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n° 18532Fiche technique10647 caractères10647
Temps de lecture estimé : 7 mn
29/08/18
Résumé:  Un dimanche de canicule, un peu de peinture et une décoration originale.
Critères:  ffh copains exhib nudisme intermast pénétratio fdanus fsodo jeu délire
Auteur : Katzou  (vieux scorpion)      Envoi mini-message
Peintre du dimanche



Clara m’avait demandé de l’aider, elle repeignait son appartement.


C’était l’été et la période se prêtait bien à ce genre d’activité, les fenêtres pouvaient rester ouvertes sans problème et l’odeur de peinture se dissiperait rapidement.

C’était un été de canicule, la chaleur régnait en maître et exacerbait les sens, donnait des envies de peau nue, de liberté. Les corps se sentaient bien sans rien sur eux ni autour d’eux et l’air chaud les portait plus facilement.

Elle occupait un grand appartement ancien, haut de plafond et superbement éclairé. Elle voulait une touche de modernité.

Clara avait choisi de tout peindre en blanc mat, teinté d’une pointe de gris, une touche de couleur bleue agrémenterait le tout. La peinture était simple et naturelle, écologique, composée d’ingrédients choisis avec soin pour ne pas présenter de danger pour la santé : pas de plomb, pas de solvants et Clara me disait en souriant qu’on aurait pu la boire sans soucis…

Nous devions être plusieurs pour l’aider, un ami à elle et une amie commune.


Je sonnais longtemps à sa porte et étais prêt à repartir quand la porte s’ouvrit enfin sur une Clara surexcitée. L’ami s’était décommandé et nous ne serions que trois, Mia était déjà là. Il faisait une chaleur écrasante, nous étions fin juillet et la canicule installée depuis plusieurs semaines, grillant tout, cuisant tout, nous plongeait dans un four.


Clara s’était mise à son aise et portait un short large et un t-shirt décolleté, sans rien dessous. Elle était belle, blonde et longue, et sa peau bronzée brillait d’une myriade de perles de sueur, diamants fugitifs accrochés aux poils follets qui la couvraient.

Mia était assise sur un tabouret haut, elle aussi vêtue d’un short et d’une brassière courte qui contenait avec peine ses seins ronds.


La chaleur permettait tout, autorisait tout et les yeux, les mains suivaient.


Clara me servit à boire et elle m’expliqua ce qu’elle voulait.

Elles s’installèrent dans le salon et je m’occupai du couloir.

La chaleur était vraiment infernale malgré les courants d’air et les rafraîchissements, mais je tins bon et peignis consciencieusement les murs en blanc cassé.


Je me débarrassai de mon pantalon et de mon t-shirt, restant en caleçon, sans autre vêtement. J’étais seul dans ce grand couloir et ma libido se libéra.


Et puis des rires fusèrent du salon, des rires si communicatifs que je me décidai à aller jeter un œil.

Ce que je vis me cloua sur place.

Clara et Mia s’étaient mises à leur aise, elles n’avaient pas résisté longtemps au plaisir de se débarrasser de tous leurs vêtements.

Clara et Mia étaient nues, toutes deux.

Et Clara riait aux éclats, debout au milieu de la pièce, immobile, les bras levés haut, cambrée, sur la pointe des pieds, les yeux fermés.


Mia, à genoux, passait son rouleau aux longs poils visqueux, enduit de peinture blanche, sur son amie et la peignait en blanc, la transformant en statue.

Elles ne me virent pas tout de suite et j’assistais à la scène, terrassé de désir.

Mia troqua son rouleau pour un pinceau large et fourni, à manche épais.

Et l’aventura sur les seins nus de son amie, insistant sur les pointes qui s’érigeaient et vibraient sous les caresses visqueuses, puis descendit sur son ventre.

Elle y resta longtemps, passant et repassant les poils souples de la brosse entre les cuisses de Clara que celle-ci écartait de plus en plus.

Clara fermait les yeux et je constatai que tout son corps tremblait et oscillait.

Et puis elle eut un sursaut et je vis Mia qui enfonçait le pinceau, tout droit dans son sexe béant, retroussant les poils chargés de peinture de la brosse et la faisant s’engloutir avec un bruit mouillé dans les replis de chair roses. Clara poussa un cri rauque et expulsa rapidement le pinceau de son ventre, s’écroulant sur le sol, les mains sur les pointes de ses seins.


Le spectacle de ces deux filles nues et belles, sculpturales, faisait s’ériger ma verge qui tendait le tissu de mon caleçon et dépassait allègrement, énorme et gonflée.

Les filles me virent et se turent.

Mia se leva et rougit.

Clara ouvrit les yeux.


Je m’approchai doucement d’elles sans rien dire.

Je fis glisser mon caleçon, un peu ridicule à cause de ma verge qui en dépassait, roide et tendue. Les filles ne dirent rien et Mia s’effaça devant moi, me cédant sa place et me tendant le pinceau.

Clara sourit et ferma à nouveau les yeux.


Je passai alors à nouveau la brosse sur son ventre, répartissant la couleur crémeuse sur sa peau nue. La peinture était onctueuse, comme de la crème fraîche, elle sentait bon.

J’appliquai la brosse aux poils doux sur son mont de vénus et la fit tourner doucement sur ses lèvres gonflées, les faisant ressortir en rose sur blanc.


La peinture était parfumée et Mia derrière moi, commença à me peindre, appliquant une brosse plus fine entre mes fesses nues, remontant le long de ma colonne vertébrale, me faisant bander encore plus.


Elle se baissa et fit passer le pinceau entre mes cuisses que j’écartai et badigeonna mes testicules de peinture puis la répartit sur mon phallus tendu, teintant de blanc toute ma chair sans oublier le gland gonflé.


La fraîcheur de la crème de peinture me fit me tendre douloureusement et mon gland se trempa, brillant au soleil qui inondait la pièce, diluant la peinture blanche.

Alors je laissai tomber le pinceau et de la main enduisit le corps nu de Clara, insinuant mes doigts partout où sa chair se faisait plus douce, ouvrant ses membres et m’introduisant dans tous les creux qu’un corps de femme recèle.

Clara s’agenouilla doucement et je pus glisser mon sexe visqueux, couvert de crème dans son vagin, dans un mouvement ample et coulé, jusqu’au fond de son ventre blanc.

La peinture, virginale, douce et pâteuse facilita mon intromission et je butai rapidement, perdu dans ses entrailles.


Mia versa directement le pot sur nous et cela s’insinua entre nous, collant nos peaux nues, lubrifiant nos gestes.

Tout était blanc autour de nous et bientôt je saisis la jambe de Mia et la fit rouler sur nous.

Clara s’en occupa, insinuant ses doigts entre ses cuisses disjointes, les oignant de blanc.


Puis d’un coup gigantesque, je sentis mon sexe exploser entre les cuisses de Clara, injectant ma semence au fond de ses entrailles. Clara cria d’une voix rauque et dure. Tout son corps fut pris de soubresauts et je la chevauchai comme une bête sauvage, soudé à son sexe, à son ventre.


Mia haletait sous les mains de Clara et je vis le pinceau enfoncé en son cul lui faire une queue somptueuse.


Alors je sortis ma verge toujours raide et sans essuyer mon sperme ni la peinture qui le souillaient, je saisis les fesses de Mia, retirai le manche visqueux et les écartai de mes pouces puis, visant l’anneau sombre, au milieu des coulures, glissai mon gland en lui d’un seul coup déchirant.

Mia hurla et sanglota et Clara la prit entre ses cuisses, la consolant du pouce et de l’index. Un peu de rouge éclata sur le blanc.


Clara était encore pleine de peinture, je pris un pot d’une couleur différente, un bleu profond, comme le ciel et m’approchai de la belle, cambrée de plaisir sur le papier journal qui tapissait le sol. Ses doigts s’agitaient entre ses jambes et la faisaient crier.


Elle était couchée sur la page des avis mortuaires et cette vision me fit redoubler d’ardeur.


Je versai tout le pot sur elle et entreprit de la recouvrir entièrement, sans oublier une parcelle de peau nue et palpitante. Puis je me levai la retournai et la pris dans mes bras, collant son corps nu et visqueux contre moi, calant mon sexe entre ses fesses serrées.

Clara était de taille moyenne et mince, extraordinairement légère.

Je la pris à bras le corps et mis mes mains sous ses aisselles glissantes puis, positionnai ma verge entre ses cuisses disjointes et lubrifiées, la tenant à bout de bras, je la plaquai de toutes mes forces, écartelée de désir, sur le mur blanc et y laissai l’empreinte de son corps crucifié par le plaisir, en bleu sur blanc.


Elle cria sous le choc et ma verge, énorme et si dure, se faufila difficilement entre ses petites fesses serrées.

J’atteignis son sexe mousseux du bout de mon gland, je le poussai avec force, remontant mon bassin et la soulevant sous mes assauts, j’écrasai sous mon poids le corps gracile de Clara, la pénétrant enfin, malgré la position plus qu’acrobatique.


Elle poussa un gémissement quand mon pénis visqueux glissa entre les globes musclés et se fraya un chemin entre ses fesses nues et ouvertes. Elle comprit ce que je voulais d’elle et m’aida, je sentis ses fesses durcir et mon gland se faufila plus facilement dans l’orifice qu’elle ouvrait pour moi. Je la sodomisai avec un cri et j’enfonçai ma verge en elle, plaquant avec violence son corps couvert de peinture sur le mur. Mon sexe serré par ses sphincters puissants trembla et elle gémit quand ma semence l’inonda.


Je la décollai du mur nu et chaud.


L’empreinte était parfaite et on pouvait voir la forme de ses seins, de ses cuisses et même la fissure esquissée de son sexe ouvert. En dessous le bout de mon gland laissa une trace ronde et nette.


J’aurais voulu à ce moment, que mon sexe soit une lame et la clouer sur ce mur, comme un papillon érotique et l’y laisser accrochée, gesticulante et percée, essayant de se détacher de ce qui la perforait.


Mia se caressait, seule, et n’en pouvant plus je la saisis et d’un ample mouvement de reins je la pénétrai, puis la soulevant comme je l’avais fait de Clara, je la plaquai elle aussi sur le mur, écrasant son corps léger sur le mur repeint. Mia poussa un petit cri et s’écartela, les bras et les jambes en X. Ma verge s’enfonça en elle, blanche sur bleu et la jeune femme jouit quand ma semence l’inonda.


Clara n’a pas effacé son tableau vivant, et chaque visiteur s’étonne toujours de la vitalité du dessin érotique qui orne sa chambre.