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Temps de lecture estimé : 16 mn
22/04/18
Résumé:  Alice profite d'une journée ensoleillée au bord de la plage. Plusieurs rencontres vont l'amener à passer une journée encore plus agréable que prévu.
Critères:  fh grp fbi couleurs asie inconnu grossexe grosseins plage caférestau toilettes odeurs massage intermast entreseins fellation cunnilingu anulingus pénétratio
Auteur : Chienbrun      Envoi mini-message
Les saveurs du soleil d'été

Le soleil. Il est si bon de sentir sa chaleur sur sa peau. De caresser son corps chaud lorsqu’il vient d’être baigné par l’astre des lumières. Bon sang, que ferions-nous sans lui ? L’été est ma période favorite de l’année. Le retour des vêtements légers si agréables à porter. On dit du printemps qu’elle est la saison des amours. Peut-être. Mais alors que dire de la saison suivante ? Je sais ce que vous pensez : l’été est indubitablement la saison du sexe. Mais oui, voyons, nous passons le plus clair de notre temps à moitié nus durant nos vacances et regardons passer hommes et femmes derrière nos lunettes de soleil.


Qui n’a jamais observé avec délectation le défilé tout en faisant semblant de lire un livre sur la plage ? Dès que nous sommes en âge de connaître les joies du corps enfiévré, on regarde, on essaye de s’imaginer. On en voit de belles choses. Alors la machine à fantasmes se met en route…


Combien de fois j’ai regardé ces hommes passer devant moi avec leur sexe dans leur maillot de bain, ces surfeurs se changer à même la plage dans leur combinaison moulante ? Puis il y a toutes ces femmes qui derrière leur bikini semblent pour ainsi dire nues. Leur abricot prêt à être cueilli. Bien sûr, je n’aborde pas les adeptes du monokini, ni même les camps de nudistes.


Je me rappelle d’une fois où je regardais ce merveilleux spectacle, une brise légère effleurait ma peau en plus du soleil qui ne finissait pas de la caresser. J’ai vu passer deux merveilleux prototypes de la masculinité. Ils étaient beaux à en faire damner un saint. L’un avait la peau d’ébène, il était merveilleusement bien bâti. Le second, plus fin, avait la peau dorée magnifique des hommes de l’Inde. Le pire, c’est qu’ils se sont installés juste à côté de moi. Plus exactement devant moi, à disons deux à trois mètres. Ils ont posé leurs affaires et m’ont demandé gentiment si je pouvais les surveiller. Si je pouvais les surveiller ? Bien sûr ! Mais je n’allais pas regarder que leurs serviettes.


Quand ils sont revenus de leur baignade, leurs corps humides n’en étaient que plus désirables. Je crois que mon maillot devenait aussi mouillé qu’eux. Ils se sont séchés sous mes yeux qui, derrière mes lunettes, n’en perdaient pas une miette. Bon sang, si je m’étais écoutée, j’aurais glissé ma main vers mon entrejambe. J’avais le feu ; il faut dire que mon ex m’avait quittée deux semaines auparavant en prétextant vouloir prendre le job de ses rêves je ne sais où en Hollande. Tant pis pour lui, mais pour moi aussi qui devenais un peu en manque ; ces deux hommes me combleraient tellement.


Tombée dans mes rêveries, l’un d’eux m’adressa la parole en me remerciant tout d’abord pour avoir gardé l’œil sur leurs affaires. C’est alors que je ne sais pas ce qu’il m’a pris, du tac-au-tac je lui ai répondu :



Mais ce n’est pas vrai, où avais-je la tête ? Ces mots étaient sortis soudainement et je n’avais pas su les retenir. Pour le coup, je crois que je devais vraiment être affamée pour avoir sorti une chose pareille.



Regardait-il mon entrejambe, ou je rêvais ? Était-il possible que mon maillot laisse paraître mon humidité ? Étaient-ce déjà les pointes de mes seins qui apparaissaient sous mon haut ? Dans quoi m’étais-je fourrée ?



Pendant ce temps je ne pouvais m’empêcher de penser que la chance serait de les avoir à la maison, à m’occuper d’eux ou l’inverse.



Voilà la question que j’attendais, celle qui vous laisse penser que la réussite est de votre côté.



Bon, c’était chaud, mais ça valait la peine d’être explicite. Je ne vous raconte pas : en bas, dans mon maillot, c’était la fourmilière. En même temps j’avais beau avoir très envie de rentrer rapidement chez moi bras dessus bras dessous avec ces beaux jeunes hommes, autant je n’étais pas du genre à me laisser attraper comme la première souris venue entre les griffes d’un matou.



Tiens, il avait une langue donc, mais savait-il s’en servir seulement ? Il faut avouer une chose : quand les hommes ont envie, non seulement ils n’y vont pas par quatre chemins, mais en plus ils aiment suivre leurs pulsions au point de vous suivre sur commande.


Nous avons donc récupéré nos affaires avec engouement. J’avançais vers le bar de la plage avec la conviction que j’allais passer un bon moment, peut-être même excellent.

Je commandai une piña colada pendant que mes deux nouveaux amis commandaient leurs boissons respectives. Après que le serveur – qui avait un cul merveilleux, au passage – soit parti nous préparer nos boissons, je repris du courage et entamai la conversation. Il s’agissait désormais de la jouer fine pour terminer l’après-midi dans les meilleures conditions.



Je me sentais bien là à ce bar avec ces deux beaux mâles, le sable fin et l’air marin que j’affectionnais tant. Et comme le soleil était bon ce jour-là ; une journée presque parfaite.


Il s’avéra que les deux hommes étaient en capacité de m’intéresser à plus d’un titre. L’un était plombier, l’autre chauffagiste. Si leurs compétences étaient au niveau, je n’aurais aucun mal à leur trouver quelque chose. Puis nous avons parlé de divers sujets, mais j’avoue que je ne faisais cela que pour l’envie de faire durer le plaisir. Celui de les ramener chez moi.


Après avoir regardé attentivement l’un et l’autre en discutant, je percevais déjà les premières idées sensuelles me transporter. Je regardais les belles et grandes mains du plombier en m’imaginant le voir sortir son tuyau, et son ami qui avait un regard profond me donnait tout autant d’envies. Un chauffagiste, c’est fait pour réchauffer, non ? Oh, je sais ce que vous allez me dire : la chaleur du soleil, le sable chaud réchauffaient déjà beaucoup, mais j’avais besoin d’une autre chaleur.


C’est alors que j’eu une envie pressante, et je ne sais pas si c’était le fait que j’avais mouillé particulièrement tout à l’heure ; il fallait absolument que je me soulage. J’ai donc rejoint les toilettes du bar. Elles venaient d’être entièrement refaites car ce même bar accueillait des soirées à thème durant le période estivale. L’investissement se voyait ; j’aurais presque voulu avoir le même espace chez moi. Du bel ouvrage.


Lorsque je suis sortie, je retrouvai la pièce des lavabos qui était commune aux deux sexes. Je me trouvai être en face de Thomas, si beau avec sa peau sombre et ses muscles saillants. Il me sourit de toutes ses dents. Je n’avais pas vu qu’il m’avait emboité le pas. Je lui souris également. Nous prîmes le temps de nous laver les mains ; le savon sentait très bon, comme un mélange de jasmin et de vanille des îles. Il se sécha les mains avant moi et se plaça derrière moi. Tout en me regardant dans le miroir, il entreprit de caresser mon dos et mes épaules en les effleurant. Ses gestes étaient à la fois doux et assurés. Il me massa les épaules et le cou, ce qui me relaxa immédiatement. Le bougre savait y faire. Ses grandes mains étaient expertes.


J’ignore réellement combien de temps ce massage dura. Il fut exquis ; et pour ma part, même s’il avait été en réalité relativement court, il m’avait transportée durant de longs moments.

Lorsqu’il s’est arrêté, j’aurais voulu qu’il recommence encore. Mais je suis parvenue à prendre sur moi et j’ai simplement dit qu’il fallait retourner au bar rejoindre Amiya.



Je ne compris pas immédiatement pourquoi il ne pouvait venir tout de suite, jusqu’à ce mes yeux tombent sur son maillot : il était totalement déformé par une superbe érection.



J’eus du mal à détacher mes yeux de ce membre caché par ce tissu fin, que je mourais d’envie de découvrir davantage. C’est donc les joues empourprées que je rejoignis Amiya. Ce dernier n’avait pas perdu de temps ; sous son air timide, il avait pourtant invité une jeune demoiselle à notre table. Je rejoignis ma place en m’asseyant à côté d’elle. Elle portait un petit maillot rose qui lui moulait adorablement le cul. Elle portait en haut simplement un tee-shirt blanc d’une célèbre marque qui laissait transparaître une jolie poitrine, certes plus ferme que la mienne, mais aussi plus petite, mais dont les petits tétons semblaient pointer vers le haut.



Elle avait un charme fou, cette Renata. Un visage très dessiné et des lèvres fines. D’allure sportive, elle pratiquait le beach volley en compétition. En quelques minutes elle donna l’impression qu’elle était à notre table depuis des heures. C’était très agréable et étonnant. Amiya m’expliqua en quelques mots qu’ils s’étaient rencontrés il y a quelques jours et avaient sympathisé. Quand il l’avait vue rentrer dans le bar, il l’avait interpellée et l’avait invitée à notre table.


Thomas arriva quelques instants après ; je n’osais regarder si son érection avait totalement disparu. Mon esprit vagabonda… Et si je ramenais tout ce beau monde à la maison ?


Rapidement, notre conversation reprit et nous échangions comme de vieux amis. Dire que nous nous connaissions à peine. Finalement, nous prolongeâmes en continuant à boire un ou deux verres, puis l’heure du repas arrivant nous avons entrepris de dîner dans le même endroit. Nous nous sommes installés à l’extérieur sur la terrasse où la brise marine exaltait ma sensation de passer un merveilleux moment. Nous étions face à l’océan en bout de terrasse, certes un peu éloignés de l’agitation de la salle de restaurant, mais entre nous, presque à l’écart du monde, nos conversations bercées par le flux et reflux des vagues. Bizarrement, il n’y avait quasiment que nous sur la terrasse qui allait en se prolongeant vers l’immensité de l’eau, la plupart des clients s’étant installés à l’intérieur. Nous étions attablés de la sorte : Thomas en face de moi et Renata à ma gauche, Amiya étant face à elle.


Thomas, depuis presque le début du repas, me faisait du pied. Je crois qu’il mourait d’envie de continuer notre instant de tout à l’heure. À plusieurs reprises il fit allusion à ses envies, comme lorsqu’il aborda le sujet de l’effet aphrodisiaque du gingembre qui composait certaines de nos assiettes. D’ailleurs, Amiya ne le laissait pas solitaire sur le sujet puisqu’il apporta des précisions sur d’autres aliments stimulants. Il décrivit comment dans sa culture chaque nourriture pouvait nourrir les fantasmes des hommes et des femmes. Il expliqua même l’origine de certains "chapitres" du Kâma-Sûtra. Il semblait relativement érudit, et finalement il prenait la parole à des moments propices. Renata quant à elle rebondit sur le sujet en demandant aux garçons si la taille des sexes avait une importance, avec un regard gourmand. En attendant leur réponse, elle semblait les regarder comme on attend un dessert glacé généreux.


Était-ce l’alcool ? Le fait d’être éloignés des regards ? Toujours est-il que la situation dérapa assez délicieusement lorsque Thomas répondit que seules les femmes pouvaient juger de cette question, ce sur quoi en regardant Amiya il descendit discrètement son maillot pour en sortir un membre mi-dur tout en restant assis. De ce fait, Amiya fit de même. Le sien, bien que plus fin, n’avait rien à envier à celui de son ami. Renata et moi-même étions bouche bée, mais le plaisir de voir ces deux merveilleux sexes nous enchantait particulièrement.

C’est Renata qui réagit la première :



C’est alors que Renata et moi-même avons quasiment en même temps entrepris discrètement de juger l’anatomie de nos voisins respectifs. Lorsque je pris en main le bel organe de Thomas, je constatai que je ne m’étais pas trompée dans les toilettes : la taille était assez belle. Il avait également de belles bourses bien pleines et généreuses. J’entrepris de les soupeser délicatement et je perçus qu’elles étaient particulièrement réceptives car le sexe de Thomas se mit à grossir dans ma main de façon agréable accompagnée de palpitations flatteuses. Je commençai à la caresser comme on le ferait pour un petit animal.


De son côté, Renata, plus entreprenante, était en train de branler délicatement la belle queue de son compagnon de table. Le moins que l’on puisse dire, c’est que la jeune femme semblait experte. Amiya appréciait en tout cas les gestes méticuleux et doux de la jolie blonde. Nous étions seuls sur cette terrasse de plage mais nous avions tiré cette situation à notre avantage. En quelques instants les membres de nos deux garçons étaient tendus et appréciaient au plus haut point la brise marine. La manière dont je flattais le sexe de Thomas eut des effets sur sa propre personne : mon maillot commençait à devenir humide.

C’est alors que Thomas, sortant de ce moment de plaisir, prit la parole :



Un ange – ou plutôt un démon – passa.



Telle une petite fille qui venait de recevoir une sucette, elle prit en bouche le gland décalotté du bel Indien. Je copiai malicieusement la jeune femme en entamant de mes lèvres le membre d’ébène de Thomas. Son gland était gonflé et assez gros en bouche et dégageait une odeur forte très excitante. Quelle idée judicieuse ce petit auvent qui séparait ici ou là les espaces de la terrasse ; je pense qu’hormis des yeux lointains et curieux venant de la plage, personne du restaurant ne pouvait nous voir dans nos gourmandises.


La colonne de chair de Thomas était merveilleuse et très réactive. Je pompais désormais avec délice tout en branlant son sexe à la base, et il semblait apprécier mon tour de main. Quant à Renata, après avoir lubrifié abondamment la belle queue de sa salive, elle astiquait l’engin tout en embrassant et entremêlant sa langue dans la bouche de son nouvel ami. Quelques minutes après j’ai demandé à Thomas de tourner sa chaise vers moi d’un quart de tour, en me mettant à genoux devant lui. J’ai alors sorti ma belle poitrine pour lui démontrer que mes seins pouvaient lui prodiguer un merveilleux plaisir. Sa belle queue trouva rapidement sa place en coulissant dans le creux de mes seins que je tenais fermement en les agitant de haut en bas. Au vu des soupirs et gémissements qui sortaient discrètement de la bouche de nos deux mâles, il me semble que le plaisir était présent.


Nous avions le choix entre les faire jouir divinement ou continuer nos aventures sexuelles dans un autre endroit. D’autant plus qu’il nous semblait difficile de faire cela ici, déjà que nous avions fait quelque chose de très improbable sur la terrasse de ce restaurant. Et puis je n’avais qu’une envie depuis le début de notre rencontre, c’est de me faire prendre par eux. J’ai donc embrassé la queue de Thomas non sans lui avoir laissé un baiser humide sur le gland. Et je lui ai susurré que je n’avais qu’une envie. Il acquiesça et interpella Renata et Amiya. Le pauvre semblait au bord de l’explosion : elle s’y prenait bien, la petite.


Plus loin sur la plage il y avait des zones plus sombres où nous n’aurions pas de mal trouver la manière d’atteindre le bonheur. Nous nous sommes empressés de payer l’addition. En réalité, Amiya et Thomas sont restés à l’écart puisque leur "état" ne leur permettait pas de venir au comptoir. Nous sommes donc vite repartis vers la plage pour trouver un endroit tranquille. Au bout de quelques minutes, nous avons trouvé un endroit parfait où nous avons pris soin d’installer nos grandes serviettes. Oui, parce que, pour tous ceux qui ont déjà fait l’amour à la plage, tous savent à quel point le sable est un ennemi.


Nous avons donc pris le temps de nous installer et de nous câliner un peu. À ma grande surprise, les rôles se sont inversés : Amiya a commencé à me masser merveilleusement bien, et Thomas a entrepris de cajoler Renata. Finalement, ce n’était pas pour me déplaire, car côté massage, Amiya avait les mains de Shiva. Je fermai les yeux et je m’envolai vers le plaisir. J’ignore comment il faisait, mais ses massages étaient si bons que je crus parvenir à l’orgasme.


De façon plus conventionnelle, Thomas avait entrepris d’embrasser goulûment de façon torride la petite Renata. Ouvrir les yeux puis les observer m’excitait au plus haut point, et Amiya y était également pour beaucoup. Il prit alors soin de me débarrasser de tous mes vêtements et continua ses massages qui progressivement allaient et venaient vers des zones de plus en plus érogènes. C’était idyllique, et le bruit de l’océan et de ses vagues s’écrasant sur la plage rendait la situation encore plus idéale. J’étais extrêmement détendue et quasiment dans un état second.


Amiya parlait dans sa langue ; il susurrait des incantations qui, même inconnues à mes oreilles, semblaient exprimer tout l’érotisme qui flottait entre nous quatre. Il se mit enfin à caresser mes seins, qui étaient particulièrement sensibles. J’étais couchée sur le dos et lui à genoux près de moi. Il s’occupa de mes larges aréoles et je me mis à pousser quelques gémissements. C’est alors que je découvris quelques secondes plus tard en ouvrant les yeux que Renata s’était penchée sur moi pour me sucer les tétons déjà absolument durcis par l’excitation. Sa langue était la cerise sur le gâteau qui était déjà particulièrement délicieux.


Amiya continuait ses touchers merveilleux, et en ouvrant à nouveau les yeux je vis Thomas qui du coin de l’œil était nu. Il se positionna entre Amiya qui était sur le côté près de ma tête et Renata qui de l’autre côté apportait une touche féminine aux caresses de l’Indien. Thomas bandait, et son érection de là ou j’étais paraissait monstrueuse, même si la lumière n’était pas parfaite. Je fus encore plus surprise lorsque je vis Renata et Amiya poser presque en même temps l’une de leurs mains sur son chibre pour entreprendre une masturbation parfaitement orchestrée. Thomas et moi étions donc flattés par leurs mains expertes. J’avais l’impression de voir son sexe continuer à grossir.


J’entrepris de commencer à me titiller le con et glissai un doigt, puis deux dans mon vagin. Dans cet état second, j’avais cette impression que mille mains me caressaient. Mon excitation en était presque fiévreuse. Cet instant érotique semblait avoir arrêté le temps. Je n’osais imaginer la suite tant le chapitre de notre soirée était devenu moiteur, sexe et perfection. Le sentiment érotique qui nous submergeait était complet. Renata couinait de plaisir, le souffle de Thomas démontrait qu’il prenait son pied et Amiya avait une voix de plus en plus rauque. Quant à moi… mon Dieu… c’était juste trop bon. Mes yeux se refermèrent pour continuer à profiter.


Cela n’était pas fini ; je sentis une main douce me prendre la main qui était positionnée sur mon clitoris pour la poser sur une queue bien bandée. Je souris à l’avance de la suite de cet instant qui allait être encore plus fort. J’ouvris les yeux. Je fus incroyablement surprise : la queue que je branlais n’était pas celle d’Amiya qui continuait de me sourire, mais celle du serveur qui m’avait tapé dans l’œil avec son merveilleux petit cul. Quel chibre lui aussi ! Décidément, j’étais gâtée…


Je tournai la tête vers Renata ; elle me fit un clin d’œil complice tout en roulant sa langue sur ses lèvres comme pour m’indiquer à quel point tout ceci était délicieux. Amiya fut le dernier à sortir son sexe ; il était terriblement excité et il ne tarda pas à me le faire sentir en présentant son sexe auprès de mes lèvres. Je n’hésitai pas une seule seconde à prendre en bouche sa belle verge de Shiva. Quant au serveur, eh bien il était le bienvenu ! Je ne voulus même pas comprendre comment il avait fini par nous rejoindre (j’appris plus tard qu’il était de mèche avec Renata). En tout cas, il ne tarda pas à se positionner face à moi pour me présenter son sexe à l’entrée de mon con complètement humide. Renata me léchait les seins et moi je buvais littéralement le sexe d’Amiya. Thomas se mit à l’arrière de Renata pour lui lécher son sexe luisant de cyprine ; il lapait tel un animal. Puis il mit un doigt dans son intimité anale, ce qui surprit la petite blonde qui apprécia néanmoins le geste par un gémissement plus sonore. Quand le deuxième, puis le troisième doigt expert entreprirent le passage, Thomas comprit que la belle en demandait davantage. Il la prépara de façon experte en alternant les doigtés et les coups de langue très humides. Enfin il présenta son mât à l’entrée de son cul merveilleux. Il s’enfonça doucement mais sûrement. Renata était surprise de la taille de son assaillant, mais qu’est-ce qu’elle aimait cela. Elle se mit à me malaxer ma lourde poitrine de façon plus puissante tout en suçant mes mamelles et mes gros tétons comme pour en boire le lait. La queue d’Amiya dans la bouche et celle du beau serveur dans ma chatte, j’éprouvais un plaisir comme je n’avais jamais eu et je laissais échapper des cris étouffés. Bon Dieu, que c’était bon ! Voir Renata se faire pilonner de la sorte et mes deux autres mâles me faire jouir était un sommet parfait.


L’Everest apparut lorsque nous prîmes une autre position. De façon naturelle, je me mis à quatre pattes, Renata sous ma vulve, couchée, prise par le serveur. Thomas entreprit de me présenter sa belle pine qui sentait bon la jouissance de la belle blonde. Enfin Amiya me prodigua une nouvelle caresse différente de tout à l’heure, qui s’avéra être une délicieuse préparation pour pouvoir me pénétrer par l’arrière. Je dois avouer que peu habituée à être sodomisée, sa préparation fut magique et je pris mon pied lorsqu’il commença à me limer doucement. Surtout que Renata me bouffait littéralement la chatte comme une véritable experte.


Tout moment magique a une fin, et nos trois hommes finirent par jouir sur nous presque chacun leur tour. Amiya me remplit tellement de sa semence que tout ce qui ressortait était bu goulûment par la petite qui continuait en alternance à me lécher le bouton. Le serveur aspergea le ventre de Renata de giclées abondantes qui atterrirent jusque sur mon cul. Thomas se vida dans ma bouche, mais ses giclées étaient si abondantes qu’il termina de jouir sur mes seins et mon visage.


Nous étions vidés, en tout point et dans tous le sens du terme. Jamais je n’aurais imaginé une possession et un plaisir si forts. Le dieu du sexe avait envahi l’instant et nous étions en extase les uns sur les autres, couverts de foutre.


Une fois remis de nos émotions, ce qui mit bien une bonne demi-heure, nous allâmes nous rafraîchir et nous laver dans un bain de minuit extrêmement vivifiant. Ainsi se termina notre belle nuit marquée par la luxure.


Nous avons eu l’occasion de reproduire d’autres moments intenses et avons pu continuer à nous connaître ; mais cela, vous vous en doutez déjà, non ?