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Temps de lecture estimé : 7 mn
12/07/18
Résumé:  Une journée "exhibition" à la plage.
Critères:  fh plage cérébral voir nudisme massage nopéné conte
Auteur : Lazizanie  (jeune écrivain sénior)      Envoi mini-message
Brendene

Je vous ai déjà parlé de mon amie Sylvie ? Mais si, rappelez-vous.

Une grande fille, longue et fine. Belle et jolie. Pléonasme ? Non ! « Belle » ou « jolie », seuls, ne suffisent pas à dire comment je la regarde. Comment je la vois. Combien je la regarde. Combien je la vois. Des yeux bleus. Un sourire rare et précieux.

Bon, je ne la vois pas souvent. Faut dire que sa vie est bien remplie. Une famille très présente. Un job prenant. À l’écoute des autres. Doit faire preuve de bienveillance et de fermeté. Un caractère bien trempé.

Déshabillée, elle est splendide, éblouissante même. Elle est faite pour le plaisir ! Ça tombe bien, elle aime ça. Elle le fait bien. Si bien que je me pose toujours la même question : « Qu’est-ce qu’elle fout avec moi ? »


Je n’ai pas de réponse. Faut croire que je dois étancher sa soif de plaisir. Oui, ça doit être ça. Ou alors je suis sa récréation. Une respiration. Peut-être aussi un instant de bonheur. Entendre dire d’un garçon qu’elle est belle. Dire et redire. Écrire aussi. Ça doit lui plaire. Vous les filles qui lisez ces lignes, qu’en pensez-vous ?


Enfin quoi, nous nous voyons. Depuis un moment déjà. J’essaie de varier les lieux, les jeux. L’hôtel. Oui, c’est classique. Courant. Vous voulez passer quelques heures avec votre amie ? Pensez à la formule « Day Use ». Vous pourrez trouver de belles chambres. Plus cosy, plus confortables qu’un simple Formule 1. Votre belle appréciera la douceur de la literie, l’ambiance moelleuse, la déco soignée. Et votre cote remontera d’un cran. « Un gentleman », se dira votre élue. Et n’oubliez pas la variété.


Sylvie et moi avons déjà fréquenté les saunas, hammams et jacuzzis. Ceux dans lesquels on peut se retrouver quelques heures dans une ambiance tropicale. Lumière douce, ambiance délicieusement moite.


N’oubliez pas la table de massage. On vous fournira de l’huile de massage. Vous vous serez, au préalable, inspiré des vidéos dans lesquelles un bel éphèbe masse sa belle. On va dire de manière tantrique. Tant que tu as la trique. Oui je sais, mais j’ai eu du mal à résister. Du dos, des épaules, tu passeras à ce joli cul. Tu insisteras un peu, écarteras les cuisses. Mais oui, c’est déjà un peu humide. Allez, passe à l’autre côté. Et ça finit comment ? Comme vous pouvez l’imaginer. Ma belle aime mes doigts. Ma langue aussi. Et je fais durer. Je vois son corps se tordre. J’entends ses halètements, ses cris, ses hurlements, ses injonctions. Ma récompense. Tant mieux si les voisins en profitent.

Privatisables, ces endroits. On s’y retrouve en tête-à-tête. On peut aussi partager avec un, une ou des amis.


Partager un bain à trente degrés. Caresser doucement un entrejambe, sentir une queue raidir entre ses doigts, un joli sein, un ventre en regardant les autres dans le même exercice. Se lever, la bite bien raide, voir une tête s’en approcher, la saisir, la diriger vers la bouche.


J’ai aussi emmené mon amie vers un de ces établissements où les couples se rejoignent, s’échangent. Pas que des couples, d’ailleurs. Des hommes seuls. Qu’on peut butiner sur place, voire lutiner. Elle a aimé. Aussi.


Bien, nous sommes en été. Profitons d’une belle journée pleine de soleil. La mer n’est pas loin. L’eau rafraîchit. Chez nous, on peut dire qu’elle est vivifiante ! Les week-ends, les plages sont envahies. Reste la semaine. Heureusement, nos voisins belges nous ont réservé une bande de sable accessible sans rien. Je veux dire nu. Avec en arrière-plan une dune fréquentée par des zouaves en rut. Prêts à tenter l’impossible et enfin satisfaire leur animalité.


Nous découvrons avec gourmandise cette plage. Regardons les corps nus offerts aux rayons du soleil. Un conseil : emportez de quoi vous sustenter. Sur place, pas de bar, de restauration. Serviette et parasol. Nous sommes venus avec notre glacière. À l’intérieur, rosé frais, bien sûr, une barquette de piémontaise, une autre de taboulé, quelques fruits frais. Et des boissons fraîches. Ça fait un peu touriste, mais nous serons contents d’en profiter. Et serons bien installés ! Tiens, je vois des jaloux. Ils ont vu passer avec un regard condescendant ces touristes provinciaux. Maintenant, ils pensent touristes prévoyants !


L’eau est étonnement chaude pour la mer du Nord. Jouons un peu. Je plonge. Passe entre ses jambes. Si, on voit un peu la fente de la dame. Me suis-je permis une caresse ? Vous ne le saurez pas ici.

J’avais repéré un couple sur un site d’échange qui signale sa présence sur la plage grâce à un parasol de couleur jaune. Il y a bien des parasols de toutes les couleurs, voire multicolores. Mais pas de jaune à l’horizon.

Soit, nous déplions le nôtre. Une grande serviette de plage. Faite pour deux.



Autant demander à un aveugle s’il veut voir ! Ah, voilà. Une huile douce et parfumée. J’étale doucement le liquide brun sur sa peau. Commencer par le dos. En haut. Les épaules, la nuque. Le dos. Enfin, le cul. Inconsciemment, j’y passe plus de temps. Comme si la zone était plus sensible aux rayons de l’astre. Sans oublier les creux, les endroits cachés. J’ai cru sentir une légère humidité. Je me suis mis à califourchon sur ses cuisses. Je sens ma bite qui commence à palpiter. Vais pas pouvoir rester comme ça longtemps. Y’a pas que des obsédés comme vous sur cette plage ! Des familles aussi. Bon, ceux de la dune vous ressemblent. La bite prête à fourrer n’importe quel orifice.


Les mollets. Ne pas oublier les mollets. Et puis si comme moi vous savez masser la voûte plantaire. Sylvie adore. Gémit même. Réflexologie plantaire. Je commence à apprendre. Faites-le, mes beaux amis. Votre compagne ou votre compagnon appréciera. Très. Beaucoup. Vous pourrez avoir une pensée émue pour moi : « Grâce à toi, mon pote, on m’aime encore plus ! »


Un couple s’est installé près de nous. Juste devant. Dans le sens de notre serviette de plage. Comme s’ils voulaient voir nos sexes. Ou alors, c’est fait dans cette intention.

Sylvie se retourne et s’allonge sur le dos. Nos voisins n’ont pas perdu une miette des mouvements de mon amie. Ils ont certainement aimé voir son sexe entrouvert, le balancement des seins. Un instant à genoux, ils ont admiré ce cul que j’aime tant regarder. Et aussi eu une vue imprenable sur le délicat renflement du sexe fendu entre les cuisses.


Tiens, puisqu’ils sont venus pour mater, on va leur en donner. Sylvie est maintenant confortablement installée sur le dos. Je me mets au-dessus d’elle et commence à enduire ses seins. Ma bite est à quelques centimètres de sa bouche. Comme si elle avait deviné mon intention, elle passe quelques coups de langue sur le gland, parfois le prend dans sa bouche. Furtivement. Mais le couple n’en perd pas une miette. Je descends vers son ventre et son sexe. Caresse les renflements jumeaux de la vulve. Passe un doigt sur le petit bout de chair qui dépasse de la fente. Les cuisses et les jambes.


Sylvie est bien huilée. Elle veut parfaire son bronzage. Elle allonge les bras vers le haut, le long de sa tête, de manière à offrir aux rayons l’intérieur des bras et des aisselles. Écarte les cuisses. Le soleil a le droit de caresser tout son corps.

Je la soupçonne de vouloir affoler nos voisins. Elle a bien vu leur manège. Se demande s’ils vont sortir leur portable. Photographier ou filmer. Il semble bien que ses craintes soient justifiées. « Je les laisse faire ou les engueule ? » se dit-elle. Elle a trouvé la parade. Chapeau de paille et lunettes de soleil garantiront un relatif anonymat. On va les laisser reprendre leurs esprits.



Et nous filons vers la mer. Toujours aussi rafraîchissante. Déjeuner pique-nique. En tête-à-tête avec notre glacière. Délicieux et frais. Le son caractéristique du bouchon qui sort du goulot, accompagné du « han » de l’effort du sommelier plagiste fait se retourner bien des têtes. D’envie, bien sûr. Petite sieste, ma chérie ? Oui, digestive. Laissons faire le soleil qui dore généreusement la peau des baigneuses et des baigneurs.


Je suis éveillé. Est-ce que ma compagne l’est aussi ? Je n’en sais rien. Je me hasarde. Une caresse. Pas de réaction. Bien, les lunettes de soleil de la belle ne laissent pas voir les yeux. L’extrémité de mes doigts effleure l’aréole du sein, décrit des circonvolutions autour du nombril. Descend encore un peu. Arrive à la masse charnue de la vulve. La belle émet un soupir à peine perceptible par l’auteur. Une sorte de « Continue… » Une cuisse s’écarte, laissant le passage au doigt. Qui effleure à peine. Oh, ce joli morceau de chair qui dépasse de la fente ! Le doigt, toujours aussi aérien, découvre ces jolies lèvres du plaisir. Mon amie aime. Je le sais. Elle plaque sa main sur mon doigt et appuie avec force. Elle a envie de plaisir. Elle a envie de jouir. Elle a besoin de plaisir et de jouir. J’entends à nouveau ce halètement que je connais bien maintenant. Je sens l’humidité. Soudain ma belle se redresse avec violence et colle son torse sur le mien. Je sens la pointe de ses seins. Comme un remerciement. Comme un compliment. « J’ai joui comme une folle ! » me dira-t-elle plus tard.


Les témoins de la jouissance de Sylvie sont sans voix. Enfin, sans réaction. Ils ont vu. Oublié de filmer. Merde, c’est con, j’aurais bien aimé leur demander de m’envoyer une copie.

Nous aurions pu engager la conversation. Mais non, Sylvie échange avec des femmes jeunes, aime les hommes peu ventrus. Va falloir que je fasse gaffe.

Belle journée, n’est-ce pas ? Qu’en pensez-vous, les ami(e)s ?