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Temps de lecture estimé : 9 mn
11/06/18
Résumé:  Un après-midi au club libertin.
Critères:  grp hagé fagée couplus inconnu grossexe boitenuit exhib hmast fellation cunnilingu pénétratio échange partouze -totalsexe -boitenuit
Auteur : Lazizanie      Envoi mini-message
Un après-midi au club


Nous voilà dans l’entrée. Diable, le lieu est sécurisé ! Une femme blonde sans âge nous accueille. « Accueillir » est un doux euphémisme. On pourrait l’imaginer dans bien des lieux différents, mais toujours près de la porte : sœur tourière ou surgé pour les plus anciens. Cerbère, en tout cas. Même si nous ne sommes pas aux enfers.


Nous sommes dans un club libertin. Comment sommes-nous arrivés là ? Nous sommes convenus avec un couple de nous retrouver là. Ils connaissent. En disent du bien, trouvent le lieu sympa. Bon, j’avais proposé un lieu plus intime où nous aurions pu nous retrouver à quatre ; une raison obscure les a fait décliner la proposition.


Faut être sûr que Sylvie sera libre ! Et son emploi du temps est parfois bien chargé. Vous le savez peut-être déjà, Sylvie est ma maîtresse ; ou je suis son amant, si vous préférez. Une fille éblouissante. Fine, douce et torride, tendre et exigeante. Je suis sous le charme.

Allez, c’est d’accord : allons chez nos voisins belges.


Rendez-vous comme d’hab. Une petite demi-heure de route. On bavarde gentiment de nos vies, se raconte les anecdotes amusantes du quotidien. Les enfants et les petits-enfants. Le petit-fils de Sylvie, pas encore ado, mais déjà préoccupé par ce qui provoque les émois chez les garçons, qui se débrouille pour la voir nue dans sa salle de bain. Faut dire qu’elle est belle, Sylvie ! Ado, moi aussi je matais ma grand-mère qui se déshabillait pour se mettre au lit. J’aimais voir ses seins lourds et blancs par la fenêtre de la chambre. Je bandais et me branlais.


Donc, Cerbère procède aux formalités d’admission. Diable, ma phrase peut faire penser à l’hôpital ou à la prison, non ? Explication des lieux et des usages. Chouette : tout est compris, bouffe et boissons. Un vaste jacuzzi. Sylvie aime le jacuzzi. Bel endroit. Un hammam.


Mangeons. C’est un buffet avec du chaud et du froid, des boissons, bière, vin, eau à volonté. Sympa. Pas mauvais. Pas de quoi sauter au plafond, mais correct. Vous allez me dire, mes bons amis, qu’on ne va pas dans ces lieux pour une expérience gastronomique, et vous aurez raison. Et ça restaure. Sylvie a faim. Profitons donc. Le rosé est frais.


Bon, il est temps de se mettre en condition. Le dress-code impose tenue sexy à partir de deux heures. Nous filons au vestiaire, façon piscine. Faut loger ses fringues et ses chaussures dans un endroit étroit.


Finalement, l’étroit endroit se révèle suffisant. Sylvie a tout prévu. Sa tenue sexy est un léger paréo jaune sous lequel elle est nue. Sylvie aime être nue. Sylvie aime se montrer nue, exciter les hommes, et certainement aussi les femmes. Elle s’excite en excitant. Elle n’est pas belle, la vie ?


Je vous l’ai déjà décrite, mes bons amis. Éblouissante, ai-je dit, et je pourrais aussi ajouter divine. Il y a des gens sur lesquels les fées se sont penchées avec bienveillance et y ont déposé leurs plus beaux cadeaux.



Sylvie a très envie de faire le tour du propriétaire. Un nombre impressionnant de pièces toutes dédiées au plaisir. Un glory hole, ou chambre fellatoire. On comprend au premier coup d’œil la manière de l’utiliser. Sylvie aimerait-elle sucer la queue d’un inconnu sans l’avoir vu ? Pas sûr. Elle a des exigences. Bien que parfois, emportée par le tourbillon de la situation…


Une salle dédiée aux pratiques SM. Avec une croix à laquelle on peut attacher les chevilles et les poignets. J’y attacherai Sylvie et lui passerai un masque de repos. Vous imaginez ? Oui, bien sûr ! Je connais bien votre imagination fertile et salace. Des mains qui touchent, caressent, des bouches qui tètent, sucent, lèchent. Des bites qui se frottent, s’enfoncent. Putain, ça doit être génial ! On essaye, Sylvie ? Allez, laisse-toi faire.


Plus classique, des chambres avec un matelas qui occupe toute la surface. Parfois un miroir.

Tiens, une petite pièce étroite avec un regard sur la chambre voisine où s’ébat un couple. Bien pour se masturber seul ou à plusieurs, ou s’entremasturber. Tiens, je viens d’inventer un nouveau mot, pourtant très évocateur.


Nous optons pour une petite pièce avec des portes façon western. Sylvie, très excitée par l’ambiance des lieux, enlève son paréo et murmure dans un souffle « Viens… » Ses cuisses largement écartées m’offrent sa chatte épilée. Ce que j’aime y plonger, lécher, aspirer ses petites lèvres, son clito, le pincer, introduire un doigt, puis deux, les faire tourner, sentir, boire son jus ! Car oui, elle mouille de plus en plus. Je voudrais tant la sentir fontaine, qu’elle gicle sans retenue, à la fois honteuse et ravie. Un soupir, puis la respiration s’accélère. Un feulement rauque. Elle manifeste son plaisir de plus en plus bruyamment. Se retourne, se met à genoux et veut que je la prenne. J’aimerais qu’elle me dise « Saute-moi ! » Elle n’est pas une adepte des mots pendant la copulation. Dommage. Si, une fois, au début de notre relation, elle m’a dit « Fais-moi l’amour, là, maintenant, tout de suite. »


Je sens des regards derrière moi. Un garçon se glisse dans la pièce et présente sa queue à la bouche de Sylvie. Punaise, gâté par la Nature, le garçon ! Faudra que je demande à mon amie si c’est agréable de sucer une grosse bite. J’espère qu’il aura la délicatesse de se retirer avant de juter. Je ne sais pas si Sylvie apprécie le sperme. Faudra que je le lui demande aussi. Tant de choses à demander, un questionnaire à la Prévert ! Parce que Sylvie est une lionne très délicate. Lionne dans le plaisir, lionne dans les envies. Et qui aime la douceur, la tendresse. Alors montrons-nous délicats avec elle.


Un autre garçon me demande du regard s’il peut pénétrer la croupe offerte de Sylvie. Il s’enfonce doucement. Sylvie accueille avec bonheur cette jolie bite. Elle est bien raide. Le garçon alterne les mouvements lents et rapides.


Déjà fini ? J’ai trouvé la séquence courte. Le garçon enlève le préservatif. Le réservoir est plein du liquide blanc. Sylvie veut s’en aller. Elle s’accroche à la protection que je peux lui apporter. Je lui souris. Ça la rassure. Quittons les « coins câlins ».



Descendons et restaurons-nous un peu. Un rosé frais fera du bien. À défaut de champagne. On ne le vend pas à la coupe.



Re-jacuzzi. Ah, il est un peu moins chaud que la première fois. Deux messieurs d’âge mûr occupent la place. Nous bavardons. Ils connaissent bien les lieux comme ce club. Nous font part de leur expérience, de leurs expériences. Nous apprenons les ficelles et les trucs, les particularités. Bavardage bien agréable. L’un est sans âge, poivre et sel, l’autre rappelle le couturier Gautier : chauve, les oreilles largement décollées, une boucle d’oreille, tatoué.

Bon, il n’est de bonne compagnie qui ne se quitte.


Sylvie veut encore profiter de l’endroit. Bonne idée ! J’ai repéré une alcôve accessible par un petit passage façon tunnel en haut d’un petit escalier. Sylvie s’y glisse avec souplesse. Je la suis. Elle est déjà nue. À peine ai-je commencé à l’embrasser et à la lutiner que nos compagnons de jacuzzi réapparaissent. « Poivre et Sel » l’embrasse pendant que je m’occupe de son entrejambe. « Gautier » est tout à côté de moi et la caresse aussi. Ça en fait des mains sur sa jolie croupe !


Punaise, il y a du monde dans l’escalier ! Un couple. La femme ne perd pas une miette. A-t-elle envie ? Est-elle bi, lesbienne ? J’incite son compagnon à la faire se joindre à la fête. Il décline, et devant mon étonnement explique qu’elle est surtout à la recherche d’hommes jeunes. « Gautier » enfile un préservatif et pénètre Sylvie qui est à genoux. Elle suce la bite de « Poivre et Sel ». Je touche aussi la bite. Pas au paroxysme érectif, le garçon. Comme moi d’ailleurs, à mon grand désappointement. Va falloir songer à la petite pilule bleue.


« Gautier » besogne vigoureusement Sylvie. Ah, j’entends ses petits cris rauques, ses feulements de lionne. Putain, qu’elle est belle quand elle jouit ! Car là oui, elle jouit. Ne se contrôle plus, se laisse aller à son plaisir, hurle. Elle est la reine de la fête. Les femmes la regardent avec envie. Notre cougar semble tentée. Doucement, je prends son bras et l’attire. Elle semble rougir. Faut dire qu’elle est blonde. La cinquantaine affirmée. Pas très grande, mince. Vêtue d’une robe moulante ajourée, assez jolie ma foi. Elle avance à genoux dans notre alcôve.


Il y en a du monde ! Entre les protagonistes et les voyeurs qui se masturbent, et maintenant « Cougar » ! Sa robe s’arrête au milieu de son joli cul blanc. Je distingue nettement les bords charnus de sa chatte. Elle est immobile face à Sylvie. Les lèvres des deux femmes s’effleurent. Je sens bien la douceur de leur baiser commençant. Je relève encore plus la robe de « Cougar », passe une main sous le tissu léger et élastique et remonte jusqu’aux seins. Fermes et chauds. Les tétons sont tendus. Je lâche les seins, m’allonge sur le dos, la tête entre ses jambes. Doucement, je saisis sa croupe et l’amène vers ma bouche. Ma langue touche les bords du sexe chaud. Je m’amuse, agace les extrémités des petites lèvres qui dépassent légèrement. Je sens le frémissement qui agite ses cuisses.


Les deux femmes continuent de s’embrasser. Maintenant goulûment. Sylvie se débarrasse sans ménagement de « Gautier », retire totalement la robe de « Cougar ». Elle est à genoux, le buste redressé, les bras levés pour faciliter le passage de la robe. Putain, qu’elle est belle aussi ! Les deux femmes sont splendides. Elles continuent leur baiser. Les bustes sont collés l’un contre l’autre, les seins s’écrasent mutuellement. Elles s’enlacent. S’allongent, toujours soudées. Maintenant se caressent les seins, les fesses. La main de « Cougar » va vers le sexe de Sylvie. Elle a envie de sentir la main de son amante sur son sexe, dans son sexe. Alors elle plie sa jambe et permet à « Cougar » d’enfiler un doigt entre les lèvres tuméfiées par le pilonnage de « Gautier ». Je reconnais le feulement rauque de ma Sylvie.


Soudain, Sylvie quitte la bouche de « Cougar » et, dans un mouvement aussi gracieux que rapide, plaque sa bouche sur le sexe de son amante et offre le sien. On entend les bruits de succion. La scène, dans la pénombre de la salle, est incroyablement érotique. Les hommes, abandonnés par les deux femmes, se masturbent, qui doucement, qui avec force. « Gautier », le premier, halète de plus en plus fort et envoie sa jute sur le corps des filles enlacées. Le compagnon de « Cougar » présente sa bite à la bouche de sa compagne. Tiens, voudrait-il jouir dans sa bouche, le coquin ?


Encore un qui jouit sur le corps de Sylvie. Les filles sont-elles trop occupées à jouir qu’elles ne sentent pas ces jus chauds qui arrosent leur peau ? La bouche de Sylvie quitte l’entrejambe de sa copine d’un jour, met un doigt, puis deux dans la chatte, la malmène avec force, presque avec colère. L’autre fille glapit, hurle. De sa chatte coule abondamment un liquide. Elle jouit, la salope, beugle, gicle, se tord, frémit.

Putain, mieux qu’un film de cul !


Sylvie est encore très excitée. Me tend son cul, à genoux, prête à se faire prendre. Lorsque je la vois ainsi offerte, dans cette pose d’un érotisme à la fois incroyable et raffiné, j’ai toujours un choc. Putain, ce que c’est beau ! Putain, ce qu’elle est belle ! Putain, que je suis verni !

Elle est échauffée au plus haut point. Moi aussi. Je gicle dans sa grotte, j’ai impression de l’inonder.


Tiens, tout le monde est parti. Nous sommes seuls. Seuls au monde. Sylvie me sourit et me tend doucement ses lèvres. Alors je l’embrasse doucement. Elle m’embrasse goulûment. Nous nous embrassons avec bonheur. Reprenons notre souffle. Je me lève, lui tend la main. Elle s’enveloppe dans son paréo. Doucement, nous quittons la petite salle. Comme à regret. Bon, ce qui s’est passé là est rare. Pas près d’oublier ce moment où plus rien n’a d’importance que le plaisir. Et, bon Dieu, quel plaisir !


Nous allons vers la douche. Sylvie laisse couler avec délectation l’eau chaude sur son joli corps. Je remplis ma main de gel douche et la savonne doucement pour ôter les traces du plaisir des hommes. Pour reposer sa peau malmenée par les mains, les frottements, la chaleur, les transpirations. Et puis pour la toucher. Punaise, ce que j’aime la toucher, cette peau douce !


Je la savonne avec application, avec délectation.

C’est ma copine, c’est mon amie.

Punaise, je bande à nouveau !

Le chronomètre nous rattrape. Vite, un petit verre pour rafraîchir l’intérieur et zou, on file.


Dans la voiture, on se parle peu. On se sourit. Je sens que Sylvie est détendue. Pour un peu, elle s’endormirait. Dommage que chacun reparte chez soi… J’aurais aimé dormir avec elle, la sentir s’endormir lovée tout contre moi. Sentir sa chaleur, écouter son souffle profond.

Peut-être qu’un jour, ou plutôt une nuit…


Au final, le couple lillois ne sera pas venu. Une erreur, à ce qu’ils disent… Alors, je repars à la recherche d’amis gourmands, avides de sensations fortes. Pratiques, ces sites de rencontre pour couples. Déjà plusieurs pistes. Les quinquagénaires sont des drôles d’oiseaux. Vite, jouissons, la vie est courte !


Des instants rares que je veux partager avec Sylvie.

Des aventures que je raconterai encore avec délectation…