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Temps de lecture estimé : 6 mn
06/06/18
Résumé:  Un petit plaisir lors d'une randonnée.
Critères:  hf fh hotel soubrette préservati pénétratio -occasion
Auteur : Rodanner            Envoi mini-message
Une randonnée en Bretagne

Une randonnée agréable en Bretagne hors saison. Une petite presqu’île pour finir la journée et me reposer, un hôtel tranquille et verdoyant, avec terrasse et jardin.

Et du beau temps, ce qui est toujours bien en Bretagne.


Je vais prendre ma clé à l’accueil ; une brunette jolie et sympathique m’accueille, m’enregistre et me précède dans l’escalier pour me montrer la chambre. Jolie vue sur ses jambes et ses fesses. Jolie vue sur la mer aussi.


L’avantage de la randonnée, c’est que ça fait circuler le sang, et que ça permet de rêver un peu (au moins quand on est seul). Cela permet également des rencontres intéressantes, les randonneuses n’étant pas forcément très farouches.


Mais aujourd’hui, je n’ai croisé à peu près personne et l’hôtel paraît assez vide.

Après une douche, je redescends boire un verre dans le jardin. C’est encore elle qui vient prendre la commande. Quand elle revient, la table étant un peu basse, en se penchant pour poser le verre, son chemisier s’ouvre un peu sur ses seins.


Je n’en perds pas une miette, elle se redresse, s’en aperçoit et me fait un sourire amusé.

Après avoir fini mon verre, je lui fais signe de m’en apporter un autre, en espérant que le spectacle se renouvellera.


Elle s’approche, il me semble bien qu’un bouton de plus est ouvert, mais en se penchant, elle met la main sur son chemisier. Bon, je me dis que je ne peux pas gagner à tous les coups, mais elle enlève sa main et m’offre ses seins à regarder.



La randonnée, cet endroit paisible, deux verres et cette jeune femme, je me sens d’humeur joyeuse et prêt à tenter quelque chose. Je me lève pour aller payer, tends mon billet de cinquante euros et avant qu’elle me rende la monnaie, je lui dis :



Et je remonte dans ma chambre.

Quarante minutes après, on frappe à ma porte, j’ouvre, c’est elle, elle a dû terminer son service, elle est en civil, jupe légère et petit corsage échancré.



Elle entre et je referme la porte ; il me semble qu’elle n’est pas venue pour compter les moutons sous le lit… Elle semble ne pas avoir froid aux yeux et peut-être le feu quelque part. Mais je ne m’emballe pas, je ne voudrais pas mal interpréter et me retrouver avec une jeune femme criant au viol.



Comme elle n’a pas de mouvement de recul, je pose franchement ma main sur son sein, qui est très ferme et ma bouche sur son cou, ce n’est pas le moment de la laisser refroidir. Manifestement, je n’avais pas trop mal interprété, elle semble très intéressée par ce que je lui fais. Elle pousse un petit gémissement, que je prends pour un encouragement et je la pelote allègrement.


Je déboutonne le peu de boutons qui restent, je baisse les bonnets de son soutien-gorge, elle a de belles aréoles et des tétons déjà bien dressés. Ses seins sont assez gros et très plaisants, ils se tiennent très bien tout seuls.


Elle me tend ses lèvres et on se roule un gros patin. Mon Dieu, que cette fille est charmante ! Ses lèvres sont douces et sa langue très active. Je lâche son sein pour aller voir sous sa jupe ce qu’il en est. Il en est de bon augure, ma main glisse dans sa culotte et mes doigts sur sa fente. Elle gémit un peu plus, tout cela est bien mouillé. Je ne sais pas ce qu’elle voulait au départ, de l’argent de poche ou bien s’amuser un peu, mais maintenant, elle veut vraiment que je m’occupe d’elle.


Je l’allonge sur le lit, lui retrousse sa jupe, écarte sa culotte et commence à la lécher. Comme elle sent bon, comme elle a bon goût, comme elle est fraîche… Elle est très réceptive, je sens sur ma langue son bouton qui grossit, je me concentre bien sur son plaisir, je lui enfonce un doigt, puis deux dans sa douceur.


J’essaie de comprendre les mouvements sur son clitoris qui lui plaisent le plus. Elle semble très sensible, je n’appuie pas trop fort. Pendant ce temps, mes doigts vont et viennent, cherchant les zones qui la font gémir. Elle me guide par ses petits cris, par ses « Oui, oui, là, comme ça, c’est bien ! » J’ai l’impression qu’on commence à être bien en phase tous les deux et pour une fois qu’une fille n’est pas épilée ni tatouée, je n’en profite que mieux.


À force de la caresser et de la lécher, je sens qu’elle commence à venir, son corps se met à vibrer, elle se mord la main pour ne pas crier et tout d’un coup, ça y est, elle explose, son sexe se contracte autour de mes doigts. Sa jouissance est longue et belle, cette fille est un vrai bonheur.


Quand elle a enfin fini de jouir, elle reste un long moment les yeux fermés, comme endormie. Je la laisse un peu tranquille, puis je la caresse doucement, sa peau est douce.

Je l’abandonne un moment pour aller chercher un préservatif au cas où elle voudrait me montrer quelque gratitude. Mon sexe est très en forme et je n’ai qu’une envie, faire plus ample connaissance.

Après un petit moment de somnolence pour elle et de caresses pour moi, elle rouvre les yeux, me sourit et me dit :



Je la pénètre, c’est chaud, c’est doux, c’est jeune, c’est soyeux, on commence doucement, puis plus ardemment, c’est elle qui donne le rythme, elle y va de bon cœur :



Elle ouvre grand ses cuisses, puis referme ses jambes sur mon dos.


Je sens que ça vient, je ne voudrais pas partir trop tôt, j’ai l’impression qu’elle peut re-jouir. J’essaie de m’économiser, mais elle doit savoir qu’elle est presque au bord, elle cherche sa jouissance et ne se contrôle plus. Ça rentre et ça sort avec de grands bruits, c’est tout trempé, c’est délicieux. Elle vient enfin dans un grand râle, je lui donne tout moi aussi et si on n’a pas tout à fait joui ensemble, on ne devait pas en être très loin.


On reste effondrés l’un sur l’autre, on se respire, on s’embrasse, cette fille, ah cette fille ! Comme c’est étrange que cela puisse être aussi bon avec quelqu’un dont je ne connais pas même pas le prénom.


Au bout d’un moment, elle se lève pour aller dans la salle de bain ; je la regarde s’éloigner : tout est beau chez elle. J’en profite pour sortir quelques billets de mon portefeuille et les pose sur sa culotte. En revenant, elle les voit et me dit que ce n’était pas la peine, que ce n’était pas pour ça qu’elle était venue, que c’était juste que je lui plaisais bien ; je la fais taire d’un baiser et lui dis de se faire un joli cadeau avec et qu’elle m’a rendu très heureux.


Elle me demande si je continue ma randonnée, je lui dis que oui, qu’il me reste encore une journée et que demain je serai à L…