Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 18524Fiche technique29618 caractères29618
Temps de lecture estimé : 18 mn
25/08/18
Résumé:  Ma femme découvre les plaisirs d'avoir deux hommes.
Critères:  fhh couple hotel voir lingerie massage fellation cunnilingu pénétratio fdanus yeuxbandés init tutu -couple+h
Auteur : Petites Douceurs  (Un couple de quarantenaires très amoureux)
J'invite un homme dans notre couple

Dans une ville des Hauts de France, un samedi de printemps. 16 h 30, il est l’heure que nous partions vers le lieu de rendez-vous si nous ne voulons pas être en retard. Depuis quelque temps maintenant, j’organise ce qui promet d’être une délicieuse soirée, un moment intense et mémorable. Un de ces moments qui forgent notre histoire de couple.


Tu es très belle, tu t’es apprêtée juste ce qu’il faut, comme j’aime. Nous avions choisi ensemble les vêtements que tu porteras aujourd’hui. Une robe sexy, des bas noirs, cette paire de chaussures que tu ne mets que dans ce type d’occasion. Tu es maquillée sobrement, ce qui te donne tellement de charme. Mon cœur bat plus fortement, ta tenue me rappelle que c’est aujourd’hui que ça se passe.


Comme souvent, j’ai ces mots qui me viennent à l’esprit : je suis tellement heureux de t’avoir épousée. D’être celui qui partage ta vie. Fier aussi que nous ayons su maintenir cette flamme allumée, aussi vivace. Et en ce samedi, la vivacité de cette flamme va être le cœur de nos attentions.

À cette heure, mes sentiments sont mélangés. Non pas te concernant, mais j’ai à la fois, hâte de vivre cette soirée et j’espère aussi que tout se passera comme je l’ai imaginé, voire encore mieux.


Comme toi, j’ai tenté de faire des efforts vestimentaires, même si c’est en général bien plus simple et banal pour un homme. Nous vérifions que nous avons tout, le sac est près, il ne nous reste plus qu’à fermer la maison.


J’aime ce moment où nous nous retrouvons dans la voiture. Le temps s’arrête, ou plus précisément, le temps est près de s’arrêter. Nous savons, toi et moi que, lorsque nous serons arrivés à destination, le temps se stoppera. Nous ne saurons plus où nous sommes, quand nous sommes. C’est une caractéristique majeure de ces soirées.


Mes mains sont baladeuses. Je te caresse doucement la cuisse. Tu ronronnes de satisfaction. Je remonte sur le haut de tes cuisses vers ton string. Je le caresse d’un doigt rapide sur le tissu délicat, juste sur ton petit bouton. J’adore ça. Tu me réprimandes gentiment. Un jeu qui me rappelle que tu aimes ces caresses, mais que tu préfères te ménager, car la soirée risque d’être longue. Je glisse désormais ma main dans ton soutien-gorge, caresse, masse ton sein droit (d’ailleurs seul à pouvoir profiter de ce type d’attention lorsque je suis dans la voiture)



Paradoxalement, tu mets à ton tour ta main sur ma cuisse, puis tu jauges de la bosse que fait mon sexe à travers mon pantalon.



Nous en rions ensemble. Quelques minutes passent, le trajet se déroule devant nos yeux et nos esprits rêveurs.



Nos yeux se croisent, et tout notre amour est résumé dans ce regard. Nos yeux pétillent, ils nous montrent combien nous sommes attachés l’un à l’autre. J’aime ces moments où nous ne parlons pas et où, pourtant, tout est dit. Je me sens en confiance. Nous sommes forts, nous sommes uniques.


Et toi ? Je te sens, à la fois un peu anxieuse de ne pas savoir tout à fait ce qu’il va t’arriver, un peu inquiète à l’idée de ne pas être « à la hauteur » comme tu le dis. Et puis aussi soucieuse de ne pas savoir ce qu’il pourrait se passer après. Heureusement, je suis là pour te rassurer. Nous y voilà. Je tourne et fais entrer la voiture par une large porte-cochère en ferronnerie. Je gare la voiture un peu plus loin sur un emplacement libre. La bâtisse est immense. Une monumentale maison de maître ou un petit château selon les références de chacun.


Tu ne le sais pas encore, mais ce soir, nous serons dans la suite « des hérons », juste sous les toits. Nous serons à l’abri des regards indiscrets, mais surtout, à l’abri des oreilles un peu trop chastes. Nous prenons possession des lieux. Ou plutôt, je prends possession des lieux, puisque tu as interdiction pour l’instant de visiter la suite et d’aller plus loin que le simple petit coin salon dont les deux fenêtres donnent sur le parc. Je te missionne après t’avoir tendrement embrassée et caressé les seins.



J’ai effectivement pas mal de choses à organiser. La chambre à réorganiser, la salle de bain aussi. Mais aussi, une petite pièce attenante qui a été, je l’avoue, un critère de choix de cette suite, et plus globalement de ce lieu hors du temps.

Une fois choisi ton repas, je t’abandonne encore cinq minutes pour passer commande. Tu râles en m’expliquant que je te laisse encore seule, et que cela suffit ! Petite plaisanterie habituelle entre nous.



Pendant le temps que je te demande encore de me donner, tu prends ton livre, lis une poignée de pages, tout en visitant les recoins du petit salon.

Peu après 18 h, tout est enfin prêt. En tout cas, tout ce qui peut être prêt pour le moment. Je te propose d’attendre 19 h en marchant un peu dans le parc. Je laisse la clé de la suite à l’accueil, et nous partons à l’arrière de la maison dans le parc pour y découvrir les trésors.


19 h, je suis dans le timing. Je récupère la clé de la suite à l’accueil, et nous montons les marches doucement, jusqu’au sommet de l’édifice. J’ouvre la lourde porte de bois, nous allons au salon, la soirée peut commencer.

Après t’avoir fait languir pendant des jours, il est temps de te donner quelques informations sur le déroulé de la soirée.



Le lieu est rare, tu es belle, tes habits te donnent cet air à la fois classe, sexy, voire coquin. Il me faut une sacrée volonté pour ne pas te déshabiller, mais nous réussissons tous les deux à rester dans le cadre de cette séance. Puis la séance photo prend fin lorsque nous regardons le résultat des clichés. Il est temps de passer à l’étape suivante, il est maintenant près de 20 h.


Un dernier bisou en nous regardant les yeux dans les yeux. Je sors un ruban de tissu épais de ma poche que je noue autour de ta tête. Je vérifie que tu n’auras pas la possibilité de voir, ni par dessus ni par dessous. Il ne faudrait pas que tu sois tentée.


Je te guide dans cette pièce particulière, attenante à la chambre. Tu entends une musique douce et tu peux sentir un parfum délicatement fleuri qui emplit la pièce.

Je te déshabille doucement, t’embrasse les seins, les fesses au gré des occasions. Je te caresse aussi le dos. Mes doigts s’insinuent rapidement entre les lèvres de ta petite chatte lisse. J’écarte tes fesses, car j’aime tout autant que tu aimes. Tes yeux sont toujours plongés dans le noir. Je t’aide à t’allonger sur ce qui te paraît être une table de massage ou un lit haut. Un dernier bisou sur tes lèvres, je te demande de te mettre sur le ventre et pose une serviette.



Je m’absente trois ou quatre minutes de la pièce et reviens auprès de toi. Je prends de l’huile tiède et je commence à te masser.

La base de la tête, le cou, les épaules. J’aime masser ta peau et te sentir détendue. Rajouter à loisir de l’huile pour que cette sensation soit décuplée. Tes mains cherchent quant à elles à m’attraper. Mais je reste vigilant à rester concentré à ce que je fais.

La musique change, et je me déplace moi aussi un peu plus bas. Je masse, caresse, malaxe ton dos, puis tes reins, et finalement le haut de tes fesses cachées par la serviette. C’est enfin le tour de tes pieds, de tes jambes de subir ce délicieux traitement.

Je remonte doucement près de ton oreille.



À cet instant, je reprends mes massages sur ton dos et tes reins. Tout en continuant cet agréable massage, tu sens deux nouvelles mains se poser sur tes jambes. Tu tressailles !

Je te glisse doucement à l’oreille :



Le temps se suspend, puis les quatre mains se remettent à parcourir ton corps. Ton dos et tes jambes… pour l’instant.

Je te sens doucement te détendre et profiter, il est temps pour moi de guider ces deux nouvelles mains afin de leur permettre de découvrir ce territoire inconnu. Deux mains d’un côté de ton corps, deux autres de l’autre, elles œuvrent en symétrie. Tes mollets, tes cuisses, elles remontent doucement. Nous nous permettons d’effleurer tes fesses, puis nous caressons ton dos, tes épaules, tes bras. Tu t’abandonnes complètement à ces sensations.

Des frissons énormes te parcourent. J’aimerais voir tes yeux, mais ils sont toujours masqués par le foulard opaque. Tu penses reconnaître ma main lorsque je la glisse dans la tienne. Qu’attends-tu ? Le sais-tu ?

Tu me laisses prendre l’initiative.


Les quatre mains poursuivent leurs découvertes. Elles arrivent sur tes fesses, elles les caressent, les serrent, les malaxent. Deux mains descendent pour écarter un peu tes jambes, pendant que deux autres mains écartent délicatement, mais fermement tes deux fesses. Le spectacle est très excitant pour nous.

Nous pouvons voir ton anus, et ta chatte, d’ores et déjà tout humide d’excitation.

Pas que cela me rassure, car je n’avais pas d’inquiétude, mais je souris de te voir déjà dans cet état.


L’une des mains ne peut s’en empêcher, elle glisse lentement vers ton sexe. Un doigt caresse subrepticement ton clito, s’insinue à peine entre les lèvres de ta chatte, puis remonte pour passer sur ton anus, qui se serre un peu au passage. Tu émets un son de contentement. Avant que cela dérape trop vite, je te glisse à l’oreille :



Nous t’aidons à te retourner. Tu nous offres désormais une vue encore plus suggestive.

La découverte de ton corps peut reprendre. Tu l’aurais peut-être voulu, mais nous n’arrivons pas à rester sur tes jambes. Les quatre mains sont inlassablement attirées par le reste de ton corps, ton ventre, tes épaules, et tes seins.


J’ai du mal à t’imaginer avec cette sensation de ne plus savoir où donner de la tête, à essayer d’imaginer à chaque instant ce que vont faire ces mains curieuses. 4 mains, vingt doigts dévoués à ton plaisir, à ta peau, à tes sens. Je souris en voyant ta langue venir mouiller tes lèvres, à te voir avaler ta salive, et à constater que ta respiration s’accélère. C’est ce que j’attendais de cette soirée extraordinaire. Mais cette soirée n’est justement pas terminée. Deux mains viennent enserrer chacun de tes seins, faisant darder tes tétons pointant vers le ciel. C’est le moment où deux bouches viennent chacune en même temps s’occuper de tes seins.


Tout d’abord de petits bisous, puis de délicats baisers, puis les langues viennent s’aventurer sur tes aréoles. En quelques instants, tes sensations sont mêlées. Tes seins sont caressés, léchés, embrassés, sucés. Tes tétons pointent encore plus fort. Tu sens à peine les deux dernières mains qui te caressent les hanches et les cuisses.


Et puis, pour la première fois, tu poses chacune de tes mains sur les deux têtes qui t’offrent ses plaisirs. À la fois pour nous guider, mais aussi pour nous faire comprendre que tu veux que cela continue, que tu aimes, tout simplement.

Deux lèvres s’offrent aux tiennes, pour un baiser langoureux, très humide. Tu sais bien évidemment si ces lèvres et cette langue qui vient batifoler avec la tienne sont les miennes ou non.

À cet instant, nous sommes dans une bulle, plus rien n’existe, nous ne maîtrisons plus rien. Nous sommes à la fois acteurs de cette scène, et quasiment spectateurs. Nous nous laissons porter. Tu as toujours ton foulard.



Ta décision me convient et je la comprends. Il est temps de poursuivre l’exploration.

Deux bouches, quatre mains, un corps. Que d’endroits à courtiser, à flatter. L’un de nous reste sur tes seins, en les embrassant et en les caressant. L’autre t’embrasse le ventre, tu sens une main délicate s’approcher de ta chatte. Des petites caresses sur des grandes lèvres luisantes, puis un majeur vient doucement s’aventurer sur tes lèvres, et autour de ton clito.


Le doigt sur ta chatte virevolte délicatement autour de ton bouton, et parfois vient appuyer, titiller ton clito gonflé de désir. Les baisers qui étaient au départ sur ton ventre descendent progressivement. D’abord sur ton pubis épilé si excitant, puis un baiser est déposé sur ton clito, tu sursautes encore une fois.


Une langue chaude vient goûter ta chatte. Ton parfum est délicieux, ton goût troublant. Pendant ce temps, une autre bouche vient t’embrasser et à nouveau, deux langues s’entremêlent. Les caresses sur ta chatte continuent. Ton clito gonflé subit les assauts d’un doigt, puis de deux.


De temps à autre, tu sens aussi deux doigts pénétrer ta chatte trempée. Ta respiration se saccade. Tu bouges tes bras, tes mains cherchent à s’accrocher à nous. Tu t’approches de chaque côté de la table de tes deux serviteurs. Sous nos pantalons, nos deux sexes sont à l’étroit. C’est à ce moment que tu décides de nous caresser à travers le tissu. Tu peux constater tout l’effet que tu nous as fait.


Les caresses sur ton clitoris redoublent, et après quelques instants, nous te voyons te cambrer, nous susurrer un long « ouuuiiiiiiii, encoooore… » de satisfaction, puis nous te voyons haleter, ne plus pouvoir respirer, je sais que tu viens de jouir. Tu restes groggy quelques instants, nous t’aidons tous les deux à te relever. Te voilà maintenant entre nous deux. Moi devant toi, lui derrière toi, nous pouvons doucement te caresser. La situation doit te paraître un petit peu injuste, alors que nous pouvons voir tout ton corps, et que nous sommes encore habillés.


L’une après l’autre, tu déboutonnes nos chemises et nous voilà désormais torse nu. Nous nous rapprochons tous les trois, et le contact de nos peaux est très agréable, sensuel. Tu attrapes avec chacune de tes mains nos ceintures et tu nous attires sûrement dans un canapé juste à côté de la table de massage que nous avions installé là, pour la situation. Tu nous fais asseoir l’un à côté de l’autre, puis tu desserres nos ceintures et déboutonnes doucement nos pantalons. Nous sommes tous les deux à ta merci, les pantalons sur les genoux, les chaussettes encore aux pieds.


Afin de passer cette situation tellement excitante, Raphaël (tu apprendras son prénom plus tard) et moi nous mettons à poil et nous nous rasseyons, bien sages. Tu observes nos sexes tendus, et tu joues avec tes mains. Tu caresses aussi nos testicules.

Pendant ce moment où nous t’observons en train de nous caresser tour à tour, nous décidons sans préambule de te caresser les seins, les épaules, les cheveux.

Après quelques minutes de ce délicieux traitement, nous nous relevons et tu viens t’asseoir à ton tour dans le canapé.


Nous sommes tous les deux désormais à genoux à tes pieds. Un nouveau ballet débute puisque les deux hommes qui sont là pour te satisfaire recommencent à t’embrasser à nouveau les seins, à aspirer tes tétons bandés par l’excitation. Puis les rôles évoluent délicatement ? Je viens t’embrasser, ta langue sort de ta bouche, cherchant à toucher la mienne à tout prix. Pendant ce temps, Raphaël, lui, descend à nouveau sa main et ses doigts pour caresser ta chatte que je sais encore toute trempée. Je te sens tout excitée.

D’une voix tendre, tu nous dis :



Raphaël et moi ne nous faisons pas prier, même si, nous ne savons pas réellement ce qui nous attend ou plutôt, nous l’espérons sans trop y croire. Tu prends mon sexe dans la main gauche, celui de Raphaël dans la main droite, et tu approches très légèrement ta bouche des couilles de Raphaël. Tu les embrasses, tu les lèches, mais peut-être par timidité, tu n’oses pas les gober comme tu aimes le faire sur moi. Je garderai ce privilège aussi.


Quelques instants plus tard, tu approches ta bouche du gland de Raphaël, puis tu insères son vit tout entier dans ta bouche. Tu remontes à nouveau, et je vois ta langue virevolter sur son gland, puis à nouveau engloutir sa hampe. Je te vois tellement coquine, tu le regardes dans les yeux, puis à mon tour, nos deux regards se croisent et sans avoir à nous parler nous savons combien nous sommes complices et combien nous jouissons de ce moment.


Par souci d’égalité ou d’équité peut-être, tu changes ensuite de sexe pour venir t’occuper du mien. J’ai le droit à un traitement similaire à celui de Raphaël. Tu n’oublies pas pendant ce moment de caresser son sexe qui est encore tout humide de ta salive. J’adore ce moment où je te trouve à la fois coquine, belle, et assez très cochonne.

Les deux hommes qui sont là pour toi sont tout excités grâce à tes caresses et à toutes les attentions que tu nous portes, mais il est bien trop tôt pour craquer et nous désirons faire durer le plus longtemps possible cette soirée.


Que de changement ! Te voilà à nouveau assise sur le canapé, légèrement allongée sur les coussins, les jambes ouvertes pour que nous puissions voir ta chatte trempée. Avec deux de mes doigts, je viens doucement caresser ton clito très gonflé. J’ouvre doucement ta chatte pour que Raphaël puisse à son tour y glisser un doigt, ou deux.

Je te vois et te sens te cambrer pour que ses doigts viennent au fond de toi. C’est ton signe pour les sentir le plus profond possible en toi. Je suis tenté de glisser aussi un ou deux des miens pour voir comment tu vas réagir. Je cherche ton regard afin d’avoir ton consentement. Tu as, à cet instant, nos deux index et nos deux majeurs dans ta chatte, nous n’avons pas besoin de faire de mouvement pour te donner du plaisir. Nous sentons tous les deux ton vagin se contracter autour de ces quatre coquins d’intrus.


À cet instant, les choses se précipitent, et tu décides de prendre la main sur le déroulé de cette soirée. Tu laisses Raphaël s’affaler à ta place dans le canapé, tu viens te mettre au-dessus de lui, pour pouvoir lui sucer le sexe pendant que je caresse ta chatte et tes fesses. Tu devais l’imaginer, j’en profite aussi pour doucement insérer un doigt dans ton petit cul qui s’ouvre sous mes exquises sollicitations. Raphaël reste dans cette position, tu lui donnes un préservatif pour qu’il puisse l’enfiler.


Tu t’installes au-dessus de lui à califourchon, prends son sexe en main, et viens le placer juste à l’entrée de ta chatte. Je vois ensuite ton cul se baisser délicatement et je vois disparaître ce sexe en toi. Je profite quelques secondes de cette vue tellement excitante, puis j’approche mon sexe de ta bouche afin que tu puisses en même temps me donner du plaisir.

Un moment, nous nous regardons tous les trois tours à tour et pouvons voir de grands sourires sur nos visages qui nous montrent combien nous prenons du plaisir à cet instant et, ô combien, ce moment est unique. Nous enchaînons les positions comme si nous étions insatiables. Encore une fois, le temps semble suspendu.


Les va-et-vient de Raphaël se font de plus en plus rapides et ce traitement l’amène jusqu’à la jouissance dans un râle sourd. Raphaël et moi te mettons tout au bord du canapé, je m’agenouille juste devant toi et à mon tour, je fais rentrer mon sexe dans le tien. Ton sexe est brûlant, le moment torride. Tu places ta main sur ton clitoris pour te caresser. Notre excitation étant tellement grande, nous jouissons tous les deux en même temps.


Je n’écrirai pas ici les paroles que nous échangeons, mais force est de constater que chacun a été comblé par ce moment. Il est temps de nous prendre une petite coupe de champagne, car il fait vraiment très chaud dans cette chambre nous pourrons aussi accompagner cet alcool frais par un peu de nourriture à manger avec les doigts.


C’est ce que nous faisons en récupérant trois peignoirs qui nous attendaient sagement dans la salle de bain. Cette coupe de champagne est vraiment la bienvenue, et nous continuons à échanger sur cette première expérience, sur les positions et le plaisir infini que nous avons pu prendre ensemble quelques minutes auparavant.


Je te caresse la cuisse, tu me serres doucement, quelle nouvelle première fois exceptionnelle. Ce moment se grave à l’instant dans nos mémoires et y restera comme de nombreux autres moments de complicité. Nous terminons cette pause avec quelques fruits. Notamment avec du raisin, que je te sais apprécier. Nous nous dirigeons ensuite tous les trois vers la douche pour nous rafraîchir.


Tu ne l’avais pas encore vue, mais la chambre dispose d’une belle et grande douche à l’italienne, nous pouvons y rentrer allègrement tous les trois. Nous laissons chacun notre tour tomber nos trois peignoirs et, dès que l’eau de la douche a atteint une température agréable, nous nous glissons tous sous l’eau ruisselante. Raphaël prend gentiment le pommeau de douche et te verse l’eau sur toi, pour que tu n’aies pas froid.

Les deux sexes de tes deux complices du jour ont repris une taille et une forme conventionnelle. Je prends le gel douche et verse une noix dans la paume de la main de Raphaël. J’en fais de même dans la mienne. Sans qu’il y ait besoin de plus d’explications, nous commençons à te laver. Ton corps est encore couvert d’huile du massage qui a débuté notre soirée, moment qui nous semble à cet instant terriblement loin, tant de choses se sont passées depuis. Nous passons furtivement sur tes fesses ton sexe et ton anus.


Raphaël, consciencieusement, te rince et nous te laissons sortir la première de la douche. Pendant que tu te sèches, lui et moi nous nous lavons à notre tour. Avant que nous sortions de la douche, tu es sèche, et tu nous abandonnes dans la salle de bain.

J’en profite pour demander à Raphaël si tout va bien. Il me répond avec un grand sourire et me dit :



Nous revenons tous les deux dans la chambre, tu t’es installée nue dans le lit, les oreillers maintiennent ton dos. Je souris en voyant ton air un peu désinvolte, et ton petit sourire coquin. Raphaël et moi nous rapprochons de toi, nous sommes tous les trois tout frais, la peau frissonnante. Raphaël est à ta gauche, je suis à ta droite, je m’approche doucement de toi et t’embrasse. Je viens te glisser à l’oreille quelques mots doux :



Tu me glisses à l’oreille un long :



Raphaël est lui aussi un coquin, pendant que je caresse doucement du doigt le galbe de ton sein, ton téton, lui approche doucement, fébrilement, son doigt de ta petite chatte. Il caresse doucement tes grandes lèvres, passe sur ton pubis imberbe, puis glisse un majeur sur ton bouton.


À mon tour, bien au milieu du lit, je m’allonge sur le dos. Mon sexe est à nouveau tendu, je te trouve si belle et si excitante. Tu viens te placer au-dessus de moi, et cette fois-ci, c’est moi qui ai la chance de profiter de cette position. Comme j’aime à le faire quand nous sommes tous les deux, je prends chacune de tes fesses dans mes mains, les malaxe, et les écarte doucement, mais fermement afin d’ouvrir ton petit cul.


Raphaël est derrière toi, tu ne le vois pas, mais il observe, scrute attentivement, profite de cette vue tellement excitante pour un homme. Je glisse d’ailleurs un doigt vers ton petit cul, fais rentrer dans ton anus une, puis deux phalanges. Tout ceci si facilement.

Pendant que tu fais des va-et-vient sur mon sexe, Raphaël vient se mettre derrière toi. Je te sens un peu inquiète, mais tout a été clair dès le début, les règles ont été fixées. Raphaël passe ses bras autour de ton torse et vient prendre chacun de tes seins dans ses mains pour les presser, les malaxer, les caresser. Je vois ses doigts titiller tes tétons, les pincer, et pendant ce temps il approche de ton cou pour y déposer quelques baisers délicats. Je sens mon excitation à nouveau monter, et comme je n’ai pas envie de jouir trop vite, je laisse la place à Raphaël.


Cette pause est la bienvenue. Il s’allonge à son tour sur le lit, et tu viens à nouveau le chevaucher. Tu abaisses cette fois-ci ton torse jusqu’à ce que tes seins touchent son torse. Tes mains s’agrippent sur les draps comme si tu avais le besoin de t’accrocher pour rester parmi nous à cause des sensations immenses que tu ressens. Je te sens et t’entends prendre du plaisir, j’en profite pour te caresser délicatement une fesse puis l’autre. À l’instant où tu ne t’y attends pas, je te claque la fesse. Tu exprimes ce mécontentement feint qui m’appelle à continuer. Je poursuis donc cette fessée à intervalle régulier.


Je grimpe debout sur le lit, te présente à nouveau mon sexe pour que tu puisses me faire une pipe. Pendant ce temps, les va-et-vient continuent, Raphaël tient solidement tes seins, peut-être pour tenter de guider tes assauts.

Je suis excité de te voir dans cette situation, à prendre ton pied, à trembler de plaisir. J’aimerais que ce moment dure, mais tu nous surprends !



Ces quelques mots sont sortis de ta bouche, et nous excitent ostensiblement.

Je te vois quitter le lit, aller chercher le verre de champagne que tu avais laissé sur la table basse, et boire le fond qui te restait. Quand tu reviens auprès de nous, je suis allongé sur le lit sur le dos. Tu décides d’une position un peu complexe à atteindre. Tu t’allonges de dos sur moi. Tu viens guider mon sexe pour qu’il rentre dans ta chatte, je place mes mains pour qu’elles puissent se promener entre ton ventre, tes seins, et ton sexe, pour être certain que mon sexe ne quitte pas ce tendre fourreau.

Raphaël a décidé de profiter à nouveau de ta bouche, nous sentons tous les trois que notre jouissance est toute proche. Au moment où tu jouis sous mes allers-retours dans ta chatte et mes caresses sur ton clitoris, Raphaël sort son sexe de ta bouche et vient jouir sur ta poitrine.

Il va être vraisemblablement le temps de prendre une nouvelle douche, il est passé 23 h, que va-t-il advenir ensuite…