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n° 18434Fiche technique20291 caractères20291
Temps de lecture estimé : 13 mn
24/06/18
Résumé:  Ma première expérience au Cap d'Agde.
Critères:  hhh fhh hbi cocus inconnu plage exhib facial fellation anulingus hsodo init
Auteur : Oli Mart 1977            Envoi mini-message
Voyeur curieux à tous points de vue

Je vais vous raconter une histoire qui m’est arrivé lorsque j’étais encore puceau.


Attiré par les jeunes femmes de mon âge mais pas assez sûr de moi pour draguer activement, voire pas assez sûr de moi pour conclure lorsque je me faisais draguer.


J’étais sorti avec plusieurs filles durant mon adolescence, mais jeune adulte je n’avais pas franchi le Rubicon, et ce malgré une sève bouillonnante que quatre branlettes par jour suffisaient à peine à contenir. Faire l’amour à une fille était devenu une sorte d’obsession car je pensais qu’il fallait juste débloquer mon compteur pour gagner la confiance en moi qui me faisait défaut, me prouver que je pouvais satisfaire une femme et lancer ma carrière d’étalon que j’imaginais longue et riche.


Inventant pour mes parents un week-end entre copains, je pris le train et me dirigeai tout seul vers le Cap d’Agde, dont j’avais entendu vanter les plages, les dunes et ce qui s’y passait. J’avais trouvé une chambre pas cher ; j’y posai mes valises, plongeai sous la douche pour être net et prêt « au cas où ». Je sautai dans mon maillot et partis en trombe avec une serviette de bain et un tee-shirt… direction la plage.


Nerveux comme tout, j’attaquai par un bain et un peu de nage pour décompresser. Je me séchai au soleil en lorgnant vers les dunes. Lorsque je fus sec, je pris mon courage à deux mains et me dirigeai vers les dunes avec une démarche que je pensais être nonchalante, tout en croisant les doigts et les orteils pour ne pas croiser comme par hasard une connaissance…


Je marchais doucement dans les dunes avec une bosse déformant mon maillot, les sens en éveil, à l’affût de bruits et de mouvements. J’entendis des gémissements, ce qui m’électrisa immédiatement. Je me dirigeai en direction des bruits et, derrière un buisson, je vis trois hommes en pleine action. Un petit blond était à genoux devant un grand gaillard brun et il avalait son sexe, le faisait coulisser entre ses lèvres, le ressortait, lui léchait le frein et le pourtour du gland ; le grand brun avait l’air d’apprécier : il caressait les cheveux du premier et gémissait, justement. Le troisième homme était aussi grand et musclé, mais noir. Et il enculait virilement par derrière le petit blond qui tendait les fesses, se cambrait et se déhanchait, montrant là son approbation et son plaisir. Il bougeait avec une certaine féminité…


Le spectacle était chouette, les trois hommes étant assez beaux, alors je décidai de continuer à mater un peu mais à distance respectable. Je me demandais s’ils se connaissaient avant ou s’ils avaient improvisé ce trio homo, et si les places respectives de chacun allaient changer. Il paraissait assez clair que le petit blond aimait la bite, vu sa gourmandise sur le sucre d’orge qu’il suçait, l’ardeur qu’il y mettait et son talent apparent, que prouvaient les gémissements devant lui et l’apparente difficulté du grand brun à rester ferme sur ses jambes. Il tremblait par moments et je me demandais combien de temps il allait résister avant de jouir.


À l’arrière, le Black pilonnait très profondément mais à un rythme montrant qu’il cherchait à donner du plaisir à son partenaire qui ronronnait. Je remarquai que le blond bandait fort et qu’un filet de liquide pendait de son sexe, témoin de son excitation.


Cela me fascinait de voir ces trois mecs homosexuels et l’incroyable volupté de leur rapport, le parfait emboîtement des sexes et des orifices, mais surtout l’apparent plaisir si profond partagé par nos trois acteurs. Moi qui étais attiré par les femmes, j’étais curieux des sensations de ces trois mecs et foncièrement excité de les voir si excités.


Le grand brun eut alors des spasmes et il éjacula son plaisir en plein visage du petit blond, qui avait fermé les yeux mais recevait avec un grand sourire le résultat de son succès en plein visage. Lorsque l’orage se calma, il emboucha à nouveau la bite du brun et entreprit de parfaitement la nettoyer. Le brun s’agenouilla alors en face du blondinet, lui prit le visage entre les mains et se mit à l’embrasser langoureusement à pleine bouche. Les langues se mélangeaient, les lèvres se suçaient et se mordaient, le sperme passait d’une bouche à l’autre. J’étais impressionné car dans ma naïveté de jeune adulte, je n’avais imaginé le sexe entre hommes que comme la satisfaction d’un besoin un peu brutal. Et là c’était des hommes qui faisaient l’amour…


Le brun léchait maintenant le sperme sur le visage du blond et lui branlait le sexe avec ses deux mains. Le blond s’agitait mais bougeait peu car il continuait à se faire pilonner le cul par le Black qui le tenait solidement par les hanches et qui avait aussi accéléré le mouvement. Le brun reprit la bouche du blond, y enfonça sa langue tout en continuant de le branler. Le blond était comme fou, il couinait du double plaisir et enfin il jouit en haletant et en serrant les fesses. Le Black se tendit tout au fond de l’anus du blond et à son tour eut un orgasme bruyant au fin fond du blondinet…

C’est à ce moment-là que je pris mes jambes à mon cou pour ne pas être présent quand la tension sexuelle allait baisser et que nos trois gus allaient commencer à regarder autour d’eux…


Je repris donc mon chemin encore plus excité… Au bout de quelques minutes, je fus récompensé en apercevant un couple qui installait un plaid sur le sable à l’ombre d’un arbre. Ils étaient tous les deux nus. Elle était blonde, sans doute entre 25 et 30 ans, avec une queue-de-cheval, un beau physique bien fit et des jolis seins qui se tenaient bien, avec des petites aréoles bien roses. Elle avait une petite ligne de poils blonds sur le pubis. Quant à l’homme, je lui donnai au moins 40 ans, il devait faire 1,80 m et était aussi en forme. Il avait un sexe assez long et noueux, était assez poilu sur l’ensemble du corps et portait une barbe assez virile.


Je m’installai non loin d’eux, en espérant secrètement pouvoir les voir baiser… J’avais un peu revu à la baisse mes ambitions en me promenant car je me dis qu’il était très peu probable de tomber sur une femme seule dans un endroit pareil… donc chances de baiser = 0. Mais bon, le spectacle de nos homos m’avait tellement excité que je n’en avais pas conçu de réel dépit. Si je voyais ce couple baiser, je pouvais sans aucun doute me faire une branlette premium par rapport à d’habitude et prendre quelques leçons au passage.

Je regrettai de ne pas avoir pris un bouquin pour me donner une contenance, car au départ je m’emmerdais ferme…


Puis monsieur commença à parler à l’oreille de madame, qui se lécha un doigt et se mit à se caresser le sexe. Il était tourné vers elle, la regardait et continuait à lui parler, sans la toucher.

Quant à elle, elle bougeait doucement les jambes et continuait à se caresser, commençant à faire entendre quelques gémissements d’excitation. Puis l’homme se leva et vint vers moi qui fus pris de panique. Il me salua gentiment avec une belle voix grave, dit s’appeler Jean et me demanda si je pouvais l’aider. Sa femme était très excitée, avait envie que quelqu’un lui lèche les seins et le sexe, et lui avait juste envie de regarder. Je n’en croyais pas mes oreilles et je n’en menais pas large. Il comprit ma gêne et me dit que sa femme serait encore plus excitée avec un jeune inexpérimenté, que cela la rendrait folle.


Rouge comme une pivoine, je me levai et le suivis. Madame se caressait toujours, en alternant entre les bouts de seins et le sexe. Jean l’interrompit et lui dit qu’il avait trouvé un jeune homme charmant qui était prêt à faire ce qu’elle voulait, mais qu’il n’avait pas beaucoup d’expérience… Elle ouvrit les yeux, me lança un regard appréciateur et me demanda si j’avais déjà mangé un sexe de femme. Elle avait un regard de braise et une bouche pulpeuse et rose. Je lui avouai en rougissant que non et elle roucoula d’excitation en disant que cela l’excitait beaucoup de déniaiser un jeune homme…


Elle m’invita à m’installer près d’elle et m’arrêta lorsque ma bouche fut à hauteur de ses seins. Je compris le message subliminal et je me mis à les lécher et à les sucer voracement. Elle rit de ma gourmandise et m’invita gentiment à plus de douceur en me disant que le but était de lui procurer du plaisir et non de lui arracher un téton. C’est une leçon qui me marqua et j’en tins compte immédiatement avec elle, puis tout le reste de ma vie sexuelle : le plaisir de la partenaire avant mon propre plaisir. J’y mis donc plus de douceur, plus de salive, et je guettai ses réactions. Je fus récompensé par des gémissements et des encouragements, et je notai qu’elle était très sensible aux rotations frôlées autour de ses bouts de seins suivis par des coups de langue plus francs sur l’aréole elle-même.


Au bout de quelques minutes, elle poussa mes épaules pour que je descende vers son sexe. Je bandais comme un âne et je descendais tout doucement en léchant sa peau du ventre et le long du pubis à gauche de sa ligne de poils blonds. Pour la première fois je voyais un sexe de femme de près en réalité. J’avais étudié dans l’encyclopédie de médecine à la maison, en cachette de mes parents, et aussi pu m’informer avec des revues pornos prêtées par des copains de lycée.


Je commençai par humer son sexe, qui sentait bon. Ses lèvres étaient humides, et c’est par là que je décidai de commencer ma dégustation. Je léchai avec délicatesse les lèvres de son abricot. Le mari continuait à m’observer, m’encourageait et me félicitait en me disant que je me débrouillais bien. Madame respirait bruyamment et commentait ses sensations à son mari, disant que je la léchais bien et que j’étais très doux. Elle me demanda de lécher aussi son clitoris. Je remontai donc et m’exécutai. Elle exhala son soulagement, et je fus impressionné de la dureté de son petit pirouli. Du coup je le pris entre mes lèvres et le suçai doucement, tout en léchant du bout de la langue. Elle couinait sérieusement maintenant, en faisant des « Oooh » et des « Oh ouiiii ». Je lui écartai alors les lèvres et je me mis à lécher plus franchement, en essayant de trouver le bon rythme. Je me rappelai le blondinet en train de prodiguer sa phénoménale fellation et je m’en inspirai. Madame gémissait, son plaisir montait. Monsieur était maintenant en érection et se caressait juste le gland doucement. Son sexe était long et épais.


Puis brusquement madame s’enleva et me demanda de m’allonger sur le dos. Je m’exécutai ; elle se mit à cheval sur moi, s’empala sur mon sexe avec un « Aaaah » de soulagement. Elle fit quelque va-et-vient tout en martyrisant un peu mes tétons, ce qui m’excita beaucoup. Puis assez vite, elle déboîta et remonta encore et vint se mettre à califourchon au-dessus de mon visage et descendit jusqu’à ce que son sexe soit en contact avec ma bouche. Je compris qu’il fallait reprendre mon jeu de langue et me mis à l’ouvrage.


Son clitoris était toujours aussi dur, signe que l’excitation ne retombait pas. Je la léchais et je pouvais aussi jouer avec ses seins, dont les tétons étaient durs. Je continuais à bander comme un damné jusqu’à ce que je sente que mon sexe était entouré de chaud et d’humidité. C’était une merveilleuse sensation, ce qui du coup ne m’inquiéta pas outre mesure.


J’avais les yeux ouverts, donc je la voyais assise sur moi et tournée non vers mon sexe mais de l’autre côté. Par ailleurs, ses mains malaxaient maintenant ses propres seins, donc aucun doute n’était permis : ce ne pouvait pas être elle qui s’occupait de mon sexe. C’était sans doute Jean, son mari. Mais c’était bon et excitant. Il me taillait ma première pipe, un homme, et pas féminin pour deux sous. Il me caressait les couilles aussi, et passait avec beaucoup de douceur ses doigts sur mon périnée, ce qui m’excitait au plus haut point. Sentant que j’étais au bord de l’explosion, il s’arrêta et prit mes couilles dans sa bouche. Il les lécha puis les souleva et lécha mon périnée.


J’avais les jambes légèrement écartées, pas assez à son goût. Il les prit en mains, les souleva et les écarta franchement. J’avais le sexe parfaitement offert, et pas seulement. Mes fesses étaient bien ouvertes aussi. Il se mit à me lécher partout, le sexe, les bourses, le périnée, l’intérieur des fesses, et enfin l’anus. Je ressentis une décharge électrique ; c’était une sensation délicieuse. Il avait une grosse langue très mouillée et il donnait de gros coups de langue dans ma raie, appuyant sur l’anneau, dardant le bout de la langue sur le trou en essayant d’y pénétrer. Mes sphincters vierges résistaient pourtant, se serraient à chaque tentative, mais je sentais bien que petit à petit il gagnait du terrain.


Madame était méga-excitée ; elle se tournait autant que possible pour voir ce qui se passait derrière elle et gloussait d’excitation. Quant à moi, j’étais très concentré sur ma langue, sa chatte, son plaisir que je ne réfléchissais pas vraiment à ce qui se passait et ce qui allait vraisemblablement se passer.


Jean se délectait de mon cul ; il grognait que j’étais super étroit. Tout à coup il cessa ses jeux de langue délicieux et je sentis qu’il m’enduisait l’anus d’une substance froide. Là, plus de doute possible : j’allais passer à la casserole. Je ne sais pas si c’est d’avoir vu notre blondinet jouir avec une bite dans son fondement auparavant ou si le plaisir donné par la langue de Jean m’avait rassuré ; toujours est-il que j’étais si excité que je n’étais pas plus inquiet que cela. Je n’avais jamais introduit d’objet dans mon cul, donc je ne savais pas qu’une première anale avait toutes les chances d’être douloureuse…


Jean s’occupait de moi, il massait mon trou en faisant des cercles. De temps en temps il pressait sur le trou, sans pénétrer. Mon anus devenait chaud bouillant et se détendait petit à petit. Jean remettait régulièrement du lubrifiant. Puis il finit par faire pénétrer un doigt, tout en en informant madame qui en couina d’excitation. Il commença des va-et-vient avec son doigt, lubrifiant encore et encore. Quand il sortait complètement, je ressentais comme un manque. Lorsqu’il entrait à nouveau, des étincelles s’allumaient dans mon cerveau. Il fit entrer un second doigt et en informa madame, qui gémit de plus belle en gigotant sur ma bouche. Mon anus brûlait un peu mais Jean lubrifiait.


Enfin, après ce tour de chauffe, il ôta ses doigts, prit mes jambes, les installa sur ses épaules poilues et musclées, et présenta son gland sur mon trou. Il prévint madame qu’il allait m’enculer ; elle dit « Non, attends… », se retourna précipitamment pour se mettre en 69 sur moi et écrasa à nouveau son sexe sur moi. Elle voulait être au premier plan pour ma défloration anale et le plaisir bisexuel de son mari. Elle me prit en bouche, ce qui était une bonne façon de détourner mon attention du gland brûlant qui embrasait pour l’instant la surface de mon anus. Elle était effectivement à 20 centimètres de la scène du crime, et ce fut elle, ma queue dans la bouche, qui saisit le sexe de son homme pour le pousser sur mon anus et dans mon anus. Son gland noueux eut du mal à passer, et le passage fut douloureux malgré le lubrifiant et la douceur dont Jean faisait preuve dans sa progression. Lorsque le gland a passé mes sphincters, la douleur décrut et Jean put progresser plus facilement, jusqu’à ce que ses hanches butent sur mes fesses.


Je n’en revenais pas : moi, hétéro, j’avais une queue de belles dimensions dans le fondement, et celle-ci commençait à aller et venir dans mon cul, avec Jean qui commentait « Oh, il est serré, c’est délicieux ! » Quant à madame, son jus coulait abondamment dans ma bouche et sur mon visage ; je me délectais d’elle, qui me permettait d’être « juste » bisexuel, et non une femelle se faisant engrosser par son mâle en rut. On se rassure comme on peut…


Cela dit, je commençais à trouver les frottements de la bite de Jean dans mon cul très agréables ; je commençais à comprendre pourquoi le blondinet avait l’air si heureux en se faisant sodomiser tout à l’heure, et je m’inquiétai un peu ; alors je me concentrai sur le plaisir de madame, qui me gratifia d’un magnifique orgasme en plein visage. J’étais tout baigné de sa mouille et elle était toute secouée, si bien qu’elle avait abandonné mon sexe pour profiter à fond de sa jouissance.


Elle s’enleva de moi, et Jean en profita pour remonter mes jambes jusqu’à ce que mes genoux me servent de boucles d’oreilles. Il reprit ses mouvements en pilonnant le plus au fond de moi possible. Je poussais des petits cris de vierge choquée, et je me dis que je devais donner un spectacle de soumission et d’abandon complet de ma virilité. Mais j’aimais ça, je n’étais plus qu’un cul ramoné par une belle queue d’homme poilu et musclé.


Madame nous regardait maintenant et parlait à Jean ; elle lui disait de me féconder, me de baiser à fond pour me punir d’être un petit voyeur. Les sensations étaient énormes, je ne sais pas ce qui s’était allumé en moi mais chaque coup de boutoir créait une vague de plaisir énorme, plus forte à chaque passage, et renforcée par ce que disait madame qui me traitait de petite pute soumise, de sac à sperme, de p’tit pédé tout en me caressant le front et m’invitant à me laisser aller et à jouir du cul.


Les émotions mêlées étaient énormes, et effectivement je finis par exploser de jouissance sans toucher mon sexe. J’éjaculai une quantité incroyable de sperme sur moi-même. Je sentais à chaque spasme de jouissance mes sphincters essayer de se refermer et enserrer la queue de Jean. Cela déclencha son orgasme, et il jouit au fond de mon cul dans un râle puissant. Sa bite était dure comme du bois et élargissait mon cercle à chaque coulée de lave supplémentaire. Madame était ravie et me félicitait…


J’eus un frisson quand Jean décula, une sensation de vide et un pincement de regret. Je m’assis dans le sable en essayant de reprendre mes esprits. Jean et sa femme plièrent leurs affaires et partirent assez vite en me disant un simple « Merci, mec. » en partant. Je trouvai ça un peu court comme au-revoir, étant donné que j’avais quand même doublement donné de ma personne…


Je me levai à mon tour, l’anus brûlant, et je constatai que je ne m’étais pas rendu compte qu’il y avait plusieurs personnes qui nous avaient observés… Je comptai deux couples et trois hommes seuls, qui me regardaient avec l’air de dire « Qu’est-ce que tu as pris, toi ! » J’étais un peu honteux de m’être fait sodomiser dans une position aussi féminine qu’un missionnaire, en y prenant un tel plaisir en plus.


Je retournai alors à la plage, rassasié pour un premier jour, et avec du grain à moudre car les sensations que j’avais ressenties en me faisant limer étaient si fortes que je me demandais si j’avais encore envie d’autre chose que de me faire mettre ainsi, si j’allais devenir homosexuel, ou même si je l’étais déjà, ou si les femmes allaient pouvoir me combler autant…


Déjà je me disais que les jours prochains allaient être l’occasion de vérifier tout cela. En tout cas, j’avais déjà basculé intellectuellement, et approcher d’autres bites me paraissait désormais inévitable.