n° 18533 | Fiche technique | 12641 caractères | 12641Temps de lecture estimé : 7 mn | 30/08/18 |
Résumé: Une lettre anonyme nous fait vivre notre premier fantasme. | ||||
Critères: fh couple inconnu voir exhib lingerie pénétratio -exhib | ||||
Auteur : Rice de Foiscan Envoi mini-message |
Mon épouse Monique et moi-même, Alain, la cinquantaine revendiquée, vivons dans ces grands ensembles sans âme des périphéries urbaines.
Notre appartement partage le palier de cinq autres logements, il se trouve au septième d’un immeuble de quinze étages et, face à nous, trois mêmes cubes que le nôtre. Autant dire que compter les fenêtres en face déprimerait n’importe lequel d’entre vous et scruter chacune serait un exercice surhumain, pourtant…
Un soir, en rentrant du travail, je trouve Monique dans le salon, les volets fermés.
En plein mois de mai, alors que Monique adore le soleil, je suis surpris.
Elle a l’air effrayé et me tend une enveloppe.
Je l’ouvre et découvre un texte :
Votre appartement est une scène de théâtre, les acteurs sont naturels et n’attendent qu’un texte pour exprimer leur talent.
Votre metteur en scène.
Nous dînons, un petit film et au lit.
Le lendemain soir, Monique me tend une nouvelle lettre :
Ce n’est pas gentil de fermer vos volets, je ne vous veux aucun mal.
Je vous trouve mignons et sexy tous les deux, je voulais juste que l’on s’amuse un peu.
Moi, le metteur en scène voyeur et vous, les acteurs…
Je vous propose que ce soir, vous accrochiez un foulard blanc sur votre balcon.
Si je le vois, vous aurez une nouvelle lettre demain.
Nous nous sommes regardés avec Monique et nous avons eu le même désir…
Nous avons accroché un foulard blanc.
Le soir, impossible de nous endormir, nous avons fait l’amour et je glissai à l’oreille de Monique :
Toute la journée, j’avais à la fois l’angoisse et le désir d’une nouvelle lettre.
Je sentais que cette histoire tournerait autour du sexe et cela m’excitait.
Quant à Monique, je la savais un peu pudique, mais jusqu’où serait-elle capable d’aller ?
La troisième lettre était là, Monique ne l’avait pas ouverte, elle voulait vivre et partager avec moi cette drôle d’aventure.
Merci pour le foulard.
Pour ce soir, laissez votre porte-fenêtre balcon ouverte.
Vous approcherez de la rambarde main dans la main, monsieur pantalon chemise et madame jupe chemisier et sous-vêtements.
Après vous être embrassés, vous retournerez vers la porte, madame se mettra dos au balcon, monsieur lui retirera son chemisier, puis sa jupe.
Il dégrafera son soutien-gorge, lui ôtera.
Madame se retournera les mains posées sur sa poitrine.
Regards en coin et Monique lance :
Pour moi, pantalon, caleçon, chemise, en deux minutes, j’étais prêt pour la représentation.
Monique se préparait consciemment, chemisier blanc, jupe noire, soutien-gorge noir.
String noir légèrement transparent devant.
Son petit buisson noir sera presque visible.
Et puis, la surprise, elle enfile une paire de bas autocollants noirs et ses chaussures à hauts talons.
Son 85B bien en place, les bas gainant ses belles jambes, son pubis voilé, elle commençait à être dans la peau de l’actrice.
J’étais excité et un peu inquiet de l’offrir à la vue d’un inconnu, mon fantasme depuis très longtemps, mais jamais réalisé.
Elle mit sa jupe qui descendait un peu au-dessus du genou et boutonna son corsage.
Elle m’embrassa et me dit :
Elle me prit la main et nous avançâmes jusqu’à la balustrade.
Mes yeux étaient des radars qui cherchaient où pouvait être notre metteur en scène.
Je soupçonnais une fenêtre puis une autre et encore une autre, à droite, à gauche, en haut, en bas, rien !
Monique se serra contre moi et approcha ses lèvres des miennes.
Son baiser était chaud, sa langue dansait avec la mienne.
Je posai mes mains sur son dos et descendis sur ses hanches.
Elle frottait sa poitrine contre la mienne.
Mes mains englobèrent ses petites fesses, son p’tit cul que j’aimais tant.
On se recula, mais Monique s’arrêta au milieu de la terrasse.
Monique était déterminée et vive, elle tournait le dos à la balustrade.
C’était presque un ordre.
Les boutons sautèrent et ouvrant les deux pans, son soutien-gorge noir masquait à peine ses pointes de seins dressées. Elle était excitée, elle me surprenait.
Son chemisier tomba à terre.
Le soutien-gorge dégrafé glissa jusque ses pieds.
Ses petits seins m’étaient exposés et je ne pus m’empêcher de lui titiller les tétons.
Je déshabillais ma femme pour un inconnu et mon sexe se tendait.
Son dos nu était au regard de notre voyeur.
Monique tortillait ses petites fesses, comme pour dire, libère-les, elles veulent être du spectacle.
La fermeture Éclair baissée, j’accompagnai de mes deux mains le tissu au-dessus de ses cuisses. Je sentis la lisière de ses bas et baissai la jupe jusqu’au sol. Remontant mes mains, elles touchèrent la peau nue de ses petites joues fessières, le string découvrant à notre metteur en scène ses courbes interdites.
Je me posai franchement la question. Arrêter maintenant était encore acceptable. C’était comme sur la plage, allongée sur le ventre et le haut du maillot de bain dégrafé.
Sa réponse me sidéra.
Je baissai son string, elle était nue devant moi, juste des bas noirs gainaient ses jambes. Son petit minou taillé montrait ses poils noirs.
Ses lèvres étaient épilées et mes doigts les effleurèrent, c’était doux.
Je m’accroupis et la léchai plein de gourmandise, le goût de son suc me transportait.
Je m’imaginais celui qui nous regardait, il voyait le petit cul de ma femme, sa bite devait lui demander d’être agitée pour assouvir la beauté du spectacle. J’en profitai pour écarter ses fesses, montrant son sillon fessier, lui aussi imberbe. L’esthéticienne avait ôté minutieusement la pilosité naissante.
J’entendais les petits halètements de Monique, elle commençait à jouir, elle partait dans son délire, être exhibée rencontrait ses désirs très profonds.
Il nous arrivait parfois d’évoquer des hommes qui la regardaient nue et qui profitaient de ce spectacle. Elle écoutait mes histoires, mais c’était des fantasmes alors que là, c’était réel et je savais que dans sa tête, elle faisait en sorte de mélanger rêve et réalité pour vivre à fond ce moment de partage commun entre mon excitation de l’offrir à la vue d’autres hommes et son secret désir d’être matée comme une espiègle innocente…
Elle recula d’un pas pour se délivrer de ma caresse et m’invita à me relever.
Ma gorge se noua, l’inconnu allait pouvoir profiter de la nudité de ma femme avec toute ma complicité.
Elle posa un bras en travers de sa poitrine et une main sur sa petite touffe et elle se retourna, provocante et volontaire.
À mon tour de voir ses petites fesses, au tour de l’inconnu de la regarder dans toute sa féminité.
Mon sexe était tendu dans mon caleçon, je me retenais pour le sortir et de me faire une branlette pour gicler jusqu’au ciel ma semence.
Cela devenait intenable.
Le bras qui cachait sa poitrine glissait, ses petits seins devaient se découvrir, ses tétons devaient être sans protection, notre voyeur devait être aux anges. Il avait dû être surpris que l’actrice ajoute des bas à son déguisement et dépasse sa demande en retirant sa petite culotte.
OK, il avait vu ses fesses et son sillon fessier, il voyait maintenant ses seins, il devait s’interroger pour la découverte de sa petite chatte, oserait-elle retirer sa main ? J’avoue que je me posais la même question et cela gonflait encore plus mon sexe, je bandais comme un jeune homme.
Pour l’instant, son second bras restait immobile, j’imaginais Monique comme au bord d’une piscine, aurait-elle le courage de se lancer à l’eau ?
Montrer les petits poils noirs de sa chatte était pour elle le nec plus ultra de vaincre sa timidité coquine. Sa main rejoignit sa cuisse, son petit minou était à la vue de notre voyeur, elle lui offrait son corps… J’étais heureux et fier d’elle, elle réalisait notre fantasme, se montrer nue devant d’autres… Elle me comblait, le voyeur aussi, je pense.
Monique s’avança vers la balustrade, l’attrapa de ses deux mains, se pencha tout en tendant ses jambes…
Je voyais son sexe tout luisant…
Je m’approchai, baissai pantalon et caleçon, pointai mon sexe entre ses lèvres humides et me calai au fond de son sexe. Puis, tout doucement, mes mouvements lui arrachèrent des soupirs.
Mon sexe allait et venait, ses fesses se resserraient à chaque mouvement. Je l’ai entendu jouir, mon amour jouissait de faire l’amour devant un inconnu.
Tu t’es relevée, t’es retournée, t’es penchée pour me prendre dans ta bouche, une main me caressant mes bourses, l’autre accompagnant pour mon mouvement de va-et-vient.
Tu as tendu les jambes, écarté légèrement les cuisses.
Tes talons hauts ont accentué l’ouverture de tes collines fessières pour découvrir à notre metteur en scène ton petit trou, tes lèvres lisses disjointes…
Je savais ce qu’il voyait, je me laissais aller, je remplissais ta bouche de ma jouissance, de notre bonheur partagé…
Le spectacle était fini, nous fermâmes nos volets et notre nuit complice s’habilla de tendresse et d’amour.
Demain matin, les déménageurs arriveraient, c’était notre dernière nuit dans cet appartement…