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n° 18537Fiche technique124708 caractères124708
Temps de lecture estimé : 68 mn
02/09/18
corrigé 06/06/21
Résumé:  Ils devaient partir à la montagne à quatre... Mais ça, c'était avant...
Critères:  ffh couple couplus copains hépilé vacances piscine douche amour voir massage intermast fellation cunnilingu anulingus pénétratio fdanus fsodo -couple+f
Auteur : Pericles  (Épicurien marxiste, tendance Groucho)      Envoi mini-message
Le chalet des plaisirs

Cathy et Paul sont mari et femme depuis cinq ans.


Ils s’étaient rencontrés à l’université, en fin de licence, sont sortis deux ans ensemble et se sont mariés dans l’année qui a suivi la fin de leurs études sanctionnées par un Master. Après qu’ils aient terminé leurs études, ils ont eu la chance de trouver tous deux rapidement un emploi dans la même ville. Avec un petit apport de leurs parents respectifs, ils ont pu acheter une maisonnette à la campagne, à moins de dix minutes de la grande ville du nord où ils travaillent.


Les amis de Paul avaient bien essayé de le dissuader de se marier si jeune, à base d’arguments selon lesquels il ne profiterait pas des plus belles années de sa vie, et qu’il avait encore plein d’autres filles à rencontrer, lui qui avait une réputation de tombeur. Mais, pour Paul, outre que Cathy était la plus belle fille qu’il ait réussi à séduire jusque-là, il avait le sentiment profond d’avoir trouvé son âme sœur, intelligente, avec un grand sens de l’humour et, ce qui n’était pas pour lui déplaire, toujours partante pour une partie de jambes-en-l’air endiablée. Il ne pouvait donc tout simplement pas laisser filer cette occasion.


Élancée, Cathy mesure 1,75m pour 62 kg, elle a de longs cheveux auburn, de ce châtain foncé tirant sur le roux qui plaît tant à Paul chez son actrice favorite, Emma Stone. D’ailleurs, Cathy a aussi les yeux de la même couleur qu’Emma Stone, verts avec une petite touche de noisette autour des pupilles.


Une particularité notable chez Cathy, c’est qu’elle a des seins bien fermes avec des tétons qui pointent de plus d’un centimètre quand elle est excitée… ou qu’il fait froid ! Paul adore cette caractéristique, alors qu’elle gêne beaucoup Cathy, surtout l’hiver, quand il fait froid, ce qui arrive assez fréquemment dans le nord de la France.


En parallèle de ses études, durant de nombreuses années, Cathy a pratiqué assidûment l’athlétisme et elle en a gardé une silhouette sportive agréable : elle est mince, avec juste ce qu’il faut de formes pour qu’on puisse la juger sexy. C’est d’ailleurs en partie pour ça que Paul l’a draguée, à l’université, il est assez honnête pour le reconnaître.


Il adore la regarder quand elle est nue, la prenant régulièrement en photo dans le plus simple appareil. Pour lui faire plaisir, elle garde habituellement les poils de son pubis taillés très courts. Parfois, quand elle veut se sentir particulièrement désirable pour son mari, elle va chez l’esthéticienne pour une épilation intégrale et c’est vrai que c’est ainsi qu’il l’aime le mieux.


Marie et Enzo sont leurs meilleurs amis depuis l’université. Comme Cathy, Marie a longtemps fait de l’athlétisme – c’est d’ailleurs ce qui a rapproché les filles pendant leurs études – et elle en a également gardé une silhouette sportive. Elle est cependant beaucoup plus menue, mesurant 1,60 m pour 52 kg. Elle a de magnifiques cheveux blonds qu’elle laisse pousser jusqu’à mi-dos. Elle a un genre de beauté à la scandinave et une personnalité très extravertie qui attire les hommes comme des mouches. En fait, pas mal d’autres filles lui ont aussi déjà fait du rentre-dedans.


Enzo est un beau mec, viril, et le couple qu’il forme avec Marie paraît à tous une évidence : joliment équilibré.



Cette année, pour les fêtes de fin d’année, Paul et Cathy ont décidé de louer un chalet pour aller faire du ski.


Encore jeunes, ils n’ont pas les moyens de dépenser les sommes exorbitantes demandées par les bailleurs dans les grandes stations à la mode, mais Paul a trouvé dans la station des Contamines en Haute-Savoie, un mignon petit chalet tout en bois. Avec juste deux chambres et un salon, mais surtout une cheminée et un jacuzzi, c’était juste ce dont il rêvait pour passer la semaine entre Noël et Nouvel An.


Cathy a proposé à Marie et Enzo de venir avec eux, et les deux couples sont impatients de partir pour ces premières vraies vacances passées ensemble.


Mais à deux mois de l’échéance, tout leur beau plan s’est écroulé.


Rentrant du travail, Paul découvre sa femme au téléphone, et elle semble très contrariée.



Cathy le regarde comme s’il avait fait quelque chose de mal.



Raccrochant le téléphone, elle regarde Paul et commence à pleurer.



Elle secoue la tête.



Elle regarde Paul comme s’il savait quelque chose.



Ce n’est pas tout à fait vrai, mais de fait, Paul ignorait qu’Enzo avait une maîtresse.




Les semaines qui ont suivi ont été difficiles pour Marie. Elle est retournée habiter chez sa mère et a rompu tout lien avec Enzo. Cathy a passé beaucoup de temps avec Marie et, petit à petit, cette dernière commence à reprendre du poil de la bête. Elles sont beaucoup sorties ensemble et, un mois plus tard, il semblerait que Marie ait décidé de tourner la page.


Cependant, même si elle se sent mieux, Cathy et Paul savent qu’avec les fêtes de fin d’année à l’horizon, si elle reste seule, Marie risque de replonger dans la déprime.


Et puis il y a ces vacances, qu’ils ne peuvent annuler, ayant déjà payé de lourdes arrhes. Pour Cathy, la question ne se pose pas, Marie doit venir au chalet avec eux ; des vacances chaleureuses, entourée d’affection, c’est ce qu’il lui faut !


Ils savent que Marie n’est pas vraiment d’humeur festive, mais Cathy est déterminée à la convaincre de venir avec eux.



Ce n’est qu’à l’avant-veille du départ, que cette discussion prend fin lorsque Cathy rappelle à Marie que c’est l’argent d’Enzo qui a payé la location, et qu’ainsi, elle pourra prendre du bon temps et s’amuser à ses dépens. Cet argument massue est décisif et l’attitude de Marie changeant, elle est finalement heureuse que sa meilleure amie ait réussi à la convaincre d’y aller.


Finalement, le vendredi 21 décembre est là, ils doivent partir le lendemain. Pour simplifier les choses, Cathy et Paul ont décidé que Marie dormirait chez eux pour leur permettre de partir à l’aube, en prévision du long trajet jusqu’en Haute-Savoie.


Les filles sont d’une humeur fantastique quand Paul rentre finalement du travail. Après qu’ils aient tous ensemble chargé la voiture, Paul prépare le dîner et laisse les filles se détendre. Pour la première fois depuis la rupture, Marie semble aussi enjouée qu’elle l’était auparavant.


La bonne nourriture et la bière aidant, l’humeur est au beau fixe et on ne décèle plus aucune trace de tristesse chez Marie. À dix heures du soir, sagement, ils décident d’aller se coucher en prévision du départ à six heures le lendemain matin. Pendant que Cathy finit de ranger les couverts au lave-vaisselle, Marie, un peu pompette, va se coucher.


Ayant attendu que la porte de la chambre d’ami se ferme enfin, Paul vient se coller contre sa femme qui termine de laver une casserole.


Depuis plus d’un mois maintenant, comme Cathy a passé toutes ses soirées avec sa meilleure amie, Paul n’a pas eu droit à beaucoup d’attention de la part de son épouse et là, à se coller contre son dos, toute la frustration ressentie durant ces dernières semaines se transforme en une formidable érection que Cathy ne peut faire semblant d’ignorer.



Paul vient de mettre ses mains sur ses seins, en les massant doucement. Même à travers son pull en laine, il sent ses mamelons s’ériger. Il a envie de la prendre, là, dans la cuisine.


Lentement, ses mains se glissent sous le pull et caressent sa peau nue.



D’expérience, il sait que glisser sa langue dans le petit creux sous l’oreille va la faire décoller.

Il faut à Cathy un maximum de concentration pour réussir à laver le dernier plat. Paul sait exactement comment la caresser et elle ferme les yeux tandis que ses mains se glissent sous son soutien-gorge et empaument ses seins. Puis glissant une main dans son dos, il dégrafe le soutien-gorge. Paul est le seul homme que connaît Cathy qui soit capable de se défaire de la fermeture d’un soutien-gorge d’une seule main, et en aveugle, en plus !


Revenues sur sa poitrine, les mains de son mari arrachent un gémissement de plaisir à Cathy : il s’est saisi de chacun des tétons et les vrille doucement entre ses doigts. Puis il abandonne temporairement les jolis seins de son épouse pour tirer son pull vers le haut. Levant ses bras pour lui faciliter la tâche, Cathy se retrouve bientôt à moitié nue dans la cuisine.

Ce n’est qu’à cet instant que Cathy se rappelle qu’ils ne sont pas seuls dans la maison ce soir, et, malgré son excitation, elle ne sait pas trop si elle peut se laisser aller, ici, dans la cuisine.


Paul a senti son hésitation et, pour obliger Cathy à entrer dans son jeu, il a descendu la fermeture éclair de sa jupe. Cathy est sur le point de l’arrêter quand elle sent la main de son mari se glisser à l’intérieur de sa culotte, pour venir presser son clitoris.



Elle gémit doucement. Paul descend son doigt un tout petit peu plus bas et l’enfonce lentement en elle.



Les yeux de Cathy se ferment tandis que Paul masse doucement l’intérieur de sa chatte. Elle réalise soudain à quel point cette intimité lui a manqué ces dernières semaines, tandis qu’elle était préoccupée par son amie.

La main gauche de Paul taquine maintenant ses tétons sensibles, tandis que sa droite fouaille sa chatte. Paul sait dorénavant que Cathy ne reviendra pas en arrière.



Elle gémit par anticipation et va pour se retourner, mais Paul l’arrête et s’agenouillant derrière elle, il fait tomber jupe et culotte aux pieds de sa femme, puis il enfouit son visage entre ses fesses.



Cathy essaie de demeurer discrète, elle a trop peur d’être entendue par Marie, mais son excitation est en train de prendre le dessus. Passant sa main droite entre ses jambes, Paul recommence à caresser le sexe de son épouse, qui écarte un peu plus les jambes pour lui donner un meilleur accès.



Retrouvant sa place entre ses fesses, la langue de Paul effectue de longs allers-retours, apportant un feu d’artifice de frissons à Cathy, puis elle vient finalement s’arrêter sur son anus.



De sa langue humide et chaude, il lui masse l’anus, envoyant des étincelles de plaisir dans tout son corps. Sans même s’en rendre compte, Cathy s’est penchée en avant pour donner à Paul un meilleur accès à cet endroit si intime. Sentant la langue pousser toujours plus fort, Cathy se détend et sent presque immédiatement la pointe de la langue l’envahir. Paul sait exactement ce qu’il fait : Cathy adore le sexe anal et quand il lèche son anus, ça la rend folle.


Avant de le rencontrer, elle était vierge de ce côté, estimant qu’une pénétration anale était contre nature et sale, mais depuis qu’avec réticence elle s’était laissé sodomiser pour la première fois, elle a découvert en elle une réelle passion pour les jeux anaux et la sodomie.


Sa langue toujours enfouie entre ses fesses, sa main droite massant doucement le clitoris de sa partenaire, Paul décide d’utiliser sa main gauche pour solliciter encore une autre des zones érogènes de Cathy. Il vient alors caresser les tétons sensibles, n’en revenant pas, comme à chaque fois, de sentir à quel point les pointes de ses seins pouvaient être dures ; et ce vendredi soir, il constate qu’il ne les a pas sentis aussi gonflées depuis bien longtemps. Apparemment, le danger d’être découvert par Marie apporte à Cathy de nouveaux trésors d’excitation.


Poursuivant le travail de sape de sa langue humide sur son anus, Paul la taquine et la pénètre ainsi pendant de longues minutes.


Une houle s’est levée qui commence à secouer le corps de Cathy, de plus en plus fort.



Paul n’a absolument pas l’intention de s’arrêter, bien au contraire. Enfonçant son pouce entre les petites lèvres intimes de son épouse, afin de le lubrifier, il s’en sert ensuite pour violer doucement l’anneau étroit de l’anus de sa femme. Dans le même temps, il enfonce deux doigts, le majeur et l’index, dans la matrice de Cathy et, les doigts ainsi en crochets, il travaille, en de longs va-et-vient, l’intimité de sa femme, sentant sa cyprine couler toujours plus loin le long de son bras.


Ça y est ! Prise de tremblements incoercibles, Cathy crie son plaisir :



Paul soutient son épouse pour qu’elle ne s’écroule pas sur le sol de la cuisine qu’elle vient d’inonder de cyprine. Elle s’affale sur le plan de travail, les seins écrasés sur le granit froid et les fesses totalement offertes.


Satisfait de ce premier orgasme, une lueur de fierté dans le regard, Paul sait que maintenant, c’est à son tour de prendre du plaisir et qu’elle ne lui refusera rien. Se relevant, il sort très vite sa queue de son pantalon et, se penchant en avant, il l’introduit d’une seule et longue poussée dans sa chatte si bien lubrifiée.



Si Cathy se doutait que Paul trouvait Marie à son goût, elle en a maintenant la confirmation. D’une autre, ça la rendrait jalouse, mais Marie est comme une sœur pour elle Paul se penche alors et presse sa bouche contre l’oreille de sa femme pour lui murmurer :



Paul entame de longs va-et-vient dans la chatte de sa femme, s’enfonçant violemment à chaque poussée, le plus loin possible. Il ne faut pas beaucoup de temps à Cathy pour qu’elle ressente à nouveau les frissons annonciateurs d’un violent orgasme.


Le paroxysme de son plaisir ayant laissé son épouse pantelante, Paul ressort sa queue dégoulinante de cyprine et vient la poser subrepticement sur l’anneau foncé qui le nargue depuis quelques minutes.


Cathy gémit à ce contact et entreprend de se relaxer le plus possible. Elle sait que cette pénétration ne devrait pas être douloureuse après le long travail d’assouplissement effectué par la langue de Paul juste avant.



Saisissant la bouteille d’huile d’olive qui se trouve sur le plan de travail, Cathy la passe à son mari qui verse alors doucement un filet d’huile entre les fesses de sa belle et l’étale en insistant sur le petit œillet qu’il entend bien défoncer le plus tôt possible

Réagissant à cette caresse, Cathy tend un peu plus son postérieur en une invite muette à son mari.


Le message est bien compris et Paul fais glisser son gland de bas en haut dans la raie culière avant de le positionner juste sur l’anus.



Puis elle recule doucement, amenant la pointe de la queue de son mari à pénétrer le sphincter, fortement aidé par la douce lubrification de l’huile d’olive. Lentement, Paul pousse jusqu’à ce que la plus grosse largeur du gland soit passée au-delà de l’anneau serré. Cathy grimace furtivement : même après de très nombreuses sodomies, la douleur est toujours là durant les premiers instants, mais comme d’habitude le message que son cerveau relaie est tellement excitant qu’elle en oublie rapidement l’inconfort.


Rien ne sollicite plus les zones du plaisir de son cerveau que la pénétration anale. Alors que, quand son clitoris ou son vagin sont stimulés, le plaisir est surtout local, dans le cas d’une sodomie, c’est un mélange détonnant entre la douleur ressentie sur son anus formidablement innervé et le plaisir extrême pris cérébralement à effectuer cet acte qui reste encore tabou dans la morale judéo-chrétienne qui a baigné l’enfance de Cathy.


Paul bouge tout doucement, donnant à son épouse le temps de l’accepter en elle, puis il recommence sa poussée, lentement. Après chaque poussée de quelques centimètres, il recule un peu puis revient toujours plus profondément, travaillant tout en douceur le conduit anal, le lubrifiant abondamment.


Cathy a perdu toute conscience de son environnement, tout ce qu’elle ressent c’est cet envahissement de son cul. Avec une dernière poussée, Le ventre de Paul vient s’écraser sur les fesses de sa partenaire. Paul attrape Cathy par les cheveux et tirant doucement sa tête en arrière, il lui murmure :



Et elle sait ce qu’il veut entendre.



Aussi incroyable que cela lui paraisse, Cathy sent poindre les frémissements d’un troisième orgasme.



Maintenant sa prise sur la crinière de son épouse, Paul commence à pomper lentement entre ses fesses. Cathy, éperdue de passion est à présent totalement détendue, plus aucune douleur ne subsiste et elle accepte avec un plaisir intense la queue qui entre et qui ressort régulièrement de ses entrailles. Mieux, elle pousse ses fesses en sens inverse pour accompagner une pénétration toujours plus profonde et démontrer à son mari qu’elle apprécie autant que lui cette sodomie. Paul sait qu’à ce rythme, il ne tiendra pas longtemps, mais il veut, avant de se laisser aller, que Cathy jouisse à nouveau.


C’est ce qui fait la richesse de leur vie sexuelle, Paul a toujours pris soin de faire passer son plaisir après celui de Cathy. Dans son esprit, il est facile pour un homme d’atteindre l’éjaculation, alors qu’une femme prend plus de temps pour qu’un orgasme la submerge. C’est pourquoi, depuis qu’ils sont ensemble, Cathy n’a jamais plus eu de rapports sexuels qui ne se soient pas conclus par au moins un orgasme.


Ralentissant le rythme, il fait de longs allers-retours, ressortant presque sa queue à chaque fois avant d’investir à nouveau la place, contrôlant tant bien que mal sa montée de sperme.


Cathy continue de gémir, tandis que Paul fait de son mieux pour l’amener à l’orgasme. Sentant qu’il ne pourra plus tenir, Paul projette sa main en avant et vient frotter le clitoris de Cathy. Cette nouvelle sollicitation est, heureusement pour Paul, suffisante pour déclencher le troisième orgasme de son épouse.



Elle fait de son mieux pour étouffer sa passion et ne pas hurler sa jouissance. Puis elle sent Paul se crisper, grogner profondément et son sperme gicler au plus profond de son cul. Cela semble juste intensifier son orgasme et Cathy gémit bruyamment avant de s’écrouler sur le plan de travail.


Les jambes flasques d’un seul coup, Paul manque de tomber à genoux alors qu’il éjacule les derniers jets de sperme, mais il arrive tant bien que mal à tenir debout, se laissant aller en avant, son torse collé au dos de Cathy.


Les deux amants reviennent lentement sur terre, puis se mettent à nettoyer les lieux. Quel carnage ! Il y a de l’huile d’olive, de la cyprine et du sperme partout, qu’il faut patiemment éponger. Ils imaginent en riant ce qui arriverait si Marie tombait là-dessus en se levant le lendemain.


Enfin, ils peuvent monter se coucher. Sur le chemin de leur chambre, Paul remarque que la porte de la chambre de Marie est entr’ouverte. Il se dit qu’il devrait en parler à Cathy avant de s’endormir, mais il s’effondre sur le lit, terrassé par toutes ces émotions.



Malgré une légère gueule de bois, ils réussissent, le lendemain matin à prendre la route à six heures, après un petit déjeuner rapide, mais copieux. Les filles sont d’excellente humeur et les huit heures de route passent rapidement.


Quand ils arrivent aux Contamines, il neige assez fort et le paysage est magnifique. Les filles sont tellement excitées qu’elles se ruent dans le chalet pour l’examiner de fond en comble. La petite maison a deux chambres avec des grands lits, deux salles de bain complètes, une petite cuisine et un grand salon donnant sur une terrasse-véranda. Celle-ci s’étend sur deux côtés du chalet, avec, clou du spectacle, un magnifique jacuzzi de quatre places. La maison est excentrée et se trouve isolée au creux d’un vallon, entourée de sapins couverts de neige, achevant d’en faire une parfaite vue de carte postale.


Les bagages sont rapidement déballés et ils filent louer des skis pour profiter des pistes dès que possible. Même s’ils ne peuvent skier que deux heures, ils reviennent au chalet, ravis et agréablement fatigués. Après une douche rapide et une collation préparée par Paul, ils décident de se détendre dans le jacuzzi.


Paul a amené sur le sol de la terrasse-véranda, juste à côté du jacuzzi semi-intégré, un gros bloc de neige, dans lequel il a enfoncé quelques bouteilles de Corona, et quand ils sont confortablement installés dans l’eau chaude, il lui suffit de tendre le bras pour les attraper et les donner aux deux filles.


Tous trois savourent les effets massant du jacuzzi sur leurs muscles fatigués, sentant les tensions disparaître de leur corps. Après quelques minutes de contentement silencieux, Marie finit par parler :



Elle sourit à Cathy et à Paul.



Les deux filles s’esclaffent.



Ce qui n’est pas exactement la vérité.



Maintenant, les filles se parlent et agissent comme si Paul n’était même pas là. Lui se garde bien d’intervenir, pressentant que les choses pourraient vite devenir plus intéressantes.



Paul n’est pas sûr de savoir où cela va les emmener, mais Marie, voyant son hésitation lui jette à la figure :



Paul se dit que là, il prend des risques, mais il est fondamentalement joueur, et il veut savoir où Marie veut l’amener.



Les filles continuent à chuchoter et à rire jusqu’à ce que Marie reprenne la parole.



Paul en a profité pour admirer son corps. Marie porte un bikini bleu turquoise qui ne fait pas grand-chose pour couvrir ses seins et il a noté que, le temps qu’elle a passé à l’intérieur du chalet a réussi à faire s’ériger ses tétons.



Les filles recommencent à chuchoter puis finalement Marie regarde Paul.



Paul sait qu’il ne doit surtout pas sous-estimer à quel point sa femme le connaît. Il se souvint qu’elle l’avait fait patienter durant au moins dix rendez-vous avant qu’il ne fasse l’amour pour la première fois. D’ailleurs, il le lui avait un peu reproché, plus tard, quand leur relation s’était fermement établie.



Paul essaie d’être raisonnable dans sa réponse. Les filles sont pour leur part occupées à chuchoter entre elles.



Elle fait un clin d’œil à Marie.



Paul est stupéfait.



Les deux filles se mettent à rire.



Les deux filles se moquent toutes les deux de la facilité avec laquelle elles ont trouvé.



Paul sourit et montre le papier sur lequel il a écrit sa réponse.



Putain qu’est-ce qu’elle est sexy, se dit Paul. C’était facile, ça fait longtemps qu’il avait flashé sur les yeux magnifiques de Marie.



Pendant la demi-heure qui suit, ils poursuivent ce petit jeu. Paul est impressionné par la performance des filles. Elles gagnent plus souvent que lui, mais comme il tient mieux l’alcool, ils sont à présent tous les trois un peu éméchés.


Assis dans le jacuzzi, à se saouler lentement avec ces deux femmes aussi sexy l’une que l’autre, Paul aimerait bien rendre les choses un peu plus… chaudes. Et ça n’a rien avoir avec la température du jacuzzi !


Il décide alors de corser le jeu et le rendre un peu plus intéressant.



Les filles sont de plus en plus excitées et passent clairement un bon moment aux dépens de Paul.



Marie se tourne vers Cathy.



Paul ne pense pas vraiment que les filles vont le suivre, mais il espère que l’alcool les a suffisamment désinhibées, surtout Marie.



Les filles se regardent.



Elles le regardent toutes les deux et lui répondent enfin :



Penchées l’une vers l’autre, les filles se murmurent un plan d’attaque. Du coup, Paul apprécie grandement de regarder leurs poitrines se presser l’une contre l’autre. Il a remarqué depuis un bon moment que les tétons de Cathy se sont érigés dès son entrée dans le jacuzzi. Mais depuis qu’elles ont entamé leur troisième bouteille de Corona, elles semblent se coller de plus en plus l’une à l’autre, et Paul ne peut que constater que, sous son maillot de bain, sa queue commence à se sentir un peu à l’étroit.



Paul pense d’abord à l’évidence : elles ont besoin d’un bon orgasme. Il sait que c’est ce que lui voudrait, mais pas nécessairement une femme, pense-t-il.


Il réfléchit à tout ce que fait Cathy pour se détendre. Elle fait un peu d’exercice physique, elle prend un bain, elle lit un livre, parfois elle sort avec ses copines… De fait, c’est une question avec plein de réponses possibles. Sobre, ce serait déjà compliqué pour lui de trouver une réponse, mais là, légèrement éméché, il a du mal à avoir les pensées claires.


Après lui avoir laissé quelques instants de réflexion, les filles commencent à s’impatienter.



Il sait qu’il va perdre sur ce coup, alors autant être fidèle à sa manière de penser et d’être.

Les filles se regardent et rigolent.



Voilà un gage qui est loin de déplaire à Paul. Il vient se positionner derrière sa femme et entreprend de la masser comme elle l’a exigé.

Cela ne le gêne pas, il a l’habitude de la masser très régulièrement.


Lors d’un stage qu’il avait réalisé à Bangkok, à la fin de ses études, il avait suivi, en cours du soir, une formation de masseur au célèbre temple bouddhiste Wat Pho, qui héberge une école de massage et de médecine traditionnelle et qui est le lieu le plus réputé d’enseignement du massage thaï traditionnel.


Ce que Cathy préfère, d’habitude, c’est qu’il lui masse les pieds, le soir, alors qu’ils sont tous deux allongés devant la télé. D’ailleurs, elle s’endort fréquemment, loupant la fin du programme, ce qui valide la qualité du massage dispensé par son mari. Paul aurait pu y penser pour répondre à la question.


Mais là, il s’agit d’un simple massage des épaules, et il prend tout son temps pour presser les principales lignes d’énergie et débloquer le flux d’énergie. Déjà détendue grâce au jacuzzi, Cathy voit ses muscles superbement massés jusqu’à ce toute tension musculaire ait disparu. Elle ferme les yeux de volupté et ses soupirs montrent à Marie à quel point ce traitement la contente. Marie n’en est que plus impatiente d’être à son tour massée.


Après une quinzaine de minutes, Paul secoue l’épaule de sa femme et lui demande de céder sa place. Marie s’installe devant Paul et il entreprend de lui prodiguer le même massage. Il essaie de ne pas montrer à quel point cela l’excite de poser ses mains si intimement sur Marie, chose qu’il n’avait jamais faite jusqu’à ce jour.


Il évite de se coller à elle, elle ne pourrait pas manquer de remarquer la superbe érection que cela lui donne. Ce qu’il aimerait vraiment faire, c’est masser son torse, mais il sait que c’est un rêve inaccessible.



Elle est assise, formidablement détendue après son propre massage, contemplant sa meilleure amie en train de se faire masser par son mari.

Remarquant que Cathy les regarde, Paul fait semblant de se pencher en avant pour reluquer avec un sourire vicieux les seins de Marie.



Marie se contente de tourner la tête vers Paul et de rire.



Se laissant aller au plaisir du massage, et se rapprochant du corps de Paul, elle sent soudainement l’érection de Paul contre ses reins. Elle rouvre alors grand les yeux, regarde Cathy et lui dit en riant :



Cathy avait déjà remarqué l’érection de Paul, mais elle sourit et secoue la tête. L’alcool a levé beaucoup de ses inhibitions. Paul est un peu choqué que Cathy ne soit pas gênée par cette situation. Elle s’amuse tellement que ça ne la dérange même pas que Marie commente l’érection de son conjoint.


Son massage terminé, Paul revient de l’autre côté du jacuzzi et annonce que c’est à son tour de poser une question.



Elle réfléchit.



Il leur montre le papier sur lequel il est écrit : Je pense que la chose la plus érotique chez une femme, c’est une chatte fraîchement épilée.



Sur ce, les deux femmes dégrafent leur soutien-gorge et se retrouvent seins nus devant Paul.



Les filles sont fair-play et rigolent avec lui. Paul est au paradis. Marie a des seins légèrement plus petits que Cathy, mais ils ont une parfaite forme en poire, avec des tétons de la taille d’une gomme de crayon qui se trouvent, à ce moment, tout durs : froid ? excitation ? Peut-être les deux.



Elles recommencent à chuchoter, puis, finalement, Marie annonce :



Elle a perdu sur la première question, mais là, elle connaît bien Paul et elle est certaine de savoir exactement ce qu’il écrira.



Il réfléchit une minute et commence à écrire.



Paul commence à transpirer un peu. Plus il y pense, plus il réalise que ce n’est pas si difficile pour quelqu’un qui le connaît si bien. Il s’est fait avoir comme un bleu.



Marie regarde Cathy d’un air étonné. Vraiment ? se dit-elle. C’est quelque chose que Marie a toujours voulu essayer, mais Enzo n’a jamais été assez patient pour le faire sans qu’elle ait mal, et elle n’est jamais allée jusqu’au bout. Elle se retrouve soudainement très excitée et réalise que ses tétons sont très durs.


Cathy, qui se moque de Paul, la ramène à la réalité.



Cathy sourit à Marie maintenant.



Paul les regarde, interloqué :



Les filles rient toutes les deux maintenant.



Paul sort lentement de l’eau en espérant qu’elles vont changer d’avis, mais elles ont l’air vraiment décidées.

Il est parti pendant près de vingt minutes, mais les filles attendent patiemment son retour.



Il saute dans le jacuzzi et attrape sa bière.



En levant les yeux, il voit que les deux femmes le regardent.



Paul regarde Marie puis Cathy.



Elle attrape Marie par la main et l’installe à genoux à côté d’elle.



Paul, cependant, a un problème. Le rasage l’a, de manière surprenante, fait bander et il en garde encore une semi-érection. Il sait que s’il doit enlever son maillot de bain devant Marie, il va redevenir dur comme du béton. La mort dans l’âme, il obéit à sa femme et, bien vite le maillot de retrouve sur ses chevilles.



Marie, qui n’avait jamais vu la queue de Paul auparavant, se retrouve avec les 16 cm en érection du mari de sa meilleure amie sous les yeux, en gros plan.

S’il n’est pas tout à fait aussi gros qu’Enzo, elle trouve que sa queue a une forme parfaite, bien droite et avec un très joli gland. Maintenant, elle comprend pourquoi Cathy aime l’avoir entre les fesses : c’est juste la bonne taille et la bonne forme.


Les filles continuent leur inspection de l’objet, sans oser le toucher. L’érection de Paul ne faiblit absolument pas, tellement il est excité par ces deux femmes aux seins nus qui l’inspectent sous tous les angles.



Quand les filles déclarent avoir enfin fini leur inspection, Paul remet son short de bain et se rassied dans l’eau.

C’est dingue comme je suis excité, pense-t-il. Ce qui le surprend, ce sont les images qui trottent dans sa tête de sa queue complètement imberbe, en train de baiser Cathy. Après tout, j’adore la lécher quand elle vient de chez l’esthéticienne, peut-être qu’en ce moment, elle ne peut pas attendre pour me mettre la main dessus ?



Elles rient moins maintenant, et à les voir se regarder et se mordre les lèvres, il se demande si elles ne deviennent pas aussi excitées que lui. Le jeu est clairement monté en intensité.


Cathy n’est pas du genre jalouse, mais Paul est surpris d’avoir pu aller aussi loin. Non seulement Cathy ne fait rien pour arrêter les choses, mais au contraire, elle les encourage. Il n’y a aucun doute dans l’esprit de Paul : si c’était n’importe quelle autre femme que Marie, le jeu se serait terminé depuis longtemps. Il sait également que l’alcool joue une part dans la levée des inhibitions de son épouse.


Paul a maintenant envie de savoir jusqu’où cela peut aller. Il adorerait pouvoir glisser sa queue dans la jolie bouche de Marie. Soudain, ça lui revient : il se rappelle qu’Enzo lui avait dit il y a quelques mois qu’il avait évoqué la possibilité d’un trio avec Marie, et qu’elle lui avait répondu qu’elle ne pourrait l’imaginer qu’avec Cathy. Ils n’avaient pas osé en parler à Cathy, aussi l’idée d’Enzo était-elle tombée à l’eau. Si c’était vrai à l’époque, peut-être Marie avait-elle toujours des envies sexuelles à propos de Cathy.



Paul doit la formuler correctement :



Elle regarde Paul en plissant les yeux.



Elle se penche sur Marie et elles recommencent à chuchoter. Paul est hypnotisé par leurs seins qui se pressent les uns contre les autres. Finalement, Cathy hausse les épaules et lui dit :



Rien que d’y penser, il se sent encore devenir plus rigide.



Cathy ne peut qu’acquiescer de la tête. Elle reste étrangement silencieuse. Elle ne sait pas si elle va réussir à se sortir de là. Pas après avoir demandé à Paul de sa raser la queue. Elle savait que c’était un de ses fantasmes et là, il l’a eue. Comment pourrait-elle embrasser Marie ? Une autre femme ? Marie est sa meilleure amie, presque une sœur.


Elle observe Paul et Marie s’éclabousser mutuellement. Elle n’a rien entendu de ce qu’ils se sont dit, tellement choquée par ce qu’elle va devoir faire.


Plus elle y pense, plus elle réalise que Marie est probablement la seule femme qu’elle aimerait embrasser, mais le problème, c’est qu’elle n’a jamais embrassé de femmes. Bon, ce sera juste un petit baiser rapide. se motive-t-elle.


Elle regarde Marie, qui n’a pas l’air inquiète. Juste étonnée !



Cathy se demande pourquoi cela la dérange comme ça. Ce n’est qu’un baiser. Un petit baiser qui ne veut rien dire



Marie s’est déjà agenouillée au centre du jacuzzi et elle prend Cathy par la main, pour l’amener contre elle. Paul, ravi, observe leurs deux corps se presser l’un contre l’autre. Tout semble se passer au ralenti et Paul n’en croit pas ses yeux : l’un de ses plus grands fantasmes va avoir lieu, là, sous ses yeux.


Alors que leurs visages ne sont plus qu’à quelques centimètres l’un de l’autre, Paul remarque à quel point Marie a l’air concentrée, presque hypnotisée par les lèvres de Cathy.


De son côté, Cathy se rend compte qu’elle n’avait jamais vraiment regardé son amie : son visage, absolument parfait, ses lèvres rondes, l’odeur de sa peau, si agréable… si féminine, pas comme celle d’un homme. Et son corps, nu contre le sien la fascine aussi : si doux et pourtant tellement sexy.


C’est moi, ou elle a l’air d’apprécier de plus en plus ? se demande Paul en regardant sa femme. J’adore voir leurs poitrines se frotter… Paul réalise que son fantasme est sur le point de se réaliser.


Marie se rapproche et presse ses lèvres rondes contre la bouche de Cathy. Puis, les écartant, elle sort sa langue humide et l’insère entre les lèvres de son amie. Cathy est choquée de sentir la langue de Marie forcer ses lèvres ; elle s’attendait juste à un baiser chaste. Néanmoins, elle laisse ses lèvres s’ouvrir et retourne à Marie son doux baiser.


Les dents de Marie mordillent la lèvre inférieure de Cathy, puis sa langue tourbillonne dans la bouche de son amie. Cathy a un mouvement de recul, mais son corps semble en décider autrement et sans qu’elle s’en rende compte, sa langue vient s’enrouler autour de la langue qui l’assaille.


Elle doit bien avouer qu’elle a perdu le contrôle de ce « baiser amical » et qu’elle répond avec passion à la passion de sa copine.


Cathy s’étonne de sa réaction. Elle apprécie cette étreinte passionnée et n’arrive pas à croire combien ce baiser est doux et sensuel. Elle sent les tétons durs de Marie écrasés contre les siens, qu’elle sent plus durs qu’ils ne l’ont jamais été. Elle réalise que c’est le baiser le plus érotique qu’elle ait jamais reçu : le contact des seins de Marie sur les siens, la façon dont son doux visage se frotte sur sa peau et même la façon dont Marie la tient… Cathy a beau combattre ses émotions, elle ne peut se cacher le plaisir intense qu’elle ressent. Avant même qu’elle n’ait intériorisé tout cela, ce baiser s’interrompt et elle se sent fabuleusement excitée d’avoir connu son premier baiser lesbien.



Marie rigole et éclabousse Paul. Cathy sait que Marie a dû apprécier leur baiser autant qu’elle, mais pourtant, elle joue avec son mari comme si c’était totalement naturel.


Reviens sur terre, Cath, se dit-elle finalement. C’est juste à cause de l’alcool.



Acquiesçant, ils retournent ensemble dans le chalet. Marie va dans sa chambre pour se changer, tout comme Paul et Cathy.

Cathy reste très silencieuse depuis qu’ils ont quitté le bain à remous, ce que Paul a bien évidemment remarqué.



Paul la regarde et sait bien qu’il y a autre chose. Il se rapproche d’elle.



Mais elle sait que ce n’est pas complètement vrai. Elle reste très excitée par ce baiser et maintenant elle essaie juste de se convaincre qu’elle n’est pas bisexuelle.



Il essaie de la coincer parce qu’il est encore très excité, mais elle le repousse, se change rapidement et quitte la pièce.


Paul se rend compte que sa femme est tourneboulée par ce qui vient de se passer, aussi décide-t-il de ne pas pousser le bouchon plus loin pour le moment. Il choisit de prendre une bonne douche chaude et de s’occuper tout seul de sa bite bien dure puisque sa femme n’est pas disponible.



Les filles cuisinent rapidement un plat de pâtes avec les courses qu’ils ont fait dans la vallée puis retournent au salon et commencent à parler en mettant la table. Quand les pâtes sont prêtes, Paul n’est toujours pas revenu de sa douche, aussi Cathy va le chercher. Elle revient quelques instants après :



S’avançant vers la baie vitrée du balcon, elle regarde dehors :



Puis, observant le mutisme soudain de son amie :



Marie réalise soudain que ce baiser a pu avoir un effet beaucoup plus fort qu’elle ne l’avait anticipé sur son amie. C’est quelque chose que Marie voulait depuis longtemps essayer, mais elle n’avait jamais trouvé le courage de le demander à Cathy. Elle doit s’avouer que Paul lui a fait un superbe cadeau en lui en offrant l’opportunité.


Marie avait été tellement excitée par ce baiser qu’elle s’est ensuite masturbée sous la douche et que l’orgasme qui s’en était suivi avait été dévastateur, la laissant les jambes flageolantes.


Elle n’a jamais ressenti son attirance pour Cathy comme un problème. Cathy est sa meilleure amie et elle l’aime comme une sœur. Elle pense que Cathy est très belle et sexy, ce qui explique cette attirance, mais maintenant, par la grâce de ce baiser, pour elle, les choses ont subtilement évolué.

Maintenant, Marie sait qu’après ce premier baiser, elle fera tout pour aller plus loin dans sa relation avec son amie. Elle veut la toucher, la tenir dans ses bras. Elle veut même la goûter, bref, elle veut faire l’amour avec Cathy, mais elle ne sait pas vraiment comment lui dire.


Regardant Cathy alors qu’elles se tiennent tranquillement près de la fenêtre, elle veut vraiment l’embrasser à nouveau.


Elle réfléchit à toutes les possibilités qui s’offrent à elle. Elle sent bien que Cathy a été affectée par leur baiser, mais elle n’arrive pas à savoir à quel point. Alors elle se jette à l’eau, se tourne vers Cathy et s’exprime lentement :



Cathy lui rend son regard, mais ne dit rien. Elle essaie de faire le tri dans ses sentiments. Marie sent un regain de confiance en elle et se dit qu’elle n’aura jamais une aussi belle opportunité. Elle se rapproche de Cathy, presque à la toucher :



Cathy fixe les yeux de sa meilleure amie et réalise que cette proximité de Marie allume à nouveau un incendie dans son ventre. Elle reste cependant indécise, mais sentant son corps la trahir et l’empêcher de réfléchir, elle essaie de faire un pas en arrière, afin de reprendre un peu de distance, mais la baie vitrée est dans son dos, elle ne peut plus reculer. Marie lui sourit doucement et Cathy sent ses tétons redevenir durs.


Non. Cela ne peut pas m’arriver. Comment puis-je être attirée sexuellement par une autre femme ? Cathy se bat avec ses émotions.


Cela n’échappe pas à Marie, elle voit bien les tétons de Cathy qui, soudainement, tendent fort peu discrètement son t-shirt. Cathy sent que son corps la trahit et qu’elle ne peut plus cacher son excitation.


Continuant à regarder Cathy dans les yeux, Marie presse son corps contre celui de son amie, écrasant ses seins sur la poitrine de Cathy. Cette dernière essaie de parler, de dire quelque chose, n’importe quoi pour arrêter Marie, mais rien ne veut sortir.


Des frissons parcourent tout son corps à la sensation des tétons durs se pressant contre les siens, frissons qui se multiplient alors que les mains de Marie se glissent autour de sa taille. Marie positionne sa bouche à moins de deux centimètres de celle dont elle veut faire son amante, puis elle vient doucement faire courir sa langue sur les lèvres de Cathy.


Oh mon Dieu ! pense Cathy. Elle est tellement attirante.


Elle sent l’humidité qui gagne son entrejambe et son corps qui répond malgré elle aux caresses de la langue, des seins et des mains de Marie.


Je ne peux pas faire ça. Cathy se bat contre elle-même. Elle essaie faiblement de repousser son amie, mais les lèvres de celle-ci forcent les siennes et pénètrent dans sa bouche.


La bouche de Cathy se referme sur ce doux envahisseur et elle gémit. Elle se sent glisser, sait qu’il n’y aura pas de retour en arrière possible. Une dernière fois, Cathy essaie de s’arrêter, mais elle sent la main de Marie remonter le long de son dos, jusqu’à son cou. Cathy frissonne. Marie tire alors Cathy contre son corps et presse sa bouche contre celle de Cathy.


Cathy s’inquiète de ce que les gens vont penser, mais malgré cela, elle répond maintenant à ce baiser, ne voulant plus qu’il se termine, ne réalisant même pas que ses mains enserrent la taille de Marie et tirent son corps vers elle.


Son goût est enivrant, son odeur si féminine. Embrasser Marie, c’est la chose la plus érotique qu’elle ait faite dans sa vie. La bouche talentueuse de Marie achève de susciter le désir chez Cathy. Son baiser est passionné, celui d’une amante, pas d’une amie. Leurs langues se taquinent et se goûtent au fur et à mesure que leur excitation augmente. Marie finit par rompre le baiser et regarde Cathy dans les yeux. Cathy a alors l’impression d’être une proie et que Marie s’apprête à porter le coup final.


Elle sent la main de Marie se faufiler dans ses cheveux puis tirer soudain sa tête en arrière. Marie sait très bien que le cou de Cathy est l’une de ses zones érogènes et maintenant sa bouche vient s’y poser.



L’autre main de Marie se pose sur les fesses de Cathy pour l’amener encore plus contre elle alors qu’elle embrasse avidement son cou.



Cathy n’oppose plus aucune résistance. Elle n’a jamais été aussi excitée de sa vie et maintenant elle se moque bien de ce que les gens penseront. Tout ce qu’elle souhaite, c’est que ça ne s’arrête jamais. Marie contrôle parfaitement la situation et, à sentir Cathy cesser toute résistance, sa propre excitation atteint de nouveaux sommets.



Cathy ne peut que gémir en réponse. Tenant toujours ses cheveux dans sa main, Marie dirige sa bouche vers l’oreille de Cathy, en la léchant et la suçant. Puis elle libère finalement les cheveux de son amie. Ses mains glissent le long de son torse jusqu’à la base de son t-shirt. Elle attrape le tissu et commence à le soulever par-dessus la tête de Cathy qui lève ses bras pour accompagner le mouvement.



En se rapprochant à nouveau d’elle, Marie l’embrasse une seconde fois et cette fois-ci, Cathy lui rend son étreinte avec empressement.



Sans attendre de réponse, Marie dirige sa bouche vers les seins de Cathy et prend l’un de ses tétons dans la bouche.



Elle regarde avec délice Marie sucer ses longs tétons.



Cathy est dans un tel état d’excitation qu’elle approche de l’orgasme. Voilà bien une autre surprise pour elle : Marie n’a même pas encore touché sa chatte ou son clitoris et pourtant, la voilà déjà sur le point de jouir.


Marie ressent l’excitation sexuelle chez Cathy. Et c’est addictif. Comme Marie suce les longs tétons de Cathy, elle peut sentir sa propre chatte s’humidifier.

Marie rêve de faire ça à Cathy depuis très longtemps, se demandant ce que ce serait de toucher ses seins et ses longs tétons. Alors que Marie les aspire dans sa bouche, ils semblent mesurer au moins deux centimètres et ça, ça l’excite énormément.


Marie passe ainsi plusieurs minutes à aller du sein droit au sein gauche, les recouvrant de sa salive. Descendant sa main, elle vient ensuite la mettre sur le jean de Cathy, juste au-dessus de sa chatte encore recouverte.



Marie sent que l’excitation de Cathy est à son comble et qu’elle va jouir rapidement. Et elle a vraiment envie de goûter au premier orgasme lesbien de son amie. Elle abandonne alors les seins de Cathy et vient s’agenouiller devant elle. Déboutonnant vite la braguette du jean, elle le tire jusqu’au sol, en même temps que la culotte.


Fermant les yeux, elle respire profondément l’odeur de l’excitation de Cathy. Celle-ci est si humide qu’elle voit sa cyprine commencer à couler le long de sa jambe. Marie presse soudain sa bouche contre la chatte de Cathy et cela suffit à déclencher sa jouissance.



Sa voix s’éteint alors que son orgasme la secoue dans tous les sens. Marie obéit et se met à lécher le sexe de Cathy jusqu’à ce que celle-ci finisse par perdre l’équilibre et se mette à genoux.


Marie n’en a cependant pas fini et elle tire le bassin de Cathy vers elle. Se positionnant entre ses jambes, elle continue le premier cunnilingus de sa vie. La langue de Marie explore tous les petits plis alors qu’elle nettoie tendrement la chatte humide de son amie. Lentement, sa bouche remonte entre les petites lèvres jusqu’au clitoris si sensible et le fait glisser sous sa langue.



Les mains de Cathy enserrent la tête de Marie, ses doigts crochés dans sa crinière blonde.



Marie savait qu’elle aimerait la chatte de Cathy. Et elle en veut encore. La cyprine agit comme une drogue sur elle. Elle continue ainsi à alterner entre le clitoris et la fente de son amie, puis déplace un de ses doigts vers cette dernière. Cathy est tellement mouillée que le doigt de Marie glisse facilement en elle et elle entreprend de l’utiliser comme une petite queue, entrant et sortant rapidement et régulièrement.


Marie sent que Cathy approche d’un nouvel orgasme. Elle maintient le rythme de sa pénétration digitale tout en continuant à lécher le petit bouton d’amour de son amie et quelques instants plus tard, Cathy agrippe la tête de Marie et la pousse encore plus fort contre son sexe.



Cathy a presque crié.



Jamais elle n’a connu d’orgasme aussi fort. Non que Paul ne la fasse pas jouir à chaque fois qu’ils font l’amour, mais tout simplement parce que c’est aujourd’hui une première fois, et que c’est une première fois où elle jouit sans aucune retenue, dans une totale libération de tous ses sens.


Si Cathy n’est pas ce qu’on peut appeler une « femme fontaine », Marie a fort à faire pour lécher les jets de cyprine sous haute pression qui jaillisse sous ses lèvres. Elle maintient également, sur un rythme certes plus faible, les va-et-vient de son doigt dans l’intimité de Cathy, jusqu’à ce que les derniers mouvements de reins de son orgasme se soient apaisés.

Elle laisse ensuite du temps à Cathy pour se remettre de ses émotions, puis rapproche son visage de celui de sa nouvelle amante.



Elle embrasse doucement Cathy qui peut ainsi retrouver la saveur de sa cyprine sur les lèvres de son amie.



Marie frotte doucement les tétons de Cathy alors qu’elle parle.



Marie sait qu’en prononçant ses paroles, elle va à nouveau exciter Cathy. D’ailleurs la respiration de son amie s’accélère et elle ne la quitte pas des yeux alors qu’elle parle.



Cathy n’avait jamais imaginé être un jour dans cette situation, mais après ce que Marie lui a fait, elle veut bien sûr lui faire connaître les mêmes délices.

D’ailleurs, Marie n’attend pas la réponse de Cathy. Elle enlève à son tour son t-shirt, puis, se rapprochant, elle présente ses seins à son amante qui, doucement, vient poser ses lèvres sur le mamelon de droite. Cette douce poitrine contre son visage, ce téton qui durcit sous ses lèvres, tout ça a beau être nouveau pour Cathy, elle sait qu’elle vient de franchir une étape irréversible et qu’après cela, elle voudra recommencer, encore et encore…



Les yeux de Marie se ferment alors qu’elle s’abandonne aux caresses de son amie. Cathy n’est pas vraiment sûre de savoir quoi faire, mais elle s’est décrispée et laisse faire ses sens. Ses mains glissent sur la peau nue de Marie. Elle commence à explorer ce corps, passant du sien gauche au sein droit, pinçant entre ses doigts les tétons, puis laissant courir ses mains sur le ventre et les bras. Glissant sur son dos et son cou pour revenir se poser sur ses seins. C’est au tour de Marie de se tortiller, maintenant.


Enfin, Marie ne peut plus attendre. Elle enlève rapidement son jean, se retrouvant aussi nue que Cathy, puis elle grimpe sur elle, cette dernière embrassant et léchant son corps au passage. En fin de compte, Cathy réalise que sa langue a atteint la limite des poils pubiens de Marie. Levant les yeux, elle rencontre le regard de son amante, ses yeux brillants d’excitation et de bonheur.



Glissant un genou de chaque côté de la tête de Cathy, Marie approche son sexe des lèvres impatientes.


Cathy ne peut toujours pas croire que cela lui arrive réellement, mais ça y est, pour la première fois, elle va poser sa langue sur la chatte d’une autre femme. Contrairement à Cathy, qui est intégralement épilée, comme beaucoup de femmes de son âge, Marie a gardé une courte toison pubienne, d’un châtain plus sombre que ses cheveux, taillée en un adorable cœur dont la pointe inférieure vient mourir sur son clitoris.


Son arôme remplit les narines de Cathy et se jetant à l’eau, la pointe de sa langue vient se poser au milieu des petites lèvres de Marie.



Cathy découvre la douceur des plis de la chatte de Marie sur ses lèvres. Elle hésite encore un peu, au début, ne sachant pas par où commencer, mais elle se dit que Marie doit aimer les mêmes choses qu’elle. Sa langue commence à explorer les lieux et s’insinue entre les nymphes. Elle est surprise de l’aspect doux et velouté du sexe de son amie, de la texture et du goût de sa mouille, alors qu’elle enfonce sa langue plus profondément dans sa chatte.



Pour rendre les choses plus confortables, les mains de Cathy se sont glissées sur le petit cul de Marie et ont empoigné ses fesses, tandis qu’elle continue à manger son amie. Levant à nouveau les yeux, elle voit que Marie a fermé les siens, mais son expression exprime clairement ses sensations : Marie s’approche à grands pas de l’orgasme.

Cathy pousse sa langue plus profondément et Marie gémit bruyamment.


Cathy comprenait enfin pourquoi Paul adorait passer du temps en de longs cunnilingus avec elle. Lécher la chatte d’une autre, elle trouve ça très addictif, maintenant, surtout en regardant les crispations sur son visage, en observant la houle de plus en plus forte qui fait chalouper ses reins.


Resserrant sa prise sur les fesses de Marie, Cathy l’attire maintenant plus près, pour que sa langue vienne au contact du clitoris qui vient d’émerger de son capuchon. C’est la première fois qu’elle en voit un de si près, d’autant plus qu’il est clairement plus proéminent que le sien. Comme elle aime que Paul lui fasse, elle alterne suçons et coups de langue sur le petit bouton de son amie, ce qui a pour effet d’accélérer les mouvements de bassin de Marie



Cathy est maintenant fortement excitée à l’idée qu’une femme va jouir sur son visage. Elle attend ça avec impatience, pouvoir goûter aux saveurs de l’orgasme de son amie.


Pour lui donner le coup de grâce, elle ôte l’une de ses mains des fesses de Marie pour venir pincer un de ses tétons sensibles. Le résultat est immédiat, et, dans un grand cri animal, Marie jouit. Elle jouit longtemps, sans aucune retenue, sa cyprine inondant le visage de Cathy.



Marie jouit si fort qu’elle en bascule et est obligée de frapper des mains sur le sol pour ne pas écraser son amie. Mais cette dernière réussit à maintenir sa langue sur le sexe de Marie. Puis elle insère trois doigts dans le vagin de Marie et une vague orgasmique submerge celle-ci.


Marie n’arrive pas à le croire. C’est la première fois qu’elle connaît deux orgasmes si rapprochés. Son corps tremble, pendant qu’elle hurle sa jouissance. Des flots continus de mouille inondent le visage de Cathy qui a du mal à tout absorber avec sa langue.


Finalement, elle se laisse tomber à côté de Cathy, son visage tourné vers le plafond les yeux dans le vague tellement elle est tournée vers ses émotions intérieures. Quelques minutes se passent, juste troublées par les respirations haletantes des deux amies.



Marie se met à rire, sachant que c’est quelque chose qui perturbait Cathy.



Elle reprend, plus sérieusement :



À ces propos, Cathy voit que le visage de Marie s’illumine.



Marie a toujours été attirée par Paul, mais après avoir admiré sa queue tout à l’heure, elle a vraiment envie qu’il la prenne.



Cathy se penche de manière à ce que ses lèvres viennent se poser sur celles de Marie. Elle l’embrasse doucement.



Marie est déjà toute mouillée à l’idée :



Comme il se fait tard et qu’elles ont eu une longue journée, fort riche en émotions de toute sorte, les filles décident qu’il est temps de se coucher.



À 9 heures le lendemain matin, Cathy se réveille avant Paul et vient dans la cuisine pour se préparer un petit déjeuner. Elle se sent merveilleusement bien. Les dernières vingt-quatre heures ont changé sa vie. Et elle est sûre que Paul en sera tout aussi excité. Elle meurt d’impatience de lui en parler. Au bout d’un moment, Marie la rejoint.



Hmmm qu’est-ce qu’elle est belle, pense-t-elle en même temps. Elle a bien envie de l’embrasser langoureusement, là, maintenant, mais elle entend Paul qui arrive.



Paul s’assied avec elles et entame le petit-déjeuner. Il vient visiblement de tomber du lit et reste silencieux devant un grand bol de café. Le petit-déjeuner terminé, ils décident d’aller skier, d’autant plus qu’il fait un temps magnifique et que la neige accumulée sur les sapins rend le paysage idyllique. Quand ils rentrent enfin du ski, à quatre heures de l’après-midi, ils décident de profiter à nouveau du jacuzzi, mais Paul décide d’aller prendre une douche d’abord. Marie fait de même, rapidement et alors qu’elle sort de la douche, Cathy entre dans sa salle de bain.



Cathy enlace Marie et lui donne un long baiser mouillé.



Sans attendre de réponse, Cathy prend Marie par la main et la fait rentrer dans leur chambre. Les deux filles se déshabillent rapidement et rentrent dans la deuxième salle de bain. Cathy dit à Marie d’attendre à côté de la cabine de douche, alors qu’elle y entre.



Cathy soupire de contentement et commence à masturber la queue de son mari.



Paul marque une pause.



Rien qu’à cette pensée, sa queue prend de très honorables dimensions sous la main agile de son épouse.



Paul sourit en retour, espérant bien que ce pardon impliquera quelque chose de sexuel, mais il n’a aucune idée de ce que sa femme prépare.



Elle sourit en se rendant compte qu’elle a en main maintenant une queue totalement en érection et de belles dimensions.



Cathy sourit et le repousse gentiment.



Elle se penche à l’extérieur de la cabine de douche, prend Marie par la main et l’attire auprès d’eux.



Les yeux de Paul lui sortent de la tête. Il regarde Marie de haut en bas, s’arrêtant sur la toison en forme de cœur et sur le sexe juste en dessous et visiblement le résultat lui plaît, car sa queue vient immédiatement se coller contre son nombril. Tous ces rêves qu’il avait de la voir nue, et voilà qu’elle elle là, devant lui. Puis ce que vient de dire Cathy arrive enfin à son cerveau.



Il n’en croit pas ses yeux, la vision est incroyable : les filles s’embrassent devant lui ! Pas un petit bisou amical, non, un baiser à bouches grandes ouvertes, avec échange de salive et gémissements d’accompagnement ! Et en plus, Cathy a mis ses mains sur les fesses de Marie pour l’attirer vers elle. Paul est sidéré et ne peux que les fixer en train de s’embrasser passionnément pendant plusieurs minutes, avant qu’elles ne daignent se tourner à nouveau vers lui.



C’est tout ce que Paul arrive à marmonner.



Paul n’y croit toujours pas jusqu’à ce que Marie se colle contre lui, lève la tête et l’embrasse profondément. Dans le même temps, Cathy reprend sa queue en main pour le masturber et continue à lui parler.



Cathy se met sur la pointe des pieds pour embrasser le cou de son époux, alors que la langue de Marie tourbillonne toujours dans sa bouche. Paul ne peut que gémir alors que les deux femmes parcourent maintenant son corps vers le bas jusqu’à ce qu’elles soient toutes deux agenouillées devant lui. Cathy saisit alors la queue de Paul et la glisse entre les lèvres de Marie.



Paul grogne et ferme les yeux pour savourer le feeling de cette bouche chaude et humide, qui avale de plus en plus profondément sa virilité. Puis elle prend cette jolie queue en main et la lèche de bas en haut, appréciant enfin à nouveau la sensation d’une queue toute dure dans sa bouche.


De fait, Marie adore la fellation, et depuis sa séparation d’avec Enzo, elle n’a plus eu l’opportunité de sucer. Elle aimerait l’amener à jouir dans sa bouche, mais elle sait qu’ils ont tout le temps qu’ils souhaitent pour ça.


Elle utilise sa bouche et sa langue pour donner à Paul le maximum de sensations. Elle le suce profondément, plus loin qu’elle ne l’a jamais fait avec un homme, et elle savoure son goût et son odeur. Elle joue avec lui pendant cinq minutes, puis elle laisse sa place à Cathy qui prend à son tour la queue de son mari en bouche.


Cathy y montre un enthousiasme que Paul n’a pas ressenti depuis un certain temps. Elle pompe sur sa bite vigoureusement puis masse avec sa bouche ses testicules, pendant que Marie lèche ses cuisses ou son ventre.


Sous la double sensation de ces deux langues affamées, Paul sent qu’il ne va pas tenir très longtemps. Comme en plus il contemple maintenant les deux langues des filles qui se rejoignent sur sa queue, la parcourant de haut en bas et mêlant leurs langues de temps à autre, il lui devient difficile d’arrêter la pression qui monte. Il gémit bruyamment pour leur indiquer qu’il est proche de l’explosion. Marie se redresse alors pour embrasser Paul ardemment.



Paul se représente ces images dans sa tête.



C’en est trop pour Paul et il éjacule soudainement. Cathy sent sa queue devenir d’un coup encore plus grosse et d’impressionnantes giclées de sperme inondent sa bouche. L’orgasme de Paul dure longtemps. Cathy n’arrive pas à croire la quantité de sperme que Paul a en réserve.


Elle finit par tout avaler, mais, se relevant, elle permet à Marie de savourer aussi un peu du sperme qui reste sur ses lèvres.


La queue de Paul ne ramollit même pas. Il regarde les deux femmes s’embrasser passionnément puis vient se frotter contre elle. Il glisse sa queue encore rigide entre leurs deux corps et partage leurs baisers.

Il a compris que les filles sont là pour son plaisir, mais il veut aussi les voir jouir. Jouir aussi fortement qu’il vient de le faire.


Après quelques minutes, Paul vient se positionner derrière Marie. Ses mains se joignent à celles de sa femme pour caresser leur amie. Les deux femmes s’embrassent toujours aussi passionnément, leurs bras enroulés autour de l’autre, la queue de Paul confortablement nichée entre les deux magnifiques fesses de Marie.

Puis, comme elle lui l’a fait tout à l’heure, Paul embrasse chaque centimètre carré de la peau de Marie de haut en bas, jusqu’à se retrouver agenouillé en train d’embrasser ce superbe cul, et en égarant ses doigts sur sa chatte.



Voyant cela, Cathy cesse d’embrasser Marie et, se baissant un peu, elle vient s’occuper de sa poitrine dont elle suce les tétons. Pendant ce temps, Paul a contourné les hanches de Marie et bientôt, il glisse sa langue au creux du sexe de Marie, se régalant enfin de son jus. Comme il l’avait dit la veille, Paul adore le cunnilingus et il va tout faire pour la faire jouir de cette manière.

Glissant sa langue entre les lèvres de Marie, il sent son excitation. Marie, en gémissant, attrape sa tête et la pousse plus profondément entre ses cuisses. Paul attrape ses fesses pour mieux la positionner sur sa langue qu’il fait jouer de bas en haut, puis en avant et en arrière, de manière répétée. De temps en temps, il remonte jusqu’au clitoris pour l’aspirer entre ses lèvres ou le lécher avec sa langue. Sous ses assauts rythmés, les hanches de Marie ne tardent pas à bouger de manière spasmodique.


Elle n’a jamais ressenti quelque chose d’aussi merveilleux que ces deux bouches qui sollicitent ses deux principales zones érogènes, et elle ferme les yeux de contentement, sentant son orgasme s’approcher de plus en plus fortement de minute en minute.

Cathy abandonne les seins de Marie pour l’embrasser, en lui murmurant des propos alternativement suavement doux ou diaboliquement érotiques à l’oreille :



Puis elle vient se mettre derrière Marie et embrasse l’arrière de son cou. Partant des oreilles, elle couvre chaque centimètre carré en descendant, passant ensuite par les épaules puis le centre du dos avant d’arriver, en s’agenouillant à ses fesses qu’elle couvre de baisers.



Marie gémit maintenant de manière continue.



Elle a du mal à conserver ses yeux ouverts au fur et à mesure que la passion l’envahit.

Paul sait ce qui se passe derrière, aussi écarte-t-il gentiment les fesses de Marie pour que Cathy puisse y glisser sa langue.



La langue de Cathy finit sa progression en venant lécher l’anus de Marie, ce qui fait céder ses derniers barrages.



Marie n’a jamais ressenti quelque chose d’aussi fort. Elle doit se tenir à Paul pour ne pas tomber. Paul, de son côté, continue de fouiller la chatte de Marie touchant parfois la langue de Cathy qui masse avec la pointe de sa langue son anus. Pendant toute la durée de l’orgasme de leur amie, ils continuent tous deux leurs attaques concertées sur l’intimité de Marie.

Lentement, les deux langues ralentissent leur pression et Marie de laisse glisser sur ses genoux, entre ses deux amants.



Elle tremble nerveusement pendant que des secousses l’agitent encore pendant quelques minutes.

Cathy et Paul, la laissant se reposer, commencent à s’embrasser. Lentement, ils se redressent pour poursuivre leurs baisers et laisser leurs mains s’égarer en caresses sensuelles sur le corps de l’autre.


Marie sourit en voyant son visage se retrouver juste à hauteur du sexe de Cathy. Elle se glisse facilement entre ses genoux et commence à dévorer la chatte de son amante.

Voyant cela, Paul vient se mettre derrière Cathy, donnant plus de place à Marie pour se concentrer sur ce qu’elle fait.


La main de Marie vient se glisser entre les jambes de Cathy. Elle peut de cette manière écarter avec les doigts les petites lèvres de son amie afin de pouvoir mieux enfoncer sa langue dans sa fente, puis remonter vers son clitoris. Cathy se penche en arrière, son dos appuyé contre le torse de son mari, pour donner à Marie un meilleur accès à sa chatte épilée.


Paul ravi de cette proximité laisse ses mains parcourir le corps de sa chérie, s’attardant fréquemment pour triturer les tétons qu’il sait si sensibles. Marie constate d’ailleurs qu’à chaque passage des mains de Paul sur les seins de son épouse, le flux de cyprine qu’elle reçoit sur la langue devient plus abondant.


Reculant, Paul s’assied sur le tabouret que les loueurs ont placé dans le bac à douche, puis il attire Cathy à lui, la guidant sur sa queue en érection. Une fois qu’elle s’est empalée sur le membre viril de son mari, tous deux écartent plus largement les jambes afin que Marie puisse bénéficier d’un accès total à la chatte de son amie.


Devant ce spectacle, Marie a du mal à croire que tout ceci est réel : la chatte de Cathy est écartelée de manière totalement indécente par la queue de Paul, enfoncée jusqu’à la garde dans sa fente dégoulinante. C’est suprêmement érotique ; d’ailleurs Marie sent aussi un surcroît de mouille inonder son entrejambe.


Elle se repositionne pour pouvoir à nouveau explorer de sa langue les plis intimes de son amie, égarant parfois, tout à fait intentionnellement sa langue sur le sexe de Paul. Mais elle se concentre néanmoins plus volontiers sur le clitoris de son amie.


Pour Cathy, après les merveilles de la veille, c’est à nouveau une journée de « premières fois ». Jamais jusqu’à présent elle n’a ressenti le plaisir extraordinaire d’être en même temps empalée sur une queue bien épaisse et rigide et stimulée par une langue agile jouant avec son clitoris. Outre le plaisir physique, évident, c’est surtout l’excitation envoyant des ondes dans son cerveau, qui en fait un moment unique !


Prise comme ça, par derrière et assise sur Paul, l’angle de pénétration est parfait puisqu’il sollicite directement le Point G de Cathy et que juste à deux millimètres, la langue de Marie stimule la même zone en s’attaquant au clitoris intensément gonflé.


Paul et Marie se coordonnent maintenant, adoptant un rythme constant qui ne laisse pas un instant de répit à leur amante. Pour corser les choses, les mains de Paul viennent à nouveau titiller les tétons de sa femme, les pinçant, les frottant, les étirant comme elle adore qu’il le fasse.


Cathy, qui sent l’orgasme arriver essaie d’amener ses amants à changer de rythme, mais ils n’en marquent aucune intention. C’est presque une torture, mais elle se rend bien compte que, de toute façon, les sensations deviennent de plus en plus fortes à chaque instant, annonciatrices d’un orgasme dévastateur.



Ses mains serrent la tête de Marie tandis que ses muscles vaginaux enserrent la queue de Paul. Son orgasme est brutal et elle hurle son plaisir pour libérer sa tension pendant que, vagues après vagues, le plaisir l’emporte Et ces spasmes ont un effet immédiat sur son mari, qui atteint son paroxysme de manière quasi simultanée.


Paul jouit presque aussi fort que précédemment. Il a le temps d’envoyer deux giclées de sperme dans le vagin de son épouse avant que Marie ne retire sa queue pour la prendre en bouche, ce qui ne fait qu’augmenter son plaisir.

Après avoir bien nettoyé la queue de Paul, Marie entreprend de faire de même avec la chatte de son ami.



Les trois amis décident de faire une pause, pour laisser Paul recharger ses batteries. Ils mangent un dîner léger, accompagné d’un excellent « Mondeuse » local. Pendant qu’ils dégustent quelques poires bien juteuses pour finir le repas, les filles racontent à Paul comment elles en sont arrivées à faire l’amour la veille, ce qui n’est pas sans lui faire un effet certain que les filles peuvent constater de visu quand il se lève pour débarrasser la table.


Il va s’assurer que l’eau du jacuzzi est à température idéale, puis il dispose, comme la veille, quelques bouteilles de bière dans la neige à côté du bassin. Seul changement, ils boiront local puisqu’il a acheté, au retour du ski, de la « Blanche des Guides », produite par la Micro Brasserie de Chamonix. Le temps s’étant dégradé dans l’après-midi, il constate que de gros flocons tombent à nouveau, tout droit, dans le vallon.


Se glissant dans l’eau agréablement chaude, il invite les deux femmes à le rejoindre. Quand elles arrivent, elles peuvent voir que Paul ne s’est pas embarrassé d’un maillot de bain et qu’il flotte, nu, dans le bassin. Elles décident qu’effectivement il n’y a plus lieu de s’embarrasser d’une quelconque pudeur, et jetant tous leurs vêtements sur la terrasse, c’est en tenue d’Ève qu’elles entrent à leur tour dans la grande baignoire.


Dans l’atmosphère ouatée de cette fin de journée, la neige tombant à gros flocons, tous trois savourent la bienfaisante relaxation provoquée par l’eau chaude et les remous du jacuzzi que Paul a réglé au niveau minimum.


La relation entre les trois est bien différente de ce qu’elle était avant ce séjour, mais Paul s’interroge sur la manière dont les filles vont vouloir faire évoluer leur histoire et combien il sera concerné. Il espère secrètement qu’il y aura à nouveau des moments intenses à trois comme celui qu’ils ont vécu avant le dîner.


Évitant de chausser pour une fois ses gros sabots de mâle priapique, Paul parle de tout et de rien, mais surtout pas de sexe. Il est donc étonné, mais en même temps ravi que les filles, petit à petit, orientent leur conversation vers des sujets plus « chauds ». Les deux femmes sont en fait très excitées par les développements récents de leur relation et elles ont envie d’en découvrir de nouvelles facettes. Ainsi, Marie leur annonce, à leur grande stupéfaction, que l’avant-veille, elle avait assisté, cachée à l’extérieur de la cuisine, aux ébats de Cathy et Paul sur le comptoir de la cuisine.



Elle hésite.



Cathy apprécie alors beaucoup de voir son amie rougir de gêne.



Elle approuve d’un hochement de tête.



Cathy regarde Marie et répond.



Rassuré par la bénédiction de Cathy, Paul se rapproche de Marie dans le jacuzzi et vient se positionner entre ses jambes, qu’elle écarte avec un grand sourire. Se penchant en avant, Paul embrasse alors Marie, doucement tout d’abord, puis plus profondément, plus passionnément. Marie croise ses jambes autour de la taille de Paul pour le serrer contre elle.


Leur baiser terminé, Paul se relève lentement et Marie se retrouve avec le sexe en érection de Paul juste devant son visage. Obligeamment, elle ouvre alors les lèvres et Cathy voit avec excitation la queue de son mari s’enfoncer dans la bouche de son amie, jusqu’à la racine.


Au départ, seul Paul imprime le mouvement, sa queue entrant et sortant des lèvres de Marie régulièrement, comme s’il faisait l’amour à sa bouche. Puis elle vient avec sa main droite caresser les testicules de Paul, pendant que sous l’eau, son autre main vient se positionner sur son clitoris.



Paul regarde avec intensité sa queue se couvrir de la salive de Marie. De temps en temps, maintenant, elle retire sa bouche et sa langue vient lécher le dessous de son sexe, des testicules jusqu’au bout du gland et retour. Puis elle forme à nouveau un parfait « O » avec sa bouche et ayant juste absorbé le gland, elle masturbe la queue avec sa main.



Mais Marie utilise maintenant son autre main pour jouer en même temps avec ses testicules, ce qui fait redoubler les gémissements de Paul.


Absorbé par cette intense fellation, aucun des deux ne voit Cathy sortir de l’eau. Elle revient quelques instants plus tard avec un tube de gel lubrifiant aux silicones. Elle veut que Marie puisse recevoir sans douleur la belle queue de Paul entre ses fesses. Cathy sait à quel point ça peut être bon, une sodomie, à condition d’y être bien préparée, et elle sait aussi que Paul, qui l’a initiée il y a quelques années, saura être aussi doux et aussi patient que possible pour amener Marie à apprécier cette nouvelle sensation.


Et elle découvre qu’elle a vraiment envie de partager Paul avec Marie. Elle n’en est absolument pas jalouse, et la voir sucer son mari ne lui procure aucun autre sentiment qu’une grande excitation et le plaisir de les voir profiter l’un de l’autre. Depuis hier soir, la pensée qu’ils puissent être amants tous les trois de manière régulière n’arrête pas de hanter son esprit.


Si Paul n’avait pas remarqué le départ de Cathy, il ne peut s’empêcher de sourire à son retour, sa femme ayant placé le gel lubrifiant juste dans son champ de vision, derrière Marie. Il retire alors sa queue de la bouche de Marie, puis la soulevant un peu, il se facilite l’accès à sa chatte, juste à la limite de l’eau. Sa langue plonge entre les lèvres intimes de Marie puis remonte vers le clitoris, qu’il mordille entre ses dents. Puis il revient en arrière et plonge sa langue aussi loin qu’il le peut dans le vagin se son amante.



Déjà, la fellation avait fait monter son excitation, mais là, elle repart vers de nouvelles altitudes de plaisir.

Si elle trouvait qu’Enzo n’était pas mauvais, côté cunnilingus, elle doit s’avouer que le jeu de langue de Paul, entre sexe et clitoris est beaucoup plus élaboré, et lui apporte un plaisir beaucoup plus intense. Alternant pénétration profonde de sa langue, léchage actif de ses lèvres et suçons sur son clitoris, le résultat est divin.


De sa main, Marie accompagne la tête de Paul, mais elle n’a pas envie de le diriger, il a suffisamment de talent pour détecter ce qu’elle apprécie le plus.


Prenant à nouveau les choses en main, Paul prend Marie dans ses bras, la retourne pour qu’elle s’accoude sur le rebord du jacuzzi, les fesses sortant juste de l’eau et il entreprend d’attaquer avec sa langue l’anus de son amie.

Il passe plusieurs minutes à assouplir de sa langue l’anus encore vierge de Marie, tout en jouant avec sa main sur son clitoris. De temps en temps, il récupère du bout des doigts un peu de la cyprine qui coule abondamment pour venir en barbouiller l’anus de Marie, faisant doucement coulisser un doigt à l’intérieur.


Marie n’arrive pas à croire à quel point c’est agréable. Enzo était vraiment trop brutal quant à sa façon d’aborder cette partie de son corps, et ça avait créé un véritable blocage mental chez elle, résultant en une vraie crispation, et donc de vives douleurs, chaque fois qu’il avait voulu explorer cette voie.

Avec Paul, les choses sont totalement différentes, et elle se sent en confiance et donc absolument relaxée. Elle est même excitée par ces nouvelles sensations et, sans qu’elle le fasse de manière consciente, à chaque fois que Paul approche son doigt couvert de cyprine de son anus, elle pousse ses fesses vers l’arrière pour qu’il y pénètre plus profondément.



Marie se sent en totale confiance et chaque nerf de cette partie si profondément innervée lui envoie un message à la fois de plaisir et de luxure. Elle avait lu dans Cosmopolitan que la sodomie, c’était avant tout un plaisir cérébral, et elle est ravie de constater que c’est tout à fait vrai.



Quand l’index de Paul est entièrement entré dans l’anus serré de Marie, il le fait jouer doucement d’avant en arrière, tout en continuant à stimuler son clitoris de l’autre main.



Paul sent que Marie est au bord de la jouissance aussi en s’étant assuré qu’il est totalement recouvert de cyprine, il introduit son pouce, plus large dans l’anus palpitant pendant que son index et son majeur prennent place dans sa chatte, formant une sorte de pince qui amène les doigts à se toucher, uniquement séparés par une fine membrane. Marie, divinement excitée par cette nouvelle sensation se laisse sombrer dans un orgasme qui la foudroie instantanément.



Marie hurle, alors que son corps est secoué de convulsions.


Admiratif devant cette jouissance, Paul la laisse se détendre progressivement, tout en maintenant les doigts de sa main dans ses deux orifices.



Cathy prend alors la direction des opérations. Attrapant le flacon de gel lubrifiant, elle s’en barbouille généreusement les mains puis, attrapant la queue de Paul, elle la recouvre intégralement d’une épaisse couche de gel. Puis elle s’approche des fesses de Marie et, de même, masse doucement son anus avec le gel, ne pouvant pas s’empêcher de faire pénétrer ses doigts dans le fondement de son amie. Enfin, rassurée quant à une lubrification maximale, elle positionne le gland de son mari juste devant l’anus de Marie.


Retournant à sa position de spectatrice, elle regarde avec fascination le visage de Marie en train d’offrir son anus encore vierge à Paul. Celui-ci a posé la pointe de sa queue sur l’anneau serré et commence lentement à pousser.



Totalement lubrifié et intensément préparé par la langue et les doigts de Paul, le sphincter a très vite cédé le passage au gland de Paul.



Pendant ce temps, Cathy a entamé une danse de ses doigts sur son clitoris. Elle veut, elle aussi avoir un orgasme en même temps que sa meilleure amie.

Paul pousse tout doucement, mais la lubrification et l’envie de Marie sont telles que la progression se fait sans aucune douleur.

Quand, au bout de deux minutes, les poils pubiens de Paul s’écrasent sur les fesses de Marie, elle exulte à l’idée qu’elle a réussi à recevoir dans son anus la totalité des seize centimètres de cette magnifique queue.



Marie se sent tout à coup très volubile. Elle a envie de crier au monde la sensation exceptionnelle qu’elle ressent. Elle n’a jamais vécu une telle expérience et a l’impression que tout son corps semble tourner autour des quelques centimètres maintenant distendus de son anus. Cette sensation d’être remplie est incroyable.


Paul perçoit cette exultation de Marie, aussi, pour l’accompagner et la sublimer encore, entame-t-il un lent mouvement de pompage entre ces fesses si accueillantes.

Il sent que sa queue est tellement bien serrée par l’anneau anal de Marie, qu’il ne va pas pouvoir tenir très longtemps, mais il ne conçoit pas de jouir avant que Marie n’ait aussi pris son plaisir.


Alors il essaie de l’exciter encore plus :



Il excite peut-être Marie, mais il est tout autant excité de prononcer ces phrases.



Obéissant, Paul accélère ses mouvements entre les fesses de son amante et cette accélération suffit à déclencher chez Marie un deuxième orgasme, mais le premier de sa vie qui soit uniquement provoqué par une stimulation anale.



Pour la deuxième fois, Marie se sent emportée par de multiples ondes de plaisir qui fourmillent à travers la totalité de son corps.


Paul est fier d’avoir réussi à tenir jusque-là, mais dès qu’il sent l’anus de Marie se resserrer sur sa queue, il s’abandonne au troisième orgasme de sa soirée et, ensemble, ils partent dans une intense jouissance simultanée.

Déjà éperdue de sensations, Marie découvre l’étrange sensation du sperme qui gicle loin dans son anus, et c’est pour elle un petit plus dont elle sent qu’elle ne pourra plus se passer.


Cathy, qui ne veut pas être la seule exclue du plaisir, accélère la pression de ses doigts sur son clitoris, et bien vite, elle les rejoint dans la jouissance.


Paul s’écroule sur Marie et aucun d’eux ne bouge pendant plus d’une minute. Puis doucement, il retire sa queue qui a déjà molli, des fesses de Marie et les trois se rassoient, assommés par le plaisir, dans la chaleur du jacuzzi, tâchant de redescendre doucement des hautes altitudes érotiques qu’ils ont atteint ensemble.



Restant silencieuse un instant, Cathy leur dit :



Intriguée par la question, Marie réfléchit quelques instants et répond :



Cathy commence à dire quelque chose, mais elle s’arrête. Elle s’approche de l’oreille de Paul et lui chuchote quelque chose.



Cathy regarde Marie :



Marie est interloquée.



Marie reste pensive dans le jacuzzi et ses deux amants restent silencieux dans l’attente de sa réponse. Puis elle les prend tous les deux par la main en leur souriant :



Elle vient se mettre à califourchon sur Marie et l’embrasse passionnément.


Marie sait qu’elle vient de trouver une nouvelle maison, et elle est impatiente d’essayer cette relation à trois. Elle ne sait pas si ça durera longtemps, mais elle compte bien vivre ça au jour le jour et en profiter tant qu’elle le pourra.


Carpe Diem, pense-t-elle en agrippant la queue de son nouveau co-amant sous l’eau, pendant qu’elle écrase ses seins sur ceux de sa co-amante.