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n° 18441Fiche technique26088 caractères26088
Temps de lecture estimé : 15 mn
30/06/18
Résumé:  J'étais juste sur le point de faire un truc que je n'avais jamais fait de ma vie : baiser trois superbes filles en même temps...
Critères:  fffh inconnu vacances voiture intermast fellation
Auteur : PapaTangoCharlie
Filles de rêve

Je ne sais pas comment j’ai pu me retrouver sur cette route déserte ni depuis combien de temps je marche, mais mon sac à dos commence à me peser. Qu’importe ! Il fait un temps superbe et le soleil au zénith inonde ce paysage infini de champs de blé. Un vent chaud caresse mes jambes nues et vient se glisser sous ma chemise ouverte, me procurant un bien-être sans pareil. La vie est belle !


Trois voitures seulement sont passées depuis que je marche, mais aucune ne s’est arrêtée. Maintenant, je commence à fatiguer un peu et j’aimerais bien me reposer dans le siège cuir d’une superbe berline… Non, là je rêve. Les bourgeois ne prennent pas les auto-stoppeurs. Mais je m’en moque, la moindre Twingo, même déglinguée, ferait l’affaire. Pourvu que je me repose et que j’arrive ce soir au bord de la mer.


Tout à coup, je perçois le bruit d’un moteur venant derrière moi. Enfin !… Ça doit faire une demi-heure que je n’ai croisé âme qui vive. La voiture est encore loin mais se rapproche à vive allure et je me dis que celui-là est bien trop pressé pour s’arrêter. Sans conviction, je tends mon pouce à tout hasard, sans même me retourner. J’entends alors un grand coup de freins accompagné de crissements de pneus et, à ma grande surprise, la voiture s’arrête à ma hauteur. Et ce n’est pas une Twingo déglinguée, mais une confortable berline blanche de marque allemande. La vitre côté passager descend et m’apparaît un joli visage féminin dont les longs cheveux blonds jouent dans le vent.



Ce tutoiement spontané me surprend beaucoup, mais je feins de ne pas y prêter attention.



Je ne me fais pas prier ; je jette mon sac où il m’a été indiqué et je m’installe sur la banquette arrière. À côté de moi est assise une autre jeune femme, également aux longs cheveux, mais brune celle-là, tout aussi jeune et jolie que la passagère. Au volant, une blonde aux cheveux courts, dont je croise le regard dans le rétroviseur sans pouvoir vraiment lui donner d’âge.



Je reste étonné de ce tutoiement désinvolte et insistant que mon éducation aurait tendance à réprouver. Il va pourtant bien falloir que je me mette au diapason. Je leur raconte donc mon histoire, que je vais passer quinze jours en camping à l’île de Ré et que je fais du stop pour faire des économies, etc., etc.



Puis se retournant vers moi :



Les deux blondes de devant éclatent de rire et approuvent. À la fois amusé et étonné par la désinvolture de ces trois femmes, j’observe discrètement ma voisine de banquette, dont les longs cheveux se soulèvent au gré du vent qui s’engouffre par la glace ouverte. Je ne l’avais pas remarqué tout de suite, mais sa robe, très légère, est négligemment remontée et découvre généreusement de jolies cuisses blanches. Le haut laisse les épaules bien dégagées et montre le début du sillon d’entre ses seins.

Voyant mes regards appuyés, la brune s’adresse à ses copines, sans me quitter des yeux :



Cette surprenante déclaration me met tout à coup mal à l’aise. Au même moment, je vois les yeux de la conductrice m’observer dans le rétroviseur et la blonde de devant se retourner. Toutes les trois m’observent comme si j’étais une bête de cirque. Mais je ne suis pas au bout de mes surprises.



Je la vois alors faire glisser sur son épaule une bretelle de sa robe. Cette dernière, descendant légèrement, dégage partiellement un sein, s’arrêtant juste à la limite du téton. De plus en plus mal à l’aise, je dois être rouge comme une tomate et je reste muet de surprise. La blonde, elle, éclate de rire :



Mon impertinente voisine prend alors ma main et la pose sur son sein à demi découvert. Immédiatement, je sens au bout de mes doigts son téton tout dressé, ce qui me procure un vif trouble réveillant en moi mes plus bas instincts de mâle. Appréciant ce contact, ma brune voisine ferme les yeux et sourit béatement. Je voudrais enlever ma main, tant la situation me gêne, mais une force irrésistible me la maintient dans le doux écrin de son décolleté. M’enhardissant enfin, je pars en exploration et ma main glisse un peu plus loin sous ce décolleté. Au même moment, je sens mon sexe se dresser dans mon short. Dans une minute, il y sera certainement trop à l’étroit.


La dénommée Juju apprécie ma caresse et me le fait savoir. Elle se laisse glisser sur son siège tout en renversant sa tête en arrière. Dans ce mouvement, sa robe remonte encore et je ne tarde pas à apercevoir un petit string noir.



Alors, la tête toujours en arrière et sans ouvrir les yeux, elle plaque soudain sa main sur mon short en agrippant la bosse provoquée par mon sexe déjà bien dur.



Ce contact brutal fait subitement monter mon excitation et une furieuse envie d’aller plus loin me fait oublier toute gêne. Tandis que ma main continue à caresser sa poitrine, je glisse l’autre entre ses cuisses. Et là, je la sens vraiment perdre pied.



Puis soudain elle se relève d’un bond et s’attaque à ma ceinture. Il ne lui faut pas plus de quinze secondes pour écarter les deux pans de ma chemise, ouvrir mon short, tirer mon boxer et en sortir ma verge, à ce moment-là dans sa meilleure forme. Aussitôt elle se met à me masturber violemment, me procurant des sensations inouïes. Je ferme les yeux à mon tour afin de mieux goûter au plaisir de me faire tripoter par cette jolie brune, qui décidément n’a pas froid aux yeux. C’est l’extase !


Puis soudain la masturbation cesse. Je reste les yeux fermés, tentant de reprendre mes esprits. Mais je n’en ai pas le temps. Je perçois bientôt la caresse de ses longs cheveux glissant sur mon bas-ventre, puis je sens mon sexe tout à coup enrobé de quelque chose de chaud et de mouillé. Enfin, le bout décalotté de ma verge est bientôt parcouru en tous sens par une langue fébrile et agile. Cette fille que je ne connaissais pas il y a seulement un quart d’heure est maintenant en train de me faire une pipe royale !… Quel pied ! Mon souffle se fait court à mon tour et je ne tarde pas à émettre des râles de plaisir.



Il ne me faut pas longtemps pour être au bord de l’apoplexie. Je supplie alors ma suceuse aux longs cheveux bruns d’arrêter sous peine de tout lâcher dans l’instant. Elle se relève… Ouf !



Je ne parviens même pas à lui répondre tant je me sens encore dans un état cataleptique.

À cet instant, la voiture freine brusquement et la conductrice se gare précipitamment sur le bas-côté.



Sans répondre, l’autre sort immédiatement de la voiture, comme poussée par un besoin pressant, puis elle ouvre la portière arrière.



Sans bien comprendre ce qui arrive, ma voisine sort docilement de la voiture, laissant la place à la conductrice, laquelle s’installe sans attendre à mes côtés en refermant la portière. Je découvre enfin son visage, dont je n’avais vu que les beaux yeux dans le rétroviseur. Cette blonde me paraît un peu plus âgée que les autres, peut-être a-t-elle la quarantaine, mais je la trouve tout aussi ravissante que ses copines. Elle est vêtue d’une minijupe noire et d’un tee-shirt clair sous lequel se dessine une poitrine avantageuse. Elle plante son regard dans le mieux et me dit :



Alors que Juju redémarre la voiture, ma nouvelle voisine saisit le bas de son tee-shirt et le relève complètement avant de l’enlever. J’en ai le regard exorbité : elle m’exhibe sa jolie poitrine nue et je constate que ses tétons sont déjà tout dressés, preuve de son état d’excitation avancé. Ses seins alertes, bien dressés, sont pour moi une véritable provocation et je tends la main pour les toucher, mais elle ne m’en laisse pas le temps. Se cabrant sur son siège, elle relève sa minijupe, saisit le joli petit string rouge qui était caché dessous et le fait glisser le long de ses jambes, puis elle me le tend :



Médusé par cette impudeur, mais aussi très troublé, je porte le délicat objet à mes narines. Il est tout humide et il en émane cette fragrance musquée que je reconnais bien : ce parfum de femme déjà dévorée de désir.

Je me penche vers elle et lui embrasse les tétons tout en glissant une main entre ses cuisses. Je sens tout de suite la sienne empoigner énergiquement ma verge, toujours à l’air libre depuis mes ébats avec Juju. Alors ma progression sous sa minijupe accélère et bientôt mes doigts se trouvent en contact avec son intimité, chaude et trempée.

Sa réponse ?… Elle commence à me masturber. D’abord lentement, puis de plus en plus vite.


Ma réponse ?… J’introduis mon index et mon majeur ensemble dans son vagin. Simulant la surprise, elle pousse un petit cri, puis un râle de plaisir et accélère la masturbation de ma verge.

La voiture, maintenant conduite par Juju, file sur la route. La blonde de devant, en voyeuse impénitente, s’est retournée afin de ne rien manquer de la scène qui se déroule sur la banquette arrière, devenue lieu de débauches. Elle semble fascinée par ma verge.



La conductrice, sans quitter la route des yeux, marque un silence, puis :



Là encore je n’en peux plus et je crie à la dénommée Ann’So, qui me branle comme une folle, d’arrêter tout de suite. Alors, s’adressant à ses copines, elle se moque de moi :



Et comme je continue à faire jouer mes doigts en elle, elle continue :



Mais elle ne peut terminer sa phrase. Tout en continuant à la doigter avec vigueur, mon pouce est soudain entré en contact avec son petit bouton, ce qui lui arrache un cri terrible.



Je me sens maintenant parfaitement à mon aise au milieu de ces trois petites allumeuses, ces salopes qui semblent en vouloir toujours plus. En fait, non… je ne crois pas que ce soient des salopes, mais simplement des femmes qui ont envie de passer un bon moment avec le jeune et beau mec que je suis.

En tout cas, j’ai oublié toute timidité, toute retenue, et maintenant le tutoiement est de rigueur pour moi aussi. Tout en continuant à doigter ma voisine, je m’adresse à la blonde voyeuse de devant :



Mais voilà qu’Ann’So, ne pouvant plus supporter mon doigté, se venge en reprenant une énergique masturbation.

Puis, soudain, la voyeuse crie à la conductrice :



Enfin la voiture s’arrête. Immédiatement la blonde se rue à l’extérieur, fait le tour de la voiture et ouvre la portière arrière :



Après qu’Ann’So se soit installée à l’avant, en passagère, Juju redémarre la voiture.

Je peux enfin mieux voir la blonde aux longs cheveux… Vraiment très mignonne elle aussi ! Elle est vêtue d’une courte robe blanche, légère et si décolletée qu’on devine qu’elle ne porte pas de soutien-gorge. À peine installée, à l’instar d’Ann’So elle enlève son petit string et me le tend.



Comme pour Ann’So, je porte le précieux vêtement à mes narines et m’enivre de son parfum de fille brûlante de désir.



Elle avait complètement remonté sa petite robe et m’exhibait son pubis presque totalement rasé, présentant des lèvres intimes très accueillantes. Je ne la fais pas attendre et introduis simultanément mon index et mon majeur dans ce nouveau temple d’amour. Le deuxième que je visite en moins de dix minutes.


Mais ma victime ne reste pas inactive non plus : saisissant ma verge, elle m’impose elle aussi une masturbation au rythme soutenu. Cette blonde à la longue crinière me paraît plus sensuelle encore que ses deux copines. Peut-être a-t-elle été très excitée par nos précédents ébats ? Je sens en tout cas qu’elle en veut vraiment et je suis prêt à lui en donner, mais je crains que ma bite ne tienne pas le choc.



La blonde lâchant prise, je peux me concentrer sur ma pénétration digitale. Sans ménagement, je m’enfonce un peu plus en elle tout en accélérant le mouvement de mes doigts. Elle crie son plaisir. Puis, sortant enfin mes doigts de son temple d’amour, je m’applique à lui masturber le clitoris avec mon index. Elle réagit immédiatement par de nouveaux cris de plaisir. J’accélère alors frénétiquement le mouvement, et là je la sens partir littéralement. Elle ne crie plus, mais elle hurle sa jouissance. J’en suis certain à ce moment, elle atteint un orgasme fulgurant… Alors je continue jusqu’à ce qu’elle me demande grâce. Ce qu’elle ne tarde pas à faire.


Après avoir retiré mes doigts, elle se calme enfin, haletante comme un coureur après un cent mètres. Je n’avais jamais vu une femme se tordre de plaisir à ce point. Ses copines s’en amusent :



La dénommée Læti ne répond pas, encore trop sonnée par ce que je viens de lui faire subir. Enfin elle rouvre les yeux et se tourne vers moi :



Elle reprend alors sa masturbation, mais cette fois avec une violence inouïe. Je suis déjà dans un tel état que si elle continue à ce rythme je ne tiendrai pas une minute de plus. Je la supplie d’arrêter, mais trop aveuglée par la volonté de me faire subir le pire, elle est sourde à mes supplications. Ce sont ses copines qui réagissent :



Læti lâche enfin prise.



La voiture s’était en effet engagée dans une forêt dense où de nombreux chemins partaient de la route, à droite et à gauche, pour s’enfoncer sous la voûte de grands arbres. Juju ralentit la voiture pour prendre un chemin sur la droite. Elle parcourt deux cents mètres sur un sol irrégulier, et après un coude du chemin elle stoppe et arrête le moteur.


Alors, les portières de la voiture s’ouvrent toutes en même temps et les trois femmes, comme une volée de moineaux, en sortent si promptement qu’on les y aurait dit enfermées depuis des heures. Je sors également en rajustant mon short, mais bien inutilement car ces trois furies se ruent sur moi. L’une m’arrache littéralement la chemise tandis que les deux autres tirent mon short et mon boxer. En moins de trente secondes, je me retrouve complètement nu. La blonde Læti se colle alors à moi et m’embrasse tout en se frottant à ma bite, maintenant dure comme du bois. Au même moment, je sens des mains me caresser le dos, glisser entre mes cuisses et l’une d’elles m’agrippe même les testicules.



Sa robe est si légère qu’il ne me faut pas beaucoup de temps pour la satisfaire. Une fois nue, elle se colle à nouveau à moi pour mieux se frotter. Mais ses copines ne la laissent pas faire.



Maintenant c’est Juju qui se colle à moi :



La robe de Juju n’est pas plus difficile à ôter que celle de sa copine. Elle glisse le long de son corps pour finir sur un tas de feuilles mortes.



C’est vrai qu’elle ne l’avait pas enlevé. Je m’accroupis face à elle et tire sur la frêle lingerie, si petite qu’elle dissimulait très mal sa féminité. Son pubis totalement rasé me fascine. Je le touche du bout du doigt mais elle me relève, se suspend à mon cou et frotte son bas-ventre contre ma verge toujours bandée. Enfin ses lèvres se collent aux miennes et je sens sa langue envahir mon palais. La belle est aussi gourmande qu’elle est sensuelle !

Mais maintenant c’est Ann’So qui s’impatiente. Juju lui laisse la place et aussitôt la nouvelle venue colle ses seins nus contre mon poitrail velu. Elle dépose un baiser sur mes lèvres et me dit :



Pour toute réponse, elle se contente de me sourire, me fait un clin d’œil et se tortille contre moi comme une chatte lascive. Une simple petite fermeture Éclair à tirer et la jupe se retrouve par terre elle aussi. C’est la première fois que j’ôte deux robes et une jupe en moins de trois minutes ! Nous voilà maintenant tout les quatre nus, et pendant qu’Ann’So se colle à moi, je sens des choses derrière moi. Des seins se collent à mon dos, des mains glissent entre mes cuisses. Résultat, je bande toujours comme un étalon.



Ann’So s’étant décollée de moi, nous sommes maintenant quatre corps nus debout et en rond. Trois paires d’yeux gourmands lorgnent ma bite avec envie. Juju s’adresse à moi :



Tout le monde approuve.


En tenue d’Adam et sous les yeux amusés de mes admiratrices, je vais donc cueillir trois brins inégaux, les aligne dans ma main et les leur présente. Chacune en tire un et compare avec celui des copines. Et c’est Ann’So qui tire le plus long.



Sans attendre une seconde de plus, elle saisit ma verge et m’attire vers la voiture.



Alors, me tournant le dos, elle prend appui sur le capot de la voiture, me présentant son superbe postérieur et écarte bien les jambes.



L’invitation est sans ambiguïté. Je m’approche d’elle, saisis dans mes mains ses deux fesses bien rondes et présente ma verge juste à l’entrée de sa grotte d’amour, prêt à m’enfoncer en elle d’un seul coup. Maintenant à deux doigts du nirvana, je me sens tout fébrile. Depuis le temps que ces trois jolies dévergondées ne cessent de m’exciter, je n’en peux plus…


***




Je rouvre péniblement les yeux et aperçois ma femme debout au-dessus de moi, avec son habituel air revêche, son éternel tablier à petites fleurs et ses cheveux grisonnants en bataille. Dur retour à la réalité !



Bon Dieu, je m’étais bel et bien endormi ! Juste après manger, je m’étais étendu à l’ombre d’un arbre, et la douce chaleur de l’été a fait le reste… et ce rêve que j’ai fait ! Quelle aventure !



Elle s’éloigne sans cesser de gueuler tandis que moi je referme les yeux et j’essaye de revivre ce rêve que ma vache de femme a brisé ! Ah, si je pouvais le reprendre là où il a été interrompu… J’étais juste sur le point de faire un truc que je n’avais jamais fait de ma vie : baiser trois superbes filles en même temps. Et quelles filles… des filles de rêve !