n° 18443 | Fiche technique | 9930 caractères | 9930Temps de lecture estimé : 6 mn | 05/07/18 |
Résumé: Un jeune homme se résout à séduire le mari de sa nouvelle maîtresse. | ||||
Critères: fh hh hbi ascenseur hsoumis hdomine fellation | ||||
Auteur : Toma |
Hector avait débarqué à Lyon pour la poursuite de ses études et, après quelques recherches, il avait trouvé un studio au loyer abordable, dans un immeuble un peu vieillot, mais pas très éloigné de son école d’ingénieurs. Quelque temps après avoir débarqué dans l’immeuble, sur leur palier commun, il avait rencontré Irène, une trentenaire qu’il avait trouvée d’une beauté fort appétissante… (elle ressemblait à sa tante Albane, sur laquelle il avait tant fantasmé…).
Mais la belle était mariée, mal ou bien mariée, mais mariée. Il se résolut donc à lui faire la cour d’abord discrètement, puis plus explicitement, usant de ses yeux, puis de ses mains, dont il usa habilement pour lui caresser les bras, sous prétexte de l’aider à porter ses courses, puis la taille, légèrement, pour la soutenir dans son effort. Un jour, dans l’ascenseur, il s’enhardit à la prendre par la taille et à la serrer contre lui ; un peu surpris, il fut réjoui d’emporter l’enthousiaste consentement d’Irène (enfin !), qu’elle lui signifia, sur leur palier, par un long baiser, appuyé, son corps soudé à celui du jeune homme, suivi d’une invitation à entrer chez elle.
En la déshabillant, il s’aperçut vite que son corps, ferme et mince, pas encore déformé par les maternités, était en parfaite harmonie avec le sien, musclé (le sport…). Plus tard, pendant qu’ils faisaient l’amour, elle lui demanda :
Elle était assise sur lui, empalée sur son sexe, et lui imposait son rythme. Accroupie sur le jeune homme, ses genoux à la hauteur de sa poitrine, ses mains sur les épaules de son amant, elle entretenait un va-et-vient aussi régulier qu’une houle de grande marée. Elle gardait les yeux fermés, la bouche entrouverte, tout en dodelinant doucement de la tête. Son sexe coulissait sur celui de l’homme avec gourmandise. Par intermittence, Hector pouvait voir le petit buisson noir, bien taillé, de son entrejambe.
Il s’efforçait de rester immobile, se contentant d’accompagner les mouvements de son Andromaque à lui, en lui soutenant les fesses, qu’il pétrissait avec appétit. Il sentait son membre avalé par la tiède moiteur, incroyablement douce, du ventre de sa maîtresse. Il voulait contrôler, dominer sa jouissance, mais elle vit arriver son plaisir aux mouvements de ses yeux. Alors, en cavalière maîtresse de son étalon, elle décida leur commune entrée dans le plaisir. Sa vulve se fit plus pressante autour du membre enfoncé en elle, et elle passa du trot au galop.
Des vagues, parties des abîmes de son ventre, se réunirent pour déferler en elle. Les yeux clos, elle s’abandonna à la tempête orgasmique, remuant sa tête de droite à gauche, de gauche à droite, emportée par une bruyante extase, pendant que son jeune amant répandait son sperme dans son ventre et ses cris dans la pénombre de la pièce.
Après l’amour, il était resté allongé à côté d’elle, l’avait caressée avec douceur. Pensif, il se rendait compte qu’Irène s’était emparée de lui, de son corps, et qu’il ne pourrait pas vivre sans cette femme, sans ce corps qui l’ensorcelait. Mais comment échapper à la jalousie de Gérard, le mari, et surtout, à ses armes ? Après un très bref repos, ils refirent l’amour, puis se séparèrent, confiant l’avenir de leur aventure aux aléas de la vie, sur un « On se revoit quand on se revoit… »
* * *
À quelque temps de là, Hector croisa un homme devant les boîtes aux lettres et découvrit ainsi qui était Gérard. Il se présenta, faussement distrait (il imaginait, douloureusement, la si belle Irène se faisant enculer, certainement sans précautions lubrifiantes, par cet homme, emprunté et fruste). Gérard lui montra la revue Gun Magazine qu’il venait de recevoir et lui parla, avec beaucoup de verve, de sa passion pour les armes à feu. Ils prirent l’ascenseur, jusqu’à leur palier, sans que Gérard interrompît son discours. Prosélyte, il proposa à Hector de lui montrer une belle pièce. Après quelques réticences (était-il au courant de l’infidélité de son épouse ? Ne s’agissait-il pas là d’un prétexte pour le menacer, voire le tuer, sous couvert d’un accident ?). N’ayant pas l’étoffe d’un trompe-la-mort, Hector, émit quelques réticences, mais comme l’autre insistait, il finit par accepter et le suivit dans l’appartement, jusqu’à la chambre conjugale (qu’il avait amplement profanée il y avait peu).
Gérard ouvrit une armoire métallique, et sortit de sa housse une arme longue, élégante et effrayante à la fois, en manipula la culasse et en caressa longuement le canon délicatement, amoureusement…
Hector regarda Gérard passer ses doigts le long du canon, pensa aux doigts d’Irène se promenant sur son membre, dans cette même chambre, sur ce même lit, et fut surpris par une érection involontaire et inattendue. Il regarda différemment la scène et considéra le regard tendre que Gérard posait sur son arme… « Hum, hum… »
Sur une intuition, il décida de jouer son va-tout. Il posa lui aussi sa main sur le canon de l’arme, qu’il caressa lui aussi, puis rapprocha sa main de celle de Gérard, jusqu’à la toucher, l’effleurer, la toucher, et la couvrir de sa paume. Gérard parut surpris, sursauta, posa sur Hector un regard trouble, un regard de chaperon rouge découvrant le loup, mais accepta la caresse, puis la prise de possession de sa main.
Hector, la main emprisonnant celle de Gérard, le fixa droit dans les yeux, affermissant sa domination, puis il poursuivit son avantage, lui saisit le poignet et, l’écartant de l’arme, il appuya la main de son voisin sur sa braguette, gonflée par la nostalgie du con d’Irène. Gérard accepta se soumit et, après une courte hésitation, il caressa timidement la protubérance. Alors Hector, maître de la situation, ouvrit sa braguette, mit son braquemart au clair et le plaça dans la main de Gérard. Celui-ci, abandonnant ses réticences et sa pudeur, se mit à savourer cette brûlante rigidité, encerclant le sexe du jeune homme de ses doigts curieux, qui se firent les éclaireurs de son désir naissant, révélé, pour cette queue offerte, et lui prodiguer les mêmes caresses que celles qu’il adressait quelques instants auparavant à son arme.
Hector décida de transformer l’essai. Il laissa Gérard s’habituer à sa révélation sexuelle puis, d’une main, il lui appuya sur l’épaule jusqu’à ce qu’il s’agenouille et, de l’autre, il lui présenta son sexe devant le visage et lui en taquina ses lèvres timidement entrouvertes. Maladroitement, avec une fougue de novice, Gérard engloutit le sexe d’Hector, et, ne sachant que faire de cette turgescence qui envahissait sa bouche, il le gratifia, involontairement, d’une gorge profonde aussi maladroite qu’inespérée.
Mais Hector avait beaucoup trop apprécié la bouche experte d’Irène, sur ses propres lèvres et autour de son sexe, pour se laisser aller dans celle, inexpérimentée et maladroite (les dents… nom d’une pipe… les dents !) de Gérard. Il voulut retirer sa queue de la bouche de son amant, mais celui-ci, craignant d’être frustré d’une complète initiation, l’agrippa par les fesses pour mieux arrimer le vit de son amant à sa bouche.
« Tant pis, ça sera ça de moins pour le corps d’Irène, mais ça reste dans la famille… » se dit cyniquement Hector en envoyant dans la bouche de Gérard une copieuse giclée de son plaisir.
En entendant Irène entrer dans la maison, ils se séparèrent et recomposèrent leur tenue. Surprise de voir les deux hommes dans la chambre, à côté de l’arme, elle déposa un petit baiser conjugal sur les lèvres mal essuyées de son mari et fut surprise d’y percevoir un goût bizarre, qui ne lui était pas mais pas du tout inconnu… Elle regarda son amant qui, d’un clin d’œil grivois, lui fit entrevoir ce qui s’était passé. Non… c’était impossible… c’était impossible que son époux ait sucé son amant, et pourtant… ce goût était bien le même que celui qu’elle avait savouré quand, de sa langue, elle avait délicatement nettoyé la verge d’Hector après leur séance de baise torride…
Gérard saisit l’arme et la montra à Irène pour justifier leur présence en ce lieu.
Avec un sourire complice, Irène demanda à Hector :