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n° 18344Fiche technique12942 caractères12942
Temps de lecture estimé : 8 mn
25/04/18
Résumé:  Sur la route pour le travail, je fais une pause car je suis fatigué. Je vais faire une rencontre qui changera ma vie à jamais...
Critères:  hh hplusag jeunes inconnu parking travail voiture fellation anulingus hsodo
Auteur : Tom            Envoi mini-message
Rencontre nocturne

Je devais avoir 19 ans ; à l’époque je conduisais un camion de petit tonnage pour des trajets nationaux, aussi ce camion était-il équipé d’une couchette rapportée au-dessus de la cabine.


Ce jour, je devais me rendre à Paris, au départ du Limousin, par ce qui est aujourd’hui l’ancienne Nationale 20. Il devait être autour de 20 h et le soleil était couché ; moi, j’effectuais une pause sur un parking en bord de route. Ce n’était pas une aire de repos ; les voitures et camions passaient bruyamment sur la route juste à côté de mes roues, mais la fatigue m’imposait de me reposer un peu avant de continuer pour une bonne partie de la nuit.


À l’époque, mon régime cinq fruits et légumes se limitait souvent, comme ce soir, à des BN que je grignotais côté passager avec la porte droite grande ouverte pour ne pas salir, avec les miettes qui tombaient immanquablement. Avec pour vue des arbres sombres formant un bois à droite du camion. Je rêvassais quand une voiture roulant à vive allure dans la direction opposée à la mienne ralentit vigoureusement en arrivant à ma hauteur, puis tourna sur sa gauche pour faire demi-tour et vint se garer derrière mon véhicule, stoppa son moteur et coupa ses feux.


Surpris, j’attendais en guettant les bruits, mais rien… Dans ma tête je me faisais des petits films, et soudain l’idée que le geste de ce conducteur pouvait être motivé par ma vue, assis ainsi porte ouverte, comme une invitation, commença à me donner des fourmillements dans le bas-ventre, et lentement mon excitation monta. Je n’étais pas un habitué des rencontres – je n’y aurais même pas pensé sur le moment –, mais c’était un de mes fantasmes récurrents à l’époque ou Internet n’était pas accessible au grand public, et ce fantasme venait de resurgir.


Tout en guettant le moindre bruit, je me penchais de temps en temps pour tenter d’apercevoir la voiture (noire, bien sûr), mais je ne voyais rien. À ce moment mon excitation était grandissante alors que je ne savais toujours pas pourquoi cette voiture s’était arrêtée derrière moi. Sans m’en rendre compte, ma main qui frottait allègrement le tissu de mon pantalon au niveau de la braguette y rencontra une bosse : mon sexe qui cherchait à grandir était en position repliée, coincé dans mon slip, ce qui m’occasionnait une gêne et m’obligea à descendre par le marchepied pour y remettre de l’ordre.


Maintenant que j’étais au niveau sol, je décidai de feindre une inspection de mon chargement pour me rendre à l’arrière et voir de plus près cet(te) inconnu(e). Arrivé à l’arrière, je jetai un rapide coup d’œil vers la voiture. Le conducteur était un homme ; il fumait une cigarette au volant avec juste la vitre ouverte. Je fis comme prévu et ouvris puis refermai aussitôt les portes de la caisse, histoire de traîner un peu dans le coin. Puis ne voyant pas de réaction, je pris mon courage à deux mains et m’approchai de la vitre ouverte :



Et, prenant un air blasé :



Et là je répondis sans réfléchir :



Et le voilà qui me suivit. Je lui expliquai que la couchette était située au-dessus de la cabine et qu’il fallait soulever une trappe pour monter, ce qui soulevait aussi le matelas, et ce faisant j’ouvris la trappe pour qu’il puisse voir. Il me dit qu’effectivement avec le matelas relevé et la trappe ouverte, on ne se rendait pas bien compte de la taille de la couchette. Je lui proposai donc de monter avec moi pour pouvoir refermer la trappe.


J’étais maintenant avec un inconnu, coincé dans la couchette, car nous étions sur la trappe permettant de sortir. Il complimenta l’agencement et la propreté de l’endroit et me demanda si je n’avais pas chaud quand je dormais enfermé dans cet endroit exigu. Je lui répondis que si, et que d’ailleurs je dormais nu tellement il y faisait chaud. Il me répond aussitôt :



Surpris par cette demande, je bafouillai :



Et me voilà à devoir me déshabiller devant un inconnu, mais je m’exécutai, car j’avais toujours ce fourmillement dans le bas-ventre et un léger tremblement dû à la peur, ou à l’excitation peut-être ? Je fus nu le premier et me suis allongé de côté sur la couchette. Lui avait gardé son slip et me caressait les cuisses ; sa main passait doucement sur mon sexe qui avait pris de la longueur, mais ne bandait pas dur à cause des émotions qui me traversaient, puis ses mains se dirigèrent vers mes fesses et s’y attardèrent. Il me demanda de me mettre sur le ventre ; j’obéis.


Pendant de longues minutes, ses deux mains allèrent et vinrent sur mes fesses ; de temps en temps l’une d’elles se faufilait dans mon sillon, me faisant un bien fou. Je ne pouvais d’ailleurs le cacher, car à chaque fois que l’une de ses mains frôlait mon anus, mon fessier se soulevait pour prolonger la caresse.

Il me dit :



Et sans attendre mon consentement, il était déjà en train de leur déposer des bisous au hasard d’abord, puis en se rapprochant de ma raie où ils se firent plus insistants. Son nez était maintenant entre mes fesses qu’il tenait écartées de ses mains, et ses baisers descendaient vers mon petit trou. Je ne saurais dire à ce moment à quoi je pensais tant j’étais suspendu aux bons traitements qu’il me prodiguait. C’est quand il a sorti sa langue pleine de salive et qu’il est venu lécher mon petit trou que j’ai eu un moment de mal-être en sentant cette humidité en moi comme si je m’étais fait pipi dessus.


Rapidement, son souffle chaud sur mon intimité, la douceur de ses caresses sur ma rosette et la lubrification de sa salive eurent raison de mes éventuelles réticences, car mon petit trou s’était ouvert à ces délices, et sa langue se frayait inexorablement un chemin vers l’intérieur de mon ventre. J’en redemandais, sans le vouloir, par les petits bruits que laissait échapper ma gorge. Il me baisait avec sa langue, la faisant entrer puis sortir à tour de rôle. Mon anus ne se resserrait même plus ; j’étais aux anges et j’aurais voulu que ça dure toujours, mais il s’est relevé et a abaissé son slip devant moi. C’était la première fois que je voyais un sexe d’homme en érection d’aussi près ; une petite odeur s’en dégageait et m’enivrait. J’étais toujours allongé sur le ventre, mais je me suis relevé sur mes coudes pour m’en approcher et le renifler.



Alors, comme dans un état second, j’ai ouvert la bouche et laissé son gland se poser sur ma langue. C’était gros une fois dans la bouche, dur et mou à la fois, sans goût, mais avec une texture agréable. J’ai donc entrepris de sucer ma première bite. Dès qu’elle descendait un peu loin dans ma gorge j’avais des haut-le-cœur, alors j’ai placé ma main à l’arrière de son sexe pour faire butée et j’ai continué de le sucer de mon mieux en espérant lui faire autant de bien qu’il venait de m’en faire, aspirant son gland comme une tétine, montant et descendant son prépuce en salivant abondamment, léchant son frein de bas en haut puis reprenant ma fellation. Par moments sortait de son orifice urinaire un liquide visqueux et transparent qui m’a d’abord surpris, puis j’ai compris que c’est quand je lui faisais vraiment du bien, alors je redoublais les caresses avec ma langue.


Il se retira de ma bouche avec un :



Puis me faisant reprendre délicatement ma position sur le ventre, il vint se placer sur moi, entre mes jambes qu’il écarta avec ses pieds et me demanda si je l’avais déjà fait ; je luis répondis que non.


Il se positionna sur moi, je sentais maintenant son poids et sa chaleur d’homme sur mon corps, et quand il se laissa reposer complètement sur moi, je sentis la forte chaleur de son sexe qui reposait en appui sur mes fesses. Il lécha ses doigts et les passa entre mes fesses, remettant sur moi cette humidité déconcertante, puis prit son sexe d’une main et le promena entre mes fesses plusieurs fois. Sentir ce membre doux et dur à la fois et si chaud se promener au fond de ma raie, pesant à chaque fois sur ma rosette lubrifiée, était un moment indescriptible. Je suis homme (non efféminé), mais là je me sentais femelle attendant le bon vouloir de son mâle.


Il présenta son sexe à l’entrée de mon trou et poussa doucement. Mon instinct voulut l’en empêcher en resserrant mes muscles, mais en même temps je voulais le sentir en moi ; à cet instant je me dis que j’étais né pour ce moment, je ne l’oublierai jamais.


Son gland passa tout d’abord, me tirant une petite douleur, mais qui s’estompa rapidement, car il marqua une pause. Puis il entreprit de continuer à s’enfoncer. Je le sentais me remplir le ventre, s’insinuant millimètre par millimètre jusqu’au moment où je le sentis buter contre moi. Je sentais ses couilles pendantes se frotter contre les miennes. J’écartai un peu plus les jambes pour pouvoir le sentir avancer encore un peu s’il avait pu.


Après une autre pause, il commença ses va-et-vient, courts tout d’abord puis de plus en plus longs, sortant presque son sexe, mais laissant son gland dedans puis repartant en avant jusqu’au plus profond de moi. Cette sensation de pompage qu’il me prodiguait lentement me donnait du plaisir ; c’était plutôt indéfini, comme une envie de jouir sans y arriver, ou plutôt comme une envie d’uriner, mais que rien ne sort. Plus il me limait, plus cette sensation se précisait, et pour rien au monde je n’aurais voulu qu’il s’arrête, l’encourageant même avec mes petits cris de plaisir. Je ne comptais pas les minutes et ne saurais dire combien de temps il m’a si bien baisé… Puis d’un coup, j’ai eu comme une énorme envie de pisser et j’ai senti mon sexe exploser des jets de sperme en flots continus ; je sentais la moiteur de mon sperme me réchauffer le nombril, j’ai cru que ça n’allait pas s’arrêter.

J’ai crié:



Il m’a dit:



J’ai supplié :



Et j’ai senti son sexe durcir plus encore et ses jets de sperme m’envahir, accompagnés de sursauts musculaires. Il s’est affalé sur moi et j’ai senti son sexe commencer à diminuer de taille, lentement sortir de mon ventre en perdant de sa vigueur. Nous sommes restés un bon moment dans la même position, puis il m’a dit merci et que c’était très bon. Il ne savait pas à quel point cela l’avait été pour moi…


Nous nous sommes rhabillés après nous être mutuellement essuyés avec ma serviette de toilette, puis nous sommes descendus d’un étage. La fraîcheur de l’air me fit me rendre compte que mes cheveux étaient trempés de sueur. Arrivés dehors, nous ne savions quoi dire. Il m’embrassa rapidement sur les lèvres, me dit que j’étais très attirant ainsi après l’amour, puis remonta dans sa voiture et repartit dans la direction opposée.


J’essayais de rassembler mes esprits. Je n’avais plus la force de conduire ce soir. Je suis allé un peu plus loin dans les bois, j’ai baissé mon pantalon et me suis accroupi pour évacuer le sperme de mon cul en feu, puis je suis retourné dans ma couchette en repensant à cette dernière heure et me suis écroulé de sommeil.