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Temps de lecture estimé : 33 mn
23/04/18
Résumé:  Ce dimanche matin, en cette période de mini-vacances, je fais remarquer à Vanessa, ma femme : ça va faire un certain temps que tu n'as pas vu ta grande copine Maurane...
Critères:  fhhh grp inconnu collection noculotte double échange
Auteur : Patrik  (Carpe diem diemque)            Envoi mini-message
Une visite pseudo-impromptue

Une petite histoire toute simple, issue d’une réflexion de ma chère femme…

Bonne lecture :)



Mercredi et vendredi



Ce dimanche matin, en cette période de mini-vacances, je fais remarquer à Vanessa, ma femme :



Ma femme est atteinte depuis longtemps de phobie téléphonique. On peut attendre longtemps pour qu’elle daigne appeler quelqu’un, sauf si elle a le couteau sous la gorge. Par contre, elle répondra sans problème à une personne qui tente de la contacter.


Vanessa quitte la pièce pour aller dans la chambre. J’en profite pour composer le numéro de nos amis. Au bout de trois sonneries, c’est Maurane qui décroche :



Maurane est une grande libertine, dotée d’un mari complaisant et aussi très voyeur. C’est lui qui a initié sa jeune femme à la chose. Jeune femme, car en effet, vingt ans les séparent, mais Johan est resté très jeune de corps et d’esprit, même si parfois, le poids des ans se rappelle à son bon souvenir. Et Maurane resplendit dans sa quarantaine triomphante.


Parfois, j’envie Johan d’avoir une femme si libérée, la mienne ne l’est pas autant, même si je n’ai pas à me plaindre. J’enchaîne :



Devant cette image qui s’affiche dans mon esprit, je pouffe :



À cette évocation, je rigole franchement :



Elle rit elle aussi :



De mon côté, une idée saugrenue germe petit à petit dans mon esprit :



Un petit silence, puis Maurane reprend :



J’entends un soupir, puis mon interlocutrice répond :



Maurane rigole franchement :



Ce n’est pas faux, mais c’est hors-sujet. Je la questionne :



Puis nous avons parlé d’un peu de tout et de rien.


Quelques minutes après avoir raccroché, Vanessa fait son apparition dans la pièce où je suis. Je suis en train de lire une bande dessinée. Elle se poste à côté de moi pour me demander :



Aïe ! Ça ne fait pas mes affaires, pas du tout ! Ça va flanquer tout par terre ! Mais avant que je ne dise quelque chose, elle rectifie :



Ce revirement me va parfaitement ; il doit y avoir un dieu ou une déesse quelque part qui veille sur les magouilleurs. Les minutes s’écoulent, je tourne petit à petit les pages de ma BD. Puis mon téléphone sonne alors que ma femme est repartie dans notre chambre depuis un certain temps. Johan est OK pour ma petite combine. Je sais qu’il ne détesterait pas lutiner ma femme, ce qu’il a déjà fait un petit peu en lui caressant dernièrement les seins lors du salon, mais sans plus. Et aussi deux-trois bricoles dans le même genre.



En route



Ce mercredi, nous nous dirigeons chez Johan et Maurane (ça rime). Leur maison est distante de la nôtre de trente kilomètres environ, mais sans autoroute ni voie rapide. Bref, c’est à la fois loin et près. À la fin d’une chanson, baissant le son, ma femme prend la parole :



Ma femme s’absorbe dans ses pensées ou dans ses souvenirs, je ne saurais dire, je ne suis pas dans sa tête. Je me contente d’être dans son corps, ce qui n’est déjà pas mal et très jouissif ! Soudain, Vanessa réfléchit tout haut :



C’est vrai que les deux femmes avaient montré sans complexe les divers charmes féminins qui font la joie de la plupart des hommes, tout au moins ceux qui sont hétéros et non coincés. Et aussi celle des femmes qui sont lesbiennes. Quasiment torse nu, sauf un vague châle très translucide négligemment posé sur ses épaules, Maurane ne laissait rien ignorer de sa poitrine, sauf des cache-tétons à pompons, sans parler du moulant de sa mini-jupe qui épousait ses fesses d’une façon fort impudique. J’allais oublier de vous parler de ses cuissardes. Je dois reconnaître sans médire que c’était quand même un tantinet vulgaire, voire putassier, mais efficace pour la libido.


Quant à ma femme, perchée sur des talons-aiguilles qui chaloupaient sa démarche, elle était un peu plus habillée avec une robe qui allait effectivement de son cou à ses genoux, mais précisons au passage que ce vêtement s’apparentait plutôt au filet de pêche… Et mis à part un ridicule string, elle ne portait rien par-dessous.


Je ne comptais plus de nombre de personnes qui se sont retournées sur elles, les commentaires salaces, les sifflements, les demandes de selfies et autres amusements. Mais il vaut mieux faire envie que pitié, n’est-ce pas ?



Amusée, ma femme tapote sur ma cuisse :



Sa main toujours sur ma cuisse, Vanessa demande :



Puis nous changeons de conversation. Encore deux autres villages à traverser, puis d’autres routes de campagne et nous serons arrivés. Soudain, ma femme change à nouveau de sujet :



À cette réponse, je rigole franchement. La route défile toujours. Puis quelques kilomètres plus loin nous voici arrivés devant chez eux, un peu à l’écart du village. Comme toujours, la rue est très calme, mis à part qu’il y a un peu plus de voitures que d’habitude. Je sais pertinemment pourquoi. De son côté, Vanessa semble n’avoir rien remarqué. Comme souvent, je me gare juste à côté du grand arbre, celui qui est proche du portail.



Entrez, la porte est ouverte



Nous entrons dans le petit jardin ; tout est calme, paisible. Sur la porte d’entrée, un petit mot est scotché : « C’est ouvert, entrez. »



Ne cherchant pas à en savoir plus, Vanessa pousse la porte, s’engouffre dans le couloir pour déboucher dans le salon, puis elle s’arrête sur place, comme figée. Intrigué, j’arrive à ses côtés. En effet, je comprends qu’elle puisse être surprise : à quatre pattes, nue (exception faite des bas), Maurane est entreprise en levrette sur le canapé par un premier homme (blond), tandis qu’elle en suce un autre (brun), tout en branlant son mari (poivre et sel). Le spectacle que nous avons sous les yeux n’est pas commun dans la vie de tous les jours !


Maurane avait pourtant parlé de trois coquins en plus de son homme. Il manque donc quelqu’un. Peut-être qu’il n’est pas venu, mais deux hommes, plus Johan, plus moi, ça fait quand même quatre, ce qui offre déjà plein de combinaisons.


L’homme blond qui pistonne joyeusement et ardemment la copine de ma femme n’en perd pas son sang-froid pour autant, puisqu’il nous salue par un joyeux et simple :



… est la réponse de ma femme, qui a quand même quelques soucis pour reprendre sa contenance devant cette situation à laquelle elle ne s’attendait pas du tout. Moi-même, je reconnais que je suis un peu surpris, car même si je suis à l’origine de cette mise en scène, je ne m’attendais pas à ce que ça soit si hard ! Je voyais plutôt tout le monde en petite tenue, en train de converser gentiment, éventuellement quelques caresses ou bisous, mais pas atterrir ainsi dans une scène de film X !


Toujours pistonnée et à quatre pattes, mais ayant ôté la verge qui lui encombrait la bouche, Maurane s’exclame (d’un ton un peu faux, hélas) :



Afin d’enchaîner le mieux possible, j’interviens :



Mains sur les hanches, ma femme se plante face à sa copine qui n’a toujours pas lâché la verge de son mari, puis elle se fend d’un sourire en coin :



Ma femme ne lui répond pas. Elle se tourne vers moi, me toisant de haut, même si elle est plus petite que moi :



Pivotant à nouveau, Vanessa s’approche encore plus près du groupe dénudé. Elle penche sa tête à deux doigts de celle de sa copine :



Ma femme lève un peu le nez pour s’adresser au grand blond qui pistonne toujours allègrement Maurane, indifférent à l’étrangeté de la situation. Elle le gronde, telle une institutrice face à un garnement qui vient d’écrire sur les murs :



Obéissant, il arrête son va-et-vient mais reste toujours fiché dans l’accueillante chatte dans laquelle il est plongé depuis tout à l’heure. Passant outre ce détail, Vanessa se repenche sur sa copine qui est toujours à quatre pattes, puis son nez touchant presque celui de Maurane elle susurre :



Les yeux brillants, Maurane lui répond sur le même ton :



Une simple phrase banale, dite sans doute des millions de fois, voire des milliards de fois, peut parfois décider de bien des choses…



La vie est trop courte



Posément, ma femme s’installe dans un large fauteuil, puis une fois confortablement calée dedans elle demande avec un faux air ingénu :



Je vois bien que Johan aurait bien voulu s’occuper de Vanessa, mais sa femme le tient encore fermement par la queue ! Je sais que Maurane, bien que libertine, conserve un fond de jalousie. Elle aime s’envoyer en l’air avec divers hommes, mais elle n’apprécie pas toujours que son homme puisse faire de même avec d’autres femmes. C’est curieux, mais c’est comme ça.


Complètement nu, l’homme est actuellement debout, face au fauteuil, son sexe bien dressé. Ma femme remarque avec amusement :



Ma femme se décale un peu afin de laisser une petite place à côté d’elle, emplacement qu’elle tapote du plat de la main :



Celui-ci obéit et s’installe juste à côté de Vanessa. Aussitôt, il pose sa main sur la robe, à la hauteur de la poitrine de sa voisine tandis que celle-ci pose la sienne sur sa cuisse nue, très près d’un sexe bien érigé. Quelque chose me dit que ma femme va bientôt franchir une certaine étape, ça me rend tout fébrile !


Par-dessus le tissu de la robe, Florian caresse le sein de ma femme. Celle se laisse faire, appréciant visiblement qu’on s’occupe ainsi d’elle. Puis d’un geste au départ peu assuré, elle capture le bâton de chair qui lui est offert. Puis elle entame une lente branlette. Une première étape semble franchie… Je regarde et compare les deux femmes présentes dans la pièce. Vanessa détonne singulièrement de sa copine car ma femme est restée habillée tandis que Maurane est totalement nue ou presque, si on fait abstraction des bas noirs qu’elle porte, lingerie qui accentue encore plus sa nudité triomphante !


Florian est à présent collé contre ma femme, l’embrassant dans le cou tandis qu’elle s’active sur la verge bien dure, la décalottant afin de révéler un gland écarlate, mettant parfois à mal le frein étiré pour ensuite recouvrir le tout d’une peau toute fine, le tout dans un long et vaste mouvement de branlette. Ma femme aime bien ces puissants va-et-vient durant lesquels elle peut empoigner fermement la bite qu’elle choie de la sorte.


Soudain, elle change de vitesse, accélérant considérablement le mouvement, faisant hoqueter son partenaire qui ne s’attendait pas à ce changement de régime. Je constate qu’elle a un étrange sourire amusé sur les lèvres, tête un peu renversée en arrière pour mieux offrir son cou aux baisers brûlants de son amant du jour. Elle a vraiment un visage de vicieuse très lubrique ; c’en est étonnant, mais excitant !


Soudain j’entends un long gémissement : Florian est en train d’éjaculer. Une première et longue salve s’expulse de sa verge toujours fermement prise en main par ma dépravée de femme qui ralentit un peu sa branlette, ses doigts se maculant de plus en plus de sperme au fur et à mesure que d’autres jets explosent dans tous les sens. Tandis que Florian se laisse aller, se vidant, Vanessa continue toujours de le branler plus lentement, même si sa verge se ramollit de façon évidente. Puis elle ouvre sa main poisseuse, abandonnant la tige amorphe qui retombe flasquement sur la cuisse de son partenaire.


C’est alors que j’ai une autre surprise : avec lenteur, ma femme approche sa main souillée de ses lèvres, puis sans complexe elle lèche le sperme. Toujours à quatre pattes et tringlée de forte façon, Maurane, qui la regarde aussi faire, lui demande sans gêne :



Se dégageant de ses hommes comme s’ils n’étaient que des simples sextoys, Maurane se relève du canapé puis elle s’approche de sa copine :



Et bras dessus bras dessous, les deux femmes quittent le salon sous l’œil étonné des quatre hommes présents. Une fois qu’elles ont disparu, c’est Johan qui ouvre le premier la bouche :



J’en profite pour ajouter mon grain de sel :



Boudeur, l’homme blond râle quand même un peu :



Je comprends sa frustration, et voyant l’engin qui pendouille à présent entre ses jambes, je comprends l’intérêt que peut porter Maurane à cet homme : ce n’est assurément pas d’ordre intellectuel. Tentant de changer de sujet, je lui demande :



Moi, j’ai bien une petite idée sur la chose. Maurane est un peu vulgaire, mais ça lui va bien. Ma femme est un peu plus classe, ce qui ne l’empêche pas d’être vicieuse à sa façon, avec un petit air de ne pas y toucher ! En attendant le retour des deux femmes, entre hommes, nous nous présentons afin de mieux cerner qui est qui.


Nous n’avons pas longtemps à patienter. Quelques minutes après leur départ, les deux femmes reviennent, et je constate avec plaisir que j’avais raison. Je vois bien sur le visage de Johan que cette petite pause a été profitable. Idem sur les deux autres hommes.



L’attente en valait largement la chandelle, voire le chandelier. En effet, les deux femmes portent plus ou moins la même tenue plutôt aérée, Maurane étant légèrement plus habillée, et Vanessa étant un zeste moins vêtue. Toutes les deux portent des bas sombres accrochés à un porte-jarretelles de la même couleur. À leurs pieds, des chaussures à talons-aiguilles. Plus haut, à leur cou, pour l’une (Maurane) une cravate noire et pour l’autre (ma femme) un nœud papillon ténébreux. Chaque femme a une main gainée par un long gant ébène, l’une l’ayant à gauche et l’autre à droite. Habillées de la sorte, noir sur chair blanche, on dirait deux entraîneuses de club, et l’effet dans nos pantalons est irrésistible !


David, l’homme blond qui entreprenait joyeusement tout à l’heure Maurane, s’approche admiratif de sa partenaire de turpitudes cavalières :



Ceci étant, Maurane s’exécute quand même, offrant à son amant un fessier bien encadré du noir du porte-jarretelles et des bas, ce qui le magnifie encore plus. Sans préambule, David s’enfonce à nouveau dans les profondeurs moites de cette belle chienne offerte, qui glapit d’aise sous l’introduction du gros morceau.


Durant ce temps, ma femme a repris position dans le large fauteuil avec Florian qui s’empresse de lui peloter les seins qu’elle a nus à présent. Tentant sa chance, Johan s’assied sur l’accoudoir et présente lui aussi une belle verge prête à servir. Sans complexe, ma femme se saisit des deux queues qu’elle a sous la main et commence une délicate double branlette qui ravit les deux hommes capturés entre ses fins doigts.


Sur le canapé, Maurane se fait littéralement tringler à fond par son amant qui y va de bon cœur, sans doute très motivé par la lingerie noire, et aussi par le temps perdu de tout à l’heure. C’est une baise bestiale, mais à prime vue efficace, si j’en crois les soupirs d’aise et les petits cris rauques de celle qui se fait bousculer de la sorte.


De l’autre côté, sur le fauteuil, j’entends plutôt des soupirs d’aise plus délicats venant des deux hommes à qui ma femme procure quelques menus plaisirs. Je la regarde faire, spectateur de sa nouvelle étape dans le dévergondage. Puis, me regardant fixement, elle semble me demander quelque chose. Je crois comprendre qu’elle souhaite mon aval pour aller plus loin. J’acquiesce en hochant de la tête. Elle penche alors de la tête comme pour demander confirmation. Je le la lui donne. Alors elle se penche sur la verge de Johan et dépose un premier baiser sur le gland écarlate.


Je souris intérieurement : je viens de donner mon aval pour qu’elle avale d’autres bites…



Un, deux, trois, quatre et cinq



Tandis que je suis en train d’admirer ma femme faire une longue fellation à Johan sans oublier de branler en même temps Florian, un inconnu particulièrement grand et chauve entre dans la pièce. Il se fige sur place, assez étonné de nous voir, ma femme et moi. David s’étant entretemps vidé en elle, Maurane lance au nouvel arrivant, tout en restant à quatre pattes, se faisant toujours pistonner fortement :



De diverses façons, tout le monde répond à cette salutation. Puis le nouvel arrivant poursuit, expliquant la raison de sa venue tardive :



En parlant de courbe(s), il est flagrant que le nouvel arrivant louche sur ma femme ; l’attrait de la nouveauté, peut-être. Il est vrai que Vanessa est charnelle, j’en sais quelque chose depuis des années. Si je devais faire une comparaison avec de la nourriture, ma femme est nettement plus une blanquette de veau qu’un plat bio plein de soja.



Soudain un râle de plaisir s’élève : David est en train de se soulager dans les profondeurs de sa partenaire qui remue allègrement de la croupe. Une fois qu’il en a fini, Maurane se dégage sans fioritures. Elle se redresse du canapé pour venir près du nouvel arrivant lui faire la bise. Celui-ci s’amuse :



Sans néanmoins lâcher ma femme du regard, Pierre poursuit sa narration initiale :



Puis Pierre s’interrompt un court instant pour reprendre ensuite, rigolard :



Et tous les deux de rire à cette blague vaseuse. Puis se reprenant, tout en louchant à nouveau fortement vers ma femme toujours en train de lutiner Johan et Florian, Pierre demande à notre hôtesse :



Un peu étonnée, ma femme interrompt sa gâterie sur la verge bien luisante de Johan afin de répondre, la bouche libérée :



Vanessa se tourne vers sa copine :



Et les deux femmes se mettent à rire. Se ressaisissant, Maurane tape dans ses mains puis, les posant impudiquement sur ses hanches, bassin projeté en avant, elle annonce à la cantonade :



Et c’est ainsi que nous sommes vraiment tous entrés dans le vif du sujet…



La vie et les verges sont trop courtes



Depuis presque une heure les corps se frôlent, se touchent, se caressent, se mélangent. Pour ma part, je laisse ma femme aux autres hommes pour me pencher sérieusement sur le cas de sa grande copine. Grande copine qui semble visiblement apprécier l’intérêt que je lui porte. De plus, depuis le temps que je connais Maurane, je reconnais que j’aurais bien aimé goûter à ses charmes depuis longtemps. Un peu comme Johan envers Vanessa. La température monte indéniablement. Si l’enfer ressemble à ce que je suis en train de vivre, je signe tout de suite !


Deux femmes, cinq hommes, ça en fait des combinaisons possibles ! Ma femme avec un homme parmi nous cinq, ou deux, ou trois etc. Idem pour Maurane. Je pourrais m’amuser à calculer ce genre de chose, mais je reconnais que j’ai la tête ailleurs ! Et pas que la tête…


Ayant adopté la position des petites cuillères, j’ai actuellement l’immense plaisir d’être dans la chatte très accueillante de ma partenaire, une chose que je n’aurais pas cru possible il y a une semaine. De plus, une main sur un sein lourd, avec délectation je joue, je pelote cette masse toute douce et fraîche. Mon autre main est partie dénicher un petit bouton rose très sensible. Maurane apprécie nettement ce que je lui fais : elle soupire, elle se cabre pour mieux se ficher sur ma verge enfouie en elle, elle agrippe mon dos, mes fesses pour me rapprocher, pour me plaquer encore plus contre elle.


Un peu plus loin, les quatre hommes entourent ma femme qui ne sait plus à quelle bite se vouer ! C’est ça, l’attrait de la nouveauté ! Néanmoins, je vois bien du coin de l’œil que Vanessa apprécie beaucoup être la proie d’hommes en rut qui la désirent ardemment.


Tandis que je coulisse toujours avec joie dans ma partenaire, j’entends confusément des bribes de conversations. Je tends un peu l’oreille. Après une écoute plus ou moins bonne de quelques secondes, j’ai comme l’impression qu’un gang-bang tente de s’organiser, avec comme principale actrice ma femme.


C’est la voix de Pierre qui argumente, il me semble :



Pour une initiation au libertinage pur et dur ; je trouve que ma moitié a largement rempli les objectifs, et même les a dépassés. En effet, ma femme a déjà sucé tout le monde ; ceux-ci ont éjaculé dans sa bouche, sur son corps, ses seins, son ventre, ses fesses. Elle a aussi été pénétrée par ses divers partenaires. Elle a bien sûr joui plus d’une fois. Bref, elle ne fait pas les choses à moitié. De plus, avec quatre hommes pour elle, sur elle et en elle, elle a largement de quoi faire et expérimenter !



Tout en pelotant délicatement ma femme, Pierre se veut rassurant :



Je vois bien que ma femme tergiverse. Nos regards se croisent, elle me hèle :



Sans lâcher ma partenaire de jeu, toujours bien fiché en elle, j’arrête néanmoins de la pistonner. Me relevant un peu sur mon coude, je dévisage ma femme :



Elle me regarde étrangement avant de continuer :



Vanessa prend un air pensif. Pierre intervient :



Pour ma part, à la grande satisfaction de Maurane, je recommence mon mouvement de va-et-vient en elle tout en continuant mon manège entre ses lèvres intimes et mon malaxage de ses beaux seins pulpeux. Féline, elle murmure :



Et pour appuyer mes dires, je la pistonne de plus belle. Ravie, elle glousse et s’abandonne à mes caresses, à ma queue. Durant ce temps, de l’autre côté, les choses s’organisent. J’entends distinctement la voix grave de David s’adressant vraisemblablement à ma femme :



Comme pour l’évaluer, ma femme regarde posément le sexe bien raide de David :



Je constate au passage que ma femme n’a pas dit non. Ah, ces femmes… toutes des salopes en puissance ! Maurane, Vanessa, pas une pour rattraper l’autre, mais j’ai grand tort de m’en plaindre amèrement. David répond d’un ton qu’il veut persuasif :



Prenant la direction des opérations, David s’assied d’abord sur le canapé. Il badigeonne abondement son sexe de lubrifiant. Puis s’emparant à pleines mains des hanches de ma femme, il dirige ses fesses vers sa verge triomphante. Comme subjuguée, Vanessa se laisse guider. Tout le monde regarde ce qui est en train de se passer, même Maurane.



Maintenant toujours fermement le bassin de Vanessa, David oblige celle-ci à s’empaler sur un gros gourdin de chair. Pressé contre la rondelle de l’anus, le gland s’arc-boute un bref instant avant de disparaître sans trop d’efforts dans les sombres abysses du rectum. À haute voix, ma femme s’étonne :



Déjà quelques centimètres ont disparu, comme avalés avidement par le cul accueillant.



Ses mains toujours fermement agrippées aux hanches de ma femme et commençant déjà un mouvement de va-et-vient, David rigole franchement :



Néanmoins, je constate comme les autres que l’énorme tige s’enfonce irrémédiablement dans les profondeurs arrière de ma femme, qu’elle n’en souffre pas, et qu’on dirait même que ça ne lui déplaît pas du tout. Bien que je la connaisse depuis des années, j’ignorais qu’elle aimait ainsi les gros engins, ou bien quelque chose m’échappe.

Coulissant sans gêne déjà dans les profondeurs de ma femme, David s’exclame :



Empalée sans pitié sur cet énorme pieu de chair, ma femme s’extasie :



Obéissante, Vanessa tend la main pour capturer le sexe trapu de Florian, puis elle fait de même avec celui du mari de ma partenaire. Après quelques va-et-vient, elle demande faussement innocemment à l’homme qui l’encule :



Se manifestant, Pierre complète la phrase :



Verge bien tendue, Pierre se présente face à Vanessa qui continue à remuer voluptueusement autour du gros gourdin enfichée en elle tout en s’accrochant aux deux bites qu’elle branle de concert. Haletante, ma femme demande d’une voix vicieuse :



Sans hésitation, Pierre se couche sur ma femme. Son braquemart pointé en avant entre en elle sans effort. Vanessa est comme en extase d’être pénétrée doublement, et par la chatte et par le cul, tout en branlant frénétiquement deux autres hommes !


Le visage renversé, la bouche grande ouverte, prise en sandwich par deux hommes, peau contre peau, elle m’interpelle :



Je m’adresse à Maurane :



Puis je me dégage de la chatte détrempée dans laquelle j’étais si bien. Posément, je me lève pour venir auprès de ma femme qui est en train de gémir sous les doubles coups de butoir :



Délibérément, je pose ma bite souillée de cyprine sur les lèvres de cette belle pute qui m’excite à fond ! Ses trois trous seront ainsi remplis, et nous serons trois à la saturer de notre foutre jusqu’à ce qu’elle déborde de partout ! Obéissante, elle ouvre la bouche pour m’accueillir contre sa langue agile tandis que son corps tressaille sous les coups de boutoir des deux mâles qui la défoncent, dessus comme dessous.

Devant ce spectacle, Maurane écarquille grands ses yeux :



Je lui laisserai le presque mot de la fin pour clore ce chapitre épique de notre vie… Sachez que ma belle salope de femme fut remplie par ses trois trous qui débordèrent, sans compter ses mains et ses bras qui furent maculés de sperme gluant.


Oui, une sacrée première !



After effect



C’est ainsi que ma femme a eu son baptême de libertinage, et ceci par la grande porte. Il faut bien reconnaître que quand on commence ainsi sur les chapeaux de roues, fatalement, beaucoup de choses paraissent plus fades ensuite.


Vanessa préfère quand ça se passe en privé, pas dans des clubs où n’importe qui essaye de s’inviter. Dans un premier temps elle a épluché le carnet d’adresses de Maurane, aidée par cette dernière pour faire le tri. Puis ma femme a commencé à se confectionner son répertoire de coquins, qu’elle a mutualisé avec celui de sa grande copine. Et à deux, c’est plus pratique que seule dans son coin.


De plus, ma femme est très sélective. Le fameux jour où elle a basculé, Maurane avait fait exprès de choisir trois invités qui soient dans les goûts de Vanessa. Et elle a bien choisi ! D’ailleurs, nous revoyons de temps à autre ce trio d’hommes, le blond, le brun, comme le chauve. Surtout Pierre, le chauve, car Vanessa ne déteste pas du tout ce genre d’homme. De plus, Pierre fait partie d’un cercle libertin, ce qui a été pour nous une bonne façon d’aller explorer diverses autres choses.



Ma femme a fini par m’expliquer deux-trois détails concernant David. Oui, son sexe est au-dessus de la moyenne, mais de texture spongieuse, très spongieuse, ce qui lui permet d’entrer sans trop de problème dans les divers orifices étroits et de pouvoir les combler sans douleur et avec efficacité. Comme l’a dit Vanessa et comme l’a confirmé Maurane qui le fréquente depuis un certain temps, David n’est pas un gentleman raffiné (loin de là), mais quand on goûte à sa spécialité, on en redemande de temps à autre.



Quel changement de mentalité depuis ce fameux mercredi. Ma femme consomme parfois les hommes comme si elle testait un godemiché qu’elle vient de recevoir par colis. Et parfois je me demande si elle n’éprouve pas plus de respect pour ses toys en plastique que pour ceux constitués de chair et de sang.


Ce week-end, nous recevons à la maison Maurane et Johan. Très vite, Johan et ma femme sont partis s’isoler dans la chambre d’amis tandis que Maurane et moi sommes restés dans le salon. Presque nue, mon invitée est actuellement voluptueusement allongée sur moi, vautré dans le canapé, me faisant sentir l’arrondi mou de son ventre ainsi que les deux douces masses de ses seins. De mon côté, j’en profite pour lui faire sentir toute la raide dévotion qu’elle m’inspire quand soudain elle se fend d’une réflexion tandis que je l’enlace fermement :



Elle marque une légère pause avant de me demander en catimini :



Caressant lentement son dos ainsi que ses fesses, je laisse passer un peu de temps avant de répondre :



Elle me répond tout en déposant des petits baisers furtifs sur mon visage :



Couvrant toujours mon visage de baisers de plus en plus appuyés, elle rit :



Pour prouver mes dires, je m’occupe illico à fond de ma partenaire afin de la faire jouir de nombreuses fois. Et aussi d’avoir l’immense plaisir de la remplir, de la combler, de me vider en elle, voire même de la faire déborder de sperme. Je sais que c’est primaire, bestial, mais j’aime ce genre de chose, d’idée, d’imaginer mon foutre dans ma partenaire.



Et Maurane semble avoir compris cette partie fantasmatique de moi… Durant ce temps, ma femme fait souvent écho aux petits cris de sa copine. Ce jour-là, je suis son seul amant attitré, en plus de son mari, bien sûr, mais nous n’avons pas fait de mélangisme, juste de l’échangisme pur et dur.


Quand ils repartent chez eux, je pense avoir été à la hauteur, même si ça n’a pas été un long fleuve tranquille de m’occuper d’elle, Maurane étant quand même habituée à ce que plusieurs hommes l’entreprennent en même temps, et ce depuis un certain temps !


Alors que nous venons de refermer la porte derrière nous et que nous rentrons dans le couloir, Vanessa passe son bras autour de ma taille. Faisant de même, j’en profite pour la serrer contre moi. Après un certain silence, elle finit par dire :



Pour l’instant, j’échappe encore à ce genre de stimulus chimique ; mais qui sait, un jour j’en aurai peut-être besoin. J’enlace ma femme plus fortement, puis nous nous embrassons. Quelle étrange situation quand même : parler calmement et sereinement de l’amant de ma femme tandis qu’elle parle sur le même ton de ma maîtresse plus ou moins attitrée !


Parfois, il m’arrive d’avoir la nostalgie du temps où Vanessa n’était pas libertine, du temps où elle était ma femme à moi. Maintenant, elle est en mode partagé. Pas tous les jours, mais souvent. Quand on franchit une étape, c’est comme si on venait de grimper une colline : on s’aperçoit alors que, arrivé en haut, le paysage qu’on a sous les yeux est encore plus vaste, et qu’il y a plein de nouvelles choses à découvrir.


Quand s’arrête-t-on dans cette exploration ? Je ne sais pas, mais ma femme et moi aimons explorer, et il serait idiot de ne pas aller plus loin ensuite. N’est-ce pas ?