plutôt bien gaulée, la nana. Un gros cul, mais qui ne tombe pas, des petits seins qui ressemblent un peu à ceux de sa femme et qu’il aime tant. Et sa chatte est vraiment étroite, vraiment chaude. Mais il fallait patienter encore un peu, amener Sylvie au bord de l’extase, et ne l’achever qu’après.
Il est 11 h 40. Alain est au bord de la crise de nerfs. Plusieurs fois, il a dû prendre sur lui pour ne pas cracher sa gourme sur le visage de Mélanie qui le suce tellement bien. Elle lui a caressé les fesses, se permettant même de lui mettre un doigt dans le cul. Et lui n’a pas le droit de bouger ou de parler sous peine que tout s’arrête. Il n’a pas même le droit de la voir, de se rincer l’œil. Sylvie n’en peut plus elle aussi. Elle mouille abondamment. Aurel lui a croqué le clito à lui en faire mal, et ce n’est plus un doigt qu’il a dans son cul, mais trois. Il lui fait mal, mais elle voudrait avoir mal plus encore en sentant sa grosse bite entrer en elle. Elle est mûre.
Aurel n’en peut plus. Il suffirait qu’il se touche à peine la queue pour cracher sa gourme. Il est temps. Grandement. Il saisit fermement Sylvie par la main et la traîne derrière lui. Elle sait qu’elle va passer à la casserole, elle le veut, vite. Aurel ouvre une porte et entre dans la pièce voisine, elle-même dans l’obscurité. Il pousse Sylvie sur le lit, la force à s’allonger, lui glisse un oreiller sous les reins, lui écarte les genoux. Elle est prête à être prise, elle attend la saillie, elle attend sa queue tendue.
Mélanie mouille comme une folle. Elle n’en peut plus. Son ventre réclame une queue. Elle se redresse et se colle contre Alain. Il va enfin la baiser, se dit-il. Elle se hisse sur la pointe des pieds, saisit son sexe et le dirige entre ses cuisses. Il sent Mélanie se frotter son gland douloureux contre la chatte. Il sent sa sève gluante, il voudrait s’introduire, la pénétrer, la faire grimper aux rideaux. Mais cette salope l’empêche de bouger. Il souffre et se retient, ça va venir, et ça sera encore meilleur. Puis tout à coup, elle le saisit par la main, lui fait faire demi-tour, et le guide vers le lit.
La main d’Alain est guidée entre les cuisses ouvertes dont il va profiter maintenant. Elle l’a tellement fait attendre qu’il va se jeter sur elle et la bourrer comme elle le mérite.
Mélanie s’est reculée. Elle et Aurel se regardent l’air amusé. Alain croit qu’il va sauter Mélanie, la salope qui le fait languir depuis une éternité. Sylvie voulait prendre une dérouillée et elle va y avoir droit. Aurel et Mélanie observent en se caressant, debout. Ils étaient déjà excités tous les deux à force de chauffer leurs proies respectives, et là ça monte encore. Ils ont réussi leur plan jusque-là. Il ne reste que deux conditions pour que ça fonctionne, c’est que les deux idiots qui s’apprêtent à copuler n’ôtent pas leurs bandeaux sur les yeux, et qu’ils ne se rendent pas compte que les odeurs qui vont leur monter aux narines ne leur sont pas inconnues.
Aurel est derrière Mélanie. Il a posé une main sur ses seins, et l’autre entre les cuisses de la belle. Il la masturbe en regardant Alain avancer vers sa femme. Il croit baiser Mélanie, mais c’est sa femme qu’il va pénétrer. Cette femme qu’il ne baise plus depuis des mois, et qu’il croit infidèle. Sylvie sait que le moment est venu. Elle a senti la main d’Aurel entre ses cuisses et c’est avec impatience qu’elle attend la saillie. Aurel a ôté ses doigts et guidé sa queue vers la chatte dégoulinante de Mélanie. Il s’introduit en elle en même temps qu’Alain pénètre Sylvie. Il ne la ménage pas. Déjà le lit grince et tape contre le mur. Il la pistonne avec force, comme s’il voulait la punir. Elle remonte haut ses jambes pour qu’il aille bien au fond, qu’il ne se prive pas. Et il ne se prive de rien. Alors elle se lâche, arrache son bandeau sur les yeux et se fige. Il ne s’est rendu compte de rien et continue de la baiser, mais elle reste pétrifiée par ce qu’elle voit. Mélanie, debout, qui reçoit en silence la grosse queue de celui qu’elle croyait satisfaire, et sur elle, son con de mari qui a dû monter tout ce cirque pour l’humilier. Elle n’a pas le temps de faire quoi que ce soit que déjà Alain s’est retiré et à l’aveugle, l’oblige à se mettre sur le ventre. Il n’a pas pris de pincettes, il est là pour défoncer et il défonce autant qu’il peut. La belle est à peine retournée que déjà il lui écarte les fesses avec la ferme intention de l’enculer brutalement. Après tout, elle l’a bien cherché. En la retournant, il a trouvé ses fesses un peu grosses et un peu molles, mais qu’à cela ne tienne, elle la prendra quand même. Ce n’est que quand il a entendu la salope crier alors qu’il lui enfonçait sa queue d’un seul coup dans le cul, qu’il s’est figé lui aussi et qu’il a retiré son bandeau. Au bout de sa queue, ce n’était que sa femme, qui le visage tourné vers lui le regardait avec mépris. Envahi par le sentiment d’avoir été pris au piège par Sylvie, il a failli débander. Mais il avait tellement envie de baiser que l’envie est revenue aussitôt. Il serait toujours temps, après, de régler leurs comptes. Mais pour l’heure, puisqu’elle voulait se faire enculer par son mari, qu’il en soit ainsi. Alain n’avait pas remarqué que d’autres, derrière lui, étaient en train de se faire du bien en le regardant.
Aurel et Mélanie sont sortis de la chambre 144 par la porte qui mène à la 142 et ont refermé derrière eux en silence, laissant les époux légitimes se livrer à cette activité illégitime. Ils ont entendu leurs victimes hurler leur jouissance au moment de tourner le verrou. C’est pratique les chambres communicantes. Le wifi aussi c’est pratique. Il ne restait qu’à récupérer les cartes mémoires des caméras infrarouges disposées un peu partout, puis à rentrer chez eux pour faire de jolis montages compromettants.
Aurel devrait bénéficier d’ici peu d’une amélioration notable de ses prix d’achat. D’ailleurs, il pourrait bien aussi se faire faire de temps à autre une petite pipe, et même baiser gratuitement madame. Pourquoi pas, également, se servir d’elle dans des soirées coquines. Elle aurait du mal à refuser.
Mélanie devrait voir sa carrière progresser. Elle a déjà adressé un SMS au juge pour lui promettre que la prochaine fois, à l’hôtel ou ailleurs, il n’y aurait pas de piège. Elle avait très envie qu’il la baise comme elle l’avait vu baiser sa femme. Aurel n’y voyait aucun inconvénient dans la mesure où son épouse n’en verrait pas davantage à ce qu’il se satisfasse dans le cul de Sylvie.
Le projet, au début, était une œuvre philanthropique. Les réunir dans une séance de baise totale durant laquelle ils réaliseraient qu’ils se désiraient toujours autant. Ils prendraient conscience que tout est dans la tête, et leur vie serait meilleure. Puis la perversion a pris le dessus. Pourquoi ne pas joindre l’utile à l’agréable. Ça partait d’un bon sentiment.