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n° 18414Fiche technique58020 caractères58020
Temps de lecture estimé : 33 mn
08/06/18
Résumé:  Lorsque je viens de finir de prendre mon petit déjeuner, je vois passer sur la terrasse Estelle, la femme de mon neveu. Elle pique une tête dans l'eau bleutée, afin de nager rageusement, faisant ainsi plusieurs longueurs.
Critères:  fh hplusag oncletante piscine fellation cunnilingu pénétratio -extraconj
Auteur : Patrik  (Carpe diem diemque)            Envoi mini-message
Avenante aventure avunculaire

L’histoire met un certain temps à s’installer, mais c’est volontaire. Vous êtes prévenu(e)(s).

Bonne lecture languissante ! :)




Bord de piscine



Alors que je viens de finir de prendre mon petit déjeuner, je vois passer sur la terrasse Estelle, la femme de mon neveu. Pour mieux voir, je repose mon journal qui explique en long et en large comment François Mitterrand, notre nouveau président, va réformer la France tout en évitant la fuite des grosses fortunes apeurées. Bon courage ! Quelque chose me dit qu’il ne fera même pas le quart de ce qu’il a promis, car la réalité des choses est plus forte que la moindre des utopies.


Elle s’immobilise juste au bord de la piscine, elle laisse choir sa grande serviette de bain, révélant un beau bikini, puis elle pique une tête dans l’eau bleutée. Il est flagrant que ma nièce nage rageusement, faisant ainsi plusieurs longueurs. Quelques minutes plus tard, épuisée, elle s’accoude au rebord. Verres en main, en maillot de bain et chemisette ouverte, je m’approche d’elle, je pose un jus de fruit devant elle, tandis que je garde le mien.


Elle me lance un sourire crispé en me disant :



Tranquillement, je m’assois au bord de la piscine, mettant mes jambes dans l’eau. Elle reste accoudée au rebord, à cinquante centimètres de moi. Elle s’empare du verre, et en vide la moitié, puis en le reposant, elle me confie :



Lui et sa nouille ? C’est bien la première fois qu’elle évoque ce sujet, et avec ces mots-là. Ma nièce serait-elle insatisfaite ?



Je rigole franchement :



Pour les yeux, je comprends, mes slips de bain laissent souvent deviner que la nature ne m’a pas oublié, comme celui que je porte ce matin. Mais pour les oreilles, quelque chose m’échappe :



C’est vrai que, plus d’une fois, j’ai retrouvé Estelle en train de barboter dans ma piscine. Ma nièce avale une petite gorgée de son verre. Celui-ci posé, elle semble hésiter sur la suite à donner, puis levant les yeux vers moi, elle se lance :



Je crois que je peux révéler deux-trois petits trucs à ma nièce, d’autant qu’elle a certainement compris certains de mes loisirs :



Amusée, ma nièce s’exclame :



Elle laisse passer un peu de temps avant de continuer :



Elle me regarde avec un petit sourire en biais :



Égayé, je souris :



Elle avale une autre gorgée.



Elle soupire abondamment :



Secouant la tête, elle se tourne vers moi pour affirmer péremptoirement :



Soudain, elle écarquille grands les yeux, un large sourire se dessine sur ses lèvres :



En effet, mon sexe est bien raide et une petite partie rouge est en train de déborder de mon maillot de bain ! Je vais pour le masquer en remontant mon maillot, quand Estelle m’arrête :



Elle sourit malicieusement :



Je ne me fais pas prier, j’enlève prestement mon maillot et je m’accroupis pour aller m’asseoir à la même place. Elle hoche de la tête :



Tandis que je m’assois à nouveau sur le rebord de la piscine, elle secoue la tête d’un air un peu blasé :



Sa main devant sa bouche et ses joues rosies m’amusent beaucoup. Je la rassure :



Terrain glissant. Je réponds prudemment :



Elle se racle la gorge, puis énonce d’une petite voix :



Un peu surpris par la tournure des événements, je m’exécute quand même. Une fois mes cuisses écartées, et mon sexe bien érigé vers le haut, Estelle quitte le bord de la piscine pour aller se positionner juste dans l’axe de mon entrejambe.


Elle hoche la tête d’une façon quasi admirative, ce qui fait beaucoup de bien à mon ego et aussi au maintien de mon érection. Puis à ma grande surprise, elle vient s’accouder carrément entre mes genoux, à environ trente-quarante centimètres de mon service trois-pièces.



Les yeux brillants, elle sourit :



Bonne question. La donzelle est pourtant un peu trop jeune pour moi, mais elle me rappelle bien des souvenirs. Je préfère dire la vérité :



Je vois bien qu’elle est un peu gênée :



Vicieusement, elle se redresse, me montrant sa poitrine nue et ruisselante, ce qui n’aide pas à ramollir mon sexe :



Elle regarde sa poitrine, puis soupèse carrément ses deux lolos sous mon nez :



Un peu inquiet, je demande carrément :



Elle se remet dans l’eau, laissant émerger son cou et sa tête :



J’imagine le tableau, Estelle en lingerie, bas et porte-jarretelles et tout le tralala :



Accoudée au rebord de la piscine, sa tête sur ses bras, elle rit franchement :



Elle s’arrête net, gênée. Je la relance :



Elle me regarde, intéressée :



Je vois bien qu’elle pèse le pour et le contre. Elle aimerait franchir le pas, ne fût-ce que voir ce que c’est sans forcément participer, mais elle n’ose pas trop. Elle argumente :



Amusé par cette réponse spontanée, je me penche sur elle, mon front très proche du sien, demandant d’une voix suave teintée de cynisme :



Je me redresse, me mettant en appui sur mes mains en arrière. Ce faisant, mon sexe trône telle une étonnante colonne de chair, bien mis en évidence. Elle voulait voir, eh bien, elle voit. Et à prime vue, ça semble lui plaire…




Se jeter à l’eau



D’ailleurs, elle me demande malicieusement :



Se laissant aller à certaines confidences, elle s’exclame :



Je sens que ma nièce se laisse vraiment aller. Pourtant, ce n’est que du jus de fruit qu’elle a bu, tout à l’heure. Mais je ne vais pas faire mon difficile !



Ah, ce fichu préjugé à la con ! Je rectifie le tir :



Ma nièce s’agace de la tournure de la conversation :



Je tends la main, toujours le buste penché en arrière :



Elle s’agite, se contorsionne, puis victorieuse, elle me tend une pièce de tissu très ténue. Je m’empare du maillot de bain, ou plutôt de quelque chose qui y ressemble. Pour ma part, j’estime que c’est plutôt un string.


Après avoir contemplé ce bout de tissu, je le pose à côté de moi :



Elle s’éloigne à la nage, je peux admirer ses belles fesses sous le clapotis de l’eau. Arrivée à l’échelle, elle sort de la piscine, nue et ruisselante. En effet, son pubis est tout lisse et sa fente très bien visible. Inutile de dire que ça ne m’aide pas à débander ! D’ailleurs, elle m’en fait la remarque :



Alors que je ne m’y attendais pas du tout, elle lance son pied dans ma direction, et ses orteils viennent taquiner ma verge bien raide ! Elle glousse, puis se recule hors de ma portée :



Elle met ses mains sur ses hanches, jambes légèrement écartées, comme pour me laisser admirer sa plastique, et surtout le mignon abricot qui trône à la hauteur de mes yeux. Je lui confie :



Elle pouffe, sans ôter ses mains de ses hanches :



Puis, lentement, elle pivote sur elle-même pour me laisser la contempler à mon saoul. Je peux admirer un cul très mignon, ni trop gros, ni trop petit, et quelque chose me dit qu’on doit être bien dedans ! Je dois reconnaître que ma nièce est bien fichue. Et que dans nos soirées, elle aurait du succès. Mais bon, c’est quand même la femme de mon neveu, même si celui-ci ne semble pas savoir contenter sa fougueuse moitié. Son tour complet accompli, elle me fait à nouveau face :



Spontanément, je lance :



Elle me sourit, puis elle plonge dans la piscine. Quand elle émerge, elle me lance :



À mon tour, après avoir ôté ma chemisette, je m’élance, et je la rejoins dans une grande éclaboussure. Elle rit, je m’approche d’elle à grandes brasses. Elle recule, revenant dans la partie où elle a pied. Je m’avance toujours vers elle, elle recule à nouveau, puis se fait coincer par le mur. Moqueur, je lui lance :



En effet, elle glisse sur le côté, s’éloignant un peu de moi. Néanmoins, elle se fait très vite acculer dans un coin de la piscine. Les mains sur les hanches, je m’approche d’elle :



Elle rougit, inclinant la tête vers le bas, mais ses yeux rivés dans les miens :



Puis elle jette son corps et ses bras en avant pour mettre ses mains autour de mon cou. Ses seins ruisselants et luisants s’aplatissent sur ma poitrine mouillée, tandis que son ventre se plaque son mon sexe bien dressé.




Eaux vives



Estelle a beau être ma nièce par alliance, j’ai du mal à résister à son invitation explicite. Il faut dire que j’ai envie d’elle, de sa beauté, de sa jeunesse, de son corps, de bien des choses. J’ai envie de la faire crier de plaisir, de la faire chanter, comme elle dit, d’en faire une femelle lascive et repue.


Tandis que je me presse contre elle, nos bouches se joignent et nous nous abandonnons à un long baiser qui devient de plus en plus torride. Nos langues se cherchent, se trouvent, se nouent. J’adore sentir les pointes de ses seins contre moi, ses mains toutes douces dans mon cou et parfois mon dos. Mes mains caressent sa nuque, ses reins, ses fesses. J’aime lui faire sentir la dureté de mon vit contre son ventre tout mou, j’imagine mon braquemart pénétrer bientôt en elle pour lui faire sentir la différence avec la nouille de mon neveu, puis inonder de sperme cette chatte inassouvie, la remplir, la faire déborder !


C’est elle qui se décolle de moi, afin de reprendre son souffle :



Pas besoin de me le dire deux fois ! À nouveau, nos lèvres se joignent, nous nous abandonnons à un long baiser humide et torride. Nos langues recommencent nos petits jeux, exploratrices, inquisitrices, tout en étant soyeuses. Les pointes de ses tétons me semblent devenir encore plus dures, mes mains plus voraces, ses ongles me griffent délicatement. Mes mains caressent à nouveau son dos, de sa nuque à son cul. Ma verge bien dure et raide s’écrase sur son ventre frémissant. Je m’imagine lui faire l’amour durant des heures, de l’explorer de partout, dans tous les sens, sans honte aucune, avide de connaître les moindres plis et replis de son corps !


Une fois de plus, sa bouche s’écarte de la mienne, elle respire fortement :



Elle pose son front sur le bout de mon nez :



Elle lève la tête pour me regarder droit dans les yeux :



Je suis étonné du ton très décidé et affirmatif qu’elle emploie.



Je ne tiens pas à ce que nous relations soient pourries, suite à une partie de jambes en l’air, si excitante soit-elle. Calmement, elle me demande :



Pour toute réponse, je l’embrasse à nouveau, elle répond voracement à mon baiser. Ma nièce veut découvrir d’autres horizons, visiter d’autres contrées, se laisser aller, prendre et donner ? Pourquoi pas, l’occasion fait le larron, et ici, l’opportunité est trop belle ! Je vais me faire un plaisir d’exaucer son souhait !




Eaux torrentielles



Nos lèvres viennent à nouveau de se séparer. Elle reprend son souffle puis me demande :



Je souris ; ma nièce est comme beaucoup de femmes : dès que la porte s’entrouvre, on ne peut plus les freiner, elles sont attirées tel un papillon autour d’une lampe nocturne ! Par amusement, je lui réponds :



Pour toute réponse, je la plaque contre moi, capturant à nouveau ses lèvres, mais cette fois-ci, ma main libre s’en va s’égarer plus bas, caressant à présent un abricot bien lisse, dont la fente ne va pas tarder à être explorée ! Je ne suis pas très étonné se sentir qu’elle écarte les jambes pour me faciliter la tâche.


Tandis que mes doigts s’introduisent dans sa fente à la recherche d’un mystérieux bouton rose très sensible, Estelle se frotte délibérément sur ma queue, et j’avoue qu’elle s’y prend plutôt bien. Je me dis alors que mon neveu ne sait pas ce qu’il rate et que c’est bien dommage pour lui.


C’est elle qui ôte ses lèvres des miennes pour murmurer :



Belle proposition, mais il y a un hic que je mentionne :



Moi aussi, j’ai envie d’aller en elle, mais je n’aurais pas détesté y mettre mieux les formes. Mais puisque ma nièce est pressée, je ne vais pas la faire attendre. Alors m’abaissant un peu, je saisis ses cuisses par l’arrière et largement aidé par l’eau, je la décolle du sol de la piscine. Elle pousse un petit cri, s’agrippant à mon cou, me faisant encore mieux sentir ses seins. Je projette mon bassin vers l’avant, puis j’abaisse la jeune femme vers mon pieu qui l’attend avec impatience !


Mon gland vient cogner à son entrée, mais pas exactement où je le voudrais. J’opère un petit ajustement, l’anatomie féminine n’ayant plus beaucoup de secrets pour moi. Je regarde dans les yeux ma partenaire du jour pour lui demander :



Songeur, je dis tout haut :



Et sans plus attendre, je relâche un peu ma portance, ma proie vient s’empaler quasiment jusqu’au fond sur ma queue :



Maintenant, c’est bon, ma bite est entièrement en elle, je suis bien au-dedans, et ma partenaire semble apprécier. Toujours agrippée à mon cou, ses seins écrasés contre ma poitrine, elle avoue :



Je capture à présent ses fesses, et je commence à la pistonner lentement, mais fermement. Au visage qu’elle fait, on dirait qu’elle découvre qu’une queue qui remplit bien une chatte offre aussi des sensations fortes quand elle coulisse. Elle ne dit rien pour l’instant, mais je vois bien qu’elle se pince les lèvres. J’accentue mon va-et-vient en elle.


Soudain, elle laisse échapper :



Ne jamais contrarier la femme qu’on baise, c’est une maxime à appliquer dans la quasi-totalité des cas. À présent, elle accompagne mes mouvements en elle, cherchant à s’empaler plus encore sur ma bite bien raide fichée en elle. Je n’oublie pas de veiller à ce que son abricot tout tendre frotte impunément contre ma peau et mes poils pubiens. J’ai pu constater que son clitoris était assez développé, et qu’il y avait de quoi faire des choses intéressantes avec.


Le résultat ne se fait pas attendre longtemps, elle gémit, elle se cabre, elle se tend, puis soudain, sans prévenir, enfonçant ses ongles dans ma peau, elle jouit dans une longue mélopée.


Je continue mon pistonnage en elle, mais de façon plus apaisée, afin d’entretenir son excitation et la mienne. Soudain elle se détache de moi, s’adossant au rebord de la piscine, son vagin toujours envahi par mon sexe bien raide. Elle respire longuement, me regardant dans les yeux, puis elle me murmure :



Elle respire toujours bruyamment, fichée sur moi, comme soudée. Elle m’adresse un petit sourire vicieux :



Dans ce cas, pimentons un peu les choses :



Et nous recommençons de plus belle. Je constate que ma nièce est beaucoup plus participative et démonstrative. Cette fois-ci, elle retient nettement moins ses cris et ses soupirs. Il ne me faut pas bien longtemps pour la voir jouir à nouveau, encore plus intensément, ses mains crispées autour de mon cou.



Comme déjà dit, ne pas contrarier une femme qu’on baise…




Flots exaltés



Quelques minutes plus tard, elle vient à nouveau de jouir de bien belle façon. Elle éprouve alors le besoin de se détacher de moi. Pour ma part, je sors de la piscine, puis m’agenouillant au bord de celle-ci, je soulève ma nièce par les aisselles pour la sortir de l’eau. Ensuite, je la dépose sur un transat. Je la laisse se reposer quelques instants. Elle reprend ses esprits pour me demander :



Je m’approche d’elle, la verge toujours en pleine forme, car avec le temps et l’expérience, je sais résister longtemps. De plus, les femmes aiment qu’on leur manifeste son désir de la sorte. Je lui mets mon gros morceau de chair sous le nez et je lui ordonne :



Sans hésitation, elle saisit entre ses fins doigts ma queue comme pour en éprouver sa consistance, puis elle commence à laper mon gland. Je reconnais qu’elle ne se débrouille pas mal. Cependant, je sens qu’elle est plutôt néophyte en la matière, mais quelque chose me dit qu’elle souhaite apprendre et aller plus loin…


Après quelques léchouilles, elle se décide à accueillir mon gland entre ses lèvres. Puis elle entame une lente succion autour de ma tige qu’elle enfourne petit à petit. C’est ainsi que je vois disparaître lentement la moitié de ma bite dans sa bouche, tandis qu’elle me taquine avec sa langue suave. Oui, ma nièce a des dispositions, je me demande même si elle ne serait pas à sa place lors de certaines de nos soirées, mais chaque chose en son temps. Actuellement, je me laisse sucer et pomper par cette bouche juvénile et c’est très bon !


Je sens que je vais m’offrir le luxe de me laisser aller dans cette bouche si accueillante…


Sachant que les goûts et les couleurs, ça ne se discute pas toujours, et aussi pour faire mon gentleman, je préfère néanmoins prévenir à l’avance :



Bien qu’elle ne puisse pas me répondre, je déduis que c’est oui, puisqu’elle redouble d’ardeur ! Alors je me laisse faire, sentant ma jouissance venir peu à peu. Il est vrai que tout à l’heure, lors de la deuxième fois, j’ai failli me laisser aller, mais je me suis repris à temps. Il viendra malheureusement un temps où je n’arriverai plus à me contrôler comme j’arrive encore à le faire.


Estelle continue sa douce activité autour de ma pine qui gonfle de plaisir sous sa langue et ses lèvres. Je sens mes testicules vouloir se mettre en action, prêts à envoyer la purée, la béchamel, la sauce, le jus. Choisissez le terme que vous préférez. Je ferme les yeux, le soleil dore ma peau, une petite brise souffle, une femme me suce, que demander de plus pour l’instant ?



J’expulse un premier jet dans la bouche suave et chaude. Ça me fait un bien fou de remplir cette femme qui continue à me sucer avec application. Un autre jet fuse, me libérant un peu plus de ma tension. Puis après, je perds le compte, me laisser aller. Je flotte, ma bite toujours rivée entre ses lèvres.


La langue agile continue toujours son petit manège autour de ma tige et de mon gland empoissés de mon sperme qui s’écoule toujours. Je suppose qu’Estelle avale ce que je lui donne. Je risque un œil : mis à part quelques débordements et souillures sur le bord de ses lèvres, il est flagrant que ma nièce a été jusqu’au bout. Félicitations, je sens qu’il y aura bien d’autres choses à essayer avec elle !


Toujours noyé dans mon brouillard, je caresse délicatement ses cheveux :



Tout en hochant la tête, je lui souris :



Oui, elle peut être fière. Je sens que je vais soigner ma bonne découverte du jour, et la cultiver avec application ces prochaines semaines. Décidément, mon crétin de neveu ne sait pas à côté de quoi il est passé depuis tout ce temps. Je vais finir par le renier, car ce n’est pas possible de vivre et de coucher à côté d’une telle bombe qui ne demande qu’à exploser !


Et le pire, c’est que moi aussi je côtoyais cette bombe, sans le savoir…




Ondes ondoyantes



Après quelques câlins, je décide de poursuivre, et Estelle est tout à fait d’accord. Histoire de reprendre du poil de la bête et de ne pas laisser refroidir mon amante, avidement, je plaque ma bouche contre son petit abricot tout détrempé et ruisselant. Incontestablement, cette petite garce a vraiment beaucoup joui, elle n’aura pas perdu sa journée ! Tandis que ma langue s’agite entre ses lèvres luisantes de cyprine, je sens que ma virilité ne va pas rester en berne longtemps. Néanmoins, entre-temps, je compte bien faire jouir une fois de plus ma nièce. Celle-ci a les jambes bien écartées pour me laisser le meilleur accès à sa chatte inassouvie.



Soudain, ses doigts plaquent ma bouche contre son intimité, elle tremble de toutes parts, puis dans un long cri, elle jouit, le corps tout frémissant. Dans pareil cas, je me dis que je suis content de ne pas avoir de voisins immédiats et surtout inquisiteurs. Certaines de mes connaissances ont la malchance d’avoir des abrutis finis, je songe surtout à Lionel dont les voisins ont la fâcheuse tendance d’appeler les secours et la police au moindre cri, croyant qu’on égorge quelqu’un. Depuis quelque temps, il est assez tranquille, plus personne ne daignant se déranger, mais il a quand même surpris dernièrement le voisin dans son jardin qui venait voir de plus près.


Je me relève, particulièrement content d’avoir réussi une nouvelle fois mon coup. J’ai ma fierté de mâle. Mains sur son ventre, Estelle semble dormir, les yeux clos, la bouche ouverte. Puis sans transition, elle m’apostrophe impudiquement :



Elle répond d’un sourire gourmand :



J’affiche un sourire carnassier qui la fait frémir un peu :



Elle s’exécute sans broncher, me tendant carrément les fesses. Avide, j’empoigne ses hanches et j’entre d’un seul trait en elle, calant ma bite bien raide dans ses profondeurs humides. Elle glapit de plaisir :



Ma nièce a décidément un sacré vocabulaire, mais je crois que je la comprends. Ça va faire quelques années qu’elle est en couple avec mon neveu, et elle a besoin de rattraper le temps perdu, bien que je me demande jusqu’à quel point elle n’exagère pas un peu !


En attendant et sans perdre de temps, je la ramone comme il se doit, de toute ma longueur et de la puissance ! Elle gémit, elle glapit, elle beugle même, c’est assez étonnant. Encore heureux que je n’aie pas de proche voisin. D’ailleurs, ce n’est pas pour rien si c’est ma maison qui est choisie pour nos soirées spéciales.



Je continue de plus belle. Ma queue la pistonne à fond, elle remue du bassin pour mieux m’accompagner, dans un concert de petits cris, je me lâche complètement, j’accélère encore ! J’ai déjà eu affaire à des excitées du cul, mais celle-là, elle décroche le pompon ! J’imagine ce que ça pourrait donner si elle était jetée en pâture aux membres du club !


Soudain, je me retire. Je préfère, sinon j’étais bien parti pour exploser. Elle rouspète :



J’affirme mon autorité :



Je m’allonge sur un matelas en mousse, ma queue bien érigée et pointée vers le ciel. Ma nièce me regarde avec curiosité :



Jambes écartées, elle me surplombe. J’ai une belle vue sur son sexe fendu et entrouvert dans lequel je suis si bien ! Elle s’accroupit lentement. Je rectifie :



Elle s’exécute, puis peu de temps après, mon sexe taquine s’orée de ses lèvres intimes. Elle demande :



Elle fait comme j’ai dit. Ma queue disparaît petit à petit en elle, je la vois écarquiller les yeux, surprise. Puis je sens ses fesses sur mon entrejambe, tout est entré. Elle finit par avouer :



Elle grimace :



La diablesse sait s’y faire, même si c’est la première fois qu’on la prend ainsi. Quelque chose me dit que je vais beaucoup m’amuser avec elle ces prochains temps !


La plupart des femmes ne sont pas si différentes que ça, il suffit de s’occuper bien d’elles, de les amuser et de les faire jouir et elles sont dans la poche, jeunes comme vieilles. Et je ne vais certainement pas me plaindre !


Bref, j’ai continué à baiser la petite, en long, en large, en profondeur surtout, en travers, jusqu’à ce qu’elle crie grâce…




Le fil de l’eau…



Bien entendu, mon neveu n’a jamais rien su de tout ça, je suis partisan de la paix dans les ménages ! Néanmoins, petit à petit, Estelle fait son éducation, lentement mais sûrement, et il paraît que mon neveu fait des progrès significatifs. Si j’étais méchant, je dirais que quand on part de zéro, il est facile de faire des progrès ! À bien y réfléchir, je crois que je suis désobligeant avec le fils de ma sœur…


Aujourd’hui, je reçois justement ce jeune couple pour dîner, ce qui arrive assez souvent, d’autant que leur maison n’est absolument pas loin de la mienne, et que j’ai une bonne raison supplémentaire de les voir, en particulier, la femme de mon neveu. Alors que nous sommes, elle et moi, dans la cuisine, elle me dit sur le ton de la confidence :



Un peu embêté, j’essaye de calmer son ressentiment :



Le dernier mot lâché, elle retourne. Puis impudiquement, elle relève le bas de sa robe pour révéler un cul nu que j’adore choyer depuis quelque temps. Aussitôt, je caresse ses mignonnes fesses, mais elle proteste :



Je ne me fais pas prier, extirpant de mon pantalon un vit raide et en condition. Sans difficulté, je pénètre cette délicieuse chatte qui est déjà toute trempée. Saisissant ses hanches, je ramone avec délectation ma nièce pâmée qui apprécie visiblement la cuisine que je lui concocte en bon maître queux que je suis. Il ne nous faut pas bien longtemps pour jouir tous les deux le plus silencieusement possible ! Je dois reconnaître que c’est perversement bon !


Et encore, elle n’a pas encore participé à nos soirées spéciales, mais elle en parle de temps à autre. Elle me dit qu’elle attend un peu d’avoir épuisé mon apprentissage pour passer à l’étape supérieure. Une future sacrée salope en devenir !


Une fois notre petite affaire faite, ma vicieuse nièce s’offre même le luxe d’un petit dessert avant l’heure en me suçant la bite afin de goûter ce mélange de sperme et de cyprine, une mixture qu’elle apprécie beaucoup. Alors que je la regarde s’éloigner vers la salle à manger, tandis qu’elle réajuste le bas de sa robe, je réalise et je constate que cette petite salope ne s’est même pas essuyée ! Sa chatte est baveuse de mon sperme, et en plus, ça dégouline lentement sur ses cuisses !


Décidément, quelle femme !


Oui, il y a eu une suite, bien d’autres suites, vous pouvez me croire.

Peut-être les raconterai-je un jour…