La journée de boulot se termine, Jérôme rentre rapidement chez lui. Il se dit qu’un message l’attend sur sa messagerie instantanée. Il en est certain car cela fait déjà trois mois jour pour jour qu’il dialogue avec elle tous les soirs. Il est particulièrement excité ce soir car il a en plus une nouvelle inattendue à lui annoncer, elle lui a promis une ou deux photos d’elle avec sa fameuse robe moulante qu’elle a dû recevoir d’Internet hier, ainsi qu’en maillot de bain une pièce provenant du même site. Il la connaît maintenant et n’est pas du genre farouche dans les très nombreuses discussions qu’il a eues avec elle, et est du genre esprit ouvert : tout ce qu’il aime.

Il considère Sandra parmi les filles les plus charmantes avec qui il a pu dialoguer cette année. Elle n’est pas vraiment une fille ultra belle comme on peut en voir mais son visage lui a plu au premier coup d’œil, et le peu de photos postées lui ont révélé une jolie brunette aux cheveux mi-longs, ayant une silhouette harmonieuse avec des seins moyens qu’il a rapidement jugés sur une photo sur laquelle elle portait un débardeur.

Il jette ses clefs de voiture sur le buffet de l’entrée, retire ses chaussures et file allumer son ordinateur posé sur la table basse du salon. Il s’installe au bord du canapé pendant que l’ordinateur s’allume et voit apparaître la fameuse enveloppe tant attendue : il clique…

Son cœur s’accélère lorsqu’il voit deux pièces jointes dans le message. Il espère y découvrir un peu plus du corps de Sandra. Il ouvre la première photo et n’est pas déçu de la voir de face, la photo la dévoilant quasiment entièrement, vêtue d’une robe jaune à fines bretelles et ayant les deux pans de tissu assez échancrés sous les bras et sur le devant provoquant un décolleté prononcé. Il distingue la taille moyenne des seins de Sandra, avec la forme des tétons discrètement moulés par le tissu fin. Puis il clique sur la deuxième photo qui lui fait s’emballer les battements de son cœur. Sandra apparaît cette fois-ci dans sa salle de bain, avec un maillot de bain une pièce rouge semblant être un peu petit puisque la moitié de ses seins sont visibles et particulièrement le sein droit dont la bordure du mamelon marron clair semble dépasser. Le décolleté de ce maillot de bain est lui aussi assez prononcé et il distingue également la forme des lèvres de sa chatoune parfaitement moulée dans le tissu. Il n’est vraiment pas déçu et ne peut contrôler une vive érection dans son boxer. Il lui a promis lui aussi une photo en sous-vêtement et en profite pour se prendre en photo dans son état actuel car il sait qu’elle apprécie les belles queues.

Un message lui parvient de Sandra :

Et après quelques échanges durant plus de deux heures, la conversation prend fin. Sandra n’en revient pas d’avoir accepté la proposition de Jérôme. Mais il est tellement gentil, prévenant, suffisamment coquin tout en restant très correct et en plus il est beau ! Que demander de plus ?

Jérôme lui a donné les modalités pour le départ et lui a indiqué le rendez-vous à l’aéroport. Elle prépare sa valise avec soin en veillant à ne rien oublier. Le maillot de bain rouge non, elle ne le prendra pas car pas du tout confortable. Elle se contentera de son maillot deux-pièces de l’an dernier. Il lui donne un air plutôt sexy avec son bas qui lui rentre généreusement dans les fesses. Rien que d’y penser elle s’imagine la réaction de Jérôme lorsqu’il le verra sur elle : « Il y a des boxers de bain qui vont se déformer ! » se dit-elle.

Ils arrivent tous les deux à l’aéroport en fin de soirée. Le mois de juin commence à être torride sur la France alors en Sicile, cela ne va guère aller mieux. Ils s’échangent les banalités d’usage et se dirigent vers l’embarquement. Le vol semble leur paraître très court tant ils discutent encore et encore. Ils ont l’impression de se connaître depuis des années tellement ils sont en osmose. Les rires fusent, et la complicité s’installe.

Ils arrivent en Sicile. La navette les amène directement à leur magnifique hôtel bordant une mer turquoise. Ils sont surpris de voir autant de palmiers et de fleurs multicolores dans le grand parc qu’ils doivent traverser pour se rendre à leur bungalow privé. Au loin, sur la droite, ils aperçoivent la grande piscine et à gauche une plage de sable blanc avec quelques vagues se fracassant sur quelques rochers à peine immergés.

Ils découvrent la belle chambre spacieuse. Un lit king-size unique, une belle salle de bain avec douche italienne et un grand balcon équipé de deux gros fauteuils confortables.

• — Eh bé ! Ils ne se sont pas foutus de toi ! On va être royal ici !

Jérôme ne peut s’empêcher de faire un plongeon sur le lit pour tester sa fermeté. Puis restant allongé :

• — Trop bien même !
• — Quel est le programme ?

Jérôme en regardant se montre :

• — Eh bien il est déjà 23 h, je te propose de déballer nos fringues et les ranger dans l’armoire, et d’aller doucement se coucher car je ne sais pas pour toi mais depuis 6 h ce matin et le trajet pour venir à l’aéroport, je suis vanné.
• — Moi idem. Je vais prendre une douche pour me rafraîchir et au lit !

Sandra attrape un de ses longs tee-shirts qu’elle met pour dormir, ainsi qu’une culotte blanche en dentelle et rentre dans la salle de bain. Jérôme entend l’eau couler et imagine Sandra sous cette eau fraîche salvatrice. Quelques minutes plus tard, la voilà qui ressort. Son tee-shirt gris clair est assez ample et est tenu sur les épaules par deux grosses bretelles. La découpe lui fait penser à un maillot de basket. Il remarque les seins de Sandra remuer librement dessous. Il adore cette vision. Le tee-shirt lui arrive mi-cuisses cachant donc la culotte qu’elle porte. Il la croise avec un large sourire et rentre à son tour dans la salle de bain.

Il prend à son tour sa douche puis en ressort vêtu d’un caleçon en coton bleu ayant deux boutons blanc sur le devant et torse nu. Sandra est déjà allongée et le drap du lit lui recouvre les seins. Elle le voit déambuler dans la chambre pour poser ses affaires et remarque la forme de la queue au repos de Jérôme se balancer sous ses pas et son joli torse imberbe et un peu musclé, juste ce qu’il faut. Cette vision l’amuse et empourpre ses joues. Jérôme vient la rejoindre et se glisser à son tour sous le drap. Gentiment, ils finissent la journée lumière éteinte, ayant laissé les rideaux ouverts la lune les accompagne de sa teinte blanchâtre dans un profond sommeil.

La gorge sèche il se réveille. Il s’assoit dans le lit et observe Sandra profondément endormie. La lune éclaire suffisamment la pièce et il la voit sur le côté lui faisant face. Le drap s’est décalé vers le bas et ne lui recouvre que les cuisses. Elle a une cuisse repliée et remarque que le bas de son tee-shirt est un peu relevé et découvre une partie de sa culotte. Ses yeux remontent sur le tee-shirt et son cœur commence à s’emballer lorsqu’il découvre que la moitié d’un sein est sorti par l’échancrure sous son bras. Il se dit qu’il suffirait d’un simple mouvement de corps pour qu’il sorte complètement. Cela lui donne une idée aussi amusante qu’excitante. Il se lève discrètement et attrape une petite bouteille d’eau pour se désaltérer. Il se recouche et dans une envie d’exhibition calculée, il baisse son caleçon de façon à dévoiler suffisamment une partie du haut de sa queue au repos faisant mine que le caleçon s’est abaissé tout seul durant la nuit. Il espère bien évidemment que Sandra se réveillera à son tour et le remarquera.

Sandra sort doucement de son sommeil se demandant où elle se trouve. Ce voyage avec Jérôme était-il dans son rêve ou réel ? Elle entend la respiration régulière de Jérôme à ses côtés. La tête tournée vers lui, elle commence à se redresser doucement dans le lit et se rend compte que le drap ne lui couvrait plus que les cuisses. Elle se met à imaginer Jérôme se réveillant alors qu’elle est profondément endormie et avoir une vision sur sa culotte. Cela la fait sourire. Puis avant de se lever, son regard se pose plus bas vers le drap et aidée par la faible lumière de la lune, elle distingue le caleçon de Jérôme légèrement baissé lui dévoilant le bout de son gland non décalotté. Sa queue est au repos, cela se voit bien mais la vision de ce sexe partiellement dévoilé lui empourpre les joues.

Elle se dit à elle-même « Trop mignon le bout de cette bite ! Cela fait combien de temps que tu n’en as pas vu ? Il faut que tu penses a autre chose ma vieille car tu te mets à t’exciter comme une folle ! »

Sandra se lève encore plus doucement que prévu car elle ne voudrait pas réveiller Jérôme au risque qu’il se retourne et cache le précieux organe. Elle se dirige vers la salle de bain pour se désaltérer à son tour puis revient vers le lit. Jérôme n’a pas bougé d’un poil. Elle se met à avoir une idée qui lui fait emballer les battements de son cœur : « Et si je faisais mine que ma culotte s’est baissée toute seule dans mon sommeil ou qu’un de mes nichons s’est fait la malle sur le côté de mon tee-shirt et que Jérôme le voie ? Ce serait à la fois amusant et super excitant… » Elle s’allonge doucement et s’emploie à faire des tests en baissant suffisamment sa culotte pour dévoiler la moitié du haut de sa touffe brune taillée en V, puis décale son tee-shirt de façon à libérer le sein le plus proche de Jérôme. Son 85B à l’air elle ne bouge plus et espère ne pas s’endormir pour sentir le regard de Jérôme sur elle lorsqu’il se réveillera.

* * *

Un rayon de soleil perce dans la chambre et commence à illuminer de plus en plus la pièce. Cela fait sortir peu à peu Jérôme de son profond sommeil. Il s’étire et ouvre les yeux qui immédiatement se posent sur son caleçon. Il découvre qu’il n’a pas bougé durant la nuit et le bout de son sexe est toujours visible. Il tourne ensuite sa tête vers Sandra toujours endormie et sent son cœur s’emballer lorsqu’il voit son sein nu sorti par l’échancrure du tee-shirt. « Quel magnifique sein ! » Il détaille le mamelon rose pâle avec son aréole de petite taille et le téton légèrement arrondi. Ses yeux descendent vers le bas et découvrent le haut de la toison brune de Sandra révélée par la culotte qui s’est abaissée. Il se rend compte de la coïncidence de cette situation avec son stratagème qu’il a fait lui-même avec son caleçon. Il sent immédiatement une érection arriver et lui faire sortir quasiment entièrement sa queue qui se décalotte toute seule en sortant du caleçon.

Sandra se réveille à son tour, peut-être aidée par son subconscient sentant des regards sur elle. Elle voit Jérôme accoudé sur le côté les yeux fixant sa toison à moitié libérée et comprend immédiatement la situation qu’elle espérait. Elle voit son sein nu dépasser et se redresse doucement. Jérôme la voit bouger et son regard se transforme en surprise.

• — Hello ! Tu as bien dormi ? Moi j’ai dormi comme un bébé ! dit-elle avec un sourire et se redressant.

Son regard se pose alors sur la queue toute raide et complètement décalottée sortie du caleçon.

• — Eh bé ! C’est ce qu’on appelle l’érection du matin ! Lol en voilà une belle queue ! Qu’est-ce qui te fait mettre dans cet état ?

Sentiment de gêne, de panique, Jérôme pose sa main dessus pour la cacher.

• — Euh désolé excuse-moi… Je n’ai pas pu me retenir en voyant ce joli spectacle que le matin m’a offert !

Sandra regarde son sein nu et sa toison sans les cacher.

• — Ah OK je comprends maintenant ! Hi-hi…

Et sans se couvrir, Sandra lui explique :

• — Cette nuit je me suis levée pour boire un coup et j’ai remarqué que ton caleçon s’était un peu baissé et j’ai vu le bout de ta bite dépasser. Ça m’a donné une idée de faire pareil… Apparemment ça t’a plu ! Lol.

Puis retirant finalement sa main et libérant sa bite :

• — Tu as vu l’effet que ça m’a fait de voir le haut de ta chatte et ton superbe sein dépasser ?
• — Et encore tu ne l’as pas vue complètement !

Elle retire alors complètement sa culotte et son tee-shirt. La voilà entièrement nue à côté de lui. Elle se tourne sur son côté et approche sa tête du sexe de Jérôme et le prend dans sa bouche. Elle le suce avec application pendant qu’une main se pose sur un de ses seins qu’elle caresse en faisant rouler ses tétons sous ses doigts et l’autre caressant sa chatte. Elle s’applique dans cette fellation et ressort régulièrement le chibre turgescent le faisant taper sur ses lèvres, sa langue le léchant comme l’on lèche une glace, de sa base au sommet. Puis elle active ses mouvements de va-et-vient de plus en plus rapidement avec sa main, faisant gicler, au bout d’un moment, des jets de sperme épais et laiteux sur son visage.

Reprenant peu à peu ses esprits, Jérôme se penche sur Sandra qui s’est rallongée, la regarde en souriant tout en posant sa main sur un sein qu’il se met à caresser. Il approche sa bouche du le mamelon qu’il embrasse puis lèche avec le bout de sa langue, lui aspire légèrement le téton durci avec ses lèvres, puis se redresse un peu plus pour contempler cette magnifique toison. Il se décale vers ce triangle faiblement touffu, s’approche encore plus, se met entre les cuisses écartées de Sandra, puis avec application, lui lèche les petites lèvres trempées. Sandra se cambre et ne peut s’empêcher de jouir rapidement…

• — Cela fait bien longtemps que je n’avais pas eu un réveil aussi agréable ! dit-elle en souriant à Jérôme. Cela promet une semaine pleine de promesses…