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n° 18427Fiche technique59669 caractères59669
Temps de lecture estimé : 35 mn
19/06/18
Résumé:  Pierre découvre qu'il est cocu. C'est en partie de sa faute : il ne fallait pas marier une bien plus jeune, une belle blonde qui fantasme sur...
Critères:  fffh fhhh hplusag couleurs cocus inconnu vacances hotel voir fellation cunnilingu pénétratio sandwich fsodo hsodo sorcelleri
Auteur : Roby      
Couleur café... Que j'aime ta c...

Que n’ai-je entendu, lorsque j’ai parlé de me marier avec Nadia ! Et ce que je n’ai pas entendu, je l’ai imaginé au vu des regards que me portaient mes amis et les autres :

« Elle est trop jeune pour lui ! »

« Elle est belle et lui pas un canon ! »

« Ils ne sont pas du même milieu ! »

« Elle l’épouse pour son fric ! »

« Elle lui a mis le grappin dessus pour obtenir un titre de séjour et se faire naturaliser ! »

« Elle va le cocufier ! »

Etc., etc.


Certains avaient raison : belle, jeune, pas du même milieu…

D’autres avaient tort : fric, carte de séjour, cocufiage.


Les dix années qui ont suivi ce mariage ont apporté la preuve que j’avais raison. Sinon, pourquoi Nadia serait encore avec moi ? Pourquoi elle m’aurait fait deux beaux enfants, deux filles aussi belles que leur mère ? Des enfants dont elle s’occupe. Nadia n’a même pas cherché à gagner son indépendance car c’est elle qui a choisi ce rôle de mère au foyer.


Mais… Mais…

Je me souviendrai toujours de ce jour. J’avais été les chercher en vacances et j’avais passé un week-end avec elles avant de les ramener à la maison.


Je conduis. Les filles sont derrière. Pipelettes qui me saoulent de leurs exploits au Club Mickey et de leurs progrès en natation avec leur moniteur, Ned. Ned ceci… Ned cela…

Le téléphone de Nadia indique l’arrivée d’un SMS. Elle regarde :



Voilà la question que je n’aurais pas dû poser et qui va changer mon existence et celle de Nadia.



Ces paroles de Nadia ne me rassurent pas du tout. Nous échangeons un regard. Elle est mal à l’aise, c’est évident. Je tends la main vers elle :



Elle me tend son smartphone. Il est encore en marche. Pas besoin de mot de passe. Le dernier message est sans nom de correspondant mais le texte est sans ambiguïté :

**Tu me manques déjà. Il ne me reste que ton string pour t’imaginer.**


Je stoppe la voiture sur le bas-côté. Je remonte toutes les conversations entre eux. Pas de doute, ils sont amants. Amants au point de se dire des choses que je ne pensais pas pouvoir lire sous la plume de ma femme.



Je suis cocu. Dire que je suis surpris serait mentir. Je savais que les médisants pouvaient avoir raison. Les 20 années qui nous séparent. Sa beauté. Sa classe naturelle. Combien de fois ai-je surpris le regard d’un homme. Mais je n’étais pas vraiment jaloux. J’appréciais ces regards, je les provoquais même en invitant Nadia à s’habiller avec élégance mais avec des vêtements qui la mettait en valeur. Une façon de dire « Regardez comme ma femme est belle… C’est ma femme… C’est moi qui partage son lit… Ses faveurs… »

Pourtant il y a une grande différence entre "montrer" et savoir que quelqu’un avait "pris".


Le retour a été silencieux. Même les filles ont compris qu’il y avait de la tension. On est arrivés très tard. Beaucoup de bouchons. Le temps de coucher les filles, de décharger la voiture, il m’a paru trop tard pour engager la conversation. Comme Nadia attendait manifestement ce moment avec un regard implorant par avance mon pardon, j’ai dit :



Le lendemain je me libère plus tôt que d’habitude. Les filles sont devant un dessin animé. Leur mère Nadia dans notre chambre. Elle est au téléphone. J’ai d’abord pensé qu’elle parlait à ce Ned, son amant, mais non c’était manifestement avec une copine. Elle parle russe. Souvent elle bavarde avec une amie qui est venue nous voir plusieurs fois. Une amie d’enfance, du temps ou Nadia habitait encore là-bas. Par amour, j’ai appris sa langue maternelle et si je ne parle pas très bien, je le comprends.


J’essaie d’écouter la conversation. Bien entendu je n’entends pas la copine et même la voix de Nadia est décousue. Mais je comprends assez pour me faire une opinion.

Nadia raconte son aventure. Avoue avoir été prise d’une envie irrésistible lorsque ce maître-nageur lui a fait des avances. Elle lui a dit textuellement : « Il était exactement comme lorsque nous fantasmions ensemble. » Elle reconnaît avoir aimé les conditions de leur rencontre. Le côté improvisé, ailleurs que dans le confort d’une chambre, sans même un lit, juste l’intimité d’une cabine de piscine, la dureté d’une banquette de bois, la sauvagerie d’une possession appuyée contre une cloison avec son amant qui la possède par derrière.


Mais je retiens aussi sa culpabilité, son dégoût de m’avoir trompé, moi son mari si aimant et attentionné. Mais un mari de plus en plus absent, absorbé par son travail et négligeant son épouse. Une épouse que sa jeunesse rend demandeuse. Pourtant ce mari, moi, la satisfaisait avant, rentrant chaque soir avec l’envie de son épouse au point de la baiser des heures durant, inventant des jeux coquins, des positions innovantes, des possessions curieuses, osant tout, s’offrant lui-même au désir d’une épouse enfilant son mari avec des jouets qu’ils se partageaient.


Heureusement que cette amie est à quelques milliers de kilomètres. J’aurais du mal à croiser son regard alors que Nadia lui avoue qu’elle "encule" son mari. Nadia insiste encore sur sa culpabilité. Elle redoute ma réaction. Elle m’aime tant qu’elle ne supporterait pas que nous nous séparions. Qu’elle est d’autant plus inquiète que je paraissais dans une colère froide. Elle pleure au téléphone. Manifestement, son amie essaie de la consoler.


Qui suis-je pour la condamner ? Qui ne comprendrait pas une faute, surtout venant d’une jeune femme si belle, si désirable ? Manifestement, elle s’est retrouvée seule devant cet homme qui concrétisait un fantasme partagé avec une amie. Certainement un homme très beau, jeune, avec un corps musclé, bronzé, charmeur mais aussi une grosse… Non : même s’il en avait une grosse, elle s’est laissé séduire avant de savoir.


Je suis en partie responsable.

J’entre pour la consoler. D’un baiser, je ferme ses lèvres. Je goûte à chacune de ses larmes. Nous faisons l’amour.


Nous n’en avons jamais reparlé. J’ai fait en sorte de redevenir le Pierre d’avant, celui qui couche ses filles alors que sa femme l’attend dans sa chambre ou ailleurs dans la maison. Je ferme à clé la porte de la chambre des enfants car nous ne voulons pas prendre le risque qu’elles nous découvrent en posture qu’il serait difficile d’expliquer : leur mère en lingerie si coquine qu’elle a dû l’acheter en sex-shop ou par Internet ; leur mère a quatre pattes, chienne prête pour la saillie, qu’un mâle en rut enfile avec joie au point de lui mordre la nuque et la marquer de son sceau pour plusieurs jours ; leur mère, trompant sa nature avec un gode-ceinture, intimant à leur père de s’agenouiller ou de s’allonger afin que le gode lui prenne le cul et qu’elle le branle pour faire jaillir son foutre dans une jouissance tapageuse.


Bref, chaque soir nous redevenons ce couple sans complexes qui assume sa sexualité.


Les mois passent. Notre anniversaire de mariage approche. Dix années doivent se célébrer autrement que par un dîner. J’organise des vacances en amoureux, 15 jours seuls à seuls, en Afrique, réalisant ainsi un souhait souvent exprimé par ma femme.


L’hôtel est splendide. Notre chambre est perdue dans la nature. Le seul reproche est, qu’à part le personnel, nous sommes entre riches Européens. Mais la ville n’est pas loin et nous passons de longues heures à nous promener. Ici, les hommes sont plus directs que chez nous. Ils ne se privent pas de regarder avec insistance Nadia qui détonne par sa blondeur, son corps svelte et, il faut le reconnaître, ses formes bien mises en valeur par des achats de vêtements locaux. Souvent certains lui parlent avec un accent qui rend toute chose légère, même les propositions les plus lourdes. Et Nadia, normalement glaciale pour fermer toutes les portes, est plus décontractée. Elle plaisante avec ses solliciteurs, et manifestement apprécie de ces hommes des hommages qu’elle trouverait lourds en France. Bref, le paradis avec une Ève qui, le soir, pendant la sieste, de retour de promenade, se révèle une furie dont les sens demandent à être apaisés. Et j’apaise… j’apaise…


Parmi les clients de l’hôtel un homme, Roger, se lie avec nous. Il est un familier des lieux, familier du pays, amoureux de l’ambiance, de la culture et, je le soupçonne, amoureux des femmes du coin. Est-il un touriste sexuel ? Je ne sais, mais en tout cas il est intarissable sur la vie dans ce pays.



Je regarde Nadia, qui manifestement est partante.



Le chemin a été long et chaotique. Roger est accompagné par un jeune qui fait office de chauffeur mais aussi d’assistant et de seconde caméra. Nous arrivons ; la fête a commencé. On nous présente aux "Roi" et "Reine" de la soirée. Tout le monde danse, jeunes et vieux dans un joyeux désordre. La musique est lancinante, tambours que des hommes battent tout en dansant. Parfois des files se créent, hommes et femmes se font face. Pas de tenue unique. C’est comme la danse, varié, de la tenue occidentale à l’habit moderne du pays. Mais certains jeunes hommes et jeunes femmes ne portent qu’un pagne, laissant voir leur torse et leur poitrine. Ce sont les plus jeunes. Certainement que pour eux cette soirée a tout de la parade amoureuse.

On nous installe à côté du couple royal. Une vieille femme nous apporte deux bols de bois remplis d’un liquide étrange.



C’est amer. Les tambours entrent dans ma tête. Je me sens différent. Mon cerveau ralentit, et pourtant je vois tout. Je vois à côté de moi Nadia se dandiner à ce rythme lancinant. Je vois Roger et son assistant partir en filmant. Je vois ces jeunes femmes qui semblent ne danser que pour moi, leurs seins se balancer, leurs hanches onduler, leurs fesses à peine couvertes par ce pagne de roseaux. La lune danse aussi dans la lueur des torches.


Une femme vient vers moi et me tend la main. Un homme fait de même pour Nadia. Je vois ma femme se jeter à corps perdu dans la danse, rejoignant le groupe de femmes qui l’entourent. Moi, je suis moins gagné par la cadence, mais comme les autres hommes je me retrouve en rang, face aux femmes qui semblent nous narguer et se jouer de nous.


Deux jeunes femmes qui me font face, les seins nus brillants de sueur, rient de moi en me montrant. Elles pouffent. Elles me montrent du doigt. C’est au niveau de mon short que…

Je bande. La bosse paraît énorme et déforme le tissu. On dirait un morceau de bois tellement cela paraît dur. Normalement, il me faut plus que quelques seins nus, fussent-ils gracieux et mobiles, pour que j’aie une érection si forte ; à la rigueur, un début de déploiement. Il me reste assez de lucidité pour comprendre que la potion n’était pas qu’amère, et que malgré les dire de Roger un produit aide à l’érection ; pire, la provoque sans réelles sollicitations.


Mais les deux femmes s’avancent. En riant, chacune se saisit d’une main et m’entraîne. Quelques pas et nous entrons dans une grande cabane. Malgré la nuit, j’en devine les proportions imposantes, de celles de ces abris communs que construisent les habitants pour les réunions tribales. Avant d’entrer je constate que Nadia n’a pas remarqué mon départ. C’est aussi bien car j’ai bien une idée de ma présence avec ces deux femmes.

Une cloison nous cache de l’entrée. En riant, elles s’attaquent à ma chemise, mon short, mon slip. Je suis sans véritable volonté, et étonné de voir ma queue en si grande forme. Elle se tient horizontale et, vue de là-haut, me paraît sans fin.


Elles me font asseoir sur une sorte de couche, puis m’allonger. Déjà la première vient sur moi et il lui suffit d’écarter les cuisses pour que je puisse entrevoir des lèvres roses. Sa main guide mon bâton. Elle pointe mon gland dans son intimité. Elle descend. Son rire disparaît et fait place à un sourire de plaisir. Ma queue est dure. Si dure qu’elle a perdu une partie de sa sensibilité. Je comprends que la drogue a pour but de transformer un mâle en amant infatigable.


La femme se baise sur moi. Elle attrape mes mains pour que je caresse sa poitrine. Elle parle mais je ne comprends pas. C’est à sa copine qu’elle s’adresse. Manifestement, ma queue de Blanc lui apporte un plaisir exotique. Pendant de longues secondes ma queue est un mât avec lequel elle se baise. L’insensibilité n’est pas totale. Je sens l’étroitesse de la chatte, la nervosité des parois dont les muscles semblent palpiter.


Elle rugit. Dehors, on a dû entendre ce cri de femme qui jouit. Je suis un instrument, mais heureux de lui apporter ce plaisir. Déjà elle se soulève. Elle porte ma main contre sa fente et j’y découvre la jouissance humide qu’elle porte à ma bouche pour que je déguste sa liqueur. Une façon de me remercier. Mais sa copine prend sa place. C’est une gourmande qui s’empale d’un coup sur mon dard gluant. Elle n’est pas à genoux mais accroupie avec toute la liberté que cela procure. Cette façon de se placer me laisse la possibilité de voir ma queue rose disparaître dans cette fente dont les lèvres font un fourreau divin. Ma queue est un piston, mais c’est le cylindre qui vient coulisser.


Elle tourne. Toujours accroupie, elle me tourne le dos et ce sont ses fesses qui sont exposées à mon regard. Elles tremblent et m’attirent. Je m’accroche à ses hanches larges et dirige ma cavalière. Je la bloque, suspendue en vol et c’est moi qui, coup de reins après coup de reins, la possède. Je ne suis pas qu’une bite ; je suis un homme. Elle apprécie. Je rythme ma possession au rythme des tambours. C’est bon. Elle aussi gronde. Ma queue est toujours aussi dure, et pourtant je sens qu’elle jouit, libérant une liqueur généreuse qui coule le long de mon bâton. Femme fontaine…


Elle me quitte. Une autre approche. Je ne l’avais pas vue entrer. Certainement que la première, que je ne vois plus, est allé parler à sa copine du vieux Blanc dont la bite mérite le détour. Celle-ci semble plus curieuse. Avant de venir s’enfiler sur moi elle prend mon dard en main et fait glisser la peau, manifestement étonnée par mon prépuce. Roger, connaisseur du pays, nous avait dit que les hommes ici sont tous circoncis. Mais la curiosité fait place à l’envie. Elle me chevauche. Elle se donne du plaisir. Si moi j’ai aussi du plaisir, je ne ressens pas celui qui annonce la montée de sève. Suis-je condamné à n’être qu’un bâton pour femelles en chaleur ?


Mais ma cavalière sursaute. Elle regarde derrière moi. Des personnes entrent. C’est le couple royal accompagné par la vieille, celle qui nous a donné la mixture à boire. Ma cavalière fait mine de se lever mais le roi la conforte d’un geste. Il lui faut un moment pour s’habituer à leur présence mais retrouve sa ferveur. La reine la questionne en langue locale. Ma cavalière lui répond, et par son sourire je comprends qu’elle lui parle de moi et de son plaisir. Je vois la reine parler à l’oreille du roi. Aurai-je le privilège de me "faire" une reine, même si je sais qu’elle n’est que reine d’un soir ?


Ma cavalière se termine dans une sorte d’extase frénétique digne d’une possédée. Le roi parle à la vieille qui sourit. Son sourire laisse apparaître une bouche ou aucune dent n’est visible. Totalement édentée, la vieille ! Mais elle se penche sur moi pour me parler. Son haleine montre bien que le dentifrice – dans son cas inutile – aurait pu lui apporter une meilleure odeur.



Et d’une main elle fait un signe à la reine. Celle-ci quitte son masque tribal. Son visage apparaît. Les dessins rituels, traînées blanchâtres, n’arrivent pas à l’enlaidir. Elle est jeune, belle, souriante, ses lèvres soulignées de rouge qui tranchent. La vieille qui s’est redressée aide la reine à quitter sa longue robe toute de couleurs et de paillettes. Le corps est à la hauteur du visage. Belle, fine, si belle qu’elle pourrait défiler pour des couturiers en Europe. Les peintures rituelles remplacent les sous-vêtements. Elle est nue. La vieille se repenche vers moi.



Comment résister à tant de beauté ? Si j’ai bien suivi, je dois posséder cette femme magnifique et enfin pouvoir me libérer en elle. Qui refuserait ? Juste une question :



La vieille sourit.



Alors la reine souriante s’allonge à côté de moi.



Je me tourne vers elle. Ses cuisses s’ouvrent. Je me place. Je la surplombe. J’hésite. Elle m’enlace de ses bras.



Je pousse lentement, craignant à chaque instant de me réveiller d’un rêve érotique ou que la femme me chasse en se moquant. Mais son visage parle un autre langage : c’est celui d’une femme que l’on pénètre, que votre dard avance, le gland écartant les chairs délicates, humides, souples pour permettre à la hampe de se lover au plus chaud et au plus profond. Je suis en elle. J’ai l’impression que mon dard est sans fin. Pourtant, mes couilles en marquent les limites.

Elle sourit. Ses lèvres écarlates sont des fruits qu’elle m’offre. Ses cuisses m’emprisonnent, formant autour de mes hanches un délicieux carcan. Je sens ses talons sur mes fesses.

Son accent est délicieux. Son français parfait. Mariage de deux cultures.



Le ton suffit. Elle aurait pu me parler en martien que je comprendrais. Son ventre vient à mon devant. Je sens sa chaleur. Son vagin me masse. Je commence à la posséder vraiment. Très vite j’abandonne toute retenue. C’est ce qu’elle cherche, et ses gémissements en sont la preuve.


Le roi regarde. La vieille aussi. Un instant je me demande comment il va lever l’envoûtement. Avant même que la vieille officie en dégageant la bite royale de ce pantalon bariolé en défaisant deux boutons, j’ai remarqué la bosse. L’homme – roi ou pas – bande devant ce genre de spectacle. C’est une belle verge, sombre, le gland très gros d’un rose qui le fait croire fragile. Le mandrin royal est aussitôt saisi par la vieille qui le guide vers ses lèvres.


Mais où va-t-il se nicher ? Il disparaît totalement. Il est vrai que ce ne sont pas les dents qui risquent de le blesser. Le roi se saisit de la tête de la vieille et utilise sa gorge pour la baiser. J’ai l’impression que le dard va si profond que le cou se gonfle à chaque avancée. Mais oui, c’est une évidence : la vieille est si décharnée que je peux deviner le gland progresser. C’est monstrueux, excitant, improbable. La queue qui paraît si raide garde pourtant assez de souplesse pour suivre ce chemin sinueux.


Mais le roi a une autre idée. Sa bite encore plus grosse, encore plus longue, retrouve le peu de lumière de la pièce et brille de la salive de la vieille. Il se penche vers nous pour l’offrir à sa reine. Elle s’en empare, juste le gland qu’elle suce et lèche comme une glace. Mon visage est si près du sien qu’elle m’invite d’une poussée. C’est chaud, vivant, délicat. C’est la première fois que je goûte à pareille offrande.


Mais derrière moi je sens qu’une autre langue vient se glisser dans ma raie. Une langue serpent qui trouve mon anus et s’y glisse sans façon. Elle est agile, longue, et pénètre bien plus que lorsque ma femme me gratifie de ce genre de caresse, en général pour me préparer à…

Je comprends !

Oui, je viens de comprendre comment le roi va me désenvoûter !

Il va me prendre par le…


Il enlève sa queue de notre gourmandise. Je vois, les yeux mouillés, son dard s’éloigner, bâton sombre à la fois rugueux et lisse. La reine renforce son emprise sur moi. Bras et jambes m’enveloppent encore un peu plus. À l’oreille, la femme me susurre :



Que faire ? Que dire ? Protester ? M’enfuir ? Me sauver avec le sexe transformé en bâton ? Bâton dont je sens qu’il devient douloureux alors qu’il est bien au chaud dans un océan de douceur et qu’il avance encore un peu plus sous la pression de la femme. Il est déjà trop tard. Sa royale majesté s’est déjà installée derrière moi, repoussant mes jambes afin que je lui donne de l’espace.

Espace ! Volume ! Pression ! Température ! Dilatation !

Le corps humain est une merveille. Il suffit de l’apprivoiser et d’un peu d’entraînement pour le rendre réceptif. Et ces derniers mois, Nadia, avec mon accord total, s’est chargée d’éduquer mon anus, de le rendre plus souple, plus réactif à la sollicitation du sexe synthétique que son gode-ceinture transforme en bite pour m’enculer.


Mais le mandrin royal est autrement gros, autrement long. Et pourtant je sens qu’il m’envahit, progressant sans à-coups, m’ouvrant comme un fruit bien mûr, me prenant le cul, m’enculant comme on encule une femme qui se propose. Comme une femme ! Comme une pute ! C’est la réflexion que je me fais alors que l’homme se saisit de ma queue-de-cheval, luxe que je me permets et qui me donne un air plus jeune, en tout cas qui montre que malgré mon âge je sais rester jeune.


Il me tire. Me faisant cambrer comme on le fait d’une salope que l’on veut soumettre à son désir. Et son désir à lui me remplit alors que le mien avance encore dans le con royal.

Il commence alors sa danse de désenvoûtement. En d’autres lieux, sous d’autres cieux, on dirait qu’il sodomise son mignon, qu’il encule une fiotte en Afrique, ou pire une fiotte en Europe.


La retenue n’est plus de mise. L’hommage royal est au niveau de ce que mon cul découvre. Combien cela peut être différent d’un gode, cette chose chaude, à la fois dure et souple qui me fait du bien et qui d’une certaine façon, poussée après poussée, possède aussi la reine. Il me semble défaillir tellement c’est bon. Je n’ai plus la notion du temps. La seule mesure est à l’aune de ce que je ressens de ma propre verge. Une redécouverte de sensibilité, la lente montée du plaisir au niveau de mon gland qui frotte.


Lorsque l’homme jouit, c’est comme un barrage qui se rompt ; mieux, un geyser de liqueur brûlante qui m’envahit et me lessive le cul. Pour un peu je sentirais le goût de ce foutre dans ma bouche. C’est alors que moi aussi je jouis. Moi aussi je me libère. Mes couilles ont dû accumuler tout au long de cette érection démente une telle quantité que je risque bien de noyer la souveraine pour l’instant allongée sous moi et se tortillant de sa propre jouissance.



**********



Je me réveille avant Nadia. Je suis fourbu, le sexe douloureux, et mon anus proteste.

Alors je me souviens. La potion n’a pas altéré ma mémoire.

Waouh ! Je ressens encore le mandrin royal dans mon fondement. Pas étonnant que j’aie mal au cul. Et toutes ces femmes… Heureusement que Nadia n’a rien vu ! Elle dansait.

Je retrouve Roger, ce pervers, devant le buffet du petit déjeuner. Son sourire en dit long.



Il rit.



Il rit encore.



Roger semble réfléchir.




**********



La caméra balaie les deux groupes qui se font face. Hommes d’un côté, femmes de l’autre. Je m’aperçois, piètre danseur, n’arrivant pas à me libérer de mes entraves occidentales. Ce n’est pas le cas de Nadia qui rayonne. Chevelure blonde qui descend sur ses épaules, visage blanc malgré son bronzage, comparé aux autres visages autour d’elle, robe fuchsia unie qui tranche aussi avec les tenues des autres femmes. Mais elle danse comme ses voisines. Libérée de toute contrainte, de tout code. On la dirait possédée par le rythme à défaut d’être possédée par un démon. Elle est en sueur, ses cheveux se collent. Son regard est étrange, les pupilles dilatées. Sur elle aussi, la mixture a de l’effet. J’imagine que pour les femmes, les effets sont différents sinon son clitoris a dû se transformer en tige dure. « Idiot ! » pensé-je en regardant ma femme ainsi. Si belle. Si attirante. Sa beauté est différente de celle de ses voisines, même si certaines – et je suis bien placé pour le savoir – sont des fleurs magnifiques.


Elle fait un signe à l’homme qui lui fait face. Manifestement, elle lui pose une question en montrant l’endroit où je suis. Non ! De l’endroit où j’étais car la caméra montre mon absence. Je devine que ses lèvres articulent « Mon mari ? » L’homme répond aussi par un geste en montrant une direction. Nadia ne comprend pas ; elle insiste en signifiant son incompréhension. Alors l’homme fait deux pas et lui parle a l’oreille. Elle semble étonnée et fait celle qui ne le croit pas. L’homme insiste en lui parlant de nouveau. Mais aussi il lui prend la main en lui montrant la même direction qu’avant. Elle quitte la rangée de danseuses. Ils traversent la rangée des hommes. Deux autres hommes les suivent. La caméra aussi. Je commence à comprendre en reconnaissant la cabane où je suis entré avec les deux femmes.


C’est un mauvais rêve. En passant la cloison, ils peuvent voir ce qui s’y passe. Et je suis bien placé pour le savoir. Ils arrivent alors que le couple royal est déjà là. Une femme me chevauche. La caméra montre bien l’échange entre eux. D’ailleurs elle me montre aussi que l’assistant de Roger est en train de filmer la scène. Ainsi c’est Roger qui suit ma femme.


La suite est un mauvais film. Assemblages imparfaits et mal gérés entre les vidéos prises par les deux hommes. Mauvais film, mais si parlant et si cru que je crains de défaillir.


Les images se succèdent. Nadia entourée par ses trois chevaliers servants et celui qui l’a amenée ici qui semble lui commenter à l’oreille, comme s’il fallait expliquer. Des chevaliers particulièrement rapprochés. Moi couvrant la reine et la possédant sous le regard de son roi.

Nadia à nouveau avec sa garde rapprochée, si rapprochée maintenant qu’ils ne lui laissent que la vision de son mari. Elle semble fascinée. Un zoom sur la bite royale qui est gobée par la vieille montre quel est son centre d’intérêt. Le retour vers le quatuor qui décidemment évolue très vite. Les mains noires semblent des dizaines, explorant qui un sein, qui une hanche, qui une fesse, et des lèvres qui l’embrassent sous l’oreille.


Zoom sur le mari qui goûte à la bite royale, la partageant avec la reine, boule de chair couleur chocolat au lait posée sur un cornet plus sombre. Visage de Nadia qui exprime la surprise. Mais pas seulement, car les mains qui caressaient à travers le tissu de la robe ont découvert la fermeture Éclair dans le dos de la robe fuchsia. Un zip que j’ai de si nombreuses fois fait descendre et que des mains étrangères manipulent. Des mains qui déjà se glissent par l’entrebâillement pour caresser ses seins alors que d’autres tirent, poussent, et font tomber ce rempart au sol. Nadia porte juste un string. Sa poitrine est disponible. D’autres mains cherchent le chemin de sa chatte, mais elle les retient.


Mari enculé. Ma femme a ce spectacle maintenant. Pire, elle découvre que son mari semble y trouver du plaisir. Le film me fait découvrir que j’ai parlé pendant que l’homme m’enculait. Que je n’étais pas seulement un cul docile et silencieux, mais aussi un partenaire à part entière qui complimente son enculeur sur sa belle tenue.


La main de Nadia a disparu. Le string est tiré. Elle est nue. Derrière elle, l’homme a sorti sa queue et se frotte dans sa raie. Elle semble faiblir alors que je crie mon plaisir, remerciant roi et reine de leurs faveurs. Un des hommes la prend dans ses bras et la soulève telle une plume. Un autre ramasse les vêtements et le quatuor repasse la cloison pour arriver quelques mètres plus loin dans une autre pièce. Roger a suivi. Il filme, le salaud, traître infâme, entremetteur.


Les deux hommes finissent de se dévêtir. Nadia, toujours dans les bras du troisième, semble revenir à elle. Elle ne peut ignorer les deux verges tendues. Elle les voit, les détaille. Son sourire parle pour elle. Celui qui la soutient bande aussi. Un bras autour de son cou, l’autre main qui découvre la puissance du torse dénudé, et puis un peu plus bas un sexe en érection qui doit lui chatouiller les fesses.


Un des hommes vient soulager l’autre de son fardeau. À deux ils la soulèvent. À deux ils la portent vers le troisième, celui qui l’a conduite ici, complice qui attend sa récompense. Son sexe est si tendu qu’il est vertical, mât dont le gland fait office de hune. Il attend son fardeau. Les deux autres le lui confient. Elle s’accroche si spontanément qu’on dirait un ballet bien répété. Et pourtant, si j’ai porté dix fois Nadia de cette façon, c’est bien le bout du monde. Mais ici le monde est différent. Elle s’accroche au cou de l’homme. Ses jambes étreignent ses hanches. Elle est comme suspendue.


Ce salaud de Roger, s’il est mauvais monteur, est par contre bon caméraman !

Plan sur la bite avec les fesses de Nadia.

Plan sur le visage de ma femme.

Plan sur la bite qui semble avancer alors que c’est elle qui descend, aidée par celui qui la soutient de ses grosses mains sombres sur la peau délicate des fesses.

Long plan sur le visage de Nadia. Le sourire de Nadia. Le pincement des lèvres de Nadia. Le plissement des yeux de Nadia. Enfin tout ce qui montre que quelque chose se passe, surtout lorsque les lèvres s’entrouvrent et laissent passer un soupir.

Plan, zoom, sur la bite. Enfin ce qu’il en reste. Une base de hampe sombre et deux grosses couilles. Tout le reste a disparu. Ma femme s’est empalée en douceur sur le mandrin dressé.


Commence alors une danse que tous les couples du monde, de l’Est à l’Ouest, du Nord au Sud connaissent. L’homme pousse. La femme accompagne. Dans cette position, les mouvements sont limités en amplitude mais les frottements en sont d’autant plus forts.


Plan sur les deux complices, pas seulement voyeurs et attendant leur tour, mais organisateurs. Ils déplacent une table pour la rendre accessible. L’homme n’attendait que cela. Il y dépose avec douceur le fardeau de mon épouse. Les cheveux blonds se répandent pour lui former comme un oreiller. Elle est allongée mais toujours prise par l’homme qui, libre de ses mouvements, entreprend de la baratter.


Quelle honte ! Nadia, loin de se refuser, attire cet amant à elle. Ma femme est une catin. Elle se laisse prendre par le premier venu. Pire, elle y trouve du plaisir. Pire, elle sollicite les deux autres hommes. Chacun lui apporte ce qu’il a de plus précieux. L’un à gauche, l’autre à droite, présente son mandrin à la caresse d’une bouche dont les lèvres sont des antres du vice. Alors qu’elle se fait baiser, elle suce des queues. La salope. La garce. La pute. La traînée. Fille de joie. Fille à marins. Fille a soldats.


« Stop ! » hurle ce qu’il me reste de raison dans un cerveau bouillonnant de sensations contradictoires. « Tu n’as pas le droit ! Elle vient de te voir avec d’autres femmes. Elle vient de te voir possédé par un homme. Comment peux-tu être si mesquin ? De si mauvaise foi ? Après tout, c’est toi qui as commencé, et même si tu n’étais pas dans ton état normal, elle non plus. » Je me calme. Après tout, ce n’est pas si grave ; nous avons été emportés par un torrent bien plus fort que nous.


Elle jouit. Elle est belle quand elle jouit. D’habitude, elle n’a pas la bouche pleine de la queue d’un autre et elle est plus claire. Mais ce n’est pas désagréable d’entendre ses grondements, un peu comme lorsque je décharge dans sa gorge et qu’elle se fait du bien avec un gode. Ici, c’est juste que le gode est vivant. Vivant ! Sombre ! Imposant ! Actif ! Un gode qui décharge en elle, laissant suinter des traînées blanchâtres de sa fente, preuve qu’un chanteur toulousain célèbre avait raison pour la couleur des os mais aussi du foutre, quelle que soit la peau du donateur.


L’homme se retire. Un autre va prendre sa place. Je vais assister à une partouze. Mais on entend des voix ; je reconnais celle de Roger, et il parle une langue inconnue. La caméra montre maintenant le roi et sa reine qui viennent d’entrer. Je comprends qu’ils arrivent après m’avoir laissé seul avec la vieille. Ainsi, alors que moi je me faisais sucer par cette gorge sans fond, me donnant une nouvelle vigueur pour satisfaire une femme qui vient d’apparaître par magie, le couple passait voir ma femme.


Tout devient plus clair. Surtout que Roger échange avec le couple des propos dans lesquels je reconnais "mari, Pierre". Ils parlent de moi. Ils viennent voir ma femme. Après le mari, l’épouse. Mais Nadia ne se formalise pas. Elle est encore chaude, et son regard, les pupilles toujours dilatées, montre que je ne suis pas seul en cause.


La reine monte sur la table. Elle s’accroupit dans une pause obscène sur le visage de Nadia. Nul doute que ma femme lui prodigue ce qu’attend la femelle. La reine sourit, toujours de ses lèvres dont la couleur rouge souligne la sensualité. Le roi n’est pas en reste. « Un cul après l’autre ! » : telle doit être la devise de ce couple d’un soir, profitant de la candeur de ces deux Européens que Roger, manifestement complice, leur a proposés. Mais qui à ce moment-là, dans le feu de l’action, se plaindrait ?


Pas Nadia, qui se laisse ouvrir par des mains puissantes, élevant ses jambes dans un V qui l’ouvre et la soulève au point que le monarque d’un soir puisse se glisser en elle. Roger sait montrer ce qui excite. Que ce soit sa femme, celle d’un autre, une actrice porno, la rencontre d’un soir, le fantasme jamais réalisé, rien n’est plus fort.


Malgré le clair-obscur de la pièce, le choc des couleurs domine. Cette queue sombre, noire, qui écarte des chairs blanches, des chairs que le soleil n’a jamais été autorisé à contempler, rend la possession encore plus forte. L’anus, pourtant sombre, paraît d’une blancheur éclatante comparé à la tige qui le force. Comme pour moi, le roi avance. Pour Nadia, ce n’est pas une vraie défloraison. Son petit trou m’a été offert bien souvent et j’imagine que la bite du maître-nageur a aussi eu droit à une visite approfondie. Comme moi elle se tortille sous la possession, mais ses cris et gémissements ne sont pas libres comme les miens avec la reine qui lui sert d’étouffoir.


Roger filme.

J’ai perdu toute notion de cocufiage. Je ne suis qu’un spectateur, peut-être plus impliqué qu’un autre mais assez libéré de la jalousie pour déguster la scène.


Le couple royal prend son plaisir. Lorsqu’il abandonne la femme qui gît sur la table, ils la laissent souillée de leurs liqueurs. Le visage de Nadia est brillant, chatte et cul laissent suinter les foutres des deux hommes qui viennent de la prendre. Mais ce n’est pas fini. L’action se répète. Encore et encore. Les deux chevaliers servants prennent leur part, et puis d’autres suivent.


Je comprends que Nadia ait été, comme moi, éreintée par cette nuit.



Et lorsque je lui avais fait remarquer que je l’avais cherchée, ne la voyant plus parmi les femmes, elle m’avait répondu :



Mais elle savait tout de mon absence alors que moi je n’étais pas censé savoir à quelle orgie elle s’était livrée.



**********



Depuis trois mois que nous sommes rentrés, la vie quotidienne a repris ses droits. Parfois je regarde en cachette cette vidéo où ma femme et moi avons été, chacun de notre côté, emportés par nos sens, courant manifestement provoqué par cette potion magique. Nous n’avons jamais abordé le sujet. Chacun a fait comme s’il avait oublié, et d’ailleurs si Nadia a constaté ma lubricité, moi je ne suis pas censé connaître la sienne.


Je n’ai pas cherché à recontacter Roger, préférant mettre de côté cet "ami" qui en savait trop sur nous. Mais c’est lui qui a renoué les liens. Un mail pour avoir de nos nouvelles. Il m’annonce aussi qu’il programme déjà un voyage en Afrique. Il me demande si on veut se joindre à lui : « Vous avez dû en garder un très bon souvenir. On pourrait s’organiser quelques belles soirées. Ta femme est délicieuse par sa jeunesse et sa sensualité. Tu as vu comment elle aussi a bien profité des occasions ? »

Il a raison, mais c’est derrière nous.



**********



Un rendez-vous raté et je rentre plus tôt. Je veux faire la surprise à Nadia. Les filles sont chez mes parents. On va pouvoir se faire une soirée en amoureux, et j’ai une envie folle de baiser ma femme ailleurs que dans notre chambre. J’ai acheté de la nourriture antillaise qui, par ses saveurs et ses piments, devraient nous rappeler l’Afrique. J’ai décidé d’avouer à Nadia que j’ai une vidéo. On pourrait la regarder ensemble. À quoi bon la cacher ? Nous sommes des adultes, et cette soirée si particulière nous montre aussi bien l’un que l’autre en situation bien singulière. Donc comme on dit, "pas de jaloux". Mais elle parle au téléphone. Non, sur Skype. J’entends la voix de sa copine russe :




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C’est facile de la suivre. Le GPS de son smartphone me fournit tous les détails. J’arrive dans une petite rue très animée. Il fait beau, et on se croirait en Afrique avec tous ces hommes et ces femmes qui discutent ou vaquent à leurs occupations. Le signal me guide devant la porte d’un café. Café et hôtel avec location au mois. Je ne vois pas Nadia par les vitres. Elle n’est pourtant arrivée que quelques minutes avant moi.


J’hésite. Dois-je entrer ? Dois-je attendre ? Si j’ai bien compris sa conversation, elle n’est pas ici que pour boire un coup, et ce n’est pas dans la rue que j’en aurai confirmation. J’entre. La pièce est petite, et je ne vois pas ma femme. Par contre, j’attire tous les regards, seul Blanc de l’assemblée. J’avance au bar. Le serveur me questionne :



Il me sert. Je bois tout en visitant la pièce du regard.



Je ne vais tout de même pas lui dire que j’ai suivi ma femme et que je la soupçonne de voir un amant. Pourtant il faut bien que je sache !



Il réfléchit à peine.



Et je me penche vers lui pour lui faire une confidence :



Mon petit rire pervers le conforte.



Voilà, c’est fait, je ne peux plus reculer. Le « Ils sont au premier » est la preuve que je ne me suis pas trompé. Je monte. C’est vieillot mais propre. Je m’arrête devant la 14. À nouveau des questions : que faire ? Je frappe en disant « C’est moi, Pierre, ton mari, le cocu. » ? J’entre en criant la même chose ? Mais encore faut-il que je puisse…


Oui, elle n’est pas fermée à clé. La porte s’ouvre sans bruit. Une petite entrée, à gauche une porte qui doit être les toilettes, en face une autre porte mais bien entrouverte. Elle est là. Déjà nue devant deux hommes nus aussi. Nus et en érection. Elle en suce un et caresse l’autre. Deux beaux hommes blacks bien membrés. Elle a devant elle tout ce qu’il faut pour assouvir, au moins pour un moment, ce fantasme construit depuis sa jeunesse, dans l’hiver de son pays.


Dans cette chambre, le contraste est encore plus puissant. La blondeur de Nadia ne fait que renforcer la couleur de peau de ces hommes. Les cheveux blonds qui bougent alors qu’elle suce font un paravent vivant qui cache, dévoile, souligne la couleur du membre manifestement goûteux.

C’est beau.



Ce n’est pas une question. C’est une évidence. La salope interpellée gronde la bouche pleine et tout le monde peut prendre ce bruit pour un "oui". Je regarde. Elle passe de l’un à l’autre, abandonnant une bite luisante pour la seconde.


Soudain on me pousse violemment. Je me retrouve propulsé dans la chambre.



La chienne agenouillée a retrouvé l’usage de la parole. Son visage exprime une totale incompréhension. Elle est si surprise qu’elle ne sent pas cette salive qui s’écoule de ses lèvres et de son menton.



Elle ne semble pas comprendre.



Elle est effondrée.



Je fais un pas vers la porte. J’hésite. Il a raison, je savais. Mais les vidéos restent des vidéos. J’ai honte. Derrière la porte, en quelques secondes, de voir Nadia faire la pute avec ces hommes, j’ai bandé.



Il me montre l’unique chaise de la pièce. J’y prends place. Au début, Nadia est très en retrait. Elle ne cesse de me jeter des regards comme si elle voulait me parler. Il est évident que ma présence la dérange. Mais les hommes la remettent sur le droit chemin. Les deux bites à peine ramollies par l’incident retrouvent la chaleur de sa gorge. Le troisième homme la caresse, et il est évident qu’il doit la pénétrer avec les doigts car elle se tortille.



Je m’exécute. Mon érection parle pour moi. Je crois voir dans les yeux de Nadia, qui me découvre bandant, une lueur malicieuse et moqueuse.



La salope ne se fait pas prier. Déjà elle se relève, et avec un regard vicieux vers moi vient chevaucher un des hommes.



Ce n’était pas la peine de me le dire. La façon dont Nadia s’est laissé tomber sur la longue bite noire montre son envie, mais aussi son expérience de telles situations. Combien de fois est-elle venue depuis notre retour en France ? Six, sept fois m’avait montré le GPS du smartphone. Je n’avais rien remarqué, et pourtant elle devait être repue si à chaque fois plusieurs hommes l’avaient baisée. Pour l’instant, c’est elle qui se fait du bien.



À moins qu’elle ne l’oublie pas et que le vice la pousse à se comporter ainsi. Oh que non, elle ne l’oublie pas. Son regard constate une bite maritale si tendue qu’on la pourrait croire droguée. Mais non, c’est juste elle, l’amant sur lequel elle se fait du bien et l’autre qui attend.


Il n’attend pas longtemps : je ne peux que constater que tout se déroule comme un ballet répété de nombreuses fois. Alors que l’homme cherche sa place derrière Nadia, une place que les deux protagonistes lui libèrent en déplaçant leurs jambes, ma femme se penche sur son amant noir. L’autre, décidément expérimenté, commence déjà à lui ouvrir les fesses avec les pouces qui pointent vers le cul. Une fontaine de salive tombe vers son but. Le gland pointe déjà. Il pousse. Il pousse.



Longue litanie qui sort des lèvres de l’enculée alors que le dard progresse.



Plus près, c’est splendide. Je n’ai pas peur de le dire. Ces deux tiges sombres qui dilatent, qui cul, qui chatte. Ces deux paires de couilles qui sont si près qu’on les croirait soudées. Et tout ce blanc qui ondule entre ces deux mandrins.



Nadia est prise jusqu’à la garde. Le trio sait exactement comment faire afin que la femelle soit enfilée au plus profond, au plus intime.



La claque qui accompagne le coup de reins de l’enculeur la surprend.



Elle bouge sur les mandrins. Elle se tortille.



Elle bouge sur eux. Je vois parfaitement chatte et cul se libérer et se reprendre aussitôt sur les deux bâtons.



C’est fort. C’est puissant. Les vidéos ne sont rien comparées à ce que je vois. Deux hommes baisent ma femme. Moi, je bande comme un malade. Ma bite n’a pas à rougir, comparée à celle du troisième homme. Ma femme se baise sous mon regard, mais elle aussi me regarde. Elle voit ma trique et semble se réveiller de ses possessions. Elle fait signe de la main au troisième. La salope va certainement le sucer, remplissant ainsi le dernier orifice. Je vais la voir souillée par trois hommes, et si leur peau est plus sombre que la mienne, c’est encore plus fort. Suprême injure ! Suprême délice ! Mais non, elle lui parle à l’oreille. Un instant, tous deux me regardent, et puis l’homme revient vers moi.



Je comprends ce qu’a dû dire ma femme. La garce, elle cherche à m’entraîner dans son vice ! Ce n’est pas parce qu’une fois je me suis fait défoncer le cul par un roi bien monté que cela doit devenir le quotidien.



L’homme approche son sexe de mon visage. Son gland bute contre mes lèvres. Il le pousse, forçant un passage que je ne défends pas outre mesure.



Décidément, ce gars a le sens de la perversité ! Je m’assieds sur le bord du lit. Debout devant moi, la bite horizontale pointe vers moi. J’entrouvre les lèvres. Il ne me force plus. C’est moi qui goûte à son gland, le titillant de ma langue, l’enrobant de mes lèvres. C’est la deuxième queue que je suce. La première, dans la cabane au fin fond de l’Afrique, avec l’excuse d’être sous l’emprise d’une décoction ; la seconde, c’est ici. Cette fois, je déguste mieux. J’aime cette délicatesse de la peau, la rondeur du gland, le sillon que ma langue découvre avant de descendre plus bas. J’en gobe une bonne moitié. J’ai des progrès à faire !



Suprême injure ! Suprême compliment !



Alors je ne pense plus. Sous les yeux de ma femme, à portée de sa main, je m’installe à quatre pattes sur le lit, offrant à cet homme mes fesses laiteuses, un peu grasses, mais qu’il agrippe sans difficulté. Le lit bouge. Lui aussi monte dessus. Il me surplombe. Le contact humide me fait comprendre qu’il me balance de sa salive. Et puis j’ose tourner la tête. Je croise le regard de ma femme qui s’est immobilisée et suit la queue. Longue tige sombre que l’homme guide d’un doigt vers mon petit trou.


Je suis une pute. Mais oui, sinon comment pourrait-on me prendre ainsi si facilement ? Mon cul doit crier, orifice ouvert dans l’attente d’être pris. L’homme se glisse en moi facilement. Je sens sa queue dilater un peu plus mon cul, se frotter à lui pour encore mieux l’exciter. Il est littéralement assis sur moi. Je suis pris jusqu’à la garde. Il bouge. Je gémis. Pute ? Oh que oui ! Je me penche encore plus, posant ma tête sur le lit afin qu’il gagne quelques millimètres et me défonce enfin. Une main saisit la mienne. C’est Nadia.



Quel couple nous faisons ! Réunis dans le vice et la perversité. Madame qui se fait prendre en sandwich. Monsieur qui se fait enfiler le cul. Je gronde sous les coups de boutoir. Elle crie que c’est bon. Sa main serre la mienne alors qu’elle annonce que les deux hommes se vident en elle. Je déchire le drap avec mes dents, refusant de hurler mon plaisir. J’ai le cul en feu qu’un pompier pyromane inonde.


Nous reviendrons. Oui, nous reviendrons tous les deux. Amants vicieux qui se soumettront à d’autres. Encore que je me ferais bien un petit cul de Black…