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n° 18461Fiche technique7734 caractères7734
Temps de lecture estimé : 6 mn
13/07/18
Résumé:  L'amour, à nu...
Critères:  fh couple amour hdomine voir noculotte facial fellation pénétratio -totalsexe -fsoumisah
Auteur : Lolitilla      
L'amour, toujours l'amour...

Nous sommes debout, en face l’un de l’autre. Je sors de la salle de bain, entièrement nue. Ulrich m’accueille, encore habillé. Il s’approche lentement de moi, sans cesser de contempler mon corps nu, me saisit les épaules de ses belles mains et effleure mes lèvres avec les siennes, légèrement. Avec la pointe de sa langue, il me lèche la bouche, et chaque fois que je tente de m’en emparer, il la retire, jouant avec mon impatience. Il caresse la commissure de mes lèvres, me donnant de brefs coups de langue. Puis il va sur mes paupières, sur mes oreilles, mes narines, les léchant, les pénétrant.


Ses jeux de langue m’excitent tellement que je m’énerve et tente de me détacher de lui, mais il me maintient fermement contre lui. J’ouvre ma bouche, avide, et accueille – enfin ! – sa langue, sa salive, son désir, comme une chatte sauvage qui comprend qu’elle n’a plus d’échappatoire et qui se rend devant le mâle.

C’est la première fois qu’un homme me trouble ainsi.


Il me lâche le cou, après l’avoir mordu comme un loup sa proie, descend ses mains vers mes seins, et commence à les caresser doucement. Ma poitrine devient un champ de bataille pour ses doigts, qui tripotent ma peau comme un sculpteur pétrit la glaise ; il prend mes nichons et les serre, remonte vers les tétons, qu’il pinçote et relâche, encore et encore. Puis il me retourne, parcourt mon dos de ses ongles, grattant ma peau et excitant jusqu’à l’extrême mon système nerveux, concluant son parcours sur mon cul, en s’accrochant à mes fesses et les pinçant avec énergie.


Il s’agenouille, et son visage vient à la hauteur de mon con. Sa main caresse mon intimité, son majeur s’introduit dans ma fente et son pouce commence à me stimuler doucement l’extérieur. Plus tard, sa langue remplace sa main, gobant mon clitoris, avalant ma mouille. Puis sa main s’empare de mes fesses et il introduit un doigt dans mon cul, pour me rapprocher de lui et pouvoir me mordiller le clitoris.


Au moment où je suis sur le point de jouir, il se retire, me laissant au bord de l’orgasme. Je vis un cauchemar, le fruit d’un vrai sadique… Je n’en peux plus, décide de me donner ce qu’il me refuse et rapproche ma main de mon con, pour en terminer avec cette frustration douloureuse. Ulrich écarte ma main, et m’ordonne d’attendre. Il ouvre sa braguette et en sort une bête énorme, belle, généreuse, raide, large, longue, dont la vue me fascine. Il se touche, tout en me fixant. J’adore que les hommes se la touchent devant moi, j’y vois une exhibition de leur virilité, qui n’est destinée qu’à moi seule.



Alors, je m’approche et prends sa queue dans ma main, comme on caresse un chien féroce et commence à jouer avec elle, pour mieux sentir sa raideur moelleuse et douce, sa chair ferme et délicate, son rut. Je m’agenouille devant elle en signe de respect. « J’honore ton corps, j’honore ton corps, ta queue, ta présence, je t’honore, mon homme, mon mâle… » Je la mets dans ma bouche, petit à petit, millimètre après millimètre, interminablement, l’enferme dans ma gorge, l’habillant de ma langue qui s’enroule autour d’elle… Ça y est, elle est entièrement dans ma bouche, je la suce en levant les yeux vers lui, pour lire dans son regard le plaisir que je lui donne. Je veux m’assurer que ma pipe l’excite plus que celles qu’il a déjà connues, en bavant généreusement sur sa queue enfoncée dans ma bouche. Je prends ses couilles dans mes mains et caresse l’intérieur de ses cuisses, la raie de son cul, l’entrée de son anus.


Il serre ma tête contre son ventre et la dirige, en arrière, en avant, en arrière, en avant… Il soumet son instrument au rythme de ma langue, le sort pour que je lui suce le gland, ou que j’en joue comme d’un harmonica. Sa queue envahit mon palais, cogne contre ses parois, j’entends ses halètements, je sens son odeur. Chaque centimètre de la peau de sa bite est couvert de ma salive et, quand il éjacule, sa queue devient encore plus grosse, encore plus dure. Je trouve que son sperme a un goût unique, sans pareil… un goût de bonne pine. Et quand je lui mordille les couilles avec douceur, il ne cille ni ne tremble… Il aime sentir le danger de mes dents sur sa virilité.



Il s’assit sur une chaise, me saisit par un bras, me couche à plat-ventre sur ses genoux et se met à me fesser. Après quelque faibles mouvements de refus, de pure forme, je commence à gémir, de plaisir…



Mais Ulrich ne me tue pas, comme je le lui demande. Il cesse ses coups, me relève de ses genoux, se met debout, me couche tendrement sur le canapé, m’embrasse et se déshabille. Mes yeux se régalent de son corps, de sa chair cuivrée, dure, athlétique, malgré l’âge. Son sexe en érection, robuste, vibrant, qui donne à son corps une touche de perfection, m’électrise. Je l’enserre de mes bras. Mes mains se vautrent sur ses fesses, remontent le long de son dos, le long de ses muscles, le pressant contre moi… Je me rends à peine compte qu’Ulrich m’ouvre les cuisses.



Et il le fait… bien… Ulrich enfonce sa verge entre mes jambes, avec douceur, chaque centimètre après chaque centimètre de bite dure, lubrifiée par la cyprine que mon excitation a sécrétée. Ulrich me pénètre jusqu’au fond de mon vagin. Une fois dedans, bien au fond de mon con, ses reins donnent un coup sec, fort, poussant son ventre contre le mien, comme pour s’assurer qu’il ne reste aucun vide à remplir, à envahir, à enfiler, à pénétrer, m’envoyant un message de prise de possession :



Et il entame la chevauchée de l’étalon sur sa jument nue, ouverte, offerte… Je suis si excitée que je jouis moins de cinq minutes après le début de la cavalcade. Ce salaud avait raison, son sexe s’emboîte dans le mien à la perfection, et le frottement de son ventre sur mon clitoris a multiplié mon plaisir…


Après les derniers soupirs de mon orgasme, Ulrich se retire pour ne pas décharger en moi, malgré mes cris qui ont failli le rendre fou. Après qu’il l’a sortie, je saisis sa queue et la branle délicatement. Puis je serre mes nichons l’un contre l’autre, en laissant un espace dans lequel Ulrich introduit sa bite, en me faisant apprécier la furia du fauve. Enfin, il accélère ses mouvements de va-et-vient et décharge une bonne quantité de sperme, qui se répand sur mes seins, asperge mon visage, en m’aveuglant à moitié, et se glisse dans ma bouche…


Plus tard, il me pénétrera à nouveau… Je jouirai à nouveau, il jouira à nouveau…