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Temps de lecture estimé : 20 mn
27/06/18
Résumé:  Lors de cette lointaine époque, j'étais étudiant (je sais, c'est écrit dans le titre), et je sortais avec Audrey, une fille assez délurée de ma promo, tandis que j'avais Blandine en très bonne copine.
Critères:  ffh jeunes copains fellation cunnilingu pénétratio nostalgie -couplea3
Auteur : Patrik  (Carpe diem diemque)            Envoi mini-message
Souvenir d'étudiant

Merci à Sébastien pour la trame générale…




Proposition



Lors de cette lointaine époque, j’étais étudiant (je sais, c’est écrit dans le titre), et je sortais avec Audrey, une fille assez délurée de ma promo. Celle-ci, peu farouche, avait déjà un copain officiel depuis longtemps, mais elle ne détestait pas les petits à côté, dont je faisais partie… Elle et moi, nous nous voyions très régulièrement – hélas souvent en cachette – pour nous envoyer joyeusement en l’air et expérimenter des tas de cochonneries, car le copain officiel était plutôt prude.


Bref, que du bon pour moi : une vraie amante, sans les soucis de la fiancée.


Puis un peu plus tard, j’ai rencontré Blandine, celle qui deviendra quelques années plus tard (sonnez trompettes, battez tambours, jouez hautbois, résonnez musettes…) ma femme. Au début, ce n’était que de l’amitié légèrement flirtouillante (mot de ma création). Comme nous nous entendions très bien, nous nous fréquentions très souvent. J’étais un homme heureux (je le suis toujours), j’avais une vraie amie d’un côté et une amante très hot de l’autre.


Puis un beau jour, j’ai présenté Blandine à Audrey, ou Audrey à Blandine, peu importe. Les deux femmes ont très vite sympathisé, chacune sachant la place qu’occupait l’autre dans ma vie, les choses étant claires et nettes, sans ambiguïté.


Après cette petite présentation, arrivons à présent dans le vif du sujet…


Ce mercredi pluvieux, juste après une série de cours aussi engageants que le temps au-dehors, toute guillerette, Audrey m’annonce :



Audrey réfléchit un court instant puis lance :



Audrey a des solutions pratiques à toute situation, mais souvent ses solutions sont un peu particulières… Amusé par cette solution un peu biscornue, je souris :



En effet, Audrey s’occupe illico de la chose, puis me met peu après au courant de l’arrangement : Blandine vient avec nous, on s’occupe à trois de nos deux mémoires, et ensuite, on passe la soirée à trois pour se détendre. Et si on n’a pas fini, on en remet une couche dimanche matin. Mais pas de sous-entendu libidineux…


Bosser à trois permettra sans doute de faire avancer plus vite les choses. Néanmoins, je fais remarquer à mon amante :



Animée, Audrey tape dans ses mains :



En entendant cette phrase, je proteste :



Je préfère ne rien dire. Mais, c’est vrai qu’au final, Blandine et moi formons comme une sorte de vieux couple non sexuel. Ceci dit, si Blandine me disait oui, je ne dirais pas non. Mais j’ai peur de casser ma belle relation avec elle, si je m’aventurais à lui en demander plus. De surcroît, actuellement, ma partenaire sexuelle, c’est Audrey, et je ne suis pas trop du style à courir deux chattes à la fois. Vaut mieux se consacrer bien à une seule, que mal à deux.


Mais si un jour, ça cassait entre Audrey et moi, en fonction du contexte, je pense que je tenterais ma chance avec Blandine. Certains de mes amis plus ou moins envieux de ma position entre ces deux femmes me demandent de temps à autre :



Et à chaque fois, ça finit en rires et autres réflexions pas toujours très spirituelles.




Association



Comme convenu, le samedi matin, nous partons tous les trois vers la résidence des parents d’Audrey. Le voyage, qui dure un peu plus de cent kilomètres, se passe bien, notre entente à tous les trois étant particulièrement bonne.


Arrivés sur place, une fois nos minces bagages défaits, Audrey file tout de suite dans la salle de bain afin de prendre une douche, sans toutefois fermer la porte à clé. Voyant la chose, avec un petit sourire en coin, Blandine me dit :



Je suis partagé entre envie et gêne. Finalement, c’est l’envie qui gagne. Je rejoins Audrey sous la douche. Tandis que je me frotte à elle voluptueusement, lui capturant à pleines mains ses mignons seins en forme de poire, elle me demande :



Il ne faut pas me le dire deux fois ! Et tant pis si pas loin de nous, Blandine se doute bien de ce qui se passe ici. Sans préambule, je glisse ma queue entre les cuisses ruisselantes de mon amante tandis que j’agrippe plus fermement ses seins qui tiennent si bien dans mes mains. Sans vergogne, Audrey frotte ses lèvres intimes le long de ma tige bien raide, ses mains capturant mes fesses, telle une invitation à venir plus loin, plus profondément.


Je ne me fais pas prier et l’instant d’après, après quelques légères contorsions, mon gland s’enfonce dans une chatte qui n’attendait que ça. Je reste quelques instants ainsi, juste au bord avant de plonger nettement plus loin en elle.



Telles des bêtes, sous l’eau chaude, nous déchaînons, moi la pistonnant allègrement, et elle tendant ses fesses pour mieux m’accueillir pour que je sois bien au fond, la remplissant de ma queue en folie. Délaissant un sein, ma main masturbe un clitoris en feu. Quelques agaceries avec mes doigts souillés de cyprine et d’eau, et il ne nous faut pas bien longtemps pour jouir tous les deux, presque synchrones. J’adore me vider en elle, la remplir, sentir ses spasmes sur ma queue empalée en elle, c’est divin !


Hélas, il faut se dessouder, se dévisser. Néanmoins, j’ai la grande satisfaction de voir mon sperme maculer ses cuisses, la gravité faisant son effet, même sous une douche ! Audrey comprend vite :



J’ai presque réussi à l’étonner. Ses yeux largement ouverts, elle siffle dans ses dents :



Elle ne répond pas, mais son regard est éloquent.


Nous nous séchons rapidement, ce qui ne m’empêche pas de la caresser et de l’embrasser. Puis une fois habillés, nous sortons ensemble de la salle de bain. Le petit sourire en coin de Blandine nous fait comprendre qu’elle a parfaitement deviné ce qui a pu se passer.



Je choisis d’ignorer l’allusion :



Depuis maintenant presque trois heures, nous bossons à fond sur notre sujet commun, et je m’aperçois que nous avançons très vite, chacun d’entre nous rebondissant sur les propositions des autres. Parfois, de temps à autre, je m’isole avec Audrey pour lui faire son affaire en quatrième vitesse, elle adore ça, et moi aussi. Actuellement, je suis en train de la tringler joyeusement dans la buanderie.



Ceci étant, malgré nos coupures intempestives, à mon grand étonnement, nous réussissons l’exploit de tout boucler avant l’arrivée du soir. Maintenant, il ne nous restera plus qu’à mettre tout ça au propre, à mieux les présenter, à insérer quelques schémas, et nos deux mémoires seront finis ! Oui, ça valait le coup de le faire ensemble, à trois, ici au calme, loin de chez nous.


Après l’effort, le réconfort ! La soirée se déroule très bien, nous fêtons comme il se doit nos mémoires presque achevés, puis la fatigue survenant, il est temps pour nous tous d’aller se coucher. Impérative, Audrey annonce la couleur :



Entendant mon annonce, vautrée sur le canapé, Blandine rit :



Audrey pose son poing sous son menton :



Blandine ne proteste pas, elle semble assez fatiguée, elle aussi, et elle n’a sans doute pas trop envie de discuter. Nous nous changeons, les filles mettent un long T-shirt qui descend à mi-cuisses, avec sans doute, une petite culotte par-dessous. Quant à moi, j’ai fait presque pareil, sauf que mon haut ne descend pas aussi bas et révèle assez bien mon caleçon. Encore heureux que je ne bande pas !


Tout le monde se couche. Je me place au milieu du lit, une fille de chaque côté. Nous discutons quelques instants, puis la lumière s’éteint.



Blandine s’écarte un peu de moi pour éviter de me toucher. Par contre, me tournant le dos, Audrey n’hésite pas à coller son mignon cul contre moi. Je reste stoïque, même si une certaine partie de mon anatomie est plutôt réveillée et en pleine forme…




Révolution



À peine cinq minutes plus tard, je sens qu’Audrey enlève sa petite culotte, je peux m’attendre au pire, venant de sa part. Mais curieusement, rien ne vient. Peu après, c’est avec une certaine surprise que je comprends que Blandine vient de faire la même chose. Intrigué, je ne bouge pas, je reste immobile, comme une statue de marbre, même si mon sexe indique que je ne suis pas froid comme cette matière.


Peut-être que Blandine n’est pas habituée à dormir habillée, ou tout au moins, avec une petite culotte. Par contre, les rares fois où j’ai pu dormir avec Audrey, elle était nue (ou en lingerie érotique) et très affamée de sexe ! Et donc pas très disposée à vraiment dormir…


Une première main s’invite sur mon caleçon, celle d’Audrey. Je ne suis pas très étonné de son audace, sachant que Blandine est censée dormir juste à côté. Cette main taquine s’amuse à caresser délicatement ma verge par-dessus le tissu, ce qui n’aide pas à calmer mes ardeurs ! J’essaye de rester stoïque, bien que j’aie une folle envie de me jeter sur Audrey ! Cette petite garce n’en perd pas une pour m’exciter à fond ou me mettre dans des situations inconfortables !


Soudain, à ma grande surprise, une autre main venue de l’autre côté vient toucher mon sexe et se télescoper avec les doigts de Audrey. Je n’y crois pas ! Blandine ? Alors que je me demande quoi faire, la voix de Audrey résonne, narquoise :



Je ne bouge toujours pas. Ce sont à présent deux mains qui me caressent délicatement, qui me frôlent, qui flattent ma bite bien dure. C’est Blandine qui ose s’aventurer la première sous mon caleçon en longeant ma cuisse. À nouveau, la voix mutine d’Audrey résonne :



Bonne âme, je propose :



En un rien de temps, mon caleçon est ôté. À présent, la couverture est à nos pieds. Dans la pénombre de la chambre, ma verge ressemble à une tour de Pise dans le crépuscule. Blandine s’exclame :



La réponse de Blandine fuse aussitôt, spontanée :



Puis sans transition, elles se mettent toutes les deux à me lécher, et à me sucer, alternativement. Un vrai régal ! C’est la première fois que deux femmes s’occupent de moi ainsi, et c’est terriblement excitant ! Et je comprends que, quand on goûte à ce genre de chose une fois, on peut en devenir vite accro… très vite…


N’empêche que je suis étonné du fait que Blandine soit de la partie, et que l’entente des deux femmes se prolonge sous la couette jusqu’à partager le même homme. Mais je ne vais pas me plaindre, deux femmes pour moi, c’est la première fois que ça m’arrive, et c’est peut-être aussi la dernière fois !


Pour l’instant, je contemple ces deux femmes en train de me faire une bonne gâterie, tout en essayant tant bien que mal de me contrôler un maximum, car il serait idiot que je craque trop vite, car je suis en train de vivre le fantasme de la quasi-totalité des hommes, et je sais aussi qu’un certain nombre de personnes n’y auront jamais droit dans leur vie.


Tandis que Blandine me suce suavement, avec application, Audrey fait remarquer :



Mon amante en titre s’approche de Blandine, lui faisant un petit geste de la main pour lui indiquer muettement : laisse-moi la place. Blandine s’exécute après une dernière léchouille. Audrey prend fermement mon sexe en main, et s’adresse à sa coéquipière :



Et sans hésiter, elle s’empare de ma bite pour l’avaler petit à petit. Avec un intérêt certain, je regarde ma queue disparaître dans sa bouche. Blandine semble encore plus impressionnée que moi. Mon gland râpe au fond de sa gorge, elle change son angle d’attaque, je sens alors que mon bout s’engage dans un endroit plus étroit. Ce n’est pas la première fois qu’elle m’offre une gorge profonde, mais ça m’intrigue toujours autant, tout en m’excitant à fond. On se sent vraiment avalé quand c’est comme ça ! Et puissant à la fois !


Je coulisse faiblement, le temps d’être certain que tout se passe bien, car je sais que ce n’est pas évident pour celle qui m’avale de la sorte. Puis j’accélère petit à petit, je me sens bien, fort, conquérant. Puis Audrey tapote ma cuisse, il est temps que je me retire. Ce que je fais aussitôt. Elle reprend son souffle puis finit par dire à Blandine :



J’interviens dans la conversation en lançant :



Puis aussitôt, par surprise, je pousse Blandine dans le lit, puis j’écarte d’autorité ses jambes pour venir y nicher ma tête. Aussitôt arrivé à bonne destination, je commence un long et savoureux cunni. J’aime beaucoup son odeur et son goût. Ma dégustée apprécie les virevoltes de la langue en elle, et me le fait savoir sans détour :



Du coin de l’œil, je vois bien qu’Audrey est un peu étonnée que Blandine se manifeste ainsi. Je constate avec plaisir que sa cyprine est délicieuse, j’en mangerais bien tous les jours, elle est un peu plus sucrée que celle de mon amante.



Puis elle pousse un long gémissement qui ne laisse aucun doute sur la jouissance qui s’empare d’elle. Ses spasmes sont violents, elle manque même d’écraser ma tête entre ses cuisses ! Puis petit à petit, elle s’apaise, et je peux me dégager tout en donnant un dernier coup de langue vicieux qui la fait vibrer de partout !


Tandis qu’elle se repose, je m’occupe d’Audrey. Oui, il y a une différence de goût, mais peu importe, du moment que mes deux femmes jouissent ! Et j’arrive à mes fins rapidement avec mon amante qui est attisée depuis tout à l’heure ! Audrey décolle vers le septième ciel dans une déflagration de gestes et de cris !


Récupérant un peu, tandis que mon amante s’apaise petit à petit, je m’allonge à nouveau sur le dos, les bras en croix, mon sexe toujours bien dressé, ce qui semble donner des idées à mon autre partenaire.


Avidement, Blandine se jette sur moi afin de me chevaucher. Elle s’empale sans complexe sur ma queue, l’absorbant complètement ! Voir osciller cette belle paire de seins sous mon nez est franchement un spectacle fabuleux. Deux seins plutôt volumineux, je dois le reconnaître, j’aimerais croquer dedans ! Ceux d’Audrey sont plus petits, en poire et très arrogants, et ceux-ci ne sont pas loin de moi, de quoi hésiter, tel l’âne de Buridan entre son picotin d’avoine et son seau d’eau…



Je capture les seins lourds qui ballottent tels deux gros fruits mûrs sous mes yeux. Elle gémit. Je les malaxe pour bien en sentir la lourdeur, la chair, la mollesse. J’adore sentir leurs masses entre mes doigts ! J’adore sentir ma queue en elle, son vagin chaud et humide autour de ma bite ! Quand je pense que j’ai loupé pareilles sensations durant des mois à la côtoyer comme amie ! Franchement, je me mettrais bien des baffes !


Tour à tour, les deux femmes ont alterné sur ma bite, gémissant, couinant, bien empalées dessus. La plupart du temps, je resté allongé sur le dos. Ce sont elles qui ont fait le spectacle, si je puis le dire ainsi. Afin d’assouvir un fantasme, je leur ai demandé de s’embrasser, ce qu’elles ont fait sans réticence, puis de se caresser mutuellement les seins, et j’ai bien compris qu’elles adoraient ça.


Tandis que je pénètre Audrey, j’ai la surprise de sentir sur mes couilles la langue de Blandine ! Décidément, je me suis bien leurré sur les capacités de mon comparse en amitié. Et avec Audrey empalée sur ma bite et cette langue agile en train de me lécher, j’étais au bord de l’explosion !


Heureusement pour moi, Audrey en jouissant comme une petite folle a interrompu le jeu de langue de Blandine. J’ai failli soupirer de soulagement !


Mais mon répit fut de courte durée, car elles se sont mises dans l’idée de me sucer à nouveau afin de lécher la cyprine qu’elles avaient laissée sur ma queue ! Quelles vicieuses, ces deux-là. Quelque chose me dit qu’elles s’émulent l’une l’autre, et ce, pour mon plus grand plaisir.


Au bout d’un certain temps, tandis que Blandine me suce avec ardeur, je relâche le sein d’Audrey que je suçais avidement afin de prévenir :



Avec ses seins arrogants sous mon nez, dont l’un luisant de salive, Audrey, qui mate sa comparse en train de me faire une belle fellation, me demande faussement innocemment :



Je précise mon exigence, mon fantasme :



C’est alors que Blandine ôte ma queue de sa bouche pour dire simplement :



Puis elle enrobe à nouveau ma bite pour continuer sa succulente sucette. Alors, n’y tenant plus, j’éjacule abondamment entre ces lèvres si habiles, un premier et long jet envahit la bouche chaude et humide de Blandine, suivi très vite de bien d’autres, comme si je me vidais de je ne sais combien d’années d’abstinence !


Après m’être vidangé complètement dans cette bonne bouche, j’ai sombré dans une petite mort que quelques minutes, puis vaillamment, je suis reparti à l’attaque, afin de contenter au mieux, en long, en large et surtout en travers, ces deux petites salopes si excitantes et bandantes !


Puis, nous avons recommencé un peu plus tard dans la nuit, et aussi au petit matin, au réveil. Avec ardeur, bien sûr ! Je n’aurais jamais cru savoir tenir autant la forme, et surtout rebander aussi vite après chaque éjaculation. L’excitation d’avoir deux belles chaudasses rien que pour moi, sans doute…


Alors que nous déjeunons nus, tous les trois, afin de reprendre des forces, Audrey aux seins toujours en poire demande à Blandine aux seins toujours en melon :



Songeuse, elle repose sa tartine pleine de confiture :



Audrey s’esclaffe :



Mi-figue, mi-raisin, Blandine demande :



Intrigué, c’est moi qui questionne :



Audrey pose sa main sur la mienne :



Blandine ricane :



Prise de court par cette affirmation très impudique, Blandine pique un fard, et moi, je me demande jusqu’où tout ceci nous mènera…




Émancipation



Oui, je me souviens de tout… Comme nous avions adoré tous les trois, et pas qu’un peu, nous avons tout naturellement recommencé par la suite… Je suppose que ça n’étonne personne, n’est-ce pas ?


La fois suivante, toujours dans la résidence secondaire des parents de Audrey, à ma demande, les deux femmes prennent leur douche ensemble, tandis que je les mate avidement sur le seuil de la porte. Ruisselantes d’eau, elles se font plein de privautés, d’agaceries, de minauderies perverses, bien plus que je n’aurais osé l’espérer. J’ai failli éjaculer sur place ! Quant à la suite, elle fut aussi très moite et ardente !


La fois d’après, elles ont commencé d’entrée de jeu un voluptueux soixante-neuf, se donnant du plaisir mutuellement. Devant le spectacle magnifique de deux corps féminins entrevauchés, je n’ai pas su résister ! Mettez-vous un peu à ma place ! De ce fait, ma queue bien raide est passée de la bouche de l’une dans la chatte de l’autre, avec divers allers-retours bien dégoulinants, et pour chacune d’entre elles, sans faire de jalouse !


Oui, il faudra que je raconte un jour, en détail, ces fois suivantes, toutes les fois suivantes ; elles furent épiques, largement épiques et épicées !


Hélas, alors que notre relation à trois fonctionnait à merveille, Audrey est décédée moins d’un an plus tard dans un accident de voiture tandis qu’elle allait voir de la famille. Ce jour-là, j’ai franchement eu l’impression qu’on m’arrachait les tripes. Blandine et moi, nous nous sommes consolés entre nous. Par la suite, quelques années après, nous nous sommes vraiment ouverts au libertinage, mais jamais, nous n’avons pu retrouver la même complicité qu’avec Audrey. Même si nous avons néanmoins vécu de belles choses, je songe notamment au couple formé par Laurence et Pierre. D’ailleurs, nous batifolons souvent avec eux.


Mais Audrey, Blandine et moi, nous formions le trio idéal, et je me souviens avec attendrissement de cette époque bénie, et aussi de cette toute première fois. Et des autres aussi…


Avec le recul, mon plus grand regret est de ne pas avoir pris de photo et de devoir me contenter de ma mémoire. Mais certains jours, quand je regarde Blandine, ma chère femme, il n’est pas rare que je me souvienne, presque trente ans plus tard, du moindre détail…


Et elle aussi, je suppose…