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n° 18351Fiche technique41801 caractères41801
Temps de lecture estimé : 24 mn
30/04/18
Résumé:  Depuis quelques mois, j'ai l'immense plaisir de partager mes jours (et surtout mes nuits) avec Damaris. Comme le disait un chanteur, je ne demande pas à ma compagne d'avoir inventé la poudre, mais elle sait parfaitement m'allumer quand il le faut !
Critères:  fh hagé cocus nympho collection
Auteur : Patrik  (Carpe diem diemque)            Envoi mini-message
Double D

Pour changer, une histoire sans scène explicite de sexe ; elles sont juste évoquées.

Bonne lecture.



Un jour, une femme



Ça va faire quelques mois que j’ai l’immense plaisir de partager mes jours – et surtout mes nuits – avec Damaris. Comme le disait un illustre ancien chanteur, je ne demande pas à ma compagne d’avoir inventé la poudre, mais elle sait parfaitement m’allumer quand il le faut ; et ça, elle sait très bien le faire !


Par contre, pour d’autres diverses choses, c’est nettement moins ça, comme par exemple la cuisine… Mais bon, il faut savoir choisir dans la vie, et au pire, les restaurants existent, même si ça fait mal au porte-monnaie ! Mais comme je ne gagne pas trop mal ma vie, ça reste faisable, bien que je ne pourrais quand même pas y aller tous les jours ; il faut savoir se montrer raisonnable. Et puis dans les surgelés, on trouve des bonnes petites choses…


Ma Damaris est une mignonne petite chose, avec ce qu’il faut là où il faut. De plus, elle aime qu’on la lutine, qu’on s’occupe d’elle sous la couette, et elle n’est pas la dernière à vouloir profiter des bonnes choses de la vie. Les coincés du cul diront qu’elle a un côté salope, ce qui n’est pas faux. Mais avouez qu’une mignonne pas coincée du cul dans son lit, c’est autre chose qu’une étoile de mer inerte qui attend, les yeux au plafond, que ça se fasse et que ça se passe !


Par contre, avouons-le, c’est parfois du côté de son QI que ça me désole ! Hélas, elle a parfois la manie d’utiliser plus vite sa bouche que sa pensée ; bref, de ne pas trop réfléchir à ce qu’elle va dire. Résultat, elle sort parfois des énormités pour réaliser quelques secondes après qu’elle aurait mieux fait de tourner sept fois sa langue dans sa bouche. Mes charitables amis disent qu’elle est spontanée. C’est une façon de voir les choses… Néanmoins, il faut parfois que je déploie des trésors de diplomatie pour récupérer les gaffes qu’elle fait. Et elle a réussi à me brouiller plus ou moins définitivement avec certaines personnes…


Mais c’est une bonne fille, gentille, serviable et sexy. J’ai compris depuis un certain temps qu’elle ne le fait pas exprès et que c’est dans sa nature d’être ainsi. Néanmoins, parfois, je sature et je me verrais bien changer de compagne ; mais quelque chose me dit que je le regretterais assez vite, sans parler que certaines de mes connaissances, qui louchent sur Damaris, se feraient un plaisir de prendre aussitôt ma place.



Ah ça, c’est Damaris qui va me poser une question, je le sais, car depuis le temps je sais reconnaître ses diverses intonations, même si elle ne prononce que mon prénom ! Il est environ dix-huit heures ; je viens juste de rentrer, et au parfum qui flotte dans l’air, quelque chose me dit que ma chère et tendre barbotte dans son bain avec plein de mousse dedans !



Pour l’instant, nous habitons dans une cité un peu agitée. Nous avons grandi tous les deux dans le coin, nous sommes habitués, et nous connaissons tout le monde et tout le monde nous connaît. J’espère bien quand même d’ici quelques mois déménager plus loin et avoir enfin une petite maison à moi avec un jardin. Damaris le souhaite aussi. J’irais bien faire un tour de l’autre côté de l’Atlantique, près du Pacifique, en Californie, mais je crains que ce ne soit qu’un doux rêve ! De plus, mon english n’est pas top-top, et celui de ma compagne se résume grosso-modo à « I love you »…


En attendant, je sens que je vais aller faire un petit tour dans la salle de bain !




Un jour, une cité



La soirée d’hier a été une bonne soirée ! Si je raconte ça à certains, ils me traiteraient d’affabulateur ! Ou d’avoir trop regardé des films X. Mais non, quand on a la chance d’avoir dans sa vie une femme avide de vivre, il suffit de se montrer à la hauteur pour se faire son petit paradis sur terre, sans attendre d’aller voir dans un monde dit meilleur si l’herbe est plus verte ailleurs.


La matinée s’est vite passée ; je suis resté à la maison pour faire le point sur les diverses ventes que j’ai faites ou que je suis en train de finaliser. Ça m’a permis de profiter de ma femme ce matin avant qu’elle ne parte vers dix heures à son boulot. Et elle adore que je m’occupe d’elle sous la couette !


Il est bientôt quatorze heures. Je descends l’escalier pour aller au boulot, visiter certains clients : il faut bien que je gagne assez de sous pour payer le restau. En bas, je croise l’habituelle bande que je salue. Je les connais tous depuis la maternelle. Ils ne sont pas méchants, juste un peu hâbleurs, et je préfère fermer les yeux sur la provenance de leurs moyens de subsistance…


En passant devant la voiture ultra-customisée de l’un d’entre eux (je me demande même ce qu’il y a encore d’origine), je constate à voix haute :



Le pendentif en question est un string noir suspendu nonchalamment au rétroviseur intérieur. Je le regarde bien à travers le pare-brise : belle pièce en dentelle !



Tout le petit groupe s’esclaffe. Puis je rejoins ma voiture et je pars loin de la cité, vers d’autres quartiers. Tandis que je conduis, je songe au panty bleu de ma compagne. J’adore la voir avec quand ce dernier lui moule bien les fesses, sans parler de la fente de son doux abricot bien visible sous le tissu. Ce panty doit être trop petit de deux tailles pour être aussi collant-moulant ! Souvent, elle fait exprès de le mettre pour m’exciter quand je reviens du boulot, et en général ça finit par une bonne partie de jambes en l’air !


Damaris a un petit boulot dans une boutique de vêtements, ce qui lui permet de rentrer souvent plus tôt que moi, sauf le samedi où elle travaille jusqu’à tard. Elle ne gagne pas des mille et des cents, mais ça lui permet d’entretenir une garde-robe assez garnie et à moindre frais, sans parler de divers bijoux et autres chaussures à talons-aiguilles. Une belle fille bien habillée et chaussée, ça vous pose une femme, et aussi à ses côtés, un homme ; et j’avoue que je ne déteste pas parader avec elle à mon bras.


Bien habillée, c’est vite dit car c’est parfois à la limite du vulgaire, mais ça fait bien saliver les autres. Et ça me plaît énormément de m’afficher de la sorte avec ma bimbo à moi. Et tant pis pour le qu’en dira-t-on. De toute façon, dans la cité tout le monde fait pareil, et souvent en pire ! Par contre, quand parfois je dîne en soirée avec des clients – ce qui m’arrive de temps à autre – je demande à Damaris d’être un peu plus BCBG. Mais même avec un beau tailleur seyant, il se dégage d’elle un quelque chose qui provoque irrésistiblement des pensées pas très avouables.



Je me surprends à parler tout haut ! J’ai déjà eu des clients qui m’ont demandé en catimini le tarif de la jeune femme qui m’accompagnait. J’ai dû diplomatiquement leur expliquer que la jeune femme en question était réellement ma compagne et que je vivais vraiment avec elle. Ce qui n’a pas empêché certains de me glisser leur carte de visite avec un « On ne sait jamais… »


Chaque fois que je raconte ce genre de chose à Damaris, elle rigole, tout simplement ! Tout ceci la flatte, et je ne peux pas lui donner tort car moi-même je suis flatté qu’on m’envie ma chérie. Petit flash-back (comme on dit au cinéma) sur la toute dernière « carte de visite » reçue de la sorte :



Ça l’amuse, c’est indéniable :



Je marque un petit temps d’arrêt, puis je réponds :



Secouant la tête, je soupire :



Et s’approchant de moi avec un large sourire, les yeux étincelants, elle passe ses bras autour de mon cou… Devinez donc comment ça a fini !


Un sacré souvenir ! Oui, quand elle est bien excitée, elle se déchaîne sous la couette ! Je souris à l’évocation de ce récent souvenir. Justement, je rencontre tout à l’heure un client qui m’avait glissé sa carte pour approcher de nettement plus près ma femme. Je parie qu’il va revenir à la charge. Le pire, c’est que quand j’en ai parlé ce matin à Damaris, elle m’a répondu que celui-là, ça pouvait encore aller. Je n’ai pas trop osé approfondir la chose, de peur d’entendre quelque chose que je ne souhaitais pas…




Un jour, un pendentif



Je stationne ma voiture puis je me dirige vers l’entrée. Ah tiens, aujourd’hui la petite bande n’est pas là, mais la voiture de tous les délires trône à sa place. Par curiosité, je jette un coup d’œil au pare-brise avant, histoire de voir quel type de pendentif en dentelle est accroché au rétroviseur intérieur. Un machin bleu pendouille, tranchant fortement avec les strings noirs habituels.


Je stoppe sur place, intrigué. Je regarde de plus près : c’est un panty bleu qui me rappelle quelque chose. Je fais le tour de la voiture pour mieux regarder cette intrigante lingerie. Je colle mon nez contre la vitre côté chauffeur.



Je me rue vers l’entrée de l’immeuble et je grimpe quatre à quatre l’escalier. Je déboule comme un fou dans mon appartement en hurlant :



Elle arrive aussitôt, assez inquiète. Il est vrai que je ne l’ai pas beaucoup habituée à ce genre de comportement ! Elle demande :



Assez énervé, je me plante devant elle :



Je vois bien qu’elle cherche désespérément quelque chose à dire ou à faire. Très énervé, je continue :



Elle tente de reprendre la main :



Elle me regarde, les yeux grands écarquillés, ne sachant plus quoi répondre. Il est assez difficile dans pareille circonstance de continuer à nier, sauf si on est de très mauvaise foi. Je reconnais que Damaris peut verser parfois dans la malhonnêteté, affirmant des trucs impossibles, mais là je pense qu’elle a compris que ça ne servirait qu’à m’énerver encore plus. Et elle sait que je suis très rarement dans ce genre d’état, et qu’avec moi ce n’est pas du chiqué !



Je ne dois pas avoir un air engageant car elle recule petit à petit. Je comprends assez vite qu’elle souhaite se sauver, vu comment elle louche sur la porte qui est derrière moi. Mais elle peut toujours courir pour s’enfuir ! Je veux bien être cool, mais les cornes au front, ça, je n’apprécie absolument pas ! Mais pas du tout !


Faisant un gros effort sur moi-même pour me calmer, je m’approche un peu d’elle. Apeurée, elle se tasse sur elle-même. Je respire un grand coup avant de poursuivre :



Elle se tasse encore plus sur elle-même. Être cocu, ce n’est pas amusant ; mais l’être par le plus ringard et le plus bidon des séducteurs du coin, c’est franchement humiliant ! Pourtant, je fais de mon mieux pour qu’elle soit heureuse ! Qu’elle se jette au cou d’un bellâtre beau comme un dieu, je veux bien l’admettre ; mais là, je me sens souillé !



Toujours recroquevillée sur elle-même, Damaris répond en pleurnichant :



Ah, la logique féminine ! Et surtout celle de ma femme ! Elle est nettement plus tortueuse que celle des clients que j’affronte presque chaque jour ! Et pourtant, je commence à en connaître un sacrée rayon sur les arguments fallacieux ! Agacé, énervé, je rétorque :



Je me suis calmé comme j’ai pu. Puis nous avons discuté. Et là, j’ai dû admettre que ma compagne a le feu au cul, que parfois je ne lui suffis plus, et qu’il faut qu’elle éteigne son incendie avec d’autres lances que la mienne.


Ça a fichu un sacré coup dans ma vanité de mâle… Mais comme j’ai l’esprit pratique et d’entreprise, une idée saugrenue m’est venue. Depuis tout à l’heure, Damaris fait des pieds et des mains pour tenter d’arrondir les angles.



Elle se détend. Elle me sourit même :



Elle marque un petit temps d’arrêt avant de répondre :



Étonnée, elle ouvre de grands yeux et aussi ses oreilles. C’est alors que je lui développe, que je lui déroule mon idée, lentement, point par point.




Un jour, un directeur



Deux mois se sont passés depuis l’incident, et tout revenu à la normale. Enfin, presque. Mon chiffre d’affaires a fait entre-temps un sacré bond avec certaines entreprises, et surtout certains clients en particulier. Puisque ma femme a le feu au cul, autant me servir de cette faculté pour éteindre les incendies chez les bonnes personnes.


En clair, je prête parfois ma femme, que certains de mes clients rencontrent lors de repas d’affaires, quitte à la faire passer pour ma chargée de communication ou plus simplement ma secrétaire. C’est un jeu de rôle qui permet d’éviter certaines questions embarrassantes.


Comme je choisis soigneusement les éventuels amants de Damaris, j’arrive ainsi à faire coup double : je décroche de beaux contrats et ma femme s’éclate au lit avec d’autres hommes. C’est immoral ? Peut-être, mais dans cette histoire, il y a trois heureux : le client, ma femme, et moi.


Sans parler que Damaris me récompense fort agréablement et amoureusement de la liberté que je lui offre. Elle reconnaît que mes choix sont à chaque fois judicieux, et que c’est nettement mieux ainsi. Du coup, Momo et toute sa bande sont passés largement en arrière-plan des préoccupations « chatte en folie » de ma femme, Damaris ayant pris visiblement goût à des hommes plus stylés. Certains diront que notre relation est curieuse, mais le calme et l’apaisement sont revenus.


Ce matin, Michel Darmont, le directeur, m’a convoqué dans son bureau. Je sais qu’il m’aime bien, mais je suppose que c’est lié à mon chiffre qui a sérieusement augmenté depuis quelques semaines. Quand j’entre dans son bureau, je constate que nous ne sommes que deux, lui et moi. D’entrée de jeu, il me dit :



Je m’exécute. Par contre, je remarque bien que mon directeur a un air un peu étrange. Il me désigne un fauteuil face à son bureau :



Il attend que je pose mes fesses dans le fauteuil, puis il attaque aussitôt :



Il se fend d’un large sourire. On dirait un gros chat ; je dirais même qu’il m’évoque le fameux chat du dessin animé Alice aux pays des Merveilles, celui de Disney. Je ne sais pas si c’est bon ou mauvais pour moi.



Je ne comprends pas très bien où il veut en venir.



De l’autre côté du bureau, il se penche un peu plus vers moi :



Aïe, c’est quelque chose que je n’avais pas trop prévu. Je voyais mal un client aller se vanter de ce genre de chose à mon directeur. Mais là, je suis tombé sur un cas spécial. Pourquoi ce fichu Marlay ne m’a pas raconté sa proximité avec Darmont ?



Il se lève pour s’asseoir sur le bureau, face à moi :



Je constate qu’il est plutôt amusé que fâché. Par contre, je me demande quelle sera la suite des événements. Je ne pense pas qu’il va me foutre dehors car mon chiffre a toujours été bon, même avant l’aide de ma femme.

Mon directeur ne me fait pas languir ; il passe une fois de plus au vif du sujet :



Il se penche un peu vers moi :



Je soupire longuement :



C’est vrai que mon directeur a meilleure prestance que son ami de longue date. Il est vrai que Marlay n’est pas d’une grande beauté, mais il a un certain entrain, une joie de vivre qui a beaucoup séduit ma garce de femme. De plus, c’est un expert en cajoleries ; il sait trouver le bon mot qui flatte assurément les femmes. Je décide de me mouiller à moitié :



Je me lève ; je ne suis pas à l’aise dans ce rapport de force que met en place Darmont. Je m’approche de la fenêtre, regarde fugacement le paysage, puis je finis par dire :



Flegmatiquement, Darmont demande :



Hochant la tête, je soupire :



Le lendemain, je présente ma femme à mon directeur.




Un jour, l’étape supérieure



Un peu plus d’un mois après cette première présentation, je suis dans le bureau de mon directeur. Je m’assieds dans le fauteuil que mon interlocuteur me désigne. Fidèle à ses habitudes, celui-ci attaque aussitôt le vif du sujet, sans chercher des circonvolutions :



Il hoche la tête, sans doute égayé par l’image qui doit se former dans son esprit :



Monsieur Darmont marque une petite pause puis il se penche vers moi :



Sourire aux lèvres, mon vis-à-vis se cale dans son fauteuil :



Il est vrai que depuis que ma femme couche avec mon directeur, diverses petites choses ont changé, en mieux. La présentation s’était très bien passée, trop bien même, car le repas fini, Damaris était carrément repartie avec Michel pour l’essayer, avait-elle dit sans complexe, spontanément, ce qui avait fait bien rire mon directeur. Le soir quand elle est rentrée, elle m’avait avoué qu’elle aimerait que je ressemble un peu à Darmont quand j’aurai le même âge. Je me suis fait un plaisir de lui démontrer que j’avais mes avantages, dont celui de la jeunesse, et je lui ai fait l’amour jusqu’à une heure indue de la nuit, voire du petit matin. Le lendemain, mon supérieur avait été très louangeur sur les aptitudes de ma femme…


Michel se fend d’un large sourire :



Mon interlocuteur se penche à nouveau vers moi :



Au moins, c’est clair et net comme proposition ! J’expose le fond de ma pensée sur ce qu’il vient de me proposer, je sais que je peux me le permettre :



J’avoue que savoir que ma femme plaît beaucoup me plaît aussi beaucoup. Mais ça me chagrine qu’on puisse disposer d’elle de la sorte, même si j’ai agi avec Damaris comme me le suggère mon directeur. J’en profite pour ajouter un bémol à ce tableau quasi-idyllique :



Je n’aime pas trop la tournure des événements. Je soupire :



Songeur, il marque une petite pause, jouant avec son presse-papier translucide. De mon côté, j’attends la suite de son discours avec un certain intérêt. Ayant posé le cube en plexiglas, Darmont reprend, une nouvelle expression plus lumineuse sur son visage :



Je commence à m’inquiéter un tantinet. Je mets carrément les pieds dans le plat :



Surpris sur le coup par mon intervention, mon interlocuteur hausse les sourcils, puis un large sourire sur les lèvres il s’esclaffe :



Un peu désorienté par ma réponse, mon directeur marque un petit temps d’arrêt puis il argumente faiblement :



Pour toute réponse, il éclate de rire. Et curieusement, je l’accompagne.




Un jour, tout est presque bien qui finit bien



Les mois ont passé. Nous habitons à présent dans une belle petite maison à la campagne, pas trop loin de la ville, avec comme luxe suprême une piscine couverte, ce qui n’est pas courant dans le coin. Souvent, nous recevons chez nous divers invités qui recherchent la discrétion.


Parfois je me demande jusqu’à quel point je dois ma réussite aux fesses de Damaris, même si je sais que je ne suis pas nul dans ma partie. Néanmoins, le résultat est là, autour de moi, quand je suis dans notre maison à elle et à moi. J’ai eu confirmation que ma femme (car je l’ai épousée) est une fieffée salope, mais quelque part pour l’instant, ça me va très bien.

La voilà qui justement arrive :



Fronçant les sourcils, je grogne :



Puis elle se penche vers moi pour déposer un furtif baiser électrique sur mes lèvres. Puis enjouée, elle se relève :



Amusée par ma tirade, elle sourit :



Toujours assis, je lance mes bras pour la capturer, pour venir la serrer contre moi. Elle se laisse faire. Ma tête douillettement nichée contre son ventre, je lui confie alors :



Attendrie, elle caresse délicatement mes cheveux :



Elle continue de caresser mes cheveux tandis que ma tête est toujours posée sur son ventre, sous ses beaux seins que je sens sur mon crâne. Je me laisserais bien lui faire l’amour, là tout de suite. Elle doit deviner mes pensées car ma femme m’annonce :



Elle marque un petit temps d’arrêt avant de reprendre gaiement :