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n° 18417Fiche technique9896 caractères9896
Temps de lecture estimé : 7 mn
11/06/18
Résumé:  Vous avez déjà re-couché avec un ou une ex ? On ose des choses auxquelles nous ne faisions que penser, et encore...
Critères:  fh magasin noculotte cunnilingu confession -magasin
Auteur : Libretin            Envoi mini-message
Les poches sans fond

J’ai couché plusieurs fois avec une ou deux ex. Je trouve la relation très différente de quand on était avec la personne. On se pose moins de questions, les règles sont posées dès le départ : on se revoit juste pour le sexe. Du coup, il y a moins de gêne, moins de tabous. L’on a bizarrement moins peur du jugement de l’autre.


Et cela permet de tester des choses.

Il y a une idée qu’une ex a testée avec moi qui m’excite encore énormément en y repensant des années après.


Cela n’avait pas duré très longtemps, nous deux, deux ou trois mois tout au plus. C’était très sympa, on s’entendait bien, on s’amusait bien au lit, mais les sentiments et l’intérêt au quotidien n’étaient pas là. Du coup, nous sommes restés en bons termes, surtout que nous partagions les mêmes amis.


Près d’un an après la rupture, lors d’une fin de soirée un peu arrosée, alors que nous nous retrouvons sur un canapé un peu isolé, on reparle de ces deux ou trois mois. Notamment que j’avais gardé de très bons souvenirs des nuits, des matinées, enfin, de tous les moments passés à nous embrasser, nous câliner, à faire l’amour. Elle me confirme qu’il en est de même pour elle, surtout dans ses périodes de célibat. Quelque peu éméchés, on se dit qu’à chaque fois que nous serons célibataires tous les deux, on se reverra pour se décharger mutuellement de cette tension sexuelle qu’amène la vie seul.


Quelques jours plus tard, elle me propose de venir à une soirée avec des amis chez elle et, si possible, de faire les courses avec elle avant. Je la retrouve donc au supermarché. Je parcours donc les rayons avant de l’apercevoir dans celui des biscuits apéritifs.


Elle n’est pas très coquette. En fait, elle cache généralement ses formes derrière des vêtements larges, comme aujourd’hui : elle porte son pantalon noir préféré, plutôt ample et sans trop de formes et un gros pull en laine. Moi, j’aime bien ses courbes un peu rondelettes, mais je peux comprendre qu’elle cherche à les cacher : je fais pareil, vu que je trouve que j’ai du ventre.

Ses longs cheveux blonds coincés derrière les oreilles, les bras déjà chargés de bouteilles, elle semble hésiter sur le choix des chips.


Je l’interpelle, on se fait la bise. Quelques banalités. Elle a le visage un peu rouge comme si elle venait de courir. Pendant la discussion sur la liste de courses, et comme elle a les bras chargés, elle me demande si je peux regarder combien elle a de monnaie dans la poche.


Je me mets donc derrière elle et glisse la main dans sa poche avant droite. Sa poche est vide. Enfin, tellement vide qu’elle n’a pas de fond. Ma main glisse sur le tissu, puis touche sa peau. Je la sens se raidir. Sa peau est douce et chaude sous le bout de mes doigts. J’enfonce un peu plus la main. Cette fois, mes doigts s’enfoncent dans des petits poils frisés.


Elle ne porte pas de culotte. Je comprends mieux pourquoi elle était rouge : se préparer à me faire cette petite surprise devait la gêner quelque peu. Et à l’exciter. Mes premières phalanges posées sur son mont de Vénus, j’utilise cette main pour la plaquer contre moi.


Ma main continue de descendre pour finir à son entrejambe. Mon majeur s’insinue entre les lèvres de sa chatte, que mon index et mon annulaire pressent légèrement. Elle est déjà tout humide. Elle doit bien sentir mon érection contre le haut de ses fesses, que je sais nues sous son pantalon, mais je préfère lui confirmer.


La bouche près de son oreille. Le souffle un peu court.



Le bout du majeur à l’entrée de son vagin, je le recroqueville pour la pénétrer. Je sens les chairs douces et chaudes l’envelopper, et je la sens tressaillir contre moi et autour de mon doigt.


Il y a deux autres personnes dans le rayon avec nous. Un jeune en train d’acheter de quoi faire la bringue et une dame, la cinquantaine, juste à côté de nous, en train de comparer la composition des chips. Et moi j’ai un doigt dans la chatte de mon amie…


Je le fais aller et venir doucement. Elle n’est plus seulement humide, ma main est complètement trempée. Ça lui fait énormément d’effet, et heureusement je suis collé à elle, car mon érection doit être plus que visible.


Je me tourne vers la dame qui vient de me regarder. Elle me sourit. Je lui souris également en faisant un petit hochement de tête pour dire bonjour, et j’enfonce un peu plus mon doigt.



Mon amie ne répond pas. En même temps, c’est moi que la dame regarde, et elle n’est peut-être pas en état de répondre.



Sur ce, elle me met le paquet sous le nez.


Et je suis là, à lire une liste d’ingrédients, la main sur une touffe, un doigt dans une chatte. La dame regarde avec moi les ingrédients, elle ne voit pas le mouvement de mes doigts dans le pantalon de mon amie. Soudain, cette dernière pousse un petit gémissement. Je retire ma main, encore toute poisseuse, pour la poser sur sa hanche.



Et la dame s’éloigne.


Mon amie se retourne pour m’embrasser goulûment et me glisse à l’oreille :



Le reste des courses se passe très très vite, même si j’ai dû vérifier deux ou trois fois s’il ne lui restait pas de monnaie dans les poches. Notamment à la caisse, où elle s’était empressée de ramasser les courses. Lui toucher sa petite chatte devant cette femme qui ne se doutait de rien a encore accru mon excitation, ce que je croyais impossible.


Si nous avions été moins chargés, je pense que nous aurions couru pour rentrer chez elle. Elle marchait rapidement devant moi. J’imaginais son cul nu sous le tissu noir de son pantalon. Je n’avais envie que d’une chose, y fourrer mon visage, lui bouffer la chatte. Mon excitation me rendrait presque vulgaire…


Son studio est au troisième. Pas d’ascenseur. La montée me paraît terriblement longue.



À peine la porte ouverte et refermée, les courses laissées dans l’entrée, on se précipite sur son canapé. Elle se jette dessus, retire son pantalon et attend les fesses sur le bord du canapé, jambes écartées. Je me mets à genoux et rapproche le visage de sa petite chatte poilue.


De toutes les filles que j’ai connues, physiquement ou virtuellement, elle a la plus belle chatte que j’ai jamais vue. Il m’arrive encore d’en rêver. Je ne saurais dire pourquoi, mais je pourrais passer des heures à la regarder. Elle m’a d’ailleurs permis de la prendre en photo.


Enfin bref, je reste un tout petit moment à fixer cette jolie vulve entourée de poils châtains, aux grandes lèvres épaisses légèrement écartées laissant apparaître deux petites lèvres roses et plus haut un petit clitoris tout mignon.


Une main m’écrase le visage sur tout ça en criant :



Je m’exécute donc. D’abord doucement, m’occupant d’abord des grandes lèvres avec de petits coups de langue, puis remontant vers le clitoris en accélérant les petits coups de langue. Je l’entends gémir, du coup je me bâfre joyeusement à grands coups de langue partout. J’essaie même de lui lécher l’intérieur du vagin en mettant ma langue en petit rouleau.


Elle prend appui sur ses jambes pour lever sa croupe plus haut, m’offrant la possibilité de lui empoigner les fesses. J’ai le bouc (oui, j’avais un bouc à l’époque ; la plupart des filles me disaient adorer sentir les poils les piquer pendant les sessions de léchouilles) détrempé. Je dois avoir de la cyprine jusqu’aux sourcils.


J’en ai profité pour sortir mon engin plus qu’un peu turgescent. Je me redresse et m’apprête à la pénétrer quand la sonnerie retentit.

Merde ! Les invités !


On se regarde, mon sexe dans la main droite, le gland déjà en train de lui écarter les lèvres. La soirée promet d’être longue : c’est pas des couche-tôt, les gaillards, y en a pour un moment avant de pouvoir finir ce que l’on a tout juste commencé.


Elle remet son pantalon en criant :



Je me précipite dans les toilettes en essayant de faire re-rentrer mon sexe dans son caleçon, et il est plutôt récalcitrant, le bestiau. Je l’ai rarement vu aussi en forme.


Quand le premier couple d’amis est entré, je sors innocemment des toilettes en me séchant les mains. Et m’apprête à leur faire la bise avec un léger temps d’arrêt quand je réalise que je ne me suis pas nettoyé le visage encore couvert du jus intime de mon amie…



***



La suite une prochaine fois. Les poches sans fond nous ont donné plein d’idées sur des lieux pour les expérimenter.