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Temps de lecture estimé : 10 mn
05/04/18
Résumé:  Un taxi... une pute... c'est taxipute ! Qui n'a jamais rêvé de se faire conduire tout en se faisant sucer...
Critères:  fh prost voyage voiture fellation -tarifé
Auteur : Sucette stories            Envoi mini-message
Taxipute

Cette histoire commence presque par une banalité : une simple rupture amoureuse. En couple pendant deux ans avec Mathilde, au prénom rimant presque avec « Frigide », je n’avais obtenu satisfaction par manque de faveurs sexuelles. Peut-être était-ce de ma faute, de n’avoir su insuffler la flamme du désir dans le corps de cette femme. Toujours est-il que Mathilde, dans des coups de blues permanents, avait pris du temps avant d’accepter une première relation sexuelle, puis prétextait souvent coups de fatigue, de stress ou de migraines – mais jamais de menstrualités ! – pour ne jamais céder à la tension du plaisir horizontal.


Après de douloureuses semaines allant en decrescendo, je finis par prendre le pas et de mettre fin à cette relation qui ne rimait à rien. Mathilde s’était contentée de hausser des épaules, d’un air de « comme d’habitude », avait pris sa brosse à dents et les quelques culottes qui traînaient chez moi, et je n’eus pas de nouvelles avant bien des mois.


Encore anéanti par cette rupture, je mis encore quelques semaines avant de m’en remettre, puis commençai à songer à refaire des activités boudées des célibataires : sortir en bar et en boîte de nuit, et éventuellement me mettre aux sites de rencontre. C’était d’autant plus difficile, car, durant ces deux ans j’avais déserté les lieux de fête pendant que mes amis me réclamaient. C’était dorénavant leur tour de passer la main, tandis qu’ils goûtaient à la vie de couple à leur tour. La plupart m’avaient fait la remarque un peu acide de mon absence par textos, tandis que d’autres avaient tout simplement fait semblant d’ignorer mes appels répétés.


C’est durant ces interminables semaines que je voyais souvent Frédéric, un ami de prépa qui n’était pas en couple, et qui m’écoutait me désoler autour d’une bière. Frédéric était un fils à papa, à qui une vie de jeux vidéo et de cinéma semblait convenir. Il donnait l’impression de n’avoir aucune libido : il ne parlait jamais de filles, ne se retournait jamais dans la rue pour mater un cul, n’échangeait jamais de réponses un peu graveleuses quand on rencontrait une fille bien en chair là où il faut avec un décolleté scandaleux depuis un débardeur un peu trop court.


Un peu ivre, je lui révélai un après-midi que j’envisageais presque, histoire de me remettre un coup de plomb un peu coquin, d’aller voir une michetonneuse, une occasionnelle, bref, une escorte. Je savais qu’il fallait que je me refasse côté charme, tant dans mon comportement que dans mon physique qui s’était laissé aller à quelques kilos supplémentaires, et l’idée de bénéficier de sexe monnayant espèces sonnantes et trébuchantes était un fantasme, et selon moi pouvait me permettre de passer le pas.


Fred eut à ce moment un sourire un peu mystérieux. Il mit fin à notre pot, suggérant qu’il avait un film à voir au cinéma, si bien que je crus qu’il boudait et était outré de la révélation que je lui avais faite. On se fit la bise et il me proposa de passer chez lui, le samedi suivant, dans un studio cossu, rue du Chèvrefeuille, passer la soirée pour fêter le diplôme de son frère.


Dans la soirée, alors que j’étais chez moi, je reçus sur ma boîte mail un message contenant un lien, avec un titre assez évocateur. Le site sur lequel il renvoyait s’appelait sobrement « Taxipute ». Je compris rapidement les services un peu inhabituels que proposait ce site : sous couvert d’un transport classique d’un point A à un point B dans un véhicule un peu luxueux, le voyageur est détendu par des faveurs sexuelles. Je trouvais par ailleurs étrange l’utilisation d’un terme peu flatteur : nous utilisons aujourd’hui, avec beaucoup d’hypocrisie, le terme d’« escorte » pour qualifier une travailleuse du sexe, certes plus encadrée et d’un standing plus élevé qu’une simple tapineuse de trottoir. Alors l’utilisation du terme familier « pute », alors que le site était purement professionnel, faisait un réel contre-pied. Cependant, nous approchions des années 2020, et il est dorénavant de bon goût d’être beaucoup plus cru…


Le coût était assez onéreux : il fallait évidemment payer aussi bien l’entretien du véhicule que les services d’ordinaire coûteux des hôtesses. Heureusement, en ce mois de décembre, j’eus la surprise d’avoir obtenu une prime de treizième mois. Je comptais faire un beau cadeau à Mathilde ; autant me faire plaisir à mon tour. Évidemment, j’étais tout tremblant et annulai à plusieurs reprises, pris de derniers doutes, notamment vis-à-vis de mon amour-propre. Je regardais en plus les deux hôtesses potentielles. Elles étaient magnifiques, mais je savais bien qu’elles avaient mis leurs meilleurs atouts pour se vendre : maquillage, coiffure, robes de soirée et photographe professionnel pour mettre en avant leur beauté.


Finalement, après une bonne heure et demie, dans un élan de motivation et d’auto-persuasion, comme quoi ce n’était ni anormal ni mauvais, je validai l’achat. Il y avait évidemment de nombreux paramètres, comme la distance – et donc, accessoirement, la durée de la prestation – ainsi que le choix du service. Le site avait calculé la durée du trajet d’environ trente-cinq minutes, ce qui nous laissait le temps de faire pas mal de choses. Dans un élan fantasmagorique, je n’avais choisi que le sexe oral. Je n’étais pas prêt à la pénétration avec une professionnelle, mais l’idée de me faire sucer dans une voiture de luxe me convenait parfaitement.


J’avais également eu le choix de l’hôtesse : Brandy, une jolie Eurasienne qui donnait presque un air innocent, ou Jessica, une blonde aux lèvres pulpeuses au tempérament plus brûlant, si l’on croyait les photos et les descriptions. Évidemment les deux hôtesses avaient le même tarif, le prix est variable sur la prestation, non sur la personne qui donne le service… Je choisis Jessica, elle m’avait fait une meilleure impression dans le choix du vestimentaire, j’avais le droit entre une robe de soirée noire, rouge, à paillettes ou un uniforme. Ce dernier attira mon attention et je l’avais validé. Encore un fantasme à assouvir…


Une dernière bonne surprise était qu’elles acceptaient plus de choses avec un certificat attestant des tests de MST. Bien qu’il ne se soit pas passé grand-chose avec Mathilde, j’avais fait un test de dépistage, pris d’une bonne inspiration. Au moins, servirait-il à quelque chose…


J’étais assez nerveux : Taxipute venait me chercher plusieurs jours après la validation de l’achat, mais je tournais presque en rond jusque-là. Le jour venu, j’étais habillé sur mon 31 – Frédéric m’avait assuré que la plupart des invités, un peu guindés et se la croyant trop, allaient venir trop bien habillés – et regardait l’horloge un peu trop compulsivement. À exactement 20 h, je reçus un appel auquel je répondis avec précipitation :



La voix était aiguë, insolente et un peu mutine.



Je jetai un œil par la fenêtre et vis effectivement une belle berline blanche rutilante aux vitres teintées quasiment devant mon domicile. Les premières satisfactions orgueilleuses vinrent quand les passants, en particulier masculins, s’arrêtaient pour admirer la voiture qui sera mienne pour une petite demi-heure.



Je me précipitai dans la salle de bain et me collai à la fenêtre. La voiture mit encore une minute pour faire le tour le temps d’avoir les feux verts, mais dans ma tête ça se résumait à une bonne demi-heure. Je vis le carrosse blanc débouler derrière, et j’activai le bip avant de sortir de l’appartement et prendre l’ascenseur pour le parking.


Les deux hôtesses étaient sorties de la voiture. Comme convenu, Jessica était dans un uniforme noir un peu serré qui mettait en valeur sa poitrine et sa taille fine et ses jambes d’abeille. Brandy était dans une robe de soirée un peu brillante.



La dernière syllabe résonna entre les piliers du parking.



Jessica m’ouvrit la portière et je m’installai confortablement, puis les deux filles s’installèrent. Inutile de dire que j’étais complètement nerveux devant l’inédit de la situation. La voiture démarra, et la seule chose que je fis de manière vraiment active fut d’appuyer sur le bip pour nous sortir de mon parking…


Dès que nous partîmes, Jessica détacha sa ceinture de sécurité et s’agenouilla sur la banquette. Elle mit les mains immédiatement à mon pantalon et me détacha la ceinture et déboutonna la braguette avant de caresser mon caleçon.



J’eus le temps d’admirer Jessica quelques secondes : cheveux ondulés, rouge à lèvres très visible, maquillage parfait. Elle était très assurée, mais je ressentais l’envie de la réconforter ; ceci dit, au prix où j’avais payé, c’était plutôt elle qui devrait me dorloter… Ce qu’elle n’hésita pas une seule seconde : la jeune femme tira l’élastique de mon caleçon et jeta un œil dedans. Elle eut un petit sourire malicieux.



Elle commença à me masser du plat de la main avant de saisir mon sexe et lui donner un mouvement un peu plus vigoureux. À dire vrai, avant Mathilde j’avais eu deux autres conquêtes, mais ce n’était jamais allé plus loin que quelques caresses. Donc il fallait le dire, jusque-là, Jessica était celle qui branlait le mieux, et de très loin. Elle semblait calée en anatomie masculine, puisque son mouvement était parfait, aussi bien dans l’emplacement, le rythme que la pression. Je me détendis d’un coup. Comme si elle avait vu au travers de mon entrejambe comme dans un livre ouvert, elle se pencha vers mon oreille et me susurra :



Comme pour me motiver encore un peu, elle me léchouilla le globe de l’oreille, exactement au bon endroit pour que la pression remonte encore d’un ou deux niveaux. Mon sexe était dur, mais n’était complètement à son maximum. Je m’attendais à ce qu’elle recherche dans son sac à malice une ou deux astuces pour le faire tendre au plus haut point, mais sa nuque élastique se relâcha, et sa bouche enfourna mon chibre prêt pour sa récompense. J’aurais presque pu dire « sans crier gare », mais elle joua de ses cordes vocales pour m’exciter encore plus en vocalisant une sorte de « ggaaalrlrlr » tandis que sa langue s’activait pour m’attaquer à divers points sensibles. Elle s’y connaissait vraiment en pénis !


Pendant ce temps, Brandy, qui jetait un œil de temps en temps dans le rétroviseur pour ne rien rater de notre petit jeu, restait concentrée sur sa route. De temps en temps, elle faisait des petits commentaires sur l’état de la route et de la circulation, et même des anecdotes historiques dont j’entendais la moitié tant j’étais perdu dans le plaisir tandis que Jessica accélérait son allègre pompage de bite. Mais la plupart du temps elle ne disait rien et se contentait de sourire d’un air satisfait en me jetant des clins d’œil malicieux dans le rétroviseur. Je me surpris même, alors que le service n’était pas terminé, vouloir rappeler Taxipute pour échanger les rôles…


À l’extérieur, lorsque nous nous arrêtions aux feux rouges, je voyais les hommes s’approcher pour mieux admirer la voiture. Moi qui n’avais pas le permis et ne savais faire la différence entre un cabriolet et une berline, je me retrouvais à quelques mètres de curieux qui semblaient plus admirer les courbes blanches de la tôle que celles de ma partenaire… De toute façon, ils ne pouvaient nous voir du moins à cette distance, avec les vitres complètement noires. J’imaginai des commentaires reluisants, comme « Tu as vu ça ? Ça doit sucer un max… ».


Lors de feux plus longs, les badauds ne se gênaient pour s’approcher un peu plus pour mieux regarder la voiture.



Avant de s’adonner de nouveau à sa fellation experte. Elle m’aspira violemment, me suçota, me pourlécha, et abandonna de temps en temps pour faire prolonger mon désir. Sur les grands axes, pendant que le moteur commençait à s’emballer, elle accélérait la soupape ; dans les virages serrés, elle était dans un rythme de croisière plus lent ; et parfois, elle inversa le rythme, si bien que je ne savais où donner de la tête – elle, si… Dans une telle position, elle ne pouvait pas me lécher les bourses, mais en réalité je me contentais parfaitement de ma bite dans sa bouche et rien d’autre.


Je reconnus le quartier, puis la rue, et enfin le grand bâtiment. Brandy avait certainement donné un signal secret que je n’avais repéré, et Jessica, par je ne sais quel miracle, sembla avoir trouvé parfaitement le moment pour me faire jouir.



Elle se retira et me sourit tout en s’essuyant la bouche.



Sur ce, puisque j’avais payé, je n’eus rien faire d’autre que remonter mon pantalon, reboutonner ma braguette et resserrer ma ceinture. Jessica sortit pour m’ouvrir la portière et Brandy se tint également sur le trottoir. De loin, je vis Fred qui revenait de la supérette en compagnie d’un de ses amis avec quelques paquets de gâteaux apéritifs en surplus. Il me vit, et eut la bienséance de s’arrêter le temps que je dise au revoir aux filles.



Sur ces derniers mots, Brandy remonta au volant et Jessica se mit à la place voyageur, et elles repartirent en trombe aller chercher un autre client. Frédéric s’approcha pour me féliciter d’avoir suivi son conseil, mais je n’entendais plus grand-chose, imaginant déjà les prochaines aventures que je pourrai avoir avec Jessica ou même Brandy, peut-être un peu plus qu’une bonne pipe puisqu’elles semblaient si douées… pourvu que j’aie de quoi régler !