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n° 18520Fiche technique23278 caractères23278
Temps de lecture estimé : 14 mn
22/08/18
Résumé:  Yoann n'aurait jamais imaginé que le sexe pouvait se cacher derrière le masque de ses collègues, ou plutôt il va apprendre à ses dépens que la passion fait pousser les ailes.
Critères:  fh collègues travail fellation cunnilingu pénétratio
Auteur : Wolpert      Envoi mini-message
Christine

Il ventait et il faisait froid aujourd’hui, comme souvent par ici. J’allais rentrer chez moi lorsque je la vois sur le bord de la route qui sortait du parking. Je la connaissais de vue seulement sans vraiment savoir quel était son poste ; je savais juste qu’elle bossait dans les bureaux au-dessus, blonde au carré, la quarantaine bien tassée mais bien conservée, plutôt athlétique et un teint un peu hâlé qui montrait qu’elle devait aimer la plage.


On n’était pas vraiment amenés à se croiser, et à part quelques eye-contacts naturels pendant les réunions de personnel, je ne lui avais jamais parlé. Visiblement elle attend quelqu’un mais il tarde à arriver, et dans sa simple robe blanche à fleurs elle essaye de se tenir au chaud comme elle peut en se serrant les bras ; et même si on ne se connaissait pas, à la différence des sous-traitants qui lui passent devant, je ne peux pas vraiment l’ignorer.

Arrivé à sa hauteur, je baisse ma vitre :



Elle regarde son portable puis au loin pour la forme avant de vite accepter.



Je la fais monter et reprends la route. Elle s’était mal comprise avec son covoiturage et s’était retrouvée sans plan B. Hélas pour elle qui avait seulement prévu une tenue légère, le temps s’était dégradé en cours de journée. Parlant de tenue légère, je me trouve bien gêné par la vue de son décolleté dans sa petite robe moulante, et étant dans la boîte depuis pas longtemps, je n’ai pas non plus envie de m’afficher à la mater, alors j’évite de la regarder. Je me concentre donc sur la route et, comme je n’arrive pas à faire deux choses en même temps, le début du voyage se passe dans un silence embarrassant.


Elle rompt la glace en me demandant ce que je fais et en m’expliquant un peu son boulot d’attachée à la direction. Je pensais qu’elle était plutôt du genre sévère, mais en fait elle est très sympa. Ceci dit, elle doit bien avoir quinze ans de plus que moi et je ne peux m’empêcher de rester intimidé.



Elle sourit.



Pas une once de tristesse dans la voix : c’est totalement assumé. Je le savais déjà, en fait : quand on est en couple, on ne dévoile pas ses attributs comme ça dans un milieu industriel où le dress-code est plus bleu de travail ou tailleur strict que robe à fleurs.



Je ne suis pas un canon de beauté mais je suis plutôt mignon ; la remarque me vexe un peu.



En voyant qu’elle ne me croit pas, j’avoue quand même que, bon, ça aurait été le gros Jean-Mi du cinquième, j’aurais peut-être pas proposé… Elle semble satisfaite de la précision. Finalement j’arrive chez elle. Avant de se quitter elle me fait la bise à travers la vitre ; j’ai mes yeux à hauteur de son décolleté. Elle n’a pas une grosse poitrine mais ça lui permet d’afficher de fulgurants cols en V plongeants… Elle est franchement bandante.



Puis elle rentre chez elle, et moi je ne peux décoller mon regard de sa taille et de ses jambes, et je ne pars qu’une fois qu’elle a fermé la porte.


À peine rentré chez moi je me jette sur le PC et j’ouvre mon site de porn habituel. Recroquevillé sur mon siège je me masturbe frénétiquement devant une blonde au carré en train de se faire pilonner et j’éjacule sur mon torse en moins de trente secondes. Dans ma tête, j’ai joui en pensant à Christine.

« Allez, fini les conneries ; on se ressaisit et on range tout ça. »


**********



Le lendemain, je suis tranquille dans mon bureau quand la fenêtre de messagerie instantanée s’ouvre sur l’écran :

« Salut ! Tu es à ton bureau ? »

Je réponds oui.

« OK, j’arrive. »


Ban sang, elle a combien de robes différentes ? Montée sur talons, dans une robe à fleurs roses aussi moulante que la veille, Christine me fait la bise et m’offre encore une fois une splendide vue sur son décolleté. J’entrevois le trait de ses seins et je me prends d’une envie de les sortir à pleines mains. J’essaye de regarder ailleurs.



Elle se retourne en roulant involontairement des hanches.



Je suis en train de bander comme un âne ; impossible de me lever en l’état.



Je me pose un moment à la fenêtre en attendant que la tension retombe et la rejoins à la machine à café. La discussion commence boulot puis elle me met bien mal à l’aise en me posant plein de questions sur ma copine.


Il n’est que 14 h ; je retourne à mon bureau. 14 h 15. 14 h 30. 14 h 45. L’après-midi est interminable et je commence à tourner en rond ; alors, à défaut de pouvoir me concentrer, je décide de sortir ma paperasse en retard. Loi de l’emmerdement maximum oblige, l’imprimante tombe en rade, comme ça arrive chaque semaine. Qu’à cela ne tienne, je file à celle de l’étage du dessus… Décidément, le destin joue avec moi aujourd’hui.



Elle s’agenouille alors pour fouiller dans la rame de cartouches et sa tête se retrouve à hauteur de mon entrejambe… Un éclair me passe où je suis en train de lui éjaculer au fond de la gorge. « Couché ! » intimé-je à mon sexe sur les nerfs. Elle se redresse subitement et se retrouve seins dressés devant moi.



Elle me regarde dans les yeux, sévère.



Elle n’a pas un poste où il lui est permis de sécher le travail.



Elle file droit dans les couloirs en claquant des talons et je marche en canard, tout figé, en me retenant de la mater. Si je commence à la détailler je ne vais pas pouvoir m’arrêter. Vraiment, ce n’est pas possible qu’elle ne m’ait pas remarqué, mais elle reste imperturbable. On marche comme ça jusqu’à l’atelier, désert à cette heure, les opérateurs étant de matin et elle s’appuie sur l’imprimante, dos cambré, croupe offerte à ma vue.



Innocent, je me rapproche pour regarder par-dessus son épaule.



Finalement, je suis tout contre elle et je sens mon sexe se gonfler malgré moi. Christine s’arrête soudain de pianoter sur l’écran de l’imprimante. Je me prépare à bafouiller un mot d’excuse mais elle ne se dégage pas et reste contre moi en silence. Je palpite à deux cents à l’heure mais j’aime ça. Elle ne se trémousse pas, elle ne minaude pas : juste elle reste contre moi et tourne son visage vers le mien comme si c’était naturel. Elle a ses yeux plantés dans les miens et je sens que je dois être rouge comme une pivoine.


Je sais qu’on est seuls. Sans un mot et tout tremblant, je m’agenouille devant ses fesses et je lui caresse les jambes, la croupe. Christine se cambre un peu plus et je plonge mon visage entre ses fesses. Je lui malaxe, lui descends la culotte et avance ma langue le plus loin que je peux pour atteindre son clitoris et me balader entre ses lèvres. Toute ma tension tombe; je veux lui brouter la chatte tout l’après-midi. Je n’entends rien. Je n’ai aucune idée de si elle apprécie ou pas mais vu comment elle se met à rouler du cul sur mon visage, je me dis que je dois continuer. De toute façon je suis hypnotisé et je ne sais pas m’arrêter.

Collé entre ses fesses, je remonte et passe ma langue humide sur son anus.



Ah ça, ça la surprend. J’insiste, et après une minute je suis littéralement en train de lui bouffer le cul. Je remonte ma main et commence à faire des allers-retours avec mon index. Elle n’est plus du tout imperturbable et commence à gémir.


L’imprimante s’anime et m’interrompt : nous ne sommes pas les seuls à avoir besoin d’une imprimante. Je me relève à la hâte et la regarde, interdit. Je ne sais pas si j’ai fait une connerie, mais je bande à en avoir mal et je veux la prendre, là, tout de suite.



Des bruits de pas se rapprochent ; elle se rhabille et me lâche un « Je passe à ton bureau. » avant de me laisser en plan. Elle passe devant les deux collègues et leurs papiers et remonte les étages comme si rien ne s’était passé, et moi je file me débarbouiller de toute la cyprine que j’ai sur le visage.


Je remonte à mon bureau, incapable même de faire semblant de travailler, et Christine ne vient toujours pas. Trente minutes plus tard elle passe en papotant avec ses collègues.



Je suis fébrile et elle s’amuse de me voir essayer de sauver les apparences.


La voiture à peine lancée, elle me regarde avec un grand sourire et lève sa jambe. Elle a la chatte à l’air et commence à se toucher en me regardant intensément et se mordillant la lèvre. Ça devient difficile de conduire, et je ne vais sûrement pas passer le gardien comme ça. Je cherche un coin où m’arrêter mais ne trouve que le parking des opérateurs un peu plus loin, heureusement désert. Elle se jette sur mon entrejambe avant que je puisse bouger, sort mon sexe et l’englobe tout entier avant d’enrouler sa langue sur mon gland et le ressortir lentement dans un grand bruit de succion.



Je suis en sueur. Je l’attrape derrière la nuque et lui repose la bouche sur mon sexe. Elle commence des va-et-vient sirupeux de plus en plus rapides et tire fort sur mon gland ; avec son autre main elle me tire sur les bourses. Je vois sa salive qui coule contre mon sexe tendu et son regard qui me pénètre. J’explose dans un râle de délivrance.


Je n’ai pas le temps de reprendre mes esprits ; elle vient coller sa bouche contre la mienne et je sens un flot âcre couler sur ma langue. Ça me rebute mais elle me roule une pelle d’enfer et continue d’astiquer mon sexe encore tressautant ; elle fouille ma bouche de sa langue et je me vois forcé d’avaler ma propre semence. Elle me regarde tirer la grimace avec un grand sourire et annonce fièrement :



Elle allonge mon siège et vient se poser à califourchon sur mon visage. Je peux enfin prendre ses seins à pleines mains et je m’en donne à cœur joie. Maintenant que je suis un peu calmé, je fais le tour de ses lèvres, je la titille du bout la langue, je plonge ma langue au plus loin dans son vagin jusqu’à ce qu’elle me demande d’arrêter ; « Hé, chacun son tour ! » Je continue à lui boire goulûment l’entrejambe jusqu’à ce qu’elle lâche prise et s’effondre sur moi.

On reprend notre souffle quelques minutes et on sort enfin du site.


Sur le chemin, je recommence à bander. Je n’ai jamais fait le trajet du boulot aussi vite de ma vie. Arrivé, je la suis jusqu’à sa porte, et là elle m’embrasse et me lâche :



Je commence à enrager de ne pas conclure, mais elle pose doucement sa main sur ma bosse.



Et elle me laisse à ma frustration avec un clin d’œil.


Je tiens ma promesse. J’ai rongé mon frein toute la fin d’après-midi mais je finis par profiter d’être rentré plus tôt. Je termine mon ménage, je m’assoupis sous une douche brûlante, j’essuie trois séries d’affilée et je souffle enfin sur ma frustration. J’avais regretté un moment que ma copine ne soit pas avec moi, mais après réflexion je me dis que ce n’est pas plus mal. Je compte bien vivre mon incartade jusqu’au bout et on verra bien ce qui arrivera demain. J’ai l’intuition que Christine s’amuse bien mais une fois l’aventure consommée, elle ne va pas vouloir s’enterrer dans une relation, et ça m’arrange très bien ; mais je n’ai pas envie non plus de perdre le contrôle ou que Christine me fasse tourner en bourrique.


**********



Le lendemain matin, on avait convenu que je l’amenais. Je l’attends pour la récupérer ; nouvelle robe, coquelicots, affriolante à souhait, un sautoir entre les seins et des chaussures talons à lacets. Elle monte dans la voiture et va pour me faire la bise. Je m’esquive et je vise sa bouche. Elle sent un liquide épais lui couler dans la bouche et se dégage violemment.



Elle s’arrête en constatant le goût de caramel.



Elle commence à bouder.



Elle continue à bouder sur quelques centaines de mètres.



Elle me lâche un bécot.



La matinée se passe, et entre deux tâches j’échange quelques messages avec Christine pour prendre la température. Je lui paye un café à la pause et j’essaye de la dérider un peu mais j’ai droit à une superbe poker-face. Bon.


Message par SMS : « Je te covoiture toujours ce soir ? »

La réponse tombe exactement soixante minutes plus tard : « Je sais pas ;) »


OK, jouons. Je décide de jouer avec les photocopieuses. Comme on est tous en réseau, on peut voir qui imprime quoi et sur quelle imprimante ; et avec la moitié des imprimantes en rade, je me dis que ça ne va pas se bousculer dans les salles de repro. En début d’après-midi, je mets mon plan à exécution.


Phase 1 : Mes collègues sont tous occupés. Je récupère un de mes fichiers et je demande à Christine si elle peut me l’imprimer parce que, comme par hasard, je n’arrive pas à accéder aux autres imprimantes. Elle me répond que pas de souci. Je regarde : elle n’a pas pensé à vérifier la taille du fichier. 500 Mo viennent de se lancer sur l’imprimante n° 2, troisième étage ; ça va mettre un moment.


Phase 2 : Je récupère un mail de panne de la veille et je le rediffuse à toute la boîte : « Imprimante n° 2 troisième étage en panne. »


Phase 3 : Je file au troisième étage.


Christine est là, dans le petit local repro, dans sa robe, à pester contre l’appareil en train de charger. Je rentre et je pose une chaise contre la porte.



Je l’interromps en l’attirant à moi et en collant ma bouche à la sienne. Elle essaye de se débattre mais ma main contre ses fesses la retient. Elle finit par ouvrir la bouche pour accepter ma langue et se laisser faire. Je la pelote à loisir pendant une bonne minute et je vois qu’elle jette un regard inquiet à la porte.



Je lui susurre dans l’oreille :



Je remonte mes doigts contre ses jambes et trouve le clitoris derrière le tissu de sa robe.



Elle se mordille la lèvre. Déjà dur. Je baisse mon pantalon et je la soulève contre le mur. Elle pousse un petit cri de surprise.



Un coup de ciseau et sa culotte finit dans ma poche. Je la soulève, la pose contre le bout de mon gland et la laisse redescendre tout doucement.



Elle ouvre grand les yeux, fascinée par son sexe en train d’avaler le mien puis je la lâche subitement.



Elle vient de s’empaler sur moi et laisse échapper un râle de satisfaction autant que de surprise et s’agrippe à moi pour ne pas tomber ; j’en profite pour la plaquer encore plus contre le mur. Je la fais sauter contre mon sexe et elle se retient de crier à chaque coup. Le haut de sa robe est maintenant tombé à hauteur de taille et je vois ses seins et son sautoir sautiller à chaque rebond. J’en gobe un. J’accentue ma pression contre ses fesses et mon majeur se retrouve à quelques millimètres de son anus. Elle se trémousse sur mon sexe, sentant les sensations monter. Je remonte ses genoux sur mes épaules. Elle est maintenant complètement coincée et complètement offerte. L’angle est parfait et la pénétration maximale. J’accélère. Elle se plaque les mains sur la bouche pour ne pas crier son orgasme, et moi j’éjacule tout ce que j’ai. Je ralentis pour reprendre mon souffle mais je suis toujours dur.


Elle ne doit pas s’attendre à ce que la séance continue ; avec des yeux mi-apeurés mi-envieux, elle me regarde l’allonger sur l’imprimante et, ses genoux toujours sur mes épaules, je lui adresse un regard lubrique et je continue à la pilonner avec la même intensité. On se laisse tous les deux transporter pendant une longue minute puis je vois son clito gonflé par mes coups de reins. Je passe mon pouce dessus et, surprise, elle éclate d’un second orgasme. Je n’attends pas qu’il finisse ; ça me gonfle à bloc et je me tends le plus que je peux au plus profond d’elle et je viens une deuxième fois. Cette fois mes jambes se dérobent et je m’effondre. Au bout de mon gland, le préservatif est plein à craquer.


Personne n’est venu ; l’imprimante commence enfin à cracher ses premières feuilles. Je relève Christine encore tremblante, lui rajuste sa robe et la serre dans mes bras le temps qu’elle se calme. Un petit massage des épaules finit de la remettre d’aplomb et de lui redonner sa constance.



Le soir, je ramène Christine pour une dernière fois avant un bon moment ; j’ai pris ça comme un sursis avant qu’elle ne se décide à me rappeler ma promesse. Mais la glace est bien brisée et je gagne une bonne copine au boulot.


Le lendemain, ma copine ne comprend pas. À peine sorti de la gare, moi qui suis d’habitude si réservé, je me gare dans une arrière-cour, je lui recule le siège au max et je viens me caler entre ses jambes. Elle a un orgasme paniqué en pleine ville et reste le souffle saccadé, culotte au sol, jusqu’à la maison. « Oh-oh, ma chérie, tu n’as pas idée à quel point tu m’as manquée. »