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19/07/18
Résumé:  Une jeune fille présente à ses parents bourgeois son futur fiancé très dominant.
Critères:  fh hplusag fsoumise hdomine humilié(e) cérébral exhib noculotte fellation pénétratio fsodo sm -bourge -fsoumisah
Auteur : Sir Julian            Envoi mini-message
Présentation du fiancé à une famille bourgeoise

Arrivée dans la maison familiale



Al se présenta en temps et en heure devant la belle villa bourgeoise de cette station balnéaire chic. Il venait rejoindre sa jeune amie, Séverine, lui un homme de 30 ans qui fréquentait une jeune fille de 18 ans. Il savait que la famille de sa chérie était aisée, mais c’était au-delà de ce qu’il pensait. Pour une résidence secondaire, la villa était grande et belle, bien entretenue, probablement par un jardinier professionnel. Le carillon était un remake des séries télévisées. Al sourit, sachant d’avance que l’épisode qu’il allait faire vivre aux habitants de cette villa allait rester gravé dans leur mémoire.


Ce sont les parents qui vinrent ouvrir la porte, de bons catholiques bien coincés et sûrement toujours bien habillés, en toute occasion. Al avait été invité à 15 h 30 afin de rejoindre le goûter familial de 16 h 30. Pour une première présentation du petit ami, la barre avait été mise assez haut.


Al assurait par sa prestance et était lui aussi bien habillé, rassurant, stable. La mère accusa le choc de la différence d’âge. Le père, plus diplomate, n’en laissa rien voir mais n’en pensa probablement pas moins. Pourtant Séverine était censée les avoir prévenus. Le père invita Al à entrer et les enfants de la famille étaient alignés dans le hall d’entrée. Ils se présentèrent l’un après l’autre par rang d’aînesse. Deux frères aînés et deux sœurs plus jeunes que Séverine. Al fixa le regard des frères jusqu’à ce qu’ils baissent les yeux. La plus âgée des deux sœurs, qui devait avoir 16 ans, fit le coup de l’ingénue Lolita en battant des sourcils, essayant de séduire le futur beau-frère.


Séverine n’étant toujours pas présente, la mère l’appela, portant sa voix en direction de la cage d’escalier, sans oser trop hausser le ton, par convenance.


Séverine dévala les escaliers comme un ouragan, vêtue d’une petite robe à bretelles légère, avec plein de petits boutons sur le devant. Depuis la vue offerte du bas de l’escalier, on devinait qu’elle ne portait aucune petite culote blanche dessous, comme le voulait pourtant la tradition familiale. Elle était pieds nus et ses tétons libres et excités pointaient sous sa robe. La mère tapa de rage un pied au sol à cette vision. De honte probablement. Elle avait préparé les habits de Séverine, lui ayant choisi un gentil ensemble très versaillais. Sa fille lui avait encore désobéi, mais la mettait devant un fait accompli. La mère avala sa rage par respect de l’étiquette envers l’invité.


Al aimait savoir sa chérie légère, désirable, si fille, impertinente. Séverine embrassa son chéri sur la bouche et se débrouilla à ce moment pour effleurer discrètement de ses ongles manucurés à la française la braguette du costume d’Al. Elle le savait nu sous son costume et aimait lui offrir de belles émotions. Séverine prit Al par le bras, toute souriante et se retourna fière, devant sa famille au complet. Elle s’affichait toute fière au bras de son homme, rayonnante de beauté. Séverine se colla à Al et lui murmura qu’il lui avait manqué avant de l’embrasser à nouveau. Il faut dire que quelque chose se dégageait d’Al et de Séverine et leur couple qu’il formait explosa aux yeux de tous comme une évidence. Ils étaient pour ainsi dire faits pour être ensemble et il y avait en eux comme quelque chose d’indivisible.


Al complimenta Séverine devant sa famille, lui disant qu’il la trouvait belle, superbement bronzée et rayonnante. Il remercia la famille de leur accueil. Son aplomb et sa fermeté dans sa diction et dans son regard imposèrent à tous son autorité naturelle. Le moment était opportun pour Al d’offrir son cadeau à Séverine. Elle l’ouvrit les yeux brillants. Elle savait que le temps était venu qu’il lui offre son collier de soumise. Un fois de plus Al avait fait ce qu’il lui avait dit. C’est devant sa famille qu’il le lui offrirait. Une valeur bien plus symbolique qu’une bague de fiançailles à ses yeux.


Séverine était sur une autre planète. Il était beau de voir son excitation de petite chienne et sa nudité sous sa robe de salope. Elle déchira le papier et ouvrit le coffret à bijoux comme une gamine devant son premier cadeau de Noël. Le collier était là sous ses yeux et c’est mains tremblantes qu’elle le mit à son cou. Al l’aida à le fermer, comme le veut la tradition. La belle queue tendue d’Al sous son costume finissait le tableau. La mère était très pâle et le père paraissait toujours impassible, comme un homme que l’on venait de poignarder.


Le plus âgé des deux frères regarda Al et Séverine, comprit probablement leur relation. Al soutint le regard des parents et du frère aîné. Il voulait qu’ils lisent dans ses yeux comment il aimait dominer Séverine, la prendre et la faire tordre de plaisir. Al voulait qu’ils lisent ses sodomies violentes, sa gorge enfoncée dans sa queue à l’étouffer, ses châtiments corporels, l’offrande qu’il faisait d’elle à d’autres, tous ces jeux sexuels et elle sagement assise nue à ses pieds, attendant les ordres du Maître.


On sentait bien qu’un trouble venait de s’installer et qu’un grand fossé venait de s’ouvrir car l’image qu’ils avaient de Séverine ne cadrait pas avec les pratiques d’Al.


* * *



Séverine avait rencontré Al au parc pour la première fois. Il lisait sur un banc un livre de philosophie. C’était une chose assez rare à voir de nos jours pour que Séverine s’en rappelle.


Nous étions en août, Séverine venait d’arriver sur Paris pour suivre les cours d’une école de pré-rentrée privée avant d’intégrer la faculté. Première fois qu’elle se trouvait seule dans la capitale sans sa grande famille autour elle qui vivait à Vichy, une petite ville de province fréquentée par des retraités en cure. Ses parents l’avaient logée pour ses études chez une tante parisienne un peu âgée. Son hébergement était gratuit mais elle devait rendre des services en échange. Cet après-midi elle promenait pour la première fois Mirza, la petite chienne de sa tante.


Mirza attirait les chiens du parc, peut-être avait-elle ses chaleurs. Séverine n’avait jamais géré un chien donc elle ne savait pas trop quoi faire et tirait sur la laisse pour que la balade se poursuive et éviter les contacts entre animaux.



Elle avait senti ses joues s’empourprer du compliment. L’ironie est qu’il vantait la liberté, lui qui allait attacher Séverine dans un univers fort et puissant dont on ne revient jamais dans le même état que quand on y est entré. Séverine baissa les yeux mais eut le temps de croiser le regard d’Al. Elle y vit à la fois une profondeur attirante, mais qui pouvait faire peur aussi car il semblait fort et avait comme la capacité de lire au fond de vous. Elle le vit la regarder de bas en haut comme un scanner la mettant à nu.


Elle tira sur la laisse et repartit aussitôt. Cette rencontre de quelques secondes n’avait pas laissé Séverine insensible. Si seulement elle avait su trouver les mots pour continuer ce dialogue…


Séverine revint au parc tous les jours vers la même heure, espérant secrètement revoir cet homme qui l’avait troublée. Elle recroisa l’inconnu la semaine suivante, faisant bondir son cœur. Voyant qu’il l’avait reconnue elle baissa les yeux comme si elle ne l’avait pas vu. Elle sentait son regard posé sur elle. Un chien vint renifler la petite chienne et commença à la baiser. Séverine laissa la Nature faire comme le lui avait recommandé l’inconnu. Le petit chien monta sur Mirza, lui mit quelques coups de queue puis redescendit.


Al se leva et alla vers Séverine, tandis qu’elle faisait semblant de regarder ailleurs. Elle aurait bien aimé être prise par lui, comme Mirza avait était prise par ce petit chien. Cette idée animale qui montait en elle rajouta à son trouble. Les animaux étaient toujours à leurs affaires quand l’homme lui dit :



Elle prit le compliment, yeux baissés, joues roses. Un frisson la parcourut et elle sentit ses jambes se mettre à trembler. Il lui tendit une carte de visite où figurait juste un e-mail générique et sans nom : scenariosparisiens@gmail.com.



Elle fit signe que non, incapable de parler, respiration courte.



Il partit et elle osa le regarder s’éloigner. Il ne lui avait pas dit ni bonjour ni au revoir, comme si pour lui rien n’avait un début ou une fin.


Le soir même elle lui envoya un très long e-mail sur qui elle était, ce qu’elle aimait, sa famille, ses amis, ses études, ses préférences sportives et culturelles. Elle reçut en retour le lendemain : « Et ? » Cette invitation à prolonger sa présentation la poussa à lui indiquer ses auteurs acteurs et chanteurs préférés, des citations qu’elle aimait, des anecdotes de sa courte vie.


Comme il ne répondit pas de trois jours, elle renvoya un autre e-mail où elle parlait cette fois-ci de sa vie intime. De son premier copain à 13 ans, de sa première expérience sexuelle à 15 ans, de son attirance pour une fille de sa classe. Elle reçut le lendemain la même réponse qu’en début de semaine : « Et ? » Elle répondit alors tout ce qu’elle avait ressenti sur lui. Son regard mystérieux et fort, son incapacité à lui parler, sa respiration courte, ses jambes flageolantes. Sa réponse varia pour la première fois : « Dites-moi donc la vérité, je déteste le mensonge. » Des larmes montèrent à ses yeux car elle venait de se mettre à nu pour lui, lui dévoilant tout d’elle, et voilà qu’il la traitait de menteuse. Bien sûr, il y avait une chose qu’elle lui avait cachée, une chose intime, trop personnelle mais qu’elle lui écrivit pourtant :

« J’aurais bien aimé être prise par vous comme ma petite chienne. »


Dans l’heure qui suivit, elle eut une très belle réponse : « Mademoiselle, je vous remercie de ces très bel échange. Je vous propose que vous m’écriviez tous les jours sans faute, et que vous partagiez avec moi toutes les pensées les plus intimes qui vous ont animées. Sans mensonges, bien sûr. »


Séverine ne savait pas qu’elle venait de commencer à rédiger un journal de soumise.




Présentation au frère aîné



Toujours dans le respect du protocole, la mère demanda à Séverine de montrer sa chambre à l’invité. Al laissa Séverine passer devant et profita de l’escalier pour admirer ce superbe petit fessier de salope qu’il allait bientôt défoncer. Une fois hors de portée de vue de la famille, Séverine se traîna et ondula en gloussant, sachant bien qu’elle allait recevoir les mains d’Al. Une telle position était trop pour lui et il claqua une fesse, puis l’autre. Ces bruits secs et délicieux résonnèrent dans la cage d’escalier et parvinrent aux oreilles de la famille qui s’affairait encore dans le hall d’entrée plus bas.


Une fois dans la chambre ils se collèrent l’un à l’autre, enfin seuls. Ils s’embrassèrent chaudement, elle sur la pointe des pieds, bien tendue. Les tétons de Séverine pointaient ferme, se collant au torse d’Al. Elle était en attente, nue sous sa robe légère, rêvant qu’il la lui arrache, qu’il la déshabille au plus vite, qu’il la prenne là, ici, maintenant. Tant d’envies accumulées par l’absence, ravie et fière de l’effet de son mec sur sa famille. Presque trois semaines sans se voir.


Mais Al aimait la voir souffrir, lui donner le chaud et le froid. Lui proposer quelque chose de rapide eût été lui donner ce qu’elle voulait. Il allait donc prendre tout son temps. Al s’installa sur le beau fauteuil de sa chambre et Séverine glissa à ses pieds, collée à sa jambe. Ils restèrent un moment soudés l’un à l’autre dans cette position. Séverine proposa au Maître un verre de limonade. Il accepta mais lui demanda de se mettre nue avant de le servir. Elle obéit avec fierté et fit glisser sa robe à terre. Elle était si émue de lui dévoiler son corps ferme et bronzé de gamine délurée, de petite salope déchaînée, si belle et si fière avec son premier collier de soumise.


Puis le Maître demanda qu’elle aille fermer les volets. De la fenêtre entrouverte il entendait en bas la famille préparer la table pour le goûter. D’autres membres de la famille commençaient à arriver, des cousins, des neveux, des nièces qui couraient dans le jardin, des embrassades et des banalités bourgeoises.


Séverine monta sur la pointe des pieds pour attraper les grands volets, montrant sa belle cambrure à son Maître, écartant les jambes en se penchant. Des têtes se levèrent au grincement des volets pour apercevoir les petits seins nus et dressés de Séverine. Une fois les volets fermés, la pièce se faisait plus intime.


Le Maître demanda alors sa valise restée en bas, dans le hall d’entrée. Séverine allait remettre sa petite robe puis se ravisa, demandant la permission d’y aller dans cet état. Le Maître accepta en souriant, espérant qu’elle croise des membres de sa famille. Séverine, nue, fila chercher la valise, avec son sexe épilé et sans poils de petite fille, comme le Maître le lui avait demandé. Elle ne croisa personne en descendant, mais c’est en remontant les escaliers qu’elle croisa son frère aîné.



C’était bien la première fois que sa sœur lui parlait sur ce ton-là. Cette petite effrontée allait le payer…


Séverine déposa la valise aux pieds du Maître et vint s’asseoir à ses pieds serrant à nouveau sa jambe contre tout son corps. Elle avait été surprise de le retrouver nu ; comment avait-il eu le temps de se déshabiller si vite ?



Séverine avança ses lèvres vers la belle queue d’Al.



Al ne pouvait accepter qu’elle prenne le pouvoir sur lui. Pour cela, il eût fallu qu’elle le suppliât.



Séverine n’eut aucun mal à s’empaler sur son Maître, mouillée qu’elle était déjà depuis un certain temps.



Séverine commença à embrasser ce corps, guidée par la voix du Maître qui poursuivait :



Séverine posait ses baisers partout avec beaucoup de douceur.



Séverine ne se fit pas prier mais était surexcitée par cette voix posée et ferme, par la chaleur de cette queue entre ses cuisses.



Séverine se faisait à la fois docile, offerte et entreprenante dans les caresses.



Séverine aimait cette voix, ces mots, et elle obéissait et se donnait comme un petit animal. Déjà elle lui faisait entendre ses premiers petits halètements d’envie. Elle était toute transie, se sentant glisser lentement dans l’univers dicté par le Maître. Elle s’empalait profond sur lui, goûtant à la douceur en sachant ce qui allait suivre. Il sera aussi dur et sévère qu’il était doux.



Soudain on frappa un coup sec à la porte. Séverine regarda Al avec de la peur dans les yeux. C’est le moment que choisit le Maître pour lui pincer violemment les tétons afin de lui donner ce mal qui lui apportait tant de bien. La soumise étouffa un cri de douleur. D’un mouvement de bassin le Maître invita sa soumise à continuer d’onduler du bassin. Le Maître dans son fauteuil faisait face à la porte, sa soumise était de dos. Elle ferma ses yeux et reprit sa danse sexuelle, invitée par le Maître qui, les mains sur les hanches de sa soumise, la forçait à se planter plus fort et plus loin en elle et à aller plus vite, de plus en plus vite. Le Maître posa sa main sur la gorge de sa soumise, bloquant sa respiration, créant comme d’habitude chez elle un grand frisson de peur et de panique.


On frappa à nouveau.


Le Maître invita le frappeur à entrer. C’était le grand frère qui ouvrit, celui qui avait croisé Séverine nue dans l’escalier.



Il entra dans la pièce et ses yeux mirent un certain temps à s’adapter à la pénombre. À cet instant le Maître relâcha un peu la gorge de sa soumise afin qu’elle lâche un premier cri.



Le frère, mâchoire pendante, regardait le tableau, et tout gêné ne savait pas trop où se mettre.


La soumise se retourna pour croiser les yeux de son frère, fière qu’il la voie ainsi en train de jouir, empalée sur son Maître comme une belle salope, haletante comme une petit chienne, gorge serrée par lui selon sa bonne volonté, tétons encore sensibles des mauvais traitements que son Maître leur avait fait subir, et ce sublime collier à son cou, preuve qu’elle avait franchi une étape essentielle de sa vie.


Le frère aîné baissa les yeux, et c’est dans une dernière forte contraction de plaisir orgasmique de la soumise que la porte fut refermée.


* * *


La correspondance dura ainsi une dizaine de jours. Séverine n’aurait pas loupé cet e-mail journalier pour rien au monde. C’était l’occasion pour elle de dire à un autre ses moments de vérité et d’intimité. Elle vivait cela comme une délivrance, un partage unique et beau. Elle ne lui cacha rien. Les regards pervers de son prof de maths, le plaisir qu’elle se donnait sous la douche le matin, le beau copain de faculté qui lui plaisait, cette fille à l’école dont elle venait de se faire amie, ses jours de règles… Il ne répondait pas, mais elle savait qu’il la lisait.

Elle ne savait rien de lui, ce qui entretenait son mystère et son attirance.




Présentation aux parents




Séverine était repartie aux pieds de son Maître, collant à nouveau son corps à sa jambe comme elle aimait le faire, comme pour l’empêcher de partir, blottie contre lui, en sécurité. Elle savait que son Maître n’avait pas joui et aimerait qu’il lui donne l’opportunité de le sucer.

La mère appelait Séverine depuis la tablée du goûter en bas.



Séverine jeta un coup d’œil interrogateur à son Maître.



Le Maître attrapa le collier d’un doigt et fit lever sa soumise pour la diriger vers la fenêtre. Il l’invita à se pencher derrière les volets fermés, en position de levrette.


La peur regagna Séverine. Elle savait que personne ne les voyait mais que tous pouvaient les entendre ; les volets ne les protégeaient que de leur vision. D’ailleurs Séverine entendait fort bien les conversations qui se tenaient en bas.


Le Maître vint se coller derrière sa soumise, elle bras appuyés sur le rebord de la fenêtre, cambrée et ouverte, en attente. Elle savait que le Maître allait la prendre, la faire crier, la défoncer. Elle se demandait juste s’il allait la sodomiser ou la baiser. Il n’en fallait pas plus pour qu’elle sente déjà son sexe mouiller d’envie. Elle n’eut pas trop le temps d’y penser plus car la queue du Maître força son chemin à sec dans son cul. Séverine n’eut d’autre choix que de lâcher un cri de surprise, de douleur, puis d’envie.



Séverine sentait cette queue rentrer en elle, pour aller au plus profond d’elle. Elle tortilla son bassin pour qu’elle s’enfonce bien et loin en elle, pour que la queue de son Maître y trouve une place plus naturelle. Elle écarta ses jambes de petite salope sodomisée en levrette en ondulant de plaisir et en se donnant de tout son corps. Ses petits halètements de chienne sortirent de sa bouche et le Maître tira sa tète en arrière pour qu’elle soit bien courbée, bien galbée sous ses coups de queue.


Séverine se donnait à son Maître, soumise et défoncée, son mal se changeant en bien, la douleur en plaisir, sentir son homme glisser au plus profond d’elle, au plus intime. Son Maître était à elle. Séverine ne pouvait empêcher ses râles de filer de sa gorge, sachant de plus qu’il aimait l’entendre gémir.


Le Maître l’invita à dire à voix haute à quel point c’était bon afin qu’elle lui prouve, une fois de plus, à quel point elle aimait cela, que sa queue glisse en elle, qu’elle aimait qu’il la sodomise, se donner entièrement à lui, être prise par lui, aimer sa queue, qu’ils voient la salope qu’elle est, l’être aimant qui se donne comme une chienne sans retenue.


Le Maître invita sa soumise à dire tout ceci à voix haute, qu’on l’entende en bas, mais déjà elle sentait son regard se troubler. Sa voix s’étrangla, son souffle devint court, son plaisir montait en flèche. Elle aimait dire qu’elle ne voulait être qu’à lui, que tous l’entendent ici, mais à la place elle hurla son plaisir et jouit d’un bel orgasme.


Les chaises en bas raclèrent au sol ; on entendit des mouvements, des bruits. Les gens se levèrent, quittèrent la table. On envoya les enfants jouer ailleurs.


Le Maître était déjà retourné à son beau fauteuil, face à la porte d’entrée. Séverine vint se mettre à genoux à ses pieds, et sachant qu’il n’avait toujours pas joui, elle l’implora de lui faire une fellation, douce, lente, merveilleuse. Le Maître accepta, et l’amoureuse obéit, ravie, docile, offerte, mouillée comme jamais de tout ce qu’elle venait de vivre. Ravie que l’occasion lui soit donnée de s’occuper de son Maître, elle voulait lui prouver son amour pour sa queue en s’occupant bien d’elle. Elle empala son sexe dans sa bouche en léchant son gland, langue enroulée.


Elle venait de donner les premiers coups de menton quand on frappa à la porte.


Al fit tourner Séverine d’un quart de tour de façon à ce qu’il se trouve bien jambes écartées face à la porte d’entrée et Séverine de côté, à genoux, queue en bouche, avec son collier de soumise. Il ne manquait plus à Al que son cigare. Il attrapa les cheveux de sa soumise et força sa vitesse, l’invitant aussi à le pomper plus profond.


On frappa à nouveau et Al invita le frappeur à entrer.

Le père fit son entrée, suivi de la mère un peu en retrait.


Séverine ferma les yeux et déglutit en entendant ces pas qu’elle connaissait bien. Le Maître regarda les parents dans les yeux, tapant sourdement les fesses de sa soumise d’une main tandis que de l’autre il lui enfonçait sa queue dans la gorge.


La mère cria et tapa du talon. Séverine frissonna, étouffée aux trois-quarts, ondulant, concentrée sur la pipe. Le Maître retira sa queue de la bouche et éjacula sur sa soumise toute souriante du plaisir qu’elle venait de lui offrir enfin. Il cogna sa queue contre la joue de sa soumise.


La porte se referma et voilà les amants terribles ravis de leur affaire, nus et repus d’amour. Le foutre coulait sur le visage, le cou et les joues de Séverine qui était radieuse. Elle était infiniment aimante, ravie de retrouver son homme, ravie du plaisir qu’elle venait de prendre, tant physique que mental, sachant que son Maître était à elle et elle à lui, un signal clair devant toute sa famille. Elle savait qu’elle n’avait plus rien à cacher.