n° 18368 | Fiche technique | 34438 caractères | 34438Temps de lecture estimé : 20 mn | 10/05/18 |
Résumé: Un jeune homme aux deux avant-bras cassés se trouve désemparé sexuellement. Une infirmière complaisante lui donne un coup de main, et un peu plus. | ||||
Critères: fh freresoeur médical handicap vacances travail douche amour voir exhib nudisme | ||||
Auteur : Drulin Envoi mini-message |
Lorsque Jérôme s’était cassé les deux avant-bras dans un accident de scooter, il ne pouvait plus faire grand-chose. Pour manger, on lui mettait de gros livres de chaque côté pour soutenir ses bras, ce qui lui permettait de porter sa bouche à sa fourchette ; pour l’ordinateur, deux doigts suffisaient, et pour la télé « le temps de cerveau disponible » n’était pas endommagé. Par contre, pour ce qui est de faire sa toilette, c’était impossible. Même pour prendre une douche où il fallait orienter le jet afin d’éviter de mouiller les plâtres.
C’est Cathy, sa sœur jumelle, qui se résolut à faire la toilette de son frère. Elle avait l’habitude, ayant travaillé à l’hôpital dans le but d’être infirmière avant de changer de branche pour s’orienter dans les services d’aide à l’enfance. Cette fois, c’était son frère, mais ni l’un ni l’autre n’y voyaient un quelconque problème. Il faut dire que les deux jeunes gens de vingt ans pratiquaient le naturisme avec leurs parents depuis leur plus tendre âge. Leur mère disait même : « Vous faisiez du nudisme avant même votre naissance, puisque avec papa, mon ventre s’arrondissant, nous passions nos journées, tout nus, sur les plages de l’océan Atlantique. Dire que je n’osais pas montrer mon gros ventre et mes seins lourds alors qu’il n’y a rien de plus naturel qu’être enceinte. Lorsque je vois aujourd’hui des personnes handicapées dans les centres naturistes qui assument leur différence, je me trouve bien idiote a posteriori. »
Cathy connaissait parfaitement le corps de son frère, et inversement. La pudeur n’avait aucune prise entre eux, d’autant plus que leur gémellité les rendait encore plus proches. Aussi le premier jour de cette toilette, elle arriva dans la chambre de son frère et lui dit :
Il rejeta avec les jambes sa couette de lit et apparut nu comme à sa naissance, puisqu’il dormait toujours sans pyjama. Cathy ne s’en émut pas, ayant surpris plus d’une fois son frère au saut du lit. L’inverse était vrai, car leurs chambres étaient accessibles l’une à l’autre depuis toujours et les portes en étaient rarement closes. De plus, il était fréquent, lors des vacances, qu’ils dorment dans la même pièce ou sous la même tente. Une manière de partager en commun un même lieu de vie, comme le ventre maternel avant leur naissance.
Seule la vie amoureuse et sexuelle de chacun les éloignait épisodiquement et momentanément. Ils se répétaient le proverbe vietnamien : « Les frères et les sœurs sont comme les membres d’un même corps, tandis que le conjoint n’est qu’un vêtement dont on peut se séparer. »
Apercevant son frère à poil devant elle ce matin-là, elle ne put s’empêcher de penser : « Mon frangin est réellement un très bel homme. » Une fois dans la salle de bain, elle mouilla le dos de son frère. Constatant qu’elle allait être trempée, elle se résolut à ôter son long tee-shirt qui lui servait de nuisette, ne portant alors pour seul vêtement qu’un string. Elle savonna le dos, les fesses et les jambes de son frère, puis rinça le tout.
Quelle ne fut pas sa surprise de voir le sexe de son frère en érection. Elle l’avait déjà vu bander ainsi, et cela ne l’avait jamais choquée. Cependant, ici les érections matutinales du réveil ou l’apparition de jolies nanas n’en étaient pas la cause.
Elle ne dit rien, tout en continuant à laver son frère, évitant tout de même le membre érectile qui restait toujours aussi tendu. Le fait que Cathy soit seins nus et ne portant qu’un string arachnéen n’était pas pour calmer l’excitation du jeune homme : une sœur reste avant tout une femme désirable, même s’il est hors de question de la toucher. Puis elle finit par savonner le plus rapidement possible la tige avec le gant de toilette.
Cathy rinça son frère, sécha son corps avec deux serviettes éponge. Puis elle l’habilla, emballant comme elle put le zob toujours aussi tendu.
Toute la journée, l’idée que son frère n’ait pas la possibilité de se masturber la préoccupa. Elle-même avait pris l’habitude de se masturber toutes les nuits lorsqu’elle dort seule. Heureusement, son petit ami du moment, Arnaud, était très présent. Si elle continuait à se trifouiller le lardon, se tripoter le mille-feuille et se tourner le bouton tout rond avant d’enfoncer quelques doigts dans son con, c’était devant lui qu’elle le faisait. Elle aimait voir dans son regard cette étincelle vicieuse à la limite du libidineux.
Cela faisait bientôt deux mois qu’ils jouaient à la bête à deux dos. C’était un record car – elle le reconnaissait franchement – elle consommait les hommes. Ils lui duraient une nuit, quelques jours, une semaine, rarement plus d’un mois. Les critères de disgrâce étaient divers. D’abord il fallait qu’il soit beau et bien monté, à l’image de son frère. Le calibre de la verge n’était pas un élément primordial, du moment que le mâle savait bien s’en servir. Car l’important était qu’ils soient de bons amants, qu’ils lui fassent l’amour bien et longtemps en la faisant jouir. Elle appréciait l’inventivité dans les jeux amoureux, prête à tout tenter, tout expérimenter, même ce qu’elle trouvait a priori assez dégradant ou limite, pour pouvoir dire « ça, j’ai fait et j’aime » ou « je n’aime pas » en toute connaissance de cause. Ainsi avait-elle découvert avec ravissement les doubles pénétrations (double anale-vaginale et double vaginale) ou l’acte de sodomiser son partenaire avec un gode-ceinture, ou encore le délicat toucher de la prostate. Par contre, l’expérience d’urologie expérimentée avec l’un de ses partenaires ne l’avait pas emballée. Et naturellement, il fallait que son amant soit naturiste, ou qu’il le devienne très rapidement et sans concessions.
Soudain une idée lui vint : Sandrine. Une bonne copine élève-infirmière comme elle. Elles s’étaient toujours parfaitement entendues, bien que très différentes. Solange ne s’était jamais mise nue sur une plage ; tout juste bronzait-elle topless pour faire comme tout le monde, sans y prendre aucun plaisir. « Il y a tous les mecs qui te matent les nichons et qui bandent », disait-elle. « On voit nettement la bosse sous leur bermuda. Mais bon, je ne peux pas jouer les saintes-nitouches, sinon je vais finir comme une nonne. Et pour moi, les vacances, c’est tout de même synonyme de drague et de baise. »
De même, elle était exclusivement hétéro alors que Cathy, bien qu’aimant beaucoup les hommes, ne détestait pas partager de suaves moments avec des filles.
Elle se souvint que Sandrine lui avait dit qu’elle avait suivi une formation d’assistante sexuelle pour personnes handicapées.
Cathy se dit que si sa copine le fait pour des personnes handicapées, elle pourrait très bien le faire pour son frère. Elle l’appela et lui expliqua la situation.
* * *
Le lendemain matin, Sandrine se présenta au domicile de Cathy et Jérôme.
Sandrine se rendit dans la chambre de Jérôme qui fut instantanément subjugué par la beauté de la jeune femme. Elle avait un visage régulier, des yeux entre marron et vert, comme s’il y avait des paillettes d’or. Son nez en trompette surmontait des lèvres sensuelles. Ses cheveux mi-longs entre châtain et roux tombaient en cascade sur ses épaules. De ce qu’il pouvait deviner de son corps sous ses habits, c’était une poitrine développée, une taille mince et un cul bien rebondi. Rien qu’à la voir ainsi il sentit son sexe se dresser. Il ne fit rien pour réprimer son érection et Solange ne lui laissa pas le temps de se reprendre. Elle ôta la couette qui le recouvrait. Elle regarda sans vergogne son corps nu, et ses yeux s’arrêtèrent sur le sexe bandé. Elle dit :
Tout en parlant, Solange avait pris le sexe en main et le caressait avant de le branler. Elle n’eut pas à attendre longtemps avant que le garçon décharge, répandant son foutre sur son ventre. Elle lui fit ensuite sa toilette comme n’importe quelle infirmière l’aurait fait. Jérôme n’osait rien dire, trop heureux de l’aubaine d’avoir trouvé en cette magnifique jeune femme une main ô combien secourable.
Lorsqu’elle croisa Cathy, elle lui dit :
* * *
Le lendemain, Jérôme attendit avec impatience son infirmière qui une fois de plus tira la couette de lit. Cette fois-ci, c’était une douche qu’elle voulait lui faire prendre. Elle l’attira vers la salle de bain en prenant sa queue en main pour le guider. Cathy les vit passer dans le couloir qui menait de la chambre à la salle d’eau.
Devant la douche, Solange plaça Jérôme dans le bac et retira sa robe. Elle avait revêtu un maillot de bain sexy qui lui allait à ravir : c’était un bikini de couleur bleue avec un léger imprimé floral. Le haut était constitué de deux triangles couvrant et soutenant ses seins, avec des cordons se nouant dans le dos et la nuque. Le bas couvrait le pubis et très partiellement les fesses, et se nouait également avec des cordons sur les côtés.
Elle entra sous la douche, se tint toute proche de Jérôme, et commença à le branler. Il percevait la chaleur du corps de la jeune femme, il sentait ses seins venir au contact de son buste. Cette fois pourtant il se maîtrisa, car il tenait à montrer à son assistante qu’il n’était pas un éjaculateur précoce. Elle le remarqua d’ailleurs :
C’est ce qu’elle fit. Constatant que le jeune homme, après qu’elle l’eût savonné et rincé, bandait à nouveau, elle lui dit :
* * *
Le lendemain matin, il n’y eut pas de douche mais une toilette directement dans le lit. Celle-ci fut précédée de douces caresses de la part de Sandrine. Ce fut un branle savamment orchestré, sachant faire retomber la pression juste avant l’explosion afin de retarder la jouissance et la rendre plus forte. Puis, au moment où il ne s’y attendait le moins, elle vint poser ses lèvres sur le gland. Ce baiser brisa toute résistance et Jérôme éjacula puissamment. Elle s’était retirée juste à temps pour ne pas avaler la semence, mais pas assez rapidement pour éviter d’avoir tout autour de la bouche quelques gouttes d’un sperme chaud et à l’odeur forte.
Jérôme n’en croyait pas ses oreilles. Parmi ses conquêtes féminines précédentes, seules deux avaient accepté de goûter à sa semence. La première, une donzelle de son âge en recherche sur les chemins du sexe, l’avait fait avec répugnance. La seconde, une femme d’une quarantaine d’années, avait avalé le tout avec naturel, son mari l’ayant initiée à cette pratique.
* * *
Lors de la douche suivante, la belle Sandrine quitta le haut de son maillot pour le plus grand plaisir de Jérôme qui regardait ces beaux fruits mûrs se mouvoir devant lui sans pouvoir les toucher. S’il avait été valide, il n’aurait pas hésité à les empaumer, à les soupeser, à les malaxer sans se soucier des désirs de la fille. Autant sur une plage naturiste il se serait bien gardé de ce genre de privauté, autant une fille partageant sa douche était un signe marquant du désir et de l’acceptation de tels agissements. Mais là, ce n’était que pour le plaisir des yeux.
Deux jours plus tard, lorsqu’elle retira sa robe, il fut surpris : elle était totalement nue dessous, ne portant ni soutien-gorge, ni culotte.
* * *
Les libéralités de Sandrine se firent de plus en plus importantes, étant proposées de façon progressive à Jérôme. D’ailleurs, elle était seule à décider ce qu’elle offrirait à son patient. À chaque fois, sa venue était un présent avec des surprises qui rendaient Jérôme fou de joie et de désir. D’autant plus que les jours où l’infirmière ne travaillait pas, c’était ceux où elle passait le plus de temps avec lui, la toilette étant alors plus un prétexte qu’une nécessité absolue.
Ainsi lui offrit-elle des fellations de plus en plus poussées, jusqu’au moment où elle garda en bouche le gland malgré l’avertissement de Jérôme. Elle reçut au fond de la gorge son foutre chaud. Elle se releva et vint lui rouler une pelle, lui faisant goûter son propre sperme.
Les appétissants seins de Sandrine ne furent plus seulement une vision furtive car c’est elle qui posa ses tétons sur la bouche de son patient-amant pour qu’il puisse les lécher et les téter. De la même façon, il put goûter à son berlingot lorsqu’elle se mit au-dessus de lui, sa vulve à hauteur de sa bouche.
Les jouissances étaient quotidiennes et partagées. Cathy se rendit compte que les rapports que sa copine avait avec son frère allaient bien au-delà d’une simple assistance sexuelle. Elle tombait amoureuse de lui. Cathy, qui suivait de loin l’évolution des soins apportés à son frère, en eut l’intime conviction. Pour en être certaine, elle l’interrogea :
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Effectivement, Jérôme, une fois déplâtré, accueillit Sandrine quasi quotidiennement, et fréquemment elle restait la nuit pour copuler sans retenue avec son amant. Cathy était étonnée de l’attachement de son frère pour cette fille, sachant que son frère allait de fleur en fleur sans vraiment se fixer. Pour autant, elle n’en éprouvait aucune aversion ni jalousie. Elle se disait tout de même « Ça ne va pas durer longtemps ; dès qu’il constatera que pour elle le naturisme n’est pas sa tasse de thé, il la laissera tomber. En plus, bien qu’étant assistante sexuelle, je ne suis pas certaine de son ouverture d’esprit en ce qui concerne le sexe, alors que mon frère est un sacré loustic en la matière. Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai l’impression qu’elle en connaît bien moins que lui sur le sujet. Or, sera-t-elle assez libérée pour goûter à des plaisirs qui lui sont inconnus ? »
D’ailleurs, il lui sembla que les visites de Sandrine se faisaient moins fréquentes. Son frère, redevenu valide, allait trouver sans peine une chaussure bien mieux adaptée à son pied.
* * *
Cathy et Jérôme avaient décidé de passer leurs vacances ensemble dans un camp naturiste sur les bords de la Méditerranée. Depuis leur naissance, ils avaient pratiqué le naturisme avec leurs parents. Sans eux, ils voulaient pérenniser ces séjours ensemble. Il était convenu qu’ils viendraient chacun avec la personne de son choix.
Jérôme, déjà sur place, vint chercher sa sœur et Arnault à la gare la plus proche. Dans le centre naturiste, sur leur emplacement, ils se trouvèrent face à Sandrine. Elle était sublime avec son corps nu aux formes généreuses, ses seins amples et fermes à la fois, ses fesses rebondies et musclées, sa taille fine et sa chatte à présent glabre avec le sourire vertical bien apparent. Nullement gênée, elle vint embrasser les nouveaux arrivants. Ces derniers quittèrent leurs vêtements rapidement et les deux couples partagèrent une boisson de bienvenue.
Les deux couples occupaient une tente familiale avec deux chambres en vis-à-vis. Les deux chambres étaient séparées par un voile de tulle comme moustiquaire et une toile opaque, permettant selon le fabriquant « un plus grand confort et une meilleure intimité à ses occupants ». Certes, l’intimité visuelle était présente, mais nullement l’intimité auditive, l’un des couples ne pouvant ignorer les occupations tumultueuses de l’autre.
Un jour, Cathy attendait à l’entrée du bloc sanitaire qu’une place se libère. Elle était avec sa petite trousse de toilette et sa serviette éponge sur l’épaule, nue comme toutes les personnes présentes devant les douches mixtes et collectives. Les installations placées à l’extérieur du bloc, où l’on pouvait également se laver, étaient elles-mêmes occupées, sinon la jeune femme y serait allée, se souciant peu de se nettoyer dans une promiscuité réduite ou en public. Dans un tel lieu, la nudité était la norme et sortait du domaine privé ; aussi, pour une naturiste convaincue et habituée comme elle, la pudeur n’avait pas lieu d’être. Elle se trouva à côté de leur voisine la plus proche, une femme d’une petite quarantaine à la poitrine généreuse et au corps tout en rondeurs.
Cathy rigola à gorge déployée, puis expliqua à la femme :
Cependant, un soir ils oublièrent, sans aucune arrière-pensée, de rabattre les toiles qui préservaient l’intimité des deux chambres. Les deux alcôves n’étaient plus séparées que par le tulle translucide. Au petit matin, Jérôme commença à lutiner Sandrine qui jouait comme à son habitude les belles endormies. Lorsque Cathy ouvrit les yeux, elle vit son frère le visage entre les cuisses de la jeune femme. Arnault se réveilla et enlaça sa chérie en se tenant derrière elle, une main tripotant ses seins, l’autre posée sur le pubis, ses doigts à la recherche de la vulve. Elle lui dit :
Les vacances naturistes se poursuivirent de la meilleure des façons. Le jour, les deux couples vivaient nus dans une quiétude parfaite. La nuit venue, les jeux sexuels ne donnèrent lieu à aucun échange de partenaire. Le seul côte-à-côtisme remplissait de bonheur tous les protagonistes. Car Sandrine s’était découvert, à travers le naturisme, des propensions au voyeurisme et à l’exhibition. En même temps, elle restait suffisamment discrète pour ne pas embarrasser les autres ou attirer l’attention sur elle.
Cathy avait une idée en tête : « Si Sandrine reste avec mon frère, je baiserai avec elle. Elle aime le naturisme dont elle ne voulait pas entendre parler ? Eh bien elle aimera le lesbianisme qu’elle ne voulait pas connaître. Et puis il y a des pratiques sexuelles qu’elle n’a pas encore acceptées avec mon frangin : je pourrai me charger de son éducation en matière de sodomie, de double pénétration et autres réjouissances que Jérôme sera ravi de partager avec elle ensuite. »