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Temps de lecture estimé : 26 mn
27/07/18
Résumé:  Débordements amoureux de trois couples d'amis qui se retrouvent dans un chalet pour fêter l'anniversaire de l'un d'eux.
Critères:  fh ff grp fbi nympho grossexe hépilé campagne anniversai revede voir noculotte fmast fellation pénétratio -couple -fhomo -fbi -fsoumisaf -mastf
Auteur : Sir Julian            Envoi mini-message
Anniversaire surprise au chalet

On n’a pas tous les jours 25 ans. Pour fêter dignement l’anniversaire de Thomas, Laura avait suggéré à son chéri de partir passer le week-end dans le chalet de ses parents à la montagne. Ils prirent tous deux leur vendredi en congé et partirent en milieu de matinée. C’était pour eux deux leur premier jour de congé de leur vie. Depuis leur diplôme d’ingénieur et leur premier boulot commencé six mois plus tôt, ils n’avaient pas encore eu le luxe de s’échapper. C’était à la fois symbolique et excitant pour eux.


Le vendredi matin, Laura avait demandé à Thomas de bien s’habiller. Il en avait conclu qu’un déjeuner était prévu dans un bon restaurant. Probablement le préféré des parents de Laura. Un petit "une étoile Michelin" mené de main de maître par un jeune chef. Thomas était sensible au bio et ce chef préparait les légumes du coin comme pas d’autre. Thomas n’avait jamais eu la chance d’y aller pour l’instant.


Laura avait bien passé une heure à tester diverses tenues et Thomas adorait la regarder s’habiller et se déshabiller. Ils n’avaient pas fait l’amour depuis le week-end dernier. Le temps passait si vite. Thomas avait servi le petit déjeuner dans la chambre. Il buvait son café tranquillement, profitant de la vue du joli corps de sa chérie. Ses hésitations vestimentaires le faisaient sourire, lui qui avait choisi son costume, cravate noire fine chemise blanche et Tod’s en une seconde. Il savait qu’elle finirait avec sa petite robe noire préférée et il avait raison. Dans sa tête, il pensa que tout ce temps pris dans la garde-robe aurait mieux été investi au lit avec sa chérie. Mais bon, l’heure du départ approchait.


C’est Laura qui conduisait car elle voulait garder la surprise de l’endroit pour son chéri. Une fois sur l’autoroute elle lui offrit un premier petit cadeau. Un long foulard noir qu’elle lui fit mettre sur les yeux pour qu’il ne voie pas où elle le conduisait. Thomas y vit plus une belle allusion sensuelle et lui sourit de toutes ses dents. Laura connaissait bien ce sourire coquin qui la faisait toujours craquer. Il suggéra que ce bandeau pouvait avoir d’autres usages plus tard dans la journée. Sa main se posa sur la cuisse de Laura qui descendit habilement une vitesse pour l’expulser. Elle était tout excitée des surprises qu’elle lui avait réservées pour ce week-end.


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Thomas fit semblant d’être surpris quand sa chérie lui retira le bandeau face au restaurant qu’il avait déjà deviné. Il était super content car il avait entendu parler en bien, souvent, de ce fameux Chef. Compte tenu de sa proximité du chalet, ils purent prendre une coupette de champagne et une bouteille de vin sans prendre grand risque avec la maréchaussée. Arrivés avant treize heures, c’est vers seize heures qu’ils quittèrent cet endroit magique. Le repas avait été délicieux et leur conversation complice géniale. Ce n’était pas souvent que ces jeunes salariés prenaient du temps pour eux. Entre leurs amis, la famille, les études et le premier job, tout s’était passé très vite. Alors ils avaient plein de choses à se dire. L’espace-temps s’était ouvert mais le service était fini et ils furent les derniers à partir.


Thomas conduisit jusqu’au chalet et Laura lui avait avoué avoir envie de faire une petite sieste. Thomas l’espérait crapuleuse car son envie de faire l’amour avec sa chérie était forte depuis ce matin. Tandis qu’elle ouvrait la porte du chalet Thomas s’amusa à lui toucher les fesses. Elle gifla sa main pour l’éloigner. À peine la porte ouverte il lui avoua une grosse envie de lui faire l’amour et qu’il bandait déjà. C’est alors que la lumière s’alluma et que les voix chantèrent en chœur un classique « Joyeux Anniversaire ». Face à eux, deux couples d’amis de l’école d’ingénieurs avec des serpentins et une bouteille de champagne à la main. Thomas croisa le regard décontenancé de Laura aux joues toutes rouges des propos personnels que Thomas venait de tenir devant tout le monde. Un grand moment de solitude pour Laura. Heureusement tout le monde se sauta dans les bras. Peut-être n’avaient-ils pas entendu ce que Thomas venait de dire ?


Visiblement, personne n’avait vendu la mèche à Thomas. Il était super surpris et ne s’attendait pas du tout à cela. Élodie embrassa Thomas en dernier. Ce baiser-là fut un peu troublant. Thomas s’était aperçu qu’Élodie était souvent en harmonie avec lui, le comprenant à demi-mot, finissant ses phrases, aimant aller dans les mêmes bars et en riant aux mêmes blagues. Thomas ne savait pas si cela venait de lui ou d’elle. Mais le corps d’Élodie s’était comme… frotté à lui. Et son baiser avait été plus dans l’effleurement que dans le salut. Il aurait juré avoir senti les tétons d’Elodie se frotter à son torse. Et son petit « joyeux anniversaire » avait été plus susurré à son oreille que prononcé. Thomas mit cela sur le compte de sa propre excitation et de son envie de faire l’amour à Laura. Les volets du chalet s’ouvrirent, la musique s’alluma et les couples trinquèrent.


**********


La vue depuis la terrasse du chalet était superbe et tout le monde s’y installa. On voyait la chaîne de montagnes et le printemps qui arrivait en ce début de mois de mai. « En avril ne te découvre pas d’un fil, en mai fais ce qui te plaît. » C’est à ce dicton que Marine pensa quand un frisson la parcourut. Elle ne voulait pas prendre froid. Elle lâcha la main de Max, son chéri, et rentra chercher son pull. C’est sa sœur qui l’avait tricoté avec sa mère, exactement avec la laine qu’elle voulait, aux couleurs de son choix avec la coupe qu’elle désirait. Autant dire que c’était son pull fétiche adoré. Elle l’enfila sur son tee-shirt et se débarrassa de son soutien-gorge qui était trop serré. Marine avait des petits seins et se baladait souvent sans, quand elle le pouvait.


Laura rentrait avec les deux bouteilles vides au moment où Marine retirait discrètement son soutien-gorge. Elles se sourirent toutes les deux. Laura lui dit qu’avec ses seins un peu plus imposants elle ne pouvait pas se payer le luxe d’en faire autant. Mais qu’elle rêverait de le faire. Marine lui dit qu’elle devait s’en ficher et qu’elle n’avait qu’à porter un gros pull comme elle. Et puis ils étaient tranquillement entre amis ce soir. Il n’en fallut pas plus à Laura pour céder à cette envie. Justement, elle pensa à un gros pull de son père qu’il laissait dans la penderie de sa chambre. Laura adorait ce pull qu’elle trouvait beau. Elle alla le montrer à Marine. Une fois la décision prise, Laura n’eut pas d’autre choix que de demander à Marine de défaire la fermeture Éclair de sa petite robe noire. Elle défit son soutien-gorge, le retira et Marine referma la fermeture Éclair. Laura n’avait pas dévoilé ses seins à Marine, mais elle avait senti ses doigts fins et légers descendre et remonter la fermeture Éclair. Un frisson la parcourut. Laura se mit face au miroir qui lui confirma que ses seins nus ne se voyaient pas trop sous le pull. C’est alors que Marine défit son jean et le laissa tomber à ses pieds. Ni une ni deux, elle fit glisser sa culotte pour la retirer et la roula en boule dans sa main. Laura avait tout vu depuis le reflet du miroir. Marine prétexta qu’elle serait plus à l’aise ainsi et remit son jean aussi vite qu’elle l’avait enlevé. Laura se mit à rire et retira son petit string de sous sa robe noire. C’est sûr que l’on est plus à l’aise ainsi.


Les filles complices rejoignirent la troupe sur le balcon avec une nouvelle bouteille. Laura était un peu troublée n’ayant pas l’habitude de se balader sans soutien-gorge ni string. Elle n’en revenait pas de s’être laissé emporter ainsi par Marine. Thomas observa les joues roses de Laura et sut à son regard que quelque chose s’était passé. Alex, l’ami de Marine, lui avait avoué que sa chérie avait eu des expériences lesbiennes dans sa jeunesse. Cette information était restée gravée dans l’esprit de Thomas. Il se mit à bander rien qu’en pensant que quelque chose de sexy était arrivé entre les filles.


**********


C’est Max, l’amoureux d’Élodie qui, le premier, proposa de s’attaquer au dîner. Max avait toujours faim. Comme les autres garçons, il était grand et sec physiquement, mais lui était toujours affamé, comme s’il avait des vers dans l’estomac. Tout le monde rentra dans la maison. Les uns débarrassèrent la table dehors, d’autres se mirent en cuisine et les derniers s’occupèrent de la table à l’intérieur.


Comme par inadvertance, Laura se pencha pour essuyer la table avec une lingette. La gravité naturelle faisant son œuvre, Thomas ne put que s’apercevoir que sa chérie ne portait pas de soutien-gorge. En essuyant la table de gauche à droite par petits mouvement secs, ses seins voltigèrent dans un petit ballet érotique. Thomas sentit sa queue se mettre à bander, trouvant sa chérie très désirable. Elle avait remonté ses cheveux dans un petit chignon, libérant son cou que Thomas aimait bien embrasser. Laura était hyper sensible du cou. Il ne lui connaissait pas ce grand pull. Thomas suggéra à Laura d’aller mettre le chauffage en haut et se proposa de venir l’aider. Il avait sur lui ce sourire qu’elle lui connaissait bien. Fière de son petit effet, elle accepta. N’importe quelle excuse pour se retrouver tous les deux.


Le chalet était relativement petit. Au rez-de-chaussée le salon, la cuisine, les toilettes et la chambre des parents de Laura avec baignoire. À l’étage sous les toits, les toilettes avec douche séparée et un grand dortoir qui servait aussi de salle de jeux aux enfants. Le soir venu, les matelas étaient posés à même le sol. Une fois en haut, Laura alluma le chauffage. Les mains froides de Thomas se glissèrent sous le pull de Laura à la recherche de ses seins nus. Il colla son corps à elle, pour qu’elle sente la pression de son sexe déployé sous son jean. Il la complimenta pour sa tenue relax tout en lui embrassant le cou. La main de Thomas caressa les hanches de sa chérie, puis les fesses. Il découvrit alors la nudité de Laura sous sa robe noire et banda plus hardiment. Voyant son secret découvert, Laura se fit plus câline et fit glisser ses ongles à la rencontre du sexe de son chéri. Elle était déjà toute chose. Alors, quand ses doigts caressèrent le sexe bandé de Thomas, son trouble ne fit que s’accroître.


Les escaliers craquèrent et les deux autres couples montèrent leurs affaires pour dégager les valises de l’entrée. Laura et Thomas aurait bien aimé poursuivre ce court moment d’intimité. Laura leur expliqua le système de couchage. Enfants, ils mettaient les matelas les uns à côté des autres pour se tenir chaud en hiver. Les cousinades étaient extraordinaires et jamais ils ne s’étaient endormis tôt. Cela faisait un peu camping mais était super sympa


**********


Après trois bouteilles de champagne, le groupe partit sur un rouge qui allait très bien sur la planche charcuterie-fromage. Après le déjeuner gastronomique Laura ne toucha qu’à la salade de tomates. Sa tête commença à lui tourner et elle se mit à l’eau de source. Le genou de Marine n’arrêtait pas de se frotter au sien. Marine était en bout de table et Laura s’était assise à côté, par hasard, à la dernière place qu’il restait. Marine n’arrêtait pas d’ouvrir et de fermer ses jambes. Laura savait qu’elle était nue, sans sous-vêtements. Ses écartements de jambes constants étaient hypnotiques et sa caresse du genou troublante. Laura se sentit mouiller et rien ne put l’en empêcher. Du coup, elle essaya de penser à sa grand-mère sur son lit de mort pour se calmer. Mais l’image des cuisses de Marine qui s’ouvraient à ses côtés revenait sans arrêt.


Pendant tout le repas Élodie colla Max d’un peu trop près comme pour montrer à tout le monde la complicité et l’harmonie de leur couple. Pourtant sous la table Thomas sentait bien qu’un petit pied nu effleurait son mollet et sa cheville. Et comme tout ingénieur qui se respecte, Thomas en calculant l’angle en avait conclu que cela ne pouvait venir que d’Élodie. Il se rappela alors son baiser d’accueil et sa façon de lui murmurer son joyeux anniversaire à l’oreille. Ils avaient partagé de grands moments de complicité pendant leur scolarité. Finalement, Élodie avait-elle tenté de se rapprocher de lui en sortant avec son meilleur ami ? C’est vrai que Max ne tarissait pas d’éloges sur la créativité sexuelle de sa chérie. En allant chercher du pain, Thomas regarda les pieds de tout le monde. Ils avaient tous mis des pantoufles leur permettant de se prêter à ce jeu-là.


Le courant se coupa juste au moment où Thomas rejoignit la table. Probablement le chauffage du haut en conflit avec le four du bas. Tandis que tout le monde s’écriait « Ooohhh ! » des mouvements de chaises se firent entendre, des personnes qui comme Laura venaient de se lever. Laura sentit une main se poser sur sa robe au niveau des seins. Les doigts ne mirent qu’une seconde à venir pincer son téton qui se dressa d’excitation.


Thomas se pencha pour poser les deux panières de pain sur la table et sentit alors une main venir palper son sexe tendu sous son jean, comme pour bien en évaluer la forme dressée et ferme. Thomas retint sa respiration puis recula à tâtons vers le compteur situé juste à côté de la porte d’entrée.


Max avait mis la main sur son portable et alluma son écran à la recherche de l’appli torche. Thomas remit le compteur en route et alla éteindre le four. Laura et Thomas regardèrent la tablée mais tous les invités semblaient avoir changé de place. Mais qui donc s’était amusé à les tripoter ?


**********


Max et Alex allèrent fumer dehors. Ils parlèrent de tout et de rien tout en se marrant. Max défit la collerette de la dernière bouteille de champagne. Ils avaient laissé la bouteille au froid dehors pour la mettre à la bonne température. Voyant Alex s’isoler pour pisser, Max le rejoignit à ses côtés.



Il posa la bouteille sur le rebord et tous deux commencèrent leur concours de jet le plus long. Manque de bol le bouchon de champ sauta sous la pression. Max attrapa un verre et la bouteille pour ne rien perdre du précieux liquide et demanda de l’aide à son copain.



Alex râla :



Il changea de main pour pisser et attrapa la queue d’Alex. Ce dernier se retrouva avec un verre presque plein dans une main et la bouteille de l’autre sans trop savoir où poser tout cela sans tout faire tomber.



Alex aimait parler des envies et de la créativité d’Élodie. Elle n’en avait pas l’air mais selon la légende propagée par Alex, Élodie semblait être une bonne chaudasse. Max faillit faire tomber le verre en essayant de le poser et décida de le boire cul sec.



Marine était à la fenêtre de la cuisine avec vue pleine sur eux. Les garçons sursautèrent :



Marine s’adressa à ceux dans la maison :



Thomas, Elodie et Marine sortirent en rigolant tandis qu’Alex et Max remontaient leur braguette, penauds.



Max essaya de rattraper le coup.



Marine souriait et tous les autres regardaient les deux mecs qui se sentaient un peu sous les lampes d’interrogatoire. Élodie chercha le regard de Thomas qu’elle trouva. Son regard chaud fit frissonner Thomas. Elle le cherchait. Par solidarité masculine, Thomas attrapa la bouteille de champ et servit des verres à tout le monde, histoire de détourner la conversation.



Les garçons partirent en cuisine.



Max et Alex se lavaient les mains au lavabo de la cuisine quand Laura se pencha vers les hortensias de sa mère. Ils purent tous deux voir le bas des fesses nues de Laura sous sa petite robe noire. Alex tapa Max du coude au cas où il n’aurait rien vu. Mais Max lui faisait déjà un clin d’œil confirmant que lui aussi avait vu la même chose.


**********


Les filles finirent d’essuyer la vaisselle lavée par les garçons tandis qu’ils fumaient dehors. Élodie posa alors la question à voix basse un peu inquiète :



Les regards de Marine et Laura se croisèrent et se virent sourire. La réputation d’Élodie était déjà parvenue aux oreilles des filles.



La couleur d’Élodie tourna pivoine.



Marine sourit à Élodie gentiment. Pour s’échapper de la situation Marine tenta d’aller aux toilettes. Laura avait vu que Thomas s’y était déjà enfermé.



Puis se tournant vers Élodie :



Une fois les explications données Marine s’enferma. Laura et Élodie restèrent toutes les deux.



Joignant le geste à la parole Laura posa son œil sur le petit trou. Et ce qu’elle vit lui coupa le souffle. Marine était en train de s’offrir un petit plaisir solitaire sur le rebord des WC, jean aux pieds. Ne sachant pas trop ni quoi dire ni quoi faire, Laura resta collée au spectacle. Marine se caressait langoureusement visiblement tout émoustillée de sa soirée. Comprenant que quelque chose se passait, Élodie fit sa curieuse :



Mais Élodie la chaudasse laissa place à Élodie la discrète. Elle posa son œil vite fait bien fait.



Laura ne répondit pas et les deux filles descendirent rejoindre les mecs, un peu perturbées. Marine réapparut quelques minutes plus tard. Élodie et Laura firent comme si de rien n’était, mais gênées aux entournures, elles évitèrent son regard. L’image de Marine en train de se masturber était encore dans leur tête.


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Élodie n’aurait jamais dû boire cette nouvelle coupe de champagne si vite. Elle lui monta à la tête d’un coup. Tout se mit à tourner autour d’elle et elle passa de la couleur rosée à la couleur blanche en deux secondes. Voyant cela, son chéri Max intervint :



Tous les regards se tournèrent vers Élodie, alors qu’elle tournait un peu de l’œil.



Les garçons aidèrent Élodie à monter les escaliers et l’installèrent sur un matelas.



Il semblait habitué et ne s’inquiétait pas plus que cela. Max rejoignit les autres et Thomas remonta à Élodie un verre d’eau avec un morceau de sucre au cas où. Thomas était content de voir allongée cette jeune beauté nymphomane qui n’arrêtait pas de le chauffer discrètement. Elle bougea quand il s’approcha d’elle pour poser le verre.



Élodie n’avait pas ouvert ses yeux et peut-être pensait-elle que Max était revenu.



Lentement Thomas se mit à genoux et vint poser ses lèvres sur celles d’Élodie. Le choc électrique sensuel fut terriblement violent. Leurs désirs réciproques si longtemps réprimés, s’exprimèrent en une seconde L’effleurement sensuel des lèvres, le contact léger d’une petite langue agile, il n’en fallait pas plus pour qu’éclosent les désirs. Le baiser devint plus profond et plus magique, plus intime et plus perturbant. Thomas posa légèrement sa main sur le cou d’Elodie qui dans un frisson émit un petit râle de plaisir. La main d’Élodie glissa en caresse du genou de Thomas vers son sexe. Et ses ongles touchèrent une belle queue bien tendue, chargée d’envie. Thomas sentit sa tête tourner, comme aspiré par ce baiser qui l’attirait vers Élodie. Son cœur battait à tout rompre et les ongles d’Elodie sur la queue le rendaient dingue.



Marine murmura à l’oreille de Laura :



Laura s’éloigna de Marine et la regarda d’un clignement de sourcil interrogateur. Cela lui faisait tout chose que Marine lui ait chuchoté quelque chose à son oreille. Avoir son parfum si près d’elle et sentir son souffle chaud au creux de son oreille était une expérience plus que sensuelle. Elle se pencha à son tour à l’oreille de Marine, se demandant si elle aussi ressentira la même chose. Elle prit tout son temps avant de poser la question, faisant en sorte de ne pas toucher son oreille de ses lèvres mais de s’approcher suffisamment pour que les autres ne puissent pas entendre.



Marine resta l’oreille collée aux lèvres de Laura et fit un hochement de tête. Laura ne put s’empêcher de revoir l’image de Marine en train de se masturber et imagina Élodie en train de faire de même, allongée là-haut.

Alex poussa Max du coude en direction des tétons pointés de Laura. À leur tour ils chuchotèrent :



Thomas déboula en bas des escaliers, l’air de rien. Comme tout le monde le regardait il fit un signe qu’Élodie dormait en haut. Thomas proposa de jouer à un jeu de société et tout le monde accepta.


**********


Après une partie de Monopoly endiablée, Max monta vérifier si Élodie sa chérie allait mieux. Entre deux chansons, un petit blanc fatidique permit d’entendre un petit halètement étouffé et le bruit de craquements du plancher. Faut dire que les matelas étaient posés directement au sol. Les regards d’Alex et Thomas se croisèrent ainsi que ceux de Marine et Laura.


Max et Elodie redescendirent alors que la troisième partie de Monopoly allait commencer. Elle semblait avoir bien repris ses esprits. Personne n’osa rien dire de ce qu’ils avaient tous entendu. Il y avait comme un blanc dans la salle. Tout le monde cherchait un nouveau sujet de conversation sans en trouver aucun. Pauline se lança :



Tout le monde se mit à rire, probablement de nervosité. Et l’ambiance redémarra.

Il y avait des traditions dans la famille de Laura qu’elle se devait de respecter. Une d’entre elles est de préparer les lits des invités en portefeuille. Cela consiste à plier les draps d’une façon telle que toute personne essayant de se glisser dans le lit serait coincée et ne pourrait pas glisser jusqu’au fond. C’est très marrant à voir. Cela ne pouvait se faire que lors de leur premier passage, un peu comme une initiation. Thomas et Laura abandonnèrent leurs invités expliquant qu’il était de tradition que les lits soient préparés par les membres de la famille. Tout le monde protesta mais Laura insista. Une suspicion flottait dans l’air après la performance de Max et d’Elodie. Laura et Thomas allaient-ils à leur tour s’ébattre? Une fois qu’ils firent en haut Alex baissa un peu la musique et feignit d’écouter ce qui se passait en haut.



Seule Pauline rigola tandis qu’Elodie sentit ses joues rosir. Max fit comme si de rien n’était et proposa de faire une dernière partie de Monopoly. Thomas en haut attrapa Laura pour l’embrasser.



Laura avait beau dire non, Thomas sentait sa fébrilité. Et puis organiser les matelas et les draps l’obligeait à se pencher. Que ce soient ses seins nus ou ses fesses nues, l’attraction terrestre était là pour exciter Thomas à chacun de ses mouvements. Elle ne pouvait ignorer cela et même si elle essayait de n’en point jouer, certaines situations étaient cocasses et elle ne put s’empêcher de sourire plusieurs fois au regard carnassier de Thomas.


La tradition voulait que la famille soit déjà dans les draps quand les invités arriveraient. Thomas retira son tee-shirt et son jean bandant comme un taureau sous son caleçon. Laura s’enfuit retirer sa petite robe noire pour enfiler sa chemise de nuit dans la petite salle de bain. Thomas connaissait la présence du trou et ne se gêna pas pour profiter de l’opportunité. Alors qu’il s’approchait de l’orifice du voyeur, il reçut un jet de parfum qui lui brûla l’œil qui se mit à pleurer. Laura sortit en rigolant, poursuivie par Thomas qui bandait toujours. Les planches craquèrent tandis que Laura sautait d’un matelas à l’autre et que Thomas la poursuivait.



Thomas et Laura se faufilèrent dans leur lit juste avant que tout le monde soit en haut. En se faufilant si rapidement la chemise de nuit de Laura s’était remontée sur ses hanches. Thomas ayant justement une main à cet endroit put sentir la nudité de sa chérie sous sa taille. Il banda de plus belle sous les draps alors que tout le monde était là. Comme tout le monde les regardait Laura enchaîna :



Cela surprit un peu tout le monde. Cette coutume n’était pas très répandue.



Le sourire de Laura éclairait son visage, fière de la pression qu’elle leur mettait.



Alex et Max sautèrent tous les deux sur le même matelas alors qu’Élodie en avait choisi un autre. Pauline restait plantée là n’arrivant pas à retirer ses pantoufles. Thomas et Laura s’esclaffèrent. Comme Élodie rentrait déjà dans le lit, Max la rejoignit au plus vite. Pauline du coup sauta à la place de Max cherchant à s’engouffrer sous les draps au plus vite. Mais les lits en portefeuille empêchaient chacun d’eux de rentrer dans le lit. S’ensuivit un mélange de jurons, de cris et de rires joyeux. La blague fonctionna à merveille jusqu’à ce que Max comprenne et abandonne la partie, imité par les autres.


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Cette mémorable surprise signa la fin de la soirée. Laura avec sa robe de nuit enroulée en haut de sa taille n’osa pas sortir du lit et encore moins Thomas avec sa queue dressée dont il n’arrivait pas à calmer le feu. Max et Alex se mirent à leur tour en caleçon tandis que les filles partirent se laver les dents et se changer dans la salle de bain. Laura essaya de ne pas regarder sous leur ceinture mais les mecs aussi bandaient tranquille. Pauline, enfermée avec Élodie dans la salle de bain pour se changer, « Une bisexuelle avec un nympho… » pensa Laura, imaginant les filles se déshabillant l’une devant l’autre pour se mettre en tenue de nuit. Mine de rien, un peu de jalousie la chatouillait en plus de la curiosité. Elle aurait bien regardé par le petit trou pour voir cette scène-là.


La seconde tradition était la fameuse bataille de polochons. Laura demanda à Alex et Max d’aller sans bruit chercher tous les coussins du bas. Cela lui permit de sortir du lit à moitié nue et de réajuster sa nuisette. Thomas lui toucha les fesses et essaya de l’embrasser. Elle s’échappa en s’amusant mais caressa le sexe de Thomas pour le durcir encore plus au moment où Max et Alex remontaient les escaliers. Thomas râla de subir ce jeu de torture.


Ils se distribuèrent les coussins entre eux en attendant que les filles sortent de la salle de bain. Les filles mettant une plombe, Alex et Max prirent le temps de refaire les lits comme il faut. Ils en profitèrent pour jeter des petits coups d’œil à Laura qui avait simplement remplacé sa petite robe noire par une petite nuisette légère en coton beige. Du coup, on voyait plus ses belles formes élancées et son absence de lingerie.


Une pluie de coussins s’abattit sur les deux filles à leur sortie et ce fut une bataille de polochons mémorable à plusieurs titres. D’abord le côté gaminerie de retour en enfance puis le côté sensuel de voir des corps à moitié dénudés bouger et se toucher. Élodie tomba au sol sur un matelas à un moment et leva ses jambes pour se protéger des coussins dévoilant son petit sexe tout épilé à Alex. L’idée de la prendre à deux avec son ami Max faisait son chemin et, à ce moment précis, il n’aurait pas dit non. Un sein de Pauline sortit dans une bataille et Thomas admira cette belle forme galbée à damner un saint. Les garçons bandaient tous sous leur caleçon.


L’atmosphère était sensuellement électrique et en même temps harmonieuse entre les amis. Un moment où le temps est suspendu et agréable. Tout le monde semblait surexcité et voulait que cette expérience dure le plus longtemps possible.


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La bataille achevée il était temps de passer à la troisième tradition familiale. Laura prit la parole :



À peine l’interrupteur avait coupé la lumière qu’un chahut s’ensuivit chacun sautant dans un lit. Laura descendit à la cuisine mais ne mit pas longtemps à revenir. Elle tenait d’une main un bougeoir spécial sans que la petite flamme de la bougie éclaire suffisamment pour bien voir. Tout le monde l’attendait dans leurs lits. Laura, instinctivement regarda qui dormirait à ses côtés. Thomas bien sûr d’un côté mais de l’autre elle aurait juré que Pauline la bisexuelle avait manipulé tout le monde pour se mettre près d’elle. Elle en frissonnait déjà d’envie. Mais contrairement à ce qu’elle pensait, c’est Élodie la nympho qui dormirait à ses côtés. Elle préféra cela que de la savoir à côté de Thomas.


Quand Laura posa le chandelier sur la table de chevet tout le monde vit que six petits verres à liqueur étaient suspendus au chandelier. De l’autre main, Laura tenait une bouteille sans étiquette à moitié pleine d’un liquide foncé.



Laura servit tout le monde, se glissa dans le lit et tous trinquèrent. Diverses formes d’expression se firent entendre allant du « beurk » à la toux. Laura souriait :



Elle souffla la bougie et le noir complet se fit.



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Laura mit du temps à trouver le sommeil. Probablement l’excitation de cette journée exceptionnelle à bien des égards. Bien sûr les garçons, une fois la bougie éteinte, continuèrent à faire les cons et à raconter des histoires. Laura et Thomas dormaient sur le côté de façon à se trouver face à face. Ils se regardèrent un moment tendrement. Thomas voulant un bisou mais Laura refusa. Il prit alors sa main et lui fit toucher sa queue dressée. Il avait réussi à la libérer de son caleçon pour bander tranquille. Thomas était d’une grande créativité pour ce type de chose. Elle refusa de le caresser avec tout ce monde autour.


Thomas s’endormit le premier. Alors qu’elle allait trouver le sommeil, Laura sentit un doux effleurement au bas de ses fesses. Un court frisson la parcourut, trahissant qu’elle venait de ressentir quelque chose. La dernière fois qu’elle avait regardé Élodie, la nympho, elle dormait sur le côté, en sa direction. Elle était donc la coupable présumée. Laura ne bougea pas, dans le doute essayant de deviner si cela pouvait tout de même venir de Thomas ou pas. Laura ouvrit à peine ses yeux en les plissant pour ne pas que Thomas devine qu’elle le regardait. Il semblait dormir.


La caresse se faisait infiniment douce et formait désormais des petits cercles sur ses fesses. Laura feignit de ne rien sentir et de dormir mais la caresse avait pris le pouvoir sur elle et se faisait de plus en plus présente. Cela aurait été Pauline, la bisexuelle à ses côtés, elle aurait compris. Mais venant d’Élodie la surprise était plus forte. Était-elle finalement la nympho que Max vantait à tous les copains ? Elle n’en avait pourtant pas l’air. Laura était troublée comme jamais. Elle essayait d’écouter le moindre bruit au cas où quelqu’un se lèverait ou bougerait mais il n’en était rien.


Laura sentit les longs doigts fins d’Élodie essayer de se glisser entre ses cuisses. Elle ne put résister à cette arrivée dans son espace intime et ne put retenir un nouveau frisson, plus long cette fois-ci. Elle ne pouvait cacher à Élodie qu’elle était non seulement éveillée mais réceptive à ses caresses. Les doigts insistèrent pour marquer leur prise de pouvoir. Guidée par les doigts, Laura laissa lentement et sans bruit ses cuisses s’écarter. Cela facilitait le passage vers son intimité. Elle venait d’accepter quelque chose dont elle ne se serait jamais sentie capable. Mais la situation était telle, la tension émotionnelle si forte que Laura s’abandonna. Elle était contente de tourner le dos à Élodie, elle n’avait pas à croiser son regard.


Tout était si lent, si doux, si tendre. Jamais encore Laura n’avait été caressée avec une telle délicatesse. La chair de poule la saisit et elle se sentit mouiller comme jamais. C’était un peu comme si elle sentait un fluide couler de son bas-ventre. Son cœur battait plus vite et son cerveau lui disait de ne pas bloquer sa respiration afin de ne pas haleter. Surtout ne plus bouger, surtout ne faire aucun bruit, ne rien dire, faire comme si elle dormait, tous ses sens aux aguets. Tandis qu’elle se figeait, les doigts arrivèrent vers son clito. Laura s’était abandonnée et elle savait qu’elle était sur un chemin de non-retour.


Les doigts l’obligèrent à écarter encore un peu plus ses cuisses. Ils se firent un chemin entre les lèvres suintantes de mouille enfiévrée. Les doigts écartèrent les lèvres délicatement, les caressant langoureusement dans des petits allers-retours endiablés. L’index effleura le clito. Laura n’en pouvait plus. À peine l’index tapota le clito que Laura sentit son sexe et son anus se contracter en spasmes délirants. Comme si la respiration qu’elle contrôlait et les halètements et les mots qu’elle ne pouvait prononcer s’exprimaient par les contractions de son bas-ventre tremblant.


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Les doigts stoppèrent quelque temps, laissant Laura récupérer un peu. Mais leur présence immobile indiquait bien qu’ils n’en avaient pas fini avec elle. Laura paniqua, ayant espéré que cette torture intime avait trouvé là sa fin. Mais Élodie la nympho n’en avait pas terminé. Et c’est vers un autre orgasme qu’elle la guidait. Élodie laissa passer les spasmes et attendit tranquillement que Laura relâche la pression.


Le plaisir de Laura repartit en flèche quand elle sentit deux doigts rentrer à nouveau en elle. Mouillée comme elle était et encore un peu en spasmes, elle essaya de refermer ses cuisses pour bloquer ce nouvel assaut mais cela rendait les allées et venues des doigts en elle encore plus fortes.


De plus cette manœuvre un peu rapide fit du bruit que Laura entendit. Elle paniqua et l’effet sur elle ne fut nullement une douche froide. Au contraire, elle perdit pied totalement ne sachant plus comment gérer la situation. Elle entrouvrit les yeux pour s’assurer que Thomas dormait toujours


C’est Élodie qui contrôlait son plaisir. Elle ralentit le rythme et de ses doigts invita Laura à écarter ses cuisses. Élodie avait ainsi accès au clitoris de Laura. Elle se mit à le tapoter régulièrement tout en faisant des allées et venues en elle. Ses deux doigts fins faisaient leur magie et les tapotements réguliers parachevaient cette œuvre. Laura remonta au septième ciel en spasmes plus longs. Elle emporta avec elle tout bruit et étouffa les signes extérieurs de ce qu’il se passait. Les doigts se retirèrent et Laura s’endormit d’un coup, comme dans un réflexe protecteur.

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Laura avait bien précisé que le premier à ronfler irait dormir sur le canapé en bas. Alors quand Alex se mit à ronfler, vers trois heures du matin, Marine le réveilla pour l’inviter à dégager en bas sans bruit. Il s’exécuta sans broncher, sachant très bien que ronfler lui arrivait parfois. Il s’enroula de sa couette perso et disparut dans l’escalier. Marine en profita pour se mettre à l’aise sur le matelas. Elle qui était tout en bout des lits se retrouva aux côtés de Thomas. Il était enroulé dans sa couette mais s’était retourné dans son sommeil au départ d’Alex, se tournant vers elle. Au niveau de sa taille la couette était relevée. Marine voyait le caleçon de Thomas. En forçant un peu dans l’obscurité, elle vit que la queue endormie de Thomas dépassait du caleçon par son ouverture faciale.


Marine étouffa un petit fou rire. Par stupidité elle souffla vers la petite queue endormie de Thomas qui se mit à bouger. Un second fou rire la parcourut. Elle envoya un nouveau souffle chaud vers la queue qui se déploya superbement sous ses yeux. Thomas dormait profondément. Comme il n’y avait pas de bruit dans la pièce, Marine se roula en boule pour s’approcher plus près de cette belle queue désormais tendue et dressée. C’était la plus épaisse qu’elle ait jamais vue.


Elle s’entendit déglutir et son fou rire initial s’était changé en excitation. Elle souffla moins fortement un air chaud et admira la queue tendue. Elle était à dix centimètres de la queue quand Thomas bougea dans son sommeil, un peu plus près d’elle. Marine allait se reculer quand elle sentit une main appuyer sur sa tête. Thomas bougea un peu plus, plaçant sa queue tendue au bout des lèvres de Marine.


Thomas avait visiblement démasqué son jeu, tirant profit de la situation à son avantage. Prise au piège, Marine ne savait que faire. Et Thomas poussa la tête de Marine gentiment un peu plus vers lui. Elle ouvrit la bouche et laissa le gland rentrer dans sa chaleur humide. Sa petite langue effleura le gland, le mouillant de sa salive. Elle découvrit se gland millimètre par millimètre de la pointe de sa langue, ses lèvres refermées autour de la queue épaisse de Thomas.


La situation incongrue excita Marine au plus haut point. Le fait qu’il l’avait obligée à avaler sa queue la déculpabilisait énormément. Et découvrir une queue inconnue ainsi, si lentement, ne lui était jamais arrivé. La queue sentait étrangement le parfum de Thomas, Bleu de Chanel.

Thomas appuya un peu plus sur sa tête, enfonçant sa queue d’un coup et il éjacula en de longs jets. Marine laissa faire et avala tout, à l’affût du moindre bruit ou mouvement dans la pièce, tout en prenant garde à ce que tout cela reste silencieux. La main de Thomas retira son emprise et Marine se retourna lentement de l’autre côté sans bruit. Elle s’éloigna lentement à l’extrémité du lit, comme si Alex était encore entre eux.


Elle mouillait terriblement et se fit jouir discrètement en repensant à cette scène terrible qui venait de se produire.