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Temps de lecture estimé : 8 mn
04/05/18
Résumé:  Suite à nos rencontres à la fête du club d'équitation, je revois Richard chez lui, et à nouveau je franchis mes limites et me retrouve à subir ses assauts.
Critères:  fh extracon douche fsoumise fdomine odeurs fellation cunnilingu préservati pénétratio fdanus init
Auteur : Sabine59  (femme de 40 ans mariée en phase de découverte)            Envoi mini-message

Série : Mes découvertes

Chapitre 02 / 02
La chevauchée

Résumé de l’épisode précédent :

J’ai fait la connaissance de Richard, charmant quinquagénaire, lors de la fête d’un club d’équitation. Alors que je suis une femme mariée, mère de famille de quarante ans, je me suis retrouvée, après le dîner et la soirée dansante, à me laisser aller aux baisers et caresses de ce charmant cavalier, ce qui m’a, au final, amenée à prodiguer ma première fellation extraconjugale dans la sellerie du club.






J’ai eu l’occasion de revoir Richard après cette soirée riche en émotions. Nous avons effectivement décidé de nous revoir de manière amicale. Le lieu de rendez-vous étant son domicile, je me doutais de ses intentions, mais j’avais envie d’en apprendre un peu plus sur lui, et sans doute un peu plus sur moi.


Il m’accueillit à sa porte par une bise tout ce qu’il y a de plus classique, amicale, mais sans plus, mais avec un sourire des plus chaleureux. Je portais ma petite veste d’été sur un chemisier blanc chic et classique et une jupe longue, bref fidèle à mon style BCBG. Il m’a tout de suite proposé de prendre place sur le canapé et m’offrit de nous préparer un thé. Une fois ce dernier servi, il prit place non loin de moi et nous avons commencé à échanger sur nos sujets habituels sans vraiment aborder notre vécu commun dans la sellerie du club.


Il se comportait comme un hôte attentif, soucieux des conventions. Pour détendre l’atmosphère, il me raconta ses déboires de cavalier, me faisant rire de bon cœur. C’est alors que nous riions joyeusement qu’il profita d’un fou-rire pour poser sa main sur mon genou découvert au niveau de la fente de ma jupe. J’avoue que le contact de sa main chaude me donna immédiatement des frissons et un début de chair de poule sur les cuisses, vite remplacée par une chaleur remontant lentement vers mon bas-ventre alors que ce contact se prolongeait. Je fis mine de ne pas prêter d’importance à sa manœuvre alors que, continuant à me faire rire par ses anecdotes, il se mit à faire glisser lentement sa main le long de ma cuisse, remontant subrepticement vers mon entrejambe que pourtant je gardais volontairement serré.


Je ne sais pas si mon changement d’expression le prévint, mais alors que j’allais protester, j’ouvrais à peine la bouche qu’il se pencha sur moi pour coller sa bouche sur mes lèvres, me bâillonnant ainsi et retenant mes velléités de contestation. Alors que ma langue allait se délier pour m’exprimer, elle fut instantanément rejointe par la sienne pour entamer un baiser chaud et langoureux qui me fit fondre comme la première fois. À nouveau mes défenses furent balayées comme la maison de foin du petit cochon face au souffle du loup ; à nouveau je perdis la raison sans avoir cette fois l’excuse de l’alcool. Aussi me laissai-je aller à savourer ce baiser et les caresses de Richard sur mes seins à travers mon chemisier.


La chaleur montait au creux de mon ventre. Sa main n’eut pas à forcer lorsque, remontant de mon genou dénudé, elle prit inexorablement le chemin de mon entrejambe. Mes cuisses se laissèrent écarter sans mal lorsqu’il entreprit de glisser la main sous ma culotte à la rencontre de mon sexe déjà fort humide d’excitation. Il m’arracha un gémissement de plaisir ainsi qu’une décharge électrique lorsque deux de ses doigts pincèrent directement mon clitoris. Fort de son emprise sur moi, sa bouche libéra la mienne pour descendre embrasser mes seins à travers le tissu, tentant d’emprisonner mes tétons tendus entre ses lèvres, m’arrachant des gémissements à chaque pincement.


Assis jusqu’alors à mes côtés, ne lâchant pas ses assauts sur mes seins, il se laissa glisser à genoux entre mes jambes que je ne pus qu’écarter. De ses mains expertes, il me fit enlever ma petite culotte, laissant le champ libre à la reprise de sa découverte de mon sexe humide par ses doigts inquisiteurs, ma jupe longue largement remontée sur mes hanches. Je me mis à me tortiller sous ses caresses, l’encourageant ainsi à continuer.


Sa bouche quitta mes seins pour descendre directement sur mon sexe exposé et humide, plaquant directement sa langue chaude et mouillée sur mon bouton d’amour, m’arrachant immédiatement un râle de plaisir. Cela faisait longtemps qu’une langue n’avait fouillé mon sexe, titillant mon clitoris, se glissant entre mes lèvres. Je ne sais pas si cela venait de moi ou de la salive de mon tourmenteur, mais je me sentis humide comme jamais. Mon plaisir se décupla encore lorsque je sentis la langue de Richard descendre de plus en plus bas entre mes lèvres pour aller du bout taquiner mon anus, très peu exploré ainsi depuis les débuts de ma vie sexuelle. Quelle sensation inédite de sentir cette pointe chaude et humide s’insinuer à l’entrée de ma rondelle et me donner autant d’ondes de plaisir, malgré une honte certaine ! Jamais un homme n’avait aventuré sa langue aussi loin…


C’est alors que mon amant laissa fougueusement glisser sa langue entre ma rondelle et mon petit bouton. Je ne pus m’empêcher de littéralement crier mon orgasme et emplir la pièce de mes gémissements et cris de plaisir, espérant ne pas ameuter le voisinage. Richard ne se priva pas de me faire vibrer sous ses coups de langue répétés alors que je demandais grâce, foudroyée et épuisée par cet orgasme dévastateur. Il ne me lâcha qu’une fois que je fus sans force sur le canapé, les yeux clos pour me remettre de mes émotions. Une torpeur m’envahit alors, et tant mon esprit que mon corps furent engourdis suite au plaisir.


Je ne sais combien de temps s’est écoulé dans cet état et, toute à ma récupération, j’avais laissé mon partenaire à lui-même, pas en état de lui rendre son plaisir. Je fus surprise de sentir ses mains, puissantes et déterminées, passer sous mes hanches et me tirer cuisses toujours ouvertes sur le bord du canapé. Me réveillant de ma torpeur, j’ouvris les yeux et aperçus le sexe tendu de Richard, équipé d’un préservatif, s’approchant inéluctablement de l’entrée de mon sexe. Prise de panique, j’eus un mouvement de recul immédiatement retenu par les mains de mon amant sur mes hanches.


J’avais jusque-là pris nos ébats sous l’angle du jeu, m’étant convaincue que cela ne prêtait pas vraiment à conséquences tant que je n’allais pas jusqu’à la pénétration, mais mon partenaire cognait déjà son gland à l’entrée de mon vagin, et le « non » que je soufflai fut noyé dans le gémissement de plaisir que cet envahissement m’arracha. En effet, Richard prenait possession de moi en une longue poussée et je sentais son gland écarter les parois de mon vagin sur son passage jusqu’à le sentir au plus profond de mon ventre, au point de cogner contre mon utérus.


Ainsi empalée sur cette verge dure et tendue, le point de non-retour ayant été plus que dépassé, je ne pouvais plus que gémir, non pas sur mon sort, mais du plaisir donné par ce sexe nouveau pour moi. Je fus surprise, malgré la texture du préservatif, de ressentir aussi bien la forme et le dessin de cette verge palpitante. À peine mon esprit et mon sexe avaient-ils pris la mesure de l’engin que mon amant commençait ses longs, profonds et lents va-et-vient. À chacun, je sentais mon sexe se dilater pour accueillir ce membre. Je me retrouvai ainsi les cuisses relevées, tenues sous les genoux, soumise aux coups de reins cadencés de mon partenaire. La pièce était uniquement sonorisée par mes petits gémissements aigus qui me revenaient aux oreilles comme en écho et des râles plus profonds, seuls sons sortant de la bouche de Richard. Cette absence de dialogue rendait l’acte excitant et très troublant à la fois ; nul besoin de mots pour comprendre les envies de mon amant qui n’avait d’ailleurs qu’à se servir pour profiter de moi. Je sentais ses bourses buter contre mon anus à chaque fois qu’il était en moi de toute sa longueur.


Ses mains ne furent pas longues à venir dégrafer mon chemisier pour accéder à mes seins en baissant mon soutien-gorge. Je commençais à gémir de plus en plus lorsque Richard se retira de mon sexe gonflé. Il entreprit de me déshabiller entièrement, faisant glisser d’abord ma jupe puis enlevant fébrilement mon chemisier et mon soutien-gorge. Ainsi nue, il me fit me lever pour me retourner, me mettant à genoux sur le bord de canapé, mes mains sur le dossier, ma croupe offerte à son regard. Il se plaça derrière moi afin de s’introduire en moi en levrette, une main sur ma nuque m’obligeant à me cambrer, l’autre sur ma hanche pour limiter ma fuite en avant. Dans cette position, ces coups de reins devinrent plus appuyés, plus bestiaux. Mes gémissements suivirent eux aussi cette tendance. Je me retrouvais ainsi à quatre pattes à haleter sous les assauts de cet étalon. J’avais vraiment l’impression d’être saillie comme une jument, cette pensée rendant ce coït encore plus excitant !


Maintenant qu’il me menait à la baguette, je fus à peine surprise lorsqu’il osa flatter ma croupe d’une claque plus bruyante que douloureuse, m’arrachant un « Aaahh » de surprise. Il me chevauchait de plus belle, alternant les profonds coups de bassin et les fessées de plus en plus appuyées et des « Oh, mon Dieu… » sortirent bientôt de ma bouche, rompant l’absence de paroles dans laquelle se perpétrait cette séance de sexe jusqu’à présent.


Des cris de surprise et de plaisir jusque-là inconnu répondirent de plus belle à ses assauts lorsque je sentis un pouce humide jouer avec mon anus et le pénétrer par intermittence. Il le faisait en effet entrer et sortir selon le rythme de ses coups de reins, usant de mon anneau jusqu’à présent rarement utilisé à des fins coquines. Alors qu’un « Mon Dieu… » sortait de ma bouche, j’entendis sa voix me répondre « Mais c’est que tu aimes ça, coquine ! » Ces mots firent définitivement basculer à mes yeux l’acte sexuel vers le coït hard. Je ne me sentais plus impudique, mais complètement et définitivement salope, car je ne pus que répondre à mon amant par un « Oh oui… », redoublant les ardeurs et la hardiesse de Richard.


La levrette fut ensuite ponctuée de commentaires qui, loin de me choquer, augmentaient mon plaisir intellectuel autant que mon plaisir physique. Les « Prends ça ! », les « Comme tu es bonne… » m’électrisaient autant que les fessées bien claquées sur mes fesses et les coups de boutoir de son gland au fond de mon ventre. Le summum arriva lorsque tous ces plaisirs convergèrent, déclenché par un pouce hardi qui prit possession de mon anus. Une vague de plaisir, de honte, se coupla alors à la stimulation simultanée d’une fessée appuyée et d’un « Prends ça, salope ! » claquant dans mon esprit. L’orgasme me submergea alors à nouveau, m’arrachant de nombreux « Oh oui… » décuplant eux-mêmes le plaisir de Richard qui me pilonna comme jamais. Sa jouissance ne fut décalée de la mienne que d’une trentaine de secondes et les palpitations de son sexe bien calé au fond de mon vagin entraînèrent une recrudescence des contractions de mon orgasme, me donnant la surprenante sensation de pomper cette verge avec mon sexe comme pour en extraire le plus de semence possible. Les « Ah, salope ! » ponctuant les éjaculations de mon cavalier confirmaient, s’il le fallait, l’énorme plaisir pris par mon mâle.


Cette fois, tous deux pourtant épuisés, il ne me laissa pas tomber dans ma torpeur, et c’est encore le ventre palpitant qu’il me fit m’allonger sur le dos, présentant son sexe luisant débarrassé de sa capote à l’entrée de ma bouche, sur mes lèvres. L’odeur du sperme, de l’excitation et de la luxure envahit mes narines ; mais, soumise, je passai ma langue sur et autour de cette queue pour effacer la moindre trace de cette baise torride. Je retrouvai le goût si particulier que j’avais savouré lors de la fellation que je lui avais faite dans la sellerie, le parfum de la luxure en plus. Richard venait en effet de me faire passer, dans mon esprit, du statut de femme BCBG adultère en voie de dévergondage à celui de salope, objet de désir et de plaisir assumant pleinement son goût pour le sexe.


Nus, nous sommes partis nous doucher. Là, les caresses se firent plus tendres, plus douces, l’eau chaude apaisant nos corps, la tension retombant. Ses mains passaient délicatement sur mes seins, mes hanches, mon dos, mes fesses. Je faisais de même avec son torse, laissant mes doigts découvrir les muscles sous sa peau douce.

Mais alors que je sortais de la douche, Richard dans mon dos, une claque cingla mes fesses et un « La prochaine fois, je m’occupe de ton petit cul, Sabine ! » résonna dans mon esprit autant que l’onde de choc sur ma croupe !