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n° 18343Fiche technique34330 caractères34330
Temps de lecture estimé : 20 mn
24/04/18
corrigé 06/06/21
Résumé:  Bientôt une nouvelle année qui arrive. Il serait bon que je prenne de nouvelles résolutions vis-à-vis de mon homme et de toutes ces galipettes qui nous attendent !
Critères:  fh couple handicap amour exhib fsodo jeu liste
Auteur : Patrik  (Carpe diem diemque)            Envoi mini-message
Bientôt l'année prochaine

Petit texte écrit pour le fun, sans mise en place d’un scénario complexe, ni de scènes à faire passer une actrice X pour une vierge effarouchée…

Bonne lecture pour celles et ceux qui sont restés ;)



Bientôt l’année prochaine



Bientôt une nouvelle année qui arrive. Il serait bon que je prenne de nouvelles résolutions vis-à-vis de mon homme et de toutes ces galipettes qui nous attendent ! Et nous en avons déjà fait des vertes et des pas mûres, et pas que nous deux…


Tout va mieux maintenant, nettement mieux. Je suis enfin sortie de ma déprime suite à cette saloperie de cancer du sein, et surtout à mon ablation de celui de droite. Bref, pour tenter de voir un côté positif à cette saloperie, je suis devenue une amazone !


Mais entre-temps j’ai traversé une sale période ; je me sentais diminuée dans ma féminité, j’avais peur de perdre mon mari, même s’il m’a vraiment soutenue dans cette épreuve. Je connais pas mal d’hommes qui se seraient débinés, mais pas lui : il est resté à mes côtés. Néanmoins, j’ai eu franchement peur qu’il me quitte, surtout quand je regardais ma cicatrice dans le miroir. Je broyais du noir, puis un beau jour, Frédéric, mon homme, a su trouver les bons mots ; c’était il y a quelques jours, avant Noël…


Souvenirs…


Une fois de plus, debout dans le salon, je suis en train de pleurer. Mon mari accourt :


  • — Qu’est-ce qu’il y a, ma chérie ?
  • — Je ne suis plus une femme ! Tu ne voudras plus de moi !
  • — Arrête tes bêtises, Anita ! Je suis toujours avec toi, la preuve !
  • — C’est juste par pitié que t’es toujours là !

Il soupire bruyamment :


  • — Tu dis vraiment des énormes conneries !
  • — Tu vois, tu me traites même de conne !

Sans répondre à mon affirmation, calmement, mon homme s’assied dans le canapé et m’invite à en faire de même :


  • — Je ne sais plus qui disait qu’on ne se baigne jamais deux fois dans le même fleuve. Héraclite, il me semble ; il pensait que tout changeait en permanence.
  • — Oui, et alors ? Tu veux en venir où avec ton fleuve ?
  • — Ma chérie, quand en été tu fais trempette dans la mer et que tu y retournes un peu plus tard après avoir fait bronzette, c’est toujours la même mer.

Les yeux toujours humides, je hausse des épaules :


  • — Évidemment que c’est la même mer !
  • — Mais ce n’est plus la même eau. Avec les vagues, les courants, les molécules de flotte se sont déplacées, elles ont été dispersées et remplacées par d’autres. J’aurais pu te parler d’une certaine fontaine à Rome…
  • — J’ai compris ton allusion, mon cher cinéphile, tu me la ressors un peu trop souvent ! Avec tout ça, tu veux en venir où ?
  • — J’y viens. Quand nous nous sommes rencontrés, il y a quinze ans, c’était bien toi, Anita Bergbron.
  • — Ben oui que c’était moi ! Qui veux-tu d’autre ?

Mon mari capture délicatement mes mains :


  • — Tu es toujours Anita Bergbron, sur ta carte d’identité, même si on t’appelle aussi Anita Carlier, suite à ton mariage avec moi.
  • — Oui, c’est toujours moi, avec quelques années en plus, et, hélas, quelques kilos aussi. Et surtout quelque chose en moins…

Volontairement, Frédéric zappe ma dernière phrase :


  • — Des très mignons kilos en plus, je t’assure. Et malgré toutes ces choses en plus et en moins, tu es toujours toi, mais pourtant tu as changé, physiquement, mentalement. Tu n’as plus les mêmes passions, les mêmes idées ni les mêmes convictions, mais tu es toujours Anita, mon Anita à moi.
  • — Je vois où tu veux en venir…

Je lui lance un pauvre sourire, et taquine, je poursuis :


  • — Tu veux dire que je serai toujours ton Anita, même s’il me manque deux jambes, deux bras ?
  • — À ce tarif, tu deviendrais vraiment ma moitié !
  • — T’es con dans ton genre ! Mais comprends-moi, j’ai un sein en moins, je me sens diminuée, un monstre, et j’ai peur que tu te lasses de moi, que tu ne me trouves plus attirante.

Il serre un peu plus mes mains :


  • — Ma chérie, il me semble t’avoir démontrée plus d’une fois que je te trouvais toujours à mon goût ! Souviens-toi d’hier soir… Ta féminité ne se limite pas à tes seins. Tu es féminine de la tête aux pieds, de tes cheveux à tes ongles de doigts de pied. De plus, je te rappelle que nous avons rendez-vous avec le chirurgien-plasticien début janvier.
  • — Et s’il ne peut pas me reconstruire mon sein ?
  • — Tu mets la charrue avant les bœufs ! Attends au moins d’écouter ce qu’il va te dire. Et maintenant, au lieu de dire des bêtises, viens dans mes bras que je te fasse un câlin !

Je me blottis contre lui. Il m’enlace de ses bras ; je pose ma tête sur sa poitrine, j’entends son cœur qui bat régulièrement, calmement, et ça m’apaise.


Retour à maintenant…


Retour à mes résolutions pour l’année qui arrive. D’un pas décidé, je vais dans le salon afin d’en parler à mon cher et tendre qui est train de jouer avec son casse-tête préféré, un Perplexus que je lui ai offert l’année dernier, un cadeau qui n’a pas du tout moisi dans une quelconque armoire. Voir un grand bonhomme comme lui manipuler dans ses grosses paluches cette petite sphère, ça mériterait une photo ! Mains sur les hanches, je me plante devant lui :



En effet, dans notre couple, c’est Monsieur qui organise nos sorties crapuleuses, et moi je me contente de suivre le mouvement en apportant quand même ma petite personne aux festivités. Sans lâcher sa sphère transparente, levant la tête, il me répond sereinement :



Sans faire trembler la sphère qu’il tient toujours en main, il rit franchement :



Mais le connaissant, je sais que je n’en saurai pas plus, même si je le houspille à fond, même si je l’asticote à mort : il sera muet comme une tombe. À mon grand étonnement, posant délicatement sa sphère afin de ne pas perdre la position de sa bille, il se lève, allant vers la bibliothèque. Je le suis des yeux. Quelques secondes plus tard il me tend une feuille de papier ainsi qu’un crayon :



Hautaine, je prends sa feuille puis je quitte le salon pour aller m’isoler dans notre chambre. J’ai une idée qui germe dans ma tête : je vais lui rédiger sa liste, mais comme si je m’adressais à quelqu’un d’autre. Na !


Je m’allonge sur le lit, la feuille posée sur une BD, suçotant mon crayon et essayant de mettre de l’ordre dans mes idées. Je regarde par la fenêtre ; le temps est maussade, gris, un ciel plombé. Alors je décide de me faire mon petit coin de ciel bleu en rédigeant ce qui me passe par la tête et aussi de faire bisquer mon mari qui me semble un peu trop sûr de lui…



Papouille à mon amant



Une année « sexe » dans la joie et la bonne humeur ! Pourquoi se limiter ? La vie est si courte, le temps file tel du sable entre nos doigts ouverts.


Papouille à mon amant, ça me semble un bon titre ; ma petite vengeance à moi. Quoique… Frédéric pourrait croire que je le mets sur un piédestal ; faudra que je tourne mon texte pour ne pas lui donner la grosse tête.


Me laisser lutiner, papouiller, câliner, patiner de toutes les façons. Lui donner la réciproque, l’embrasser dans le cou inopinément, comme ça, partout. Lui mettre la main aux fesses pour savourer son beau petit cul bien ferme ! Et ne pas oublier de lui mettre très souvent la main au panier, celui qui contient deux gros œufs bien remplis et gonflés ! Sans parler d’un certain bâton de berger bien dur…


Je suce pour un oui ou pour un non ; sa bite est mon premier jouet. Mes lèvres enrobent sa queue, mes doigts agiles câlinent ses couilles. Assidue, je le pompe jusqu’à ce qu’il jute dans ma bouche, et en bonne salope que je suis, j’avale tout jusqu’à la dernière goutte, sans oublier de nettoyer sa belle bite flasque et poisseuse. Oui, j’adore être une pute, sa pute, et je sais qu’il adore quand je le suis pleinement.


Ma chatte est toujours prête pour être farfouillée, visitée, explorée, traversée, transpercée ! N’est-elle pas prévue pour être le nid de sa queue ? J’adore enrober de mes lèvres intimes et mouillées ce pieu de chair qui s’enfonce lentement en moi pour me faire doucement mais sûrement jouir.


Être joyeusement enculée, sentir sa bite tout au fond de moi ! Un délicieux pistonnage, et elle éjacule en moi, inondant mon petit trou du cul de tout ce sperme chaud. Le voir ensuite s’échapper. Un beau programme à réaliser hebdomadairement, histoire de ne pas perdre la main, ou plutôt le coup de fesses, en ce qui me concerne.


Je pense que c’est bon maintenant. Instinctivement, je pose ma main sur mon sein manquant. Mes lèvres se crispent dans un rictus. Depuis toujours – enfin, depuis que mes seins ont poussé lors de mon adolescence – j’ai la curieuse manie de poser mes mains dessus ; un réflexe. Ça a toujours amusé mes différents petits amis. Sans parler de mon mari qui adore que je les masse devant lui quand je le chevauche, son pieu de chair bien enfiché dans mes profondeurs…


Je secoue la tête ; il ne faut que je me laisse aller. Mon homme a raison : le chirurgien arrivera sans doute à faire quelque chose, je l’espère vivement !



Une sonnette pour jouer



Assez contente de moi, je ramène mon papier à mon mari qui est toujours en train de faire joujou avec son casse-tête. Il peut y passer des heures et des heures ! C’est avec attention qu’il lit ma prose, puis arrivé à la dernière ligne il lève la tête vers moi :



Puis il se replonge dans ma bafouille comme s’il voulait étudier en détail chaque phrase, chaque mot. Je finis par demander :



Tu parles, ça ne lui fait ni chaud ni froid ! Légèrement vexée, j’insiste :



Et il se fend d’un large sourire, ce qui a le don de m’exaspérer un tantinet. Agressive, je rétorque :



Aussitôt je m’exclame :



Bien joué, mon cher mari ! Nonchalamment, il se lève puis il extirpe de sa sacoche un petit ordinateur portable qu’il ouvre.



Pour prouver ses dires, il affiche sur l’écran de l’ordinateur un texte dont j’arrive à lire quelques mots ci et là. En effet, sa liste – sa longue liste – il l’avait bien rédigée avant moi. Puis il ferme la fenêtre du traitement de texte.



Il réfléchit un peu avant de dire :



Maintenant, avec un peu de détails, je comprends mieux…



Il s’empare de son portable, rouvrant sa liste :



Du coup, en attendant cet envoi, je sors de la pièce. En passant dans l’ex-chambre qui sert à présent de bureau, je mets la main sur la tablette puis je retourne dans notre chambre afin de découvrir tout ça à tête reposée, car quelque chose me dit que ça ne va pas être triste !



Liste sur tablette



Bien calée dans le lit, tablette sur les genoux, je consulte le mail que mon cher mari m’a envoyé. Je découvre cinq paragraphes numérotés dont le dernier porte le numéro trente-quatre. Il m’a donc pondu au moins trente-quatre règles ? Faut pas demander ! Je commence logiquement par le premier paragraphe qui possède le numéro cinq. Après avoir lu la première phrase, je me demande fugacement de quoi pouvaient parler les items de un à quatre, sachant que mon homme fait dans le progressif.


5 – Être habillée sexy quand tu mets le nez dehors, un beau décolleté ou une transparence. Si possible des bas avec un porte-jarretelles.


Bon ; ça, pas de problème, c’est du classique de classique ! De plus, je le fais déjà assez souvent. Par contre, pour le décolleté, on fait comment si je n’ai pas de reconstruction de mon sein ? Je sais bien que ça ne dérangerait absolument pas Frédéric que je sorte quasiment nue avec un seul et unique nichon, mais moi je n’arriverais pas à supporter le regard des autres ! Et surtout leur pitié !


Pour le porte-jarretelles, je reconnais que je n’en mets pas souvent, sauf dans les grandes occasions. Je veux bien faire un petit effort pour en mettre un quand nous nous baladons. Souvent quand j’en mets un, les hommes me zieutent beaucoup plus. Au début, je pensais que c’était un effet de mon imagination, mais non, on dirait que les mâles ont un sixième sens pour détecter les porteuses de lingerie ! Comme quoi un simple morceau de tissu peut activer à fond la libido des hommes.


12 – Une sortie au bras d’une adorable dévergondée qui a oublié de mettre des sous-vêtements sous sa robe moulante et échancrée.


Décidément, ces hommes sont tous des voyeurs, et dans les deux sens ! Ils matent, et en plus ils veulent qu’on mate leur femme ! Quoique… quand je vois le mari de Fabienne, je me dis que j’aurais pu tomber sur bien plus mal ! Il est jaloux comme un pou ! Mon homme s’est déjà enguirlandé avec lui car, paraît-il, il zieutait trop la robe de Fabienne. Bien sûr, Frédéric ne s’est pas laissé faire, et il lui a mis les points sur les i. Je dois reconnaître qu’il a été cruel dans sa répartie, mais ç’aurait pu être pire. Le soir, quand nous sommes rentrés, il m’a avoué :



Je vous laisse deviner la réponse et ce qui a suivi ! Revenons à nos moutons, ou plutôt à ce point numéro douze de la liste de mon homme. J’ai déjà fait des trucs assez proches, et je dois reconnaître que c’est assez jouissif, même s’il y a quand même un risque d’attirer les fâcheux et les dragueurs tout en lourdeur. Mais il faut dire que je ne crains pas grand-chose avec Fred comme compagnon ! Il pourrait même passer sans problème nettement plus pour mon garde du corps plutôt que pour mon mari !


Le truc le plus fou que j’ai pu faire dans ce genre, ce fut une balade en pleine ville, en été, avec un top assez transparent, une mini-jupette, et rien en dessous sous ces deux vêtements. Par précaution, j’avais quand même pris avec moi un fin gilet, et nous avions été faire ça dans une ville loin de chez nous ! Je reconnais que j’ai eu ci et là du succès, et malgré mon stress, ça fut incontestablement une très bonne expérience ! Et quel plaisir de sentir le vent sur ma chatounette, sans parler de certains regards…


20 – Salon de l’érotisme quasiment dénudée.


Ben voyons ! Pourquoi pas, en effet ! Quoiqu’avec ma balade en mini-jupette et top transparent, je peux difficilement faire la mijaurée !


C’est vrai, nous avons déjà fait des salons, en Belgique, en Allemagne et aussi en Hollande (rarement en France, car la mentalité et la législation ne s’y prêtent pas trop), et je peux vous affirmer que mes tenues n’étaient pas tristes ! Même qu’une fois, j’avais carrément les seins à l’air, avec des étoiles noires comme cache-tétons ! J’aime déambuler dans ce genre d’exposition ; c’est amusant, c’est excitant aussi, et on y découvre bien des choses !


Parfois, durant le salon, des inconnus me demandent s’ils peuvent me prendre en photo ou faire des selfies en ma compagnie. C’est gratifiant. De temps à autre, on croit même que je fais partie du personnel d’animation, ce qui n’a jamais été le cas pour l’instant. Mais ça pourrait être une piste pour de futures sorties…


Et comment mon cher mari voudrait-il que je sois quasiment dénudée ? Le haut ? Le bas ? Les deux ? Tiens, en parlant de ce genre de truc, ça me rappelle une femme que nous avions croisée à Rotterdam, lors d’un salon ; elle portait une robe à la Mireille Darc, en plus échancrée encore : totalement fermée par-devant et totalement ouverte par derrière ! On voyait parfaitement tout son dos, ses fesses et ses longues jambes ; ça rendait très bien sur elle. Je ne vous dis pas le monde qui se retournait derrière elle ! Une tenue comme ça, je crois que je dirais oui tout de suite !


27 – Organiser une nouvelle soirée « soubrette » à la maison, avec redresse-seins et sans culotte.


Cette soirée « soubrette » commence à devenir un rituel ; un mignon rituel, je l’avoue. Nous invitons entre quatre à six personnes pour un dîner, et je suis la soubrette de service. J’ai d’ailleurs le costume et tout le tralala qui va avec. La deuxième fois que nous avons organisé ce genre de soirée, je n’étais pas la seule soubrette, une de mes bonnes copines ayant décidé de m’épauler. Depuis, elle a organisé elle aussi quelques soirées thématiques auxquelles nous nous rendons.


Assez vite durant ces réjouissances, nous jouons aux gages du chapeau. Chaque invité écrit divers petits papiers qu’il plie en quatre avant de les mettre dans un chapeau haut-de-forme. Puis ma main innocente en tire un premier que je lis à haute voix, devant tout le monde. Il a été convenu avant de commencer que je pouvais refuser un gage, mais que le suivant que je tire à la place était obligatoire. Et certains sont épicés ou salaces ! Néanmoins, ces gages ne concernent pas forcément que ma petite personne costumée…


Ça reste bon enfant, et à chaque fois ce fut une réussite. Je comprends que mon mari veuille continuer, mais il aurait pu me montrer autre chose dans sa liste !


« Avec redresse-seins et sans culotte. », dit-il. Pour le premier élément, ça va surtout dépendre de ma reconstruction. Quant au second, je suppose que c’est pour faciliter certaines petites choses, comme les bisous sur les fesses ou le pubis. Pendant que j’y pense, dans les précédentes propositions, on ne faisait que regarder, mais ici on peut toucher ; c’est en effet la nuance…


Voyons à présent la suite…


34 – Faire comme Nella lors du Fetishfestival de Dendermonde.


Ah oui, en effet, on progresse ! Je suppose qu’entre la 27 et la 34, ça doit monter petit à petit en puissance !


Je me souviens bien de cette prestation. Entourée d’hommes, les yeux bandés, Nella avait dû reconnaître qui était qui, mais en restant sous le nombril ! Et comme elle est un peu salope sur les bords, elle avait carrément sucé tous les hommes qui s’étaient prêtés à ce petit jeu de cache-cache ! Initialement, le but du jeu était de tâter afin de savoir à qui on avait affaire. D’autres femmes avaient joué à ce petit jeu, dont une blonde qui avait cru reconnaître son homme et qui lui avait fait quelques privautés avant de découvrir, une fois le bandeau enlevé, qu’elle s’était trompée de personne ! Tout le monde avait bien rigolé, la bonde était totalement cramoisie !


Mon cher mari compte me faire sucer d’autres queues que la sienne ? Ou bien, il a utilisé le prénom de Nella parce qu’il ne connaissait pas celui des autres participantes ? Bonne question qu’il faudra que je tire au clair !


C’est alors qu’un nouveau mail arrive sur ma tablette ; il émane de mon mari. Le titre de celui-ci indique « Bonus ». Intriguée, je l’ouvre afin de le lire. Dans ce mail, il me propose carrément que chaque jour, au matin, je tire au hasard un gage, comme pour nos soirées Soubrette, mais avec la différence que ce sera dans la vie de tous les jours. Ces gages viendront de lui et de moi, à parité. Il me cite quatre exemples :



Pourquoi pas, mais de là à en faire tous les jours… Quoique le dernier gage me semble très raisonnable, et c’est une façon pas idiote de ne pas sombrer dans la routine. Mais à y réfléchir, ça fait peut-être double emploi avec ses précédentes propositions…



Liste sur tablette



Après cette lecture très instructive, je reviens dans le salon auprès de mon mari qui joue toujours placidement avec sa sphère en plastique.



Je sens comme une ironie à double sens dans cette répartie. Je concède :



Afin de pouvoir continuer sa partie sans perdre l’emplacement de sa bille vagabonde, mon homme dépose délicatement son jouet transparent sur le support resté sur la table basse. Ceci fait, assis bien droit sur le canapé, il me questionne :



Il se contente de sourire à cette réponse. Lentement, il pose ses mains sur ses genoux puis annonce tranquillement :



Un petit silence s’installe, puis je demande à mon mari :



Il se contente à nouveau de sourire, puis passant d’un sujet à l’autre, il enchaîne :



C’est direct, mais c’est émoustillant ! De plus, c’est bien tourné, comme souvent avec mon homme, mais ça n’en reste pas moins assez cru dans l’idée générale. Je demande confirmation :



Mon mari se fend d’un large sourire puis il enchaîne :



Cinq ? Seulement cinq ? Dépitée, je m’exclame :



Franchement, il vaut mieux entendre ça que d’être sourd ! Ça fait partie de nos petits jeux intimes, de notre petit cinéma personnel. Et sans perdre de temps, il déboutonne son pantalon pour exhiber une belle verge bien dure. Le message est clair…


Je m’assieds à côté de lui puis je me penche sur la bête qui est en pleine forme. Après quelques bisous en préliminaire, je commence par suçoter ce gland que je connais si bien. Puis ouvrant un peu plus les lèvres, je commence à sucer cette bonne tige bien nervurée. Son propriétaire en soupire d’aise. Alors je continue délicatement ma gâterie durant de longues minutes, n’oubliant pas de saliver abondement, car ce que mon homme promet, il le tient toujours !



Docile, je fais comme il me le demande. Aussitôt que je suis bien positionnée comme je sais qu’il le souhaite, il se place derrière moi puis il se colle à moi.



J’adore sentir, une fois de plus, la belle queue chaude de mon homme sur mon popotin frémissant. J’adore aussi quand elle glisse le long de ma raie, entre mes fesses rebondies et accueillantes, quand je sais et quand je sens que c’est ma salive qui est en train de frotter sur mon cul, au bord de mon petit trou frissonnant !



Là, je sens qu’il prêt à venir en moi, à plonger dans mes sombres profondeurs. Alors, impérieux, il pousse son gland contre ma petite cuvelle qui s’évase petit à petit. Je sais que dans peu de temps sa bonne grosse bite se fichera dans mon petit trou du cul bien serré !



Ma respiration se saccade, mes muscles fourmillent, mon corps se tend ; la chienne qui est en moi refait surface, impudique, affamée ! Oh oui, je veux qu’il me baise !



Plop ! Comme un bruit de bouchon qui explose ! Mais dans l’autre sens…


Sous la forte pression de la bite qui m’entreprend, ma petite rondelle cède ! Je pousse un bref cri étranglé. Hébétée, je sens une énorme queue envahir mes entrailles pour venir s’enfouir bien profondément, très profondément, trop profondément ! C’est tellement puissant que j’en ouvre grand la bouche pour tenter d’aspirer goulûment de l’air.


Waow, je la sens passer, sa bonne grosse bite ! Je me sens comblée à fond, envahie, détruite ! En même temps que ce pieu de chair s’enfonce en moi, je sens ce plaisir sourd, étrange, incongru que je connais bien, qui irradie mon ventre, mes entrailles !



Tandis que mon homme me pistonne férocement et que je le sens bien en moi, profondément, je pense que je les ai bien les méritées, mes cinq autres propositions ! Mais je dois aussi reconnaître que je suis en train de prendre royalement mon pied à offrir ainsi mon cul ! J’aime être parfois malmenée de la sorte, être son jouet, sa poupée, sa pute ! Je sens confusément que ça va être bientôt l’explosion pour tous les deux dans très peu de temps ! Qu’il va me remplir les entrailles de son foutre tandis que je jouirai comme une folle, à la fois humiliée et si maîtresse de notre jeu pervers !


Oh oui, cette année finit bien ; j’espère que la prochaine sera dans la même continuité, et en mieux !