n° 18490 | Fiche technique | 13421 caractères | 13421Temps de lecture estimé : 9 mn | 29/07/18 |
Résumé: Cette fois-ci, c'est un fantasme du quotidien. Avec une collègue. | ||||
Critères: fh extracon collègues hotel voyage cunnilingu pénétratio fdanus -totalsexe -occasion | ||||
Auteur : Libretin Envoi mini-message |
La quarantaine bien tassée, on dit de moi que je suis costaud ; moi, je me trouve plutôt enrobé. Assez grand, cheveux bruns, barbu.
En couple, deux enfants, une maison, un chien, un chat. Un Français moyen, quoi.
Je travaille dans un service administratif d’une grande ville. Deux ans que j’y suis maintenant.
Aucune aventure extraconjugale, jusqu’à maintenant. Plusieurs collègues me plaisent, mais de là à avoir une aventure… faudrait déjà que ce soit réciproque. Et puis je ne veux pas de complications.
C’est que ça va plutôt bien dans mon couple, même sexuellement. Comme beaucoup d’hommes, j’ai une libido quelque peu exacerbée, une imagination un peu trop fertile et une compagne plutôt réservée. Réservée mais compréhensive : elle m’a déclaré comprendre que je puisse avoir une aventure occasionnellement ; du coup, je suis tenté… Mais bon, à part une à deux heures de fantasmes et le même nombre de branlettes par jour, rien de folichon.
Et il y a quelques semaines, on me propose une formation : trois jours dans une autre ville. Cool, deux nuits loin de la famille : je vais pouvoir fumer tout mon saoul, boire un peu, et peut-être…
En regardant la liste des participants, je découvre qu’une collègue, Marianne, y va aussi. Ce n’est pas celle qui me faisait le plus fantasmer jusqu’à maintenant : un peu trop maigrichonne à mon goût, 35 ans, grande, brune, petites lunettes, l’air un peu trop sérieux, voire pincé. Cela ne m’empêche pas de me masturber tous les jours en imaginant divers scénarios.
Le jour de la formation arrive ; je ne connais personne à part Marianne qui est déjà arrivée. La journée se passe sans problème. Je suis assis à côté d’elle. J’essaie bien quelques blagues, de lui prendre une fois ou deux l’avant-bras pour lui parler au creux de l’oreille, mais Marianne garde ses distances et ne répond à aucune de mes maladroites avances.
Le soir, plusieurs autres participants proposent d’aller boire un verre. À mon étonnement, ma collègue accepte d’y aller. Après un peu plus d’une heure, elle vient me voir pour me demander de la raccompagner car elle ne sent pas bien. Elle est descendue dans le même hôtel que moi, et il se trouve à 15 minutes de marche.
Sur le trajet, elle semble vaciller et me propose donc de la soutenir. Elle met une main sur mon épaule et moi une sur sa hanche. Ce ne doit pas être l’alcool : elle n’a bu qu’un verre, et je ne crois pas qu’il y en ait eu dedans. Tout en discutant de tout et de rien, j’ai l’esprit obnubilé par ce corps collé contre le mien, mon poignet posé sur le haut de ses fesses, la main posée sur le tissu de son pantalon en toile.
Je la serre plus fermement contre moi le temps d’ouvrir la porte de sa chambre puis l’allonge sur le lit.
J’en ai les mains qui tremblent d’excitation mais je commence à déboutonner son gilet.
Cette fois, j’ai du mal à déglutir. Je suis de plus en plus à l’étroit dans mon jean et dois me retenir de lui sauter dessus. Mais je prends mon temps, au contraire. Un fantasme qui se réalise, faut en profiter. Le gilet ôté, je retire ensuite un tee-shirt rose pâle laissant apparaître la peau blanche de son ventre. Je laisse d’ailleurs ma main le caresser en remontant vers son soutien-gorge, un modèle plutôt classique mais confortable que j’arrive à dégrafer avec moins de dextérité que je l’espérais. Deux petits seins apparaissent, aux tétons bruns déjà tout dressés. J’arrive à jouer avec les deux d’une seule main. La droite en profite pendant ce temps pour déboutonner le pantalon. Le pantalon ouvert laisse apparaître une petite culotte bleu clair à nœuds. Je tire dessus pour faire apparaître une toison brune assez fournie, ce qui est loin de me déplaire. Je m’aide de mes deux mains pour retirer pantalon et culotte d’un seul tenant.
Elle se trouve allongée devant moi, les yeux fermés, les jambes légèrement écartées. Mon regard suit ses jambes pliées par le bord du lit, remonte le long de ses cuisses pour arriver à sa petite chatte poilue. Deux petites lèvres charnues pointent au travers des poils.
Je l’aide à passer sous les draps en laissant mes mains traîner partout plus que de raison. Sa peau tiède et douce m’excite terriblement mais je n’arrive pas à comprendre où elle veut en venir.
En même temps, en dormant toute nue…
Bon, quelques secondes plus tard me voilà en caleçon et je me glisse contre elle. Elle me tourne le dos, en chien de fusil. Ses petites fesses viennent se caler sur le bas de mon ventre et glissent vers mon sexe dressé au travers du caleçon. Je m’écarte un peu pour profiter du spectacle. Ma bite frotte contre sa chatte. Je sens le tissu s’humidifier. Je glisse le bras gauche sous son cou et commence à lui caresser les seins. La deuxième main se pose sur son ventre et se balade ; finalement, je l’utilise pour ôter mon caleçon, et re-glisse ma bite entre ses fesses.
Cette fois-ci je sens les lèvres de sa chatte s’écarter et les poils frotter contre mon sexe. Elle se cambre légèrement en soupirant. Je me recule un tout petit peu pour faire un mouvement de va-et-vient. Mon gland glisse le long de sa fente, remonte jusqu’à appuyer sur son clitoris puis redescend titiller l’entrée de son vagin. Et ainsi de suite.
Cela semble lui plaire autant qu’à moi. Je continue tout en lui massant le sein gauche de la main gauche pendant que la droite remonte du ventre jusqu’à sa gorge. Au moment où mes doigts se referment sur sa gorge, je la pénètre sans violence mais fermement. Je sens mon vit entrer en elle, écarter les chairs pour toujours entrer plus profondément jusqu’à sentir ses fesses se coller à mon pubis et mes couilles cogner contre sa chatte, puis je reprends les mouvements de va-et-vient ; un petit bruit de succion les accompagne. À chaque choc de mes hanches contre ses fesses je sens la moiteur augmenter. Elle mouille de plus en plus. Elle allonge une jambe, gardant la droite repliée, me permettant de la pénétrer plus profondément.
Je ne saurais dire combien de temps cela dure. Je suis totalement envahi par mon excitation que je ne me sens pas partir et je jouis en elle. Je continue les mouvements quelque temps en ralentissant pour finalement m’arrêter. Nous restons l’un contre l’autre, haletants. Quinze minutes plus tard me voilà ragaillardi.
Nous couchons ainsi plusieurs fois durant la nuit. Sans changer de position.
* * *
Lorsque je me réveille il fait déjà jour. Marianne dort encore, toujours dans la même position, sur le côté, une jambe repliée. Je relève le drap pour admirer son corps. La vue de son petit cul m’excite, mais après l’insouciance de la veille les questions et les doutes m’assaillent. Et peut-être une pointe de culpabilité. Dans mes fantasmes, j’imaginais avoir une aventure avec une femme mariée ayant des enfants, si possible. Bref, quelqu’un qui aurait autant à perdre que moi pour qu’il y ait moins de risques de complication. Marianne est célibataire. J’espère qu’à son âge elle ne se fera pas trop d’illusions. Bon, assez tergiversé : ce qui est fait est fait, et ça ne fera pas empirer les choses de le refaire.
Je pose ma main sur sa hanche. Pas un tressaillement. Elle doit dormir profondément. La veille, tout a été tellement vite que je n’ai pas eu le temps de graver dans ma mémoire les images de son corps. Cette fois-ci j’y vais doucement.
Elle a des petites fesses plutôt fermes. Je fais descendre un doigt du bas du dos jusqu’à son entrejambe, survolant son anus que je devine au creux de ses fesses, puis le posant à la naissance de sa chatte. L’endroit est encore humide, mais pas assez pour que je puisse l’immiscer sans forcer ou lui écarter les jambes. Pour arranger ce problème, rien de tel qu’un petit coup de langue. J’approche le visage de son petit cul, restant quelques secondes à humer, puis commence à faire courir le bout de ma langue à la naissance de ses lèvres. À quatre pattes, le nez enfoui entre des fesses, j’en profite pour me masturber.
Dort-elle encore ou fait-elle semblant ? En tout cas, elle bouge légèrement. Remontant un peu plus la jambe et se tournant légèrement, elle m’offre un accès bien plus complet à sa petite chatte. J’en profite pour la parcourir tout du long avec la langue et remonter jusqu’au petit renflement qui cache son clitoris que je commence à titiller. J’adore jouer avec ce petit bout de chair. Je l’aspire entre mes lèvres, le suçote. J’ai le menton qui frotte contre le reste de sa chatte ; ma barbe est toute poisseuse. La main que je n’utilise pas pour me branler se pose sur sa hanche, glisse sur son ventre et remonte vers sa poitrine. J’empoigne un de ses petits seins ; son téton est tout dur.
Dans l’état où je suis, je commence à avoir du mal à me contrôler. J’explore toute sa chatte à grands coups de langue avec de petits mouvements de tête circulaires pour pouvoir aller plus profondément. Elle m’accompagne avec de petits mouvements de hanches et commence à gémir. Je la pénètre avec la langue et farfouille dans son vagin. Y’a des fois, j’aimerais bien avoir la langue plus longue. Mon nez frotte contre son clitoris. Je m’enivre de son odeur, de son humidité. Je la suce, je la bois.
Par contre, je dois aussi respirer. Je me redresse, et ma main droite quitte mon sexe pour se poser sur le sien. Je la pénètre d’un seul geste avec mon majeur et commence à explorer du doigt ce que ma langue ne pouvait pas atteindre. Mon index et mon annulaire lui malaxent le clitoris, et mon pouce se pose sur son anus. Elle se cambre, permettant à mon majeur d’entrer encore plus profondément.
Mon pouce commence à forcer le passage. Marianne a une petite exclamation mais me laisse faire. Si les mouvements de mon majeur se font vifs, mon pouce, lui, la pénètre doucement, de plus en plus profond. Avec mes deux doigts en elle ainsi, l’image d’une boule de bowling vient perturber quelques instants ma concentration. Marianne en profite pour s’allonger complètement sur le ventre, les deux jambes jointes. Je retire mes doigts tout poisseux et je m’installe à califourchon sur elle. Elle a vraiment un tout petit cul ; du coup, j’ai l’impression d’avoir un très gros sexe : ça a ses avantages. Je glisse d’ailleurs ce dernier entre ses fesses. L’endroit étant parfaitement lubrifié, mon gland glisse et semble trouver tout seul l’entrée de son vagin.
Je reste un moment à regarder le bout de ma bite disparaître sous les deux petits globes de son cul puis je la pousse aussi loin que possible. Je l’attrape des deux mains par les hanches pour m’aider à aller le plus profondément possible ; elle se cambre et pousse un petit cri discret. Je commence ensuite de lents mouvements de va-et-vient, regardant mon sexe disparaître en elle puis réapparaître. Elle commence à bouger son petit cul pour m’accompagner, de plus en plus vite.
Mes mains quittent ses hanches. Je m’allonge un peu plus sur elle et les pose à côté de ses épaules. Mes coups de reins se font plus amples. Elle commence par suivre le mouvement puis s’aplatit sur le lit. Mon pubis cogne contre ses fesses, mes couilles font de même sur le haut de ses jambes. Son visage est enfoui dans l’oreiller et s’y enfonce un peu plus à chaque coup de boutoir. Je l’entends qui gémit. Pas moyen de savoir où elle en est au point de vue plaisir. N’y tenant plus, mes mouvements se font moins réguliers et je pars en elle.
Encore haletant, je la vois qui redresse la tête, regarde l’heure et me crie :
Moins d’une minute plus tard je me retrouve devant sa porte, la barbe encore dégoulinante de son jus, et j’ai juste droit à un « On en rediscute plus tard. Un autre jour. »
En retournant à ma chambre, je repense à ce qu’il vient de se passer. J’ai un peu l’impression d’avoir été utilisé comme un sextoy modèle autonome. Je l’ai prise à chaque fois par derrière ; du coup, je n’ai jamais croisé son regard. Nous n’avons pas échangé un baiser et elle ne m’a pas touché une seule fois.
C’est avec un grand sourire idiot que je suis arrivé en formation. Faudrait pas que ça arrive trop souvent, tout de même, mais être utilisé comme un objet n’est pas si désagréable.