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n° 18415Fiche technique34816 caractères34816
Temps de lecture estimé : 22 mn
08/06/18
corrigé 06/06/21
Résumé:  Raphaël veut faire un sex-chat avec une amie du net, mais se trompe et le fait avec une de ses meilleures amies, qu'il doit voir quelques jours plus tard. Celle-ci est surprise, ne connaissant pas ce "jeu" et s'y prête avec grand plaisir.
Critères:  f h fh grossexe telnet cérébral voir exhib fmast hmast intermast fellation cunnilingu anulingus fsodo
Auteur : Tortue675            Envoi mini-message
Sex-chat plein de surprises

« Écarte les cuisses, j’arrive. »

« Euh… pardon ? »

« Oh merde, excuse-moi Carla, je me suis trompé de destinataire. »

« Bravo Raphaël, je vois que tu t’amuses bien ! »

« Euh, oui. Je dois tout t’avouer ;). Oui je tentais de lancer un sex-chat avec Carlita, une fille rencontrée sur le web, avec qui on fait parfois ce genre de chose. »

« Un quoi ? »

« Sex-chat, tu connais pas ? »

« Non. Désolée. »

« Bah, tu parles de sexe, tu te chauffes avec la personne, soit en racontant la vérité, soit des scénarios. Ça peut aller aussi avec des photos et pourquoi pas des appels. Que du virtuel.

« Oh, c’est intéressant ;). »

« Ça t’intéresse ? »

« C’est ce que je viens de dire, non ? Gros bêta ! »

« Euh… maintenant c’est moi qui suis perturbé. On se connaît depuis longtemps quand même. »

« Ah, et donc ce n’est pas possible ? »

« Si si, c’est possible, il n’y a pas de règle en fait :). »

« Bah écoute, tu as titillé ma curiosité, je suis intéressée de voir si ça peut me plaire. »

« C’est top. »

« Je suis sûr que tu sauras garder ça entre nous. »

« Ah oui, tu me connais quand même. »

« Oui. Faire n’importe quoi virtuellement ça peut me plaire. Mais attention, tu sais que dans la réalité je suis avec Jean et je compte le rester. Ça n’a pas été facile, maintenant je fais attention. »

« Bien entendu. Ce sera notre petit jardin secret. »

« Oui et on n’en parle à personne ! D’ailleurs on se voit toujours dans 3 jours pour le week-end ? »

« Oui je descends dans ta province. Mais tu as un peu de temps là devant toi ? »

« Oui, Jean regarde une connerie à la télé, je suis sur le fauteuil à jouer sur mon téléphone. »

« Cool alors. Tu es joueuse ou tu veux rester tranquille ? »

« Assez joueuse, tu m’as mis l’eau à la bouche. »

« Coquine ! »

« Pourquoi ? »

« J’aime te mettre l’eau à la bouche ;). Et ça me donne d’autre idée aussi :). »

« Hmm, c’est rigolo ton petit jeu, ça me plaît. »

« Je suis un peu intimidé de le faire avec toi, mais c’est comme un doux rêve quand même. »

« C’est toi le grand coquin. Attends deux minutes… »

« Pourquoi ? »


Dix minutes plus tard :


« C’est bon, j’ai dit à Jean que j’étais fatiguée et que je voulais me reposer et il m’a demandé s’il pouvait aller boire un coup avec un pote, donc je vais pouvoir aller dans ma chambre. »

« Ah, top, je t’ai pour moi tout seul alors. »

« Virtuellement, je suis à toi, initie-moi à ton jeu. »

« Tu es habillée comment, là ? »

« Oh rien de sexy. Pantalon de jogging et sweat-shirt. »

« Et en dessous ? »

« Tu le sauras plus tard mon p’tit chat ;). Et toi ? »

« Boxer et t-shirt, je suis sur mon canapé-lit avec la télé en fond, inutile. »

« Hmmm… »

« Comment ça ? »

« Bah, j’essaie d’imaginer, et ça doit être pas mal. »

« Tu veux une photo ? »

« Ah oui, pourquoi pas. »


[Photo de Raphaël adossé à sa tête de lit, selfie où on voit son t-shit « NYC » et un boxer rouge sur la peau noire de ses jambes.]


« Merci. »

« Oh de rien ce n’est que le début. »

« Oh cool. »

« Tu es dans ta chambre ? »

« Pour tout t’avouer, je suis sur les toilettes et je pars dans la chambre juste après. »

« Hmmmm, j’imagine tes fesses posées sur la cuvette… »

« Pas la meilleure des positions à imaginer. »

« J’apprécie toutes les images que j’arrive à me mettre dans la tête, ne t’inquiète pas. »

« Alors j’espère ne pas te décevoir ce soir :). »

« Pas d’inquiétude là-dessus. »

« Bon, je vais m’essuyer alors, et j’ai fini. »

« Cool, encore de belles images. »

« ;) Je suis sur mon lit maintenant. Il fait assez chaud dans la chambre. »

« Parfait alors. Ouvre ton sweat-shirt. »

« C’est fait, ça va un peu mieux, ouf. Un peu d’air sur mes seins ça fait du bien. »

« Tu n’as pas de soutif ? »

« J’en n’avais pas, non :). »

« Rhhaaaaa… »

« Je peux te faire une photo aussi si tu veux. »

« Je n’osais demander. »


[Photo du corps de Carla allongée sur son lit. Son sweat-shirt est ouvert, on voit son ventre, les deux seins assez gros sont bien dessinés mais les tétons sont encore cachés.]


« Très joli, tu veux me faire deviner le reste, hein ? »

« Oui, bien sûr. »

« Si j’étais à côté de toi, je ne pourrais pas te laisser comme ça. »

« Tu ferais quoi ? »

« Veux-tu vraiment savoir ? »

« Oui, énormément. »

« J’ouvrirais ce sweat-shirt et je m’occuperais de tes seins avec mes doigts et ma bouche, ma langue, faisant subir à tes tétons toutes sortes de traitements. »

« Oh ça m’excite de lire ça. Je lis ça en boucle ;). »

« Y penser m’excite aussi Clara, il faut que j’arrête. »

« Non surtout pas ! »

« Ah, je vois que tu te prends au jeu. »

« Oui, j’avoue que mon bas-ventre chauffe un peu. Je retire donc ce sweat-shirt et te laisses t’occuper de moi. »

« J’attrape tes seins à pleines mains et je lèche tes tétons l’un après l’autre. »

« Hmmm… tu ne sais pas mais c’est une partie très sensible et érogène chez moi :). »

« Je m’en doutais, Clara, tu m’avais déjà laissé croire ça lors d’une discussion. »

« Oups. Mes tétons pointent maintenant, je te lis et les caresse. »

« Parfait. Ma main va vers ton cou, je tiens ta tête et t’embrasse goulûment. »

« Ma langue aime suivre ton mouvement, hmmm. »

« Le démon dans mon slip commence à se réveiller. »

« C’est bon ça ; -). »

« Je passe une main dans ton pantalon de jogging, sur ta culotte et je la sens mouillée. »

« Tu n’y vas pas par quatre chemins ! »

« Non. »

« Et tu as raison :) Je viens de vérifier, et c’est bien le cas… »

« Hmmm j’aimerais passer mes doigts sur ta culotte, puis les sentir pour me rendre fou. »

« Tu m’autorises à le faire ? »

« Je t’oblige, même ! »

« J’aime assez bien mon odeur, je dois avouer que ça m’excite encore plus. »

« Enlève ton pantalon, stp. »

« Et voilà, c’est fait, en culotte sur ce lit. »

« Ah, ça me fait bander de t’imaginer. »

« Tu me montres ? »

« Avec plaisir ! »


[Photo du slip avec une grosse bosse en diagonale.]


« Ah oui, c’est assez impressionnant, je dois avouer. Et très excitant. »

« Merci. »


[Photo de Clara allongée sur le ventre sur le lit, nue, en slip. On voit ses cheveux, le reste du corps, le dos et les fesses relevées.]


« Oh les belles fesses, hmmm. »

« J’ai des grosses fesses : ( »

« Non, ton cul est parfait Clara, je l’ai toujours apprécié, et là sur cette photo, il me donne de belles envies. »

« Je m’approche de toi et passe ma main sous ton t-shirt. »

« Je l’enlève de suite alors. »

« J’embrasse ton torse et tes pectoraux. Ta peau noire est magnifique, je la caresse partout. »

« Tu as carte blanche :) »

« Je pose des bisous autour de ton boxer, je sens cette barre toute dure toute proche de mon visage, ça me rend folle. »

« Et je bande comme un taureau, ne me fais pas attendre. »

« Je soulève ce boxer, et le gland apparaît. Je l’embrasse et retire complètement ce dernier tissu de ton corps. »

« Mon sexe est tout dur face à toi. »

« Et énorme si j’en crois la photo que tu m’as envoyée. »

« J’enlève mon slip, là, tu veux vraiment une dick-pic ? »

« Je n’ai pas envie de m’arrêter maintenant ! »


[Photo du bassin de Raphaël, avec une magnifique bite qui pointe vers le ciel. Toute dure et droite, assez large et longue.]


« Oh, c’est vraiment impressionnant. J’ai envie de m’en occuper maintenant. »

« Elle est à toi !!! »

« Mes lèvres entourent ce gland et je descends au plus profond que ma gorge accepte. »

« Ohhh. »

« Je goûte ta bite, je la dévore. »

« Ah j’aime entendre ça, j’ai envie de me branler maintenant. »

« Laisse-moi le faire pour toi. »

« Coquine. »

« Ma main est autour de ta bite et je la suce goulûment. Je te regarde et tu me dévores des yeux. »

« Je ne peux pas bander plus là, hmmm te lire me fait du bien. »

« Occupe-toi de moi. »

« Quand tu veux. »

« Tout de suite. »

« Je suis debout derrière toi et je te colle à moi. Tu tournes la tête et je t’embrasse, je dévore ta bouche. Mes mains parcourent ton corps, excitent tes seins avec ces tétons comme des pointes. »

« Oh oui, j’adore continue. »

« Ton ventre est doux, ta peau glisse sous mes doigts, ta chair est parfaite. J’arrive à ta culotte et mes doigts passent dessous. Je sens cette chaleur et cette humidité. »

« Ahhh j’adoooore. Allez, j’enlève ma culotte. »

« Tu es rasée ? »

« Oui, mais pas intégralement. »

« Parfait. Mes doigts caressent ces poils et je pars vers cette vulve chaude et trempée. Ton clito passe entre mes doigts, ta grotte est pleine de mouille que je récupère sur mes doigts.

« Bon Raphaël, tu as gagné, il faut que je me caresse maintenant, je n’en peux plus. »

« Moi pareil. »

« Et je ne vais pas pouvoir écrire longtemps d’une seule main… déjà que là, c’est pas facile. »

« Je peux t’appeler ? »

« Tu veux continuer à l’oral ? »

« Si ça te dit. Je voudrais t’entendre jouir. »

« Et moi voir ta bite et toi qui te branles ! »

« Un facetime alors ? Encore mieux. »



[raccroche]

[raccroche]


« Hmmmm c’est encore en moi, fort… c’est trop bon de jouir comme ça… et j’ai honte. »

« Il ne faut pas avoir honte de ce qui donne du plaisir. »

« Hmmmm… je sens que dès que Jean rentre je vais lui sauter dessus. »

« Cool pour lui ça. »

« Oui, enfin c’est toujours compliqué, il n’est pas très porté sur le sexe… c’est toujours la même chose avec lui, missionnaire, quatre pattes et zou c’est fini, rien d’autre. »

« Pas de préliminaires ? »

« Non rien, je n’arrive même pas à le sucer… pas son truc. »

« Oh… le pauvre. »

« Oh la pauvre tu veux dire. »

« Aussi ! »

« Enfin bon, il me faut ma dose de concret ce soir, alors je vais le violer s’il veut pas, lol. »

« Hé, tu pourrais m’appeler pendant que vous baisez, que j’entende ça ? Ça m’exciterait beaucoup. »

« T’en as pas eu assez déjà ? »

« Non. »

« OK. Bah écoute, quand il est dans la chambre, je t’appelle et je mets le téléphone proche sans qu’il le voie. Je vais lui donner du spectacle, et à toi ce que tu veux. »

« Oh un grand merci alors. »

« Tu vas te branler en nous écoutant ? »

« Oui, très probablement. »

« Alors oui, ça va me plaire d’imaginer ça en même temps. »

« Deux mecs pour toi en même temps ;) »

« Oh, j’avais pas pensé à ça, intéressant :) »

« À toute ! »

« Bisou ! »


Plus d’une heure plus tard, Jean rentre, avec une bonne odeur de bière sur lui. Bourré mais pas trop. Clara l’accueille en nuisette.



Clara appelle Raphaël et pose le téléphone à l’envers sur la table de chevet.

Quand Jean entre, il se déshabille rapidement et rejoint Clara dans le lit. Il s’aperçoit qu’elle est chaude bouillante, prête pour le sexe, alors de suite son érection est là, malgré l’alcool. Il n’attend pas grimpe sur elle et la pénètre sans sommation.



Jean s’écroule sur le côté en laissant Clara à genoux. Qui pleure seule, en silence. Et raccroche l’appel avec Raphaël. De chaudes larmes lui coulent sur les joues, alors que le sperme de Jean commence à s’échapper d’elle pour finir sur les draps.


« Il dort ? »

« Oui. »

« C’est rapide. »

« Toujours. »

« J’ai bien aimé ta simulation en tous cas ;) »

« Toi, tu entends que je simule. »

« Lol. »

« Ce n’est plus drôle, j’ai envie de belles aventures. »

« J’aurais bien des conseils là-dessus, on peut en discuter plus tard. »

« Oui, j’ai besoin de dormir ou réfléchir. »

« Dors, pas besoin de se torturer. »

« Merci encore pour ce soir. »

« Merci à toi, j’ai adoré ! Même là, je suis le seul de nous deux à avoir vraiment aimé ;) »

« Oui, je l’ai fait pour toi. »

« Merci, ça me touche beaucoup. »

« J’espère que t’en as bien profité en tout cas. »

« Oui, comme ce soir ensemble, c’était bon et intense pour moi. Merci. »

« Parfait, ça me plaît alors. »


Le vendredi soir, Raphaël arrive à Bordeaux en TGV en fin d’après-midi. Le soleil est encore bien présent. Jean et Clara viennent le chercher à la gare Saint-Jean pour l’emmener chez eux à une vingtaine de kilomètres dans une petite ville tranquille.

Ils ont une petite maison, charmante, qui vient de l’héritage de Jean.

Clara est habillée avec un top en tissu en dentelle fleurie blanc transparent, sous lequel il y a un soutien-gorge noir qui ressort, qui repose sur une jupe blanche ajourée, ample, jusqu’aux genoux. On peut également deviner ses dessous noirs par une légère transparence que l’on remarque surtout lorsqu’on la suit. Dire que Clara est jolie est un euphémisme. Cette tenue lui va à ravir et ses cheveux bruns mi-longs complètent la vision de fort belle manière.


Après l’apéro assez classique, agrémenté de discussions sans réel intérêt sur les derniers évènements concernant le couple et Raphaël, Jean annonce qu’il doit aller à son sport du vendredi soir. Un match de foot amical qui risque d’être assez long avec certainement une troisième mi-temps amicale aussi.

Raphaël et Clara se retrouvent ainsi à deux sans l’avoir prévu ni prémédité.



Clara emmène Raphaël dans la chambre, change les draps du lit pour en mettre des propres.



Clara est rapidement toute nue, ce qui plaît beaucoup à Raphaël. Il aime son corps, ses fesses charnues, ses seins assez lourds avec de belles courbes. Cela ne le laisse pas insensible de la voir ainsi malgré la faible luminosité. Il a déjà une demi-érection lorsqu’il se met tout nu, le boxer sur les pieds.



Alors c’était avec un mec que j’avais rencontré juste avant d’être avec Jean. Une rencontre internet. Le gars avait 22 ans et au bout de deux rencontres, il m’invite chez lui. On s’entendait bien et on parlait beaucoup de sexe finalement. On est donc rapidement passés à l’acte, dans sa chambre. À un moment donné il me met à genoux et me prend en levrette. J’aime cette position, je l’ai exprimée comme il faut, si tu vois ce que je veux dire. Mais j’ai remarqué la porte de la chambre entrouverte et quand j’ai réussi à voir ce qui se passait, c’était le frangin qui nous regardait discrètement, certainement en train de se branler. J’ai donc accentué la voix, simulé comme il fallait et ensuite au moment où j’entendais mon mec qui était à bout, je me suis fait le trip comme dans un porno, je me suis retournée, j’ai enlevé la capote et je l’ai pris en bouche, le faisant jouir sur ma langue et sur mon visage. Le p’tit frère voyait parfaitement la scène et n’en pouvait plus. Je l’ai vu partir en trombe et entendu la porte de sa chambre. J’imagine qu’il s’est bien branlé après ça. Quelques minutes plus tard, mon mec est parti prendre sa douche. Je suis alors allée dans la chambre du frangin qui m’a laissé entrer. Il n’en revenait pas. Je lui ai souri, j’ai dit que j’aurais aimé qu’il puisse en profiter plus, puis j’ai enlevé ma culotte et la lui ai donnée. Et je suis partie comme ça. Je ne les ai plus revus après cette soirée-là, mais j’imagine que le p’tit jeune rêve encore de la scène qu’il a pu voir…



Clara se penche vers Raphaël et l’embrasse sur la bouche. Il lui met la langue et l’embrassade devient fougueuse. Il se masturbe frénétiquement et au bout de deux minutes, au moment d’éjaculer, ses petits bruits ne laissent aucun doute à Clara qui tourne sa tête pour admirer ces beaux jets puissants qui atterrissent sur le corps musclé de Raphaël.



Un printemps, je suis invité lors d’un long week-end dans une résidence secondaire de ma copine d’alors. Je rencontre sa famille par la même occasion, la grande sœur, ultra-jolie, et la maman, une bombe MILF de 45 ans. Piscine, jacuzzi, tout était à dispo dans la maison et dans le jardin. Juste top de tomber sur une famille qui n’a pas de problèmes d’argent.


Un après-midi, on va se baigner dans la piscine, la sœur se prélasse sur un transat. Un corps parfait, bikini triangle, très petit. Je ne peux pas m’attarder à la regarder non plus. La maman est déjà en train de nager, maillot de bain turquoise, tanga. À tomber par terre. Je vais directement dans l’eau pour me calmer. Ma copine est super-jolie aussi, alors au bout d’une demi-heure d’embrassades et de jeux dans l’eau, on a des envies qui montent, et on prétexte une petite sieste pour aller se retirer dans la chambre, avec le regard appuyé de la maman qui me retient par le bras, discrètement en disant que si je veux un café et du gâteau après, il y aura ce qu’il faut dans la cuisine. On monte alors, on fait l’amour comme il faut. Et elle s’écroule ensuite pour de vrai dans une sieste profonde. La connaissant, c’est parti pour deux heures, nue comme un ver sur les draps de ce lit king-size, fenêtres ouvertes avec une brise chaude qui vient agréablement sur nous de temps à autre.


Je repense alors à la mère, et descends donc en short de bain à la cuisine. Je la vois là, toujours en maillot de bain, attendant avec un café. Elle engage la conversation et me chauffe assez directement. Puis elle me prend le bras et me dit yeux dans les yeux : « Maintenant ou jamais. »


Je la suis alors dans sa chambre, lui enlève son maillot de bain et profite de ce corps mature, de son expérience. Lui faire l’amour, la baiser, a été une des plus belles expériences de ma vie. Elle m’a appris des choses, surtout le fait qu’une femme mature qui savait ce qu’elle voulait était une des plus belles choses qui pouvait m’arriver dans la vie. Elle m’a fait jouir deux fois, elle s’est donnée entièrement et ne m’a rien refusé. Le reste du week-end a été ensuite très agréable, regarder ces corps se prélasser et réussir à profiter de l’une ou de l’autre selon les situations… Je pourrais en écrire un petit livre érotique.



En lieu et place de mots, Raphaël grimpe sur Clara et va l’embrasser, son corps frôle celui de Clara. Ses mains viennent sur ses seins pour les caresser et les tétons sont honorés comme il faut. Raphaël descend le long du corps en embrassant ce corps, le léchant par endroits. Puis il descend entre ses cuisses, les mordillant, faisant patienter Clara au maximum. Enfin, il plonge sa bouche dans cette grotte humide, trempée par cette mouille depuis si longtemps. Il lèche les grosses lèvres, puis les petites et passe ensuite un gros coup de langue sur la fente du clitoris vers l’entrée de cette vulve à laquelle il n’aura pas accès ce soir. Mais il la lèche, la pénètre avec le bout de sa langue, et descend ensuite vers le périnée et lèche la petite rondelle de Clara, qui n’attendait que ça en secret.


Elle gémit, elle frotte son clitoris avec ses doigts experts, mais son cerveau est obnubilé par la vision de ce sexe noir tendu à l’extrême, cette taille impressionnante. Ce bambou qu’elle voit pour la première fois en vrai. Elle veut le voir de plus près. Elle demande donc à Raphaël de s’allonger à nouveau à côté d’elle. Dès que c’est fait, elle n’attend pas pour partir à la rencontre de cette bite d’ébène. Elle l’attrape à pleine main et la porte à sa bouche comme une goulue, sentant ses effluves, léchant les veines de cette majestueuse bite dressée pour elle. Elle la gobe, la dévore.


Elle est bien trop grosse pour elle bien sûr, mais elle la lèche sur toute la longueur, la masturbe. Puis elle décide de passer ses jambes autour du corps de cet amant, qui vient immédiatement se perdre dans son intimité avec sa bouche et ses doigts. Un 69 dans cette pénombre, cette chaleur, cette odeur de sexe et des deux corps qui se mélangent. Ces fluides qui sont appréciés de part et d’autre, cette tension sexuelle qui fait faire n’importe quoi sans regret immédiat. Clara gémit au fur et à mesure des actions de Raphaël, son corps est de plus en plus pris de spasmes, elle se fait de plus en plus bruyante pour en arriver à un orgasme au moment où Raphaël mordille longuement son clitoris. Plusieurs longues secondes, des cris brefs, soudains et forts qui ne sont pas pour déplaire à Raphaël qui sent à nouveau sa sève monter.


Mais il doit se calmer vite pour continuer encore leurs jeux. Il retourne donc Clara sur le dos, en sueur, les yeux dans le vague, encore ailleurs. La tête pleine de sa mouille, il vient sur elle pour l’embrasser, jouer avec ses seins ultra-sensibles. Elle ne proteste pas et gémit à chaque action comme si elle pouvait re-jouir dans la minute. Mais Raphaël n’oublie pas la demande de Clara, qui voulait se faire enculer. Lui aurait voulu pouvoir profiter de sa belle chatte mais il ne peut faire qu’avec ce dont il a droit. Ne pas abuser tout de suite…


Il écarte alors bien les jambes de sa maîtresse d’un soir, et place son gland sur le petit anneau qui se dilate facilement. Toute cette mouille qui a coulé, toute cette salive sur cette bite font que le gland glisse tout seul dans cette entrée qui n’attendait que ça aussi. Au moment où la couronne passe l’entrée, Clara pousse un soupir de plaisir puis c’est une bonne partie de cette verge qui pénètre la belle dans son intimité rarement explorée. Elle l’accueille avec plaisir, elle se sent bien remplie, elle est totalement relâchée et cela la met en transe, dans un état de bonheur rarement atteint qu’elle exprime en saccades suivant les va-et-vient de cette bite dans son anus.


Elle se caresse le clitoris, Raphaël s’occupe de ses seins et très rapidement un nouvel orgasme encore plus intense la parcourt, elle ne peut le taire. Raphaël non plus ne peut contenir son plaisir et se met à pousser des râles de jouissance et explose dans les fesses de la belle. Sa semence allant se répandre dans ses intestins. Une explosion de bonheur simultanée après laquelle les deux s’écroulent pendant quelques minutes dans un silence et une plénitude absolue.



Le week-end se passe ensuite très joyeusement. Jean ne se doute de rien, et la complicité entre les deux amants est au top. Comme avant, mais elle est passée à une étape supérieure avec cette belle soirée de sexe et celles qui sont promises à un futur proche.


Bien sûr, après le week-end, c’est toute une histoire entre Clara et Jean, mais celle-ci profite de la situation et converse beaucoup avec Raphaël. Les sextos étant nombreux avant une arrivée sur la capitale une semaine plus tard.

Vient ensuite une explication sur les règles de ce nouveau jeu de pronostics de football.