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n° 18329Fiche technique18536 caractères18536
Temps de lecture estimé : 13 mn
15/04/18
corrigé 06/06/21
Résumé:  Un début...
Critères:  f collègues cérébral vidéox fmast jouet confession -mastf
Auteur : Caroline            Envoi mini-message

Série : Plaisirs de la vie

Chapitre 01 / 03
Un début

Avant j’étais sage, mais ça c’était avant. Pendant des années, j’ai tout sacrifié à mes études puis à mon boulot. J’ai fait la connerie de ma vie en laissant de belles années passer. Je voyais mes copines sortir avec leurs copains et moi je restais seule à bosser sans me rendre compte qu’il n’y avait pas que le boulot dans la vie. Chaque jour c’était dodo, boulot, dodo et rien d’autre. Quand un mec me draguait, je haussais les épaules ne sachant pas quoi répondre et les deux seules fois où je suis sortie avec un mec, je les ai plaqués dès qu’ils ont voulu aller trop loin. Pour les collègues du boulot, j’étais la bonne copine un peu nunuche avec qui on discute mais avec qui on n’imagine même pas sortir. Quand j’entendais les blagues vaseuses des gars qui faisaient rire tout le monde, je m’enfuyais mais le soir, quand j’étais seule et que j’y repensais en rougissant, je sentais un petit filet couler au niveau de mon entrecuisse dans ma petite culotte. J’en ai pleuré d’être comme ça et de ne pas trouver le moyen de changer les choses.


Cet hiver, je suis allée en vacances chez mon amie Solange. Elle a 21 ans et elle, elle est déjà en couple. Elle a toujours eu du succès avec les mecs et je ne compte plus le nombre de ceux qui sont passés dans son lit. Elle passe des heures devant la glace à se préparer avant de sortir et son dressing est plein à craquer de petites tenues sexy pour sortir et faire craquer les mecs. Quand je suis arrivée chez eux, son copain n’était pas encore rentré du boulot et on a eu la même conversation qu’on avait déjà eue des tas de fois ensemble sur elle et moi et nos vies si différentes.



J’ai passé de super vacances avec elle et son copain qui est vraiment un beau mec. Deux jours avant la fin des vacances chez eux, je cherchais la télécommande qui avait disparu. J’ai ouvert le petit placard sous la télé, et sous un CD de Taylor Swift j’ai découvert un stock de DVD pornos. En voyant la pile, mon cœur s’est mis à battre et j’ai bien vérifié que ni Solange ni son copain n’étaient dans les parages avant de regarder plus précisément les images hyper excitantes des boîtiers. Il y avait des gros titres avec des mots très crus que j’avais mille fois entendus dans la bouche des autres, mais là, en plus, il y avait des images : visages de cochonnes dégoulinants de sperme, entourés de quatre bites. Femmes à quatre pattes entre deux hommes. Une femme en train de se goinfrer deux glands dans la bouche en même temps. Oh, mon Dieu ! Quelle sensation ça peut faire de se retrouver avec deux glands dans la bouche ? Y a-t-il beaucoup de femmes qui font ça ? J’étais excitée à regarder ces images et j’aurais voulu les regarder toutes mais je ne pouvais pas car j’avais peur que Solange – ou pire encore, son copain – monte et me voie.


Sans faire de bruit, comme une gamine qui vient de faire une bêtise mais qui ne veut pas que ça se sache, j’ai arrêté de respirer et j’ai refermé tout doucement le placard. Je suis revenue avec Solange et son copain qui goûtaient au rez-de-chaussée dans la cuisine.



Je n’ai pas pu m’endormir ce soir-là. Je repensais trop aux images sur les DVD. Mille fois dans ma vie je m’étais retenue de faire ça, mais là je ne pouvais pas résister. Ma main a glissé dans ma petite culotte blanche, et pour la première fois je me suis masturbée. J’avais ma petite chatte mouillée, et comme une vraie dévergondée je pensais à tout ce que je n’avais jamais fait mais que j’avais maintenant envie de faire.


Deux jours après nous devions sortir tous les trois et retrouver des amis, mais j’ai prétexté une grosse migraine et des vertiges pour ne pas aller avec eux.



Après avoir bien vérifié que la voiture était partie, j’ai foncé sur le petit placard, j’ai pris un DVD au hasard et j’ai commencé à le regarder. Dès la première scène, mon cœur s’est mis à battre tout fort et j’ai senti que je mouillais ma culotte. Comme une automate, je me suis masturbée, et en quelques mouvements de doigts sur mon petit clito j’ai eu le monstrueux orgasme que je cherchais. Pleine d’envie de faire encore quelque chose que je n’avais jamais fait, j’ai regardé ma main trempée et j’ai léché mes doigts pleins de mouille ; j’en avais partout sur la bouche. J’ai continué à regarder la scène suivante où une fille se faisait prendre par ses trois trous en même temps, et bis repetita, j’ai recommencé à couler. Impossible de ressortir ma main de ma culotte et d’arrêter mes caresses de plus en plus osées. Ce n’était plus avec une main que je me caressais mais avec les deux, et déjà un de mes doigts était passé derrière pour caresser mon petit anneau tout serré et essayer de rentrer à l’intérieur. Toutes ces images crues entraient en moi et me faisaient un tel effet que je sentais que j’avais envie de devenir comme ces actrices du film.


Quand ils sont rentrés le soir, j’étais déjà couchée car je ne voulais pas qu’ils me voient ou qu’ils soupçonnent quelque chose. J’aurais été morte de honte s’ils avaient su que je connaissais l’existence de ces films, et encore plus s’ils avaient su ce que j’avais fait. J’étais sûre que c’était les DVD du copain de Solange, mais ce qui me turlupinait le plus, c’était de savoir si Solange les regardait avec lui et, si c’était le cas, s’il lui demandait lui aussi d’offrir son visage pour lui gicler dessus. Avait-elle déjà essayé de faire l’amour avec deux ou trois hommes ? Pour moi qui n’avais jamais été en couple et qui n’avais eu que quelques histoires d’amour soft, tout cela était nouveau.


Le lendemain, j’avais l’impression que j’allais rentrer comme une pauvre pomme dans mon appart à reprendre le train-train, mais en fait non car quelque chose avait changé en moi.


Depuis mon retour de vacances, dès que je rentre du boulot le soir et que je suis seule sur mon lit, mes mains descendent irrémédiablement vers ma minette et j’astique mon petit bouton qui se met très vite à gonfler et je jouis à en perdre haleine. Parfois, même mes deux mains ne suffisent plus. J’ai bien senti que mes besoins avaient augmenté dernièrement ; alors, ni vu ni connu, j’ai fait mes emplettes sur Internet et fait chauffer la carte bleue.


J’ai repensé aux tenues de Solange, et tout y est passé : commandes de petites tenues affriolantes et lingerie fine, et puis et surtout, dans un état d’excitation avancé, je me suis commandé un énorme gode rose ; et en traînant un peu, j’ai aussi commandé des petites boules de geisha qui avaient la faveur du public sur le site. Maintenant, tous les soirs, ma minette attend sa ration, et dès que je suis sur le lit je me mets sur le dos, je relève mes jambes jusqu’à avoir les genoux au niveau des épaules, j’écarte tout grand les cuisses et je commence à sucer mon nouveau joujou rose avant de me l’introduire tout doucement entre mes lèvres trempées de mouille pour me faire jouir dans un bruit très excitant de succion. Mon Dieu, que c’est bon !


Je peux pas m’empêcher de couiner lorsque l’orgasme arrive. Je me sens devenir une cochonne au fur et à mesure des jours qui passent, et chaque fois que je sors dans la rue ou que je suis au boulot j’ai l’impression que les hommes peuvent lire sur mon visage toutes les envies de baise qui m’envahissent.


Chaque matin, avant de partir, je prends les petites boules de geisha que je lèche avant de me les mettre tout au fond de la chatte et je sélectionne la tenue la plus courte possible pour qu’une fois assise tout le monde puisse voir que je porte des bas blancs que je me suis commandés. Je veux que les hommes qui me plaisent sachent que je ne suis plus comme avant, que je suis une femme qui a des envies de salope. Au boulot, dès que je suis assise et que je suis seule avec certains collègues mignons, j’écarte sans en avoir l’air les cuisses devant eux, et je me suis aperçu que parfois une bosse se forme peu à peu sous leur pantalon ou qu’ils se mettent à bégayer ou à changer de position soudainement. Hier, remontée à bloc, j’ai recommencé mon manège devant un collègue que je trouve attirant.



En disant ça j’ai écarté encore un peu plus mes cuisses pour qu’il voie encore mieux ma culotte sous ma jupe ultra-mini relevée au maximum.



Il a déchiré un petit bout de papier de son bloc-notes et a écrit quelque chose dessus puis il s’est approché de moi, a pris ma main et a mis le papier dedans puis, lorsqu’il a mis ses mains sur mes épaules et que j’ai senti qu’il allait m’embrasser, je me suis écartée au dernier moment.



Une pisseuse moi ? Pfff ! Tant qu’à faire je préférerais encore le mot allumeuse. Quelle conne j’ai été, il a raison ! J’ai vraiment l’impression de revenir en arrière. Je peux pas laisser passer ce coup-là, merde ! Ma timidité va encore tout foutre par terre. Qu’est-ce que je fais, j’y retourne ? Non ! Tant pis ! Terminé pour aujourd’hui et puis j’ai du boulot.


Premier rendez-vous puis deuxième, puis tous les autres rendez-vous, j’en peux plus ! Je repense à ses yeux braqués sur ma culotte et j’arrive pas à me concentrer. La fin de la journée approche. Je rentre enfin, heureusement car je sens que ma culotte est trempée à tordre à force de penser que j’ai osé écarter mes cuisses et que j’ai montré ma culotte comme une salope pour faire bander un mec… Je ne peux pas rester comme ça : il faut que je me fasse jouir. Je referme la porte de chez moi et direct, sans attendre, je passe ma main sous ma culotte et je plonge dans ma chatte pour retirer mes boules qui sont toutes gluantes de mouille. Mon protège-slip est lui aussi dans un sacré état. Allez, poubelle !


Je regrette que mon joujou rose soit au lavage, mais tant pis ! Deux doigts sont déjà en train d’écarter mes lèvres hypersensibles, et en deux temps trois mouvements ils sont sur mon clitoris ; et là je craque, je gémis, je jouis. Je me mords les lèvres pour ne pas crier, et dans ma tête tous ces mots qui me viennent : « Je suis une petite cochonne, une belle petite salope. Je suis en chaleur et je sais que maintenant un homme au moins le sait aussi. Je commence à devenir comme les filles des films, à faire comme elles, et je n’arrive plus à m’en empêcher. » Je suis tellement trempée que je prends une autre culotte et que je mets une serviette pour éviter que les grandes eaux la mouillent elle aussi. Il faut que je retrouve le petit papier que j’ai froissé pour voir ce qu’il y a dessus. Mais où est-il ? Qu’y a-t-il écrit dessus ? Son numéro ? « Je t’aime », ou pire ? Après un instant de panique à penser que je l’ai perdu, je le retrouve, et c’est son numéro de portable qu’il y a écrit dessus. Il faut que je fasse quelque chose pour récupérer le coup, et là – chose dont je ne me serais jamais sentie capable avant – je prends mon portable… J’hésite un instant, mais je suis tellement excitée et j’en ai tellement envie que je prends une photo de mon petit minou tout ouvert et je me décide à la lui envoyer avec un petit message :



Et hop, j’envoie ! J’ai chaud. Qu’est ce que j’ai fait, moi ? Et cette photo ? J’aurais peut-être pas dû ! Tant pis, c’est fait ! Comment il va prendre ça ? Peut-être que j’ai fait la connerie de ma vie…


C’est long, la réponse quand on envoie un truc comme ça. J’attends, et j’ai les images des films de cul du copain de Solange qui recommencent à défiler dans ma tête. Je me lance un défi : lui faire une pipe. Je me vois déjà lui astiquer sa queue dans ma bouche pour le faire gicler et le boire, s’il me le demande.


Tout change ; les mots qui me viennent, les images auxquelles je pense, ce que j’ai envie de faire… Je suis passée tellement vite de la fille prude à une femme qui se comporte comme une petite chienne que je ne me reconnais déjà plus.


Toutes les secondes je regarde mon portable pour voir s’il y a une réponse, mais rien. Je sens que j’ai exagéré, que c’est non et que je vais passer pour une conne si l’envie lui venait de raconter ça aux autres. Mon Dieu, et s’il racontait ça aux autres, qu’est ce que je vais devenir ? Mais, putain, il en met du temps !


Et puis au bout d’une éternité, sa réponse arrive…




Bisous à tous et toutes.

À suivre si l’anecdote vous a plu.