n° 18541 | Fiche technique | 40157 caractères | 40157 7274 Temps de lecture estimé : 30 mn |
04/09/18 corrigé 06/06/21 |
Résumé: Ce plafond n'existe pas seulement en politique, mais aussi dans la vie de certains. | ||||
Critères: #vengeance #confession fh fhh fplusag couleurs collègues travail chantage entreseins fellation cunnilingu préservati pénétratio sandwich fsodo | ||||
Auteur : Faustine |
Je ne suis pas doué pour les études. Ce ne sont pas les capacités qui me manquent, mais la motivation. Je préfère, et de loin, jouer à la console, traîner avec les copains, draguer les filles, etc. Mais comme certains, je ne me retranche pas derrière mes origines, mon nom, ma couleur de peau, le quartier où j’ai vécu. Mais j’ai des parents, mon père surtout qui a su me « botter le cul » pour me motiver avec des paroles que beaucoup devrait entendre :
Bref me voici, mais avec trois années de retard, avec un diplôme d’IUT option informatique. Mais le plafond de verre existe et j’ai eu du mal à obtenir un premier poste, même en CDD.
Le DRH de la boîte, le bâtard, ne s’est pas privé de me faire comprendre que, s’il me prenait, c’était pour remplir ses « quotas », plus que sur mes capacités dont il doutait.
Heureusement les collègues sont sympas. Je comprends à demi-mot que le DRH a mauvaise réputation, qu’on le soupçonne de passe-droit et moi j’ajoute « d’être raciste ». J’apprends dans la foulée qu’il est marié avec une chef de service qu’on me montre à la cantine.
Je me suis souvent demandé ce que les couples qui travaillaient ensemble pouvaient bien se raconter le soir. Mais eux c’était pire. Autant lui, « Le Georges », avait mauvaise réputation, autant sa femme, Isabelle, était respectée. Il faut dire aussi qu’elle avait au moins vingt ans de moins que lui et que c’était un beau brin de femme. Comment ce porc avait-il pu la « chopper » ? Mystère. On me la présente, car je dois mettre en place un projet très particulier.
Des vols sont commis dans l’entreprise. Heureusement cela a commencé avant que j’arrive sinon je vois bien « Le Georges » me mettre ça sur le dos. Il a été décidé de placer un système de surveillance pour attraper le ou les voleurs. Bien entendu toutes sortes de précautions devaient être prises, en particulier chaque employé avait été prévenu et avait donné son accord pour que son bureau, les couloirs, les salles de réunions puissent être surveillés.
Ô miracle ! Dès que les premières caméras sont installées, les vols cessent. Évidemment le voleur n’est pas con au point de se laisser filmer en flagrant délit.
Les semaines passent. Tout le monde oublie cette surveillance potentielle. De toute façon les enregistrements ne sont visionnés qu’en cas de vol et détruits au bout d’une semaine.
Mais moi, j’ai la rancœur tenace, d’autant qu’à chaque fois que je croise « Le Georges », il ne peut s’empêcher de me faire une remarque… « Que je devrais être au boulot et pas dans le couloir » ou autre vacherie. Je crois aussi qu’il est jaloux, car certaines filles ne dédaignent pas ma compagnie. On dirait qu’il fait tout pour me casser mes coups.
Mon CDD doit de toute façon se terminer dans un mois. Alors je me dis que si je pouvais faire « chier » ce gros porc je devais le faire.
Je sais que « déontologiquement » comme on dit dans les milieux qui, lorsqu’ils tapent dans la caisse des millions… Bref « que l’on soit riche ou misérable »…
J’arrête, car je sens que je vais me lancer dans du politiquement pas correct.
Toujours est-il que je me dis, qu’en visionnant ce qui se passe dans le bureau de « Georges », je pourrais peut-être trouver de quoi le faire « chier » un peu.
Et je trouve.
À première vue, sans le son et à vitesse accélérée, l’entretien paraît normal. Mais je n’aime pas le sourire carnassier de cet homme alors que son interlocutrice quitte son bureau. Alors je regarde en vitesse normale. Je vous épargne les détails, juste la dure réalité.
Le Georges regarde sa montre.
La femme semble perplexe, inquiète même.
La femme hésite, c’est évident. Moi, à sa place, je comprendrais la menace cachée.
19 h 30. L’enfoiré est dans son bureau alors qu’on frappe à sa porte. « Entrez », il dit alors que les locaux sont vides et que plus personne du service ne peut venir le voir.
C’est la femme. Celle qu’il a « motivée » par ses allusions malsaines. Elle entre. Elle s’est changée. Elle est élégante avec sa robe cintrée qui la moule délicieusement. Coiffure et maquillage sont en accord. Ce n’est plus la salariée, plutôt une femme en sortie. Il est évident qu’elle a bien intégré les allusions du Georges. Comment a-t-elle fait avec son mari pour expliquer cette tenue et cette heure inhabituelle ? Un pot de départ ? Un patron qui invite ses salariées pour renforcer la cohésion de l’entreprise ?
L’enfoiré rit de sa plaisanterie. Il est tout sucre et tout miel. Il n’a rien fait. Il n’a rien dit. Il se dit la proie alors que c’est lui qui…
Le salaud. L’ordure. Profiter de son poste pour… je savais que cela existait, mais tout de même !
La femme est décidée c’est évident. Elle est venue ici parfaitement consciente de ce qui l’attend. Elle fait la fière, mais on la sent troublée.
Cette remarque montre que la femme a pleinement conscience que ce rendez-vous n’est pas pour bavarder ou éclaircir certains points. Elle sait ce qui l’attend. « Le Georges » a manœuvré pour que l’initiative vienne d’elle. Sa tenue, sa présence à une heure tardive montrent qu’elle est « volontaire ».
Le fumier. Non seulement il utilise sa fonction, mais en plus il détourne… Il n’a pu avoir le code que par sa femme. Mais quel jeu elle joue ? Un peu comme moi, mais moi c’est pour la bonne cause. Pas lui !
La femme n’est pas exempte de défaut, mais elle ne mérite pas, si ce n’est par son mari, de devoir être punie. « Le Georges » joue sur tous les tableaux, la carotte de la promotion, la punition d’avoir trompé son mari au travail.
Il entre dans le vif du sujet. Elle comprend et commence à défaire les boutons.
Il découvre, bouton après bouton, le soutien-gorge en dentelle et puis la petite culotte assortie. La lingerie est assez sexy. La culotte n’est pas de ces culottes qui sont à la mode, mais étroite, et sans être un vrai string ficelle, est faite de deux triangles qui laissent les fesses bien visibles. La poitrine est imposante et le soutien-gorge a bien du mal à la retenir. Les lobes supérieurs ont envie de se sauver. Une tenue de séductrice.
Georges repousse son fauteuil pour laisse la place à la femme. Elle est face à lui.
Elle s’exécute.
Elle hésite.
Elle ne dit rien. Elle ferme les yeux. Elle hésite. Ses mouvements sont d’abord peu érotiques. Elle a du mal à se concentrer. On le voit à sa façon d’ouvrir les yeux de courts instants avant de les refermer pour chasser la triste réalité.
George lui saisit les chevilles pour placer les pieds sur le meuble. La femme est ouverte à son regard, jambes pliées, cuisses largement ouvertes.
Petit à petit, elle donne l’impression de plus s’investir. Terminés les frottements peu convaincants. Fini le silence. Les seins qu’elle a extraits de leur enveloppe pendent lourdement et les tétons sont de longues tiges de chair qu’elle maltraite. Elle gronde. On sent le plaisir. Le plaisir réel ou simulé. Mais s’il est simulé, alors l’actrice mérite un César.
Georges, le regard fixé sur sa proie, a ouvert sa braguette et en a extrait un chibre en érection. Sa bite est courte, mais épaisse. Il se masturbe alors que la femme montre tous les symptômes d’un orgasme.
Elle ouvre les yeux. Elle ne peut que voir la bite de Georges qui s’est reculé un peu. Leurs regards se croisent. Elle comprend et, sans demande de l’homme, vient s’agenouiller pour le prendre dans sa bouche. Un observateur qui arriverait seulement maintenant penserait surprendre un couple en train de baiser. Un homme et une femme sur leur lieu de travail. Les statistiques démontrent que c’est assez fréquent.
Elle le suce. Sa bouche est déformée par la taille de l’engin, mais lorsque « Le Georges » l’aide de la main, elle le gobe jusqu’aux couilles.
Elle ne réplique pas, d’ailleurs sa gorge est pleine.
L’homme défait l’attache du soutien-gorge. Elle l’aide à l’enlever, sans abandonner sa bite.
Elle se relève un peu. Lui avance sur son fauteuil afin que sa bite soit bien accessible. Elle, dans un geste inattendu, mais qui montre une certaine expérience, laisse couler un filet de salive dans le sillon, créé alors qu’elle plaque ses seins l’un contre l’autre. Elle se penche et la bite disparaît dans une vallée de délice et de douceur. Voilà une chose que je n’ai jamais faite. Éjaculer dans une gorge vorace, une chatte accueillante, voire un cul serré, mais jamais ainsi dans ce qui paraît le plus doux des écrins. C’est elle qui bouge sa poitrine pour branler la bite. Par moment le gland réapparaît du sillon. Cela dure encore quelques secondes et puis « Le Georges » jouit.
Encore quelques mouvements et maintenant lorsque le gland paraît, il entraîne avec lui son foutre qui lui fait une enveloppe grasse et gluante.
Le sillon des seins est souillé de la jouissance de l’homme. Mais la bite paraît encore bien raide libérée de ce carcan de chair. Il n’a pas débandé. Il sort d’un tiroir de son bureau un préservatif qu’il donne sans un mot. La femme le déchire et le déroule sur la queue polluée, toujours aussi courte, toujours aussi grosse. Le latex fait encore un bourrelet vers la base de la hampe. Sur moi, il faut le dérouler totalement pour bien m’envelopper.
La femme se relève.
Il sort une serviette qu’elle étale. Elle a compris qu’il veut qu’elle s’allonge sur le ventre. Pas un mot pendant qu’elle se place. Pas un mot, alors que lui, qui s’est relevé, se positionne entre les deux cuisses et guide son mandrin vers la chatte.
Il entre en douceur. Je m’attendais à une possession de violeur, mais non. Déjà son ventre touche les fesses de la femme. Il l’a prend à son maximum.
Mais cette demande est en contradiction avec les mouvements de la femme. Comme la plupart de ses congénères, en levrette ou debout, prises ainsi, elles se tortillent plus ou moins vicieusement afin de bien sentir ce qui vient de les posséder, comme si elles en testaient la taille, la dureté l’angle.
Elle se force à simuler ou c’est naturel ?
Il se sert de ses larges hanches pour s’accrocher et commence à la baiser. D’abord tout doucement et puis en accélérant.
Une proie, cette femme est-elle vraiment une proie ou bien juste une femelle qui vient se faire baiser par un collègue. Une femme consentante !
Mais non, elle est bien ici par la volonté de cet homme, soumise à lui pour une promotion, abus de pouvoir caractérisé par supérieur hiérarchique.
Pourtant, maintenant elle présente tous les signes de la femelle heureuse de se faire baiser. « Le Georges » a abandonné la prise des hanches pour s’accrocher aux épaules et la tirer à lui dans un mouvement qui la fait cambrer un peu plus.
J’accélère la vidéo. Il paraît infatigable. Chaque fois que je reviens en « normal », le couple exprime son plaisir.
Je trouve que cela sonne faux, mais l’homme ne doit pas le remarquer dans le feu de l’action.
J’accélère. Enfin ils terminent. Pas d’enculade. « Le Georges » donne congé. J’écoute juste les dernières paroles.
Elle ne dit rien. Elle baisse les yeux. Cette remarque doit lui faire prendre conscience qu’en lui disant « Oui, oui » pour qu’il finisse plus vite, elle s’est mis la corde au cou. Elle ouvre la porte.
La porte se referme sur elle. L’homme se lève et va attraper un appareil photo posé sur un meuble. Je comprends lorsqu’il retire la carte mémoire qu’il a filmé son « entretien ». L’enfoiré. En plus il se garde des souvenirs de ses exactions. Un moyen de garder la pression sur ses « conquêtes » ou juste l’envie de visionner pour le plaisir. Il glisse la carte dans son ordi. Il va enregistrer le fichier. Sur son écran apparaît un rectangle avec demande mot de passe. J’essaie de suivre ses doigts sur le clavier « I.a..l.e2000* » Autant les chiffes étaient visibles sur le pavé numérique autant les lettres parfois cachées par une main, moins certaines.
Mais il est comme les autres. Il se croit malin. Le prénom de sa femme. Juste avec I majuscule pour remplir les conditions d’un mot de passe : « Isabelle2000* »
Et si avec ce mot de passe j’allais voir…
Deux jours plus tard, j’ai été regarder. Non seulement j’ai regardé, mais j’ai fait une copie. Tout y est pour pouvoir le confondre. Il a enregistré chacune de ses « réunions ». Son dossier est très bien tenu. Fichier avec nom et date. Je reconnais certaines personnes.
Mon idée est de faire passer quelques preuves discrètement à la direction. Ainsi sans me dévoiler, la direction serait obligée de réagir, surtout si je menace de faire circuler l’info en cas de non-réaction de leur part.
Mais j’ai des scrupules. C’est mettre certaines « élues » et même « un élu » dans l’œil du cyclone. Je décide d’en parler à ma chef de service. C’est autant à une responsable qu’à la femme que je compte demander conseil.
Je lui demande en la croisant dans un couloir.
Isabelle est toujours souriante, du moins avec moi. Elle m’a pris sous son aile. J’ai beaucoup appris et je sais, elle me l’a dit, qu’elle me donnerait une lettre soulignant mon travail et mon implication pour un futur employeur.
Elle plaisante.
Malgré, son statut dans la boîte, la dizaine d’années qui nous séparent et son état de femme mariée, nos relations sont familières. Elle me tutoie et me charrie. Je la vouvoie, mais me permets quelques plaisanteries.
Mais elle déchante ! Pour l’instant je ne lui ai montré que la vidéo que j’ai prise.
Elle devient livide.
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SMS d’Isabelle. Samedi matin :
Il est inquiet. Il a appelé un ami informaticien et ils sont partis pour le bureau. Tu es sûr de toi ? Il ne va pas retrouver ?
SMS de Julien :
Rassurez-vous. Le dossier n’est pas effacé, mais crypté. Double cryptage impossible à récupérer sans le logiciel et les deux mots de passe. Son copain pourra toujours lui dire que c’est le logiciel de protection de la boîte qui a merdé. Ou lui, par une fausse manip.
SMS d’Isabelle, plus tard dans la journée :
Manifestement bredouille. Son copain n’a pas réussi. Merci.
SMS d’Isabelle. Dimanche soir :
J’ai pris ma décision. On se voit au même endroit lundi matin avant le boulot.
SMS de Julien :
J’y serai.
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Elle m’accueille avec un grand sourire et une poignée de main appuyée.
Le sourire n’est pas gêné, plutôt provocateur.
Cette femme est en train de m’avouer qu’elle couche avec d’autres pour obéir à son mari, mais que ces séances lui plaisent. Je l’avais vue sur la vidéo plus que volontaire pour satisfaire « Le George DRH » et là elle m’annonce qu’elle aime le cul.
Elle doit voir quelque chose dans mon regard.
Elle se lève pour se pencher au-dessus de la table qui nous sépare pour déposer un baiser sur mes lèvres et avant de se réinstaller me susurre à l’oreille :
Putain, mais son sourire est chargé de vice et de sexe. Cette femme veut qu’on la baise à deux. C’est fou. Je me demande un instant si elle n’est pas plus perverse que son mari.
Oh ! Petite je peux venir avec Abdel. Avec lui une fois on s’est fait une chaudasse pendant un mariage où on était extra et qui, comme Isabelle, voulait se farcir deux blacks. Eh bien, on l’a laissée sur les genoux et son mari se demandait pourquoi sa femme était si fatiguée. L’alcool a eu bon dos !
Je lui parle de cette aventure. Elle est impatiente !
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Bien évidemment qu’Abdel a pu se libérer, surtout lorsque je lui ai montré la vidéo d’Isabelle dans le bureau du DRH.
La maison est dans un quartier huppé. Deux blacks qui sonnent à une porte, cela se remarque. Mais la maîtresse de maison ouvre et salue ses deux visiteurs comme étant attendus par elle.
Isabelle porte une robe simple.
Elle m’embrasse sur les lèvres.
Lui aussi a droit à un baiser.
De nous deux, en écho. Quelques minutes et on entend :
Nous avançons. Elle est bien là, au milieu de ce salon chicos. Je me retiens de ne pas chercher les caméras, mais la présence d’Isabelle attire le regard.
Elle se précipite vers moi ! M’embrasse goulûment, frottant son corps au mien comme si c’était naturel.
Elle me dit, alors qu’elle fait un pas en arrière et tourne sur elle-même en une rotation torride. La petite robe est bien loin. Ce n’est plus l’Isabelle que je côtoie, stricte dans un tailleur ou une tenue neutre. C’est une autre. Nuisette transparente qui laisse les seins en arrière-plan. Porte-jarretelle et bas noirs. Petite culotte dont la surface des ficelles dépasse celle du triangle de devant. Une pute, voilà à quoi elle me fait penser.
Et se tournant vers mon copain.
Elle se frotte à lui comme une chatte qui ronronne. Elle l’embrasse aussi. Elle le caresse.
La salope a déjà commencé à détacher la chemise. Abdel, évidemment, se laisse faire. Il l’aide. Tous les deux semblent impatients. Je les comprends. Moi, je bande de ce scénario.
La garce minaude comme si nous étions amants depuis longtemps. Elle fait tout pour énerver son mari lorsqu’elle lui montrera cette vidéo. Pour lui, nous étions amants depuis longtemps, au travail, discrètement.
Me voici nu. C’est la première fois qu’elle me voit ainsi, nu et en érection. J’apprécie le regard qu’elle jette sur ma bite et surtout sa main qui l’enveloppe alors qu’elle me lance.
À genoux devant nous, elle semble nous juger. Une bite dans chaque main. Elle nous caresse doucement.
Elle se penche sur la mienne et commence à me sucer sans quitter celle d’Abdou. Quelques secondes où elle explore de sa langue et pose ses lèvres sur mon gland.
Elle abandonne ma queue une seconde pour faire cet aveu. Elle replonge, me gobe un peu plus.
Elle plonge vers Abdel. Elle le suce.
J’ai compris. Elle fait tout pour humilier son mari lorsqu’elle va lui faire voir la vidéo. Il n’y a pas de pire humiliation pour un homme que d’entendre cela alors que sa femme est à genoux devant deux belles queues qui ,sans être « exceptionnelles », sont dans la bonne moyenne de notre « famille ».
Elle le suce. Avec la bourgeoise, il faisait trop sombre pour bien regarder. Là, la lumière est parfaite, peut-être un peu forte, mais calculée pour que les cameras conservent leur définition. Mine de rien, elle lui gobe une bonne moitié de la queue. Je me retiens pour appuyer sur la tête et voir jusqu’où elle pourrait aller. Mais elle se soulève laissant le mandrin gluant, tirant des filets de salive entre le gland et ses lèvres.
Elle revient vers moi. Elle pousse mon mandrin contre mon ventre pour palper mes couilles, les soupesant, les léchant en essayant de les gober.
C’est au tour d’Abdel. Mêmes caresses, même regard désormais vicieux avec un visage qui a perdu toute dignité, si ce n’est celle d’une femelle qui se dépense sans compter pour le plaisir de son amant.
Je ne sais si c’est vrai, mais j’imagine la fureur de l’homme et je vais conseiller à Isabelle de ne pas montrer cette vidéo en tête à tête, mais dans un lieu public pour éviter une réaction violente.
Ma remarque lui plaît. Elle sourit.
Elle se tait, mais repart de plus belle. Nos queues sont célébrées. Elle passe de l’une à l’autre. La salive pollue le sol, le canapé.
Et m’adressant à mon copain.
Abdel ne se le fait pas dire deux fois. Ses mains emprisonnent la tête d’Isabelle pour qu’elle le gobe encore plus. Elle a du mal. Elle tousse, crache.
Je les sépare. Une table est un peu plus loin. Je repousse les quelques bibelots. Je soulève la femelle comme une plume pour la faire asseoir, puis allonger. Je la pousse afin que sa tête soit tout au bord.
Elle veut montrer à son mari qu’elle se livre aux pires orgies avec deux blacks ! Nous allons lui montrer !
Je fais un signe à Abdel. Il comprend. Je ne sais s’il a déjà pratiqué ou si, comme moi, il n’a vu cela que sur les sites de cul, mais il assure. Isabelle voit se poindre la belle bite. Mais bientôt ses yeux ne voient plus que l’ombre du mandrin, puis les couilles alors que la longue tige avance dans sa gorge. C’est impressionnant de voir Abdel faire quasiment disparaître son mandrin dans la gorge ouverte. Isabelle ne se refuse pas. Par vice ? Par provocation ? Je plaindrais presque son mari de découvrir pareil outrage.
Mais moi, j’ai une belle chatte devant moi après que le triangle de tissu est descendu. J’y plaque ma bouche. Elle s’ouvre, écartant encore plus les cuisses. Pas le moindre duvet. Le lieu est lisse comme une peau de bébé. Sa fente montre son envie. Ma langue plonge pour en goûter le suc et enduire le petit bouton qui pointe. Son clito est bien visible. Il veut que je le tète, que je l’aspire. Isabelle ondule, se cambre pour mieux s’offrir. Très vite je sens son orgasme et cette liqueur si particulière. Elle a la jouissance coulante.
Ma bouche ressent chaque mouvement d’Abdel. En me relevant, je le vois en pleine action.
Et toi Georges, le vois-tu bien mon copain ? Je pense tout en cherchant une caméra. Je sais qu’Isabelle nous a dit de ne pas le faire, mais je ne peux me retenir. Trouver une caméra, la regarder sachant que plus tard tu vas croiser mon regard.
Eh oui, mec. Regarde ! Tu me jugeais incompétent ! Tu m’avais embauché pour respecter tes quotas. Eh bien, c’est un « Quota » qui remplit la bouche de ta femme avec sa grosse bite noire. D’ailleurs, il va juter dans sa gorge. Elle le veut ! Elle l’attend. Ses lèvres étranglent la base du gland pour faire de sa bouche un réceptacle. Tu reconnais ces crispations des muscles des fesses qui annoncent la montée de sève, le frisson qui accompagne la première giclée, le « Ahhhh » de l’homme qui se vide.
Au fait Georges, tu connais ce chanteur de Toulouse ! Il est de ta génération. Tu connais certainement sa chanson où il parle de la couleur des os d’un artiste noir ! Eh bien, il aurait pu dire aussi que le foutre d’un black est de la même couleur que le foutre d’un blanc. D’ailleurs, tu en as la preuve. Maintenant qu’Abdel s’est retiré, on ne peut ignorer ce qui s’échappe de la bouche de ta femme. C’est un généreux Abdel !
Elle est belle ta femme. Son visage est ravagé, de la salive, du foutre, des coulures de maquillage. Elle s’investit ! Elle profite ! Elle assure ! Tiens, je suis sûr que tu apprécies ce regard vicieux alors qu’en se redressant un peu de cette position si abjecte, mais si efficace pour une fellation parfaite, elle avale ce que son amant lui a balancé.
Et moi ! Georges. Ne m’oublie pas. Tu vois mes deux mains qui osent se poser sur les chevilles gainées de soie de ta femme. Des mains qui soulèvent ! Qui écartent ! Si tu ne le vois pas, je peux te dire que ces jambes sont dociles. Et ma queue, tu la vois bien ? Attends, je la balance un peu pour que tu puisses bien en profiter.
Désolé, mais j’en ai trop envie. Elle n’est pas là que pour la représentation. Elle est pressée de…
Putain que c’est bon. Je glisse dans de la crème. Ta femme se redresse sur les coudes. Elle aussi veut se voir baisée. Elle le voit. Elle le sent.
Je ne sais pas si tu entends bien, mais ma bite chuinte dans la vulve de ta femme. Vulve ! Et si je lui faisais un bébé. Un beau bébé métissé qui serait ta honte pour la vie. Voilà une idée à creuser si tu lui refuses le divorce…
Excuse-moi de ne plus te commenter, car… c’est si bon…
Je glisse. Je tape. Mon ventre rebondit sur les fesses d’Isabelle. Elle s’est laissé retomber sur la table. Elle ne cesse de gémir, de parler, de m’encourager. Est-elle dans un rôle pour son mari ou dans son plaisir ? Qu’importe !
Elle se caresse. Ses tétons sont des pointes magnifiques qu’elle torture à plaisir. Je sens aussi sa main frotter ma queue alors qu’elle se caresse le clitoris.
Oui, qu’importe :
Elle se cambre. Je suis dans des abysses. J’explore des lieux encore vierges.
Moi aussi je viens. Nos jus se mélangent. Le clapotis est obscène, mais si bon…
Coucou Georges, me revoilà. Je voulais te dire que ta femme est une belle salope. Que sans le savoir, en la faisant baiser par tes copains, tu l’as réveillée au point que tu n’imaginais pas. Et il lui faut deux « Quotas » bien noirs, bien jeunes, bien membrés pour la satisfaire.
Elle est si chaude, si prometteuse que même pour des « Quotas » comme nous, nos bites doivent assurer.
La mienne baigne dans ma semence, conservant toute sa vigueur.
Deux belles bites bien dures… Une femelle salope qui veut humilier son mari…
Je sais. Oui je sais comment…
Je soulève Isabelle. Elle s’accroche à moi par ses jambes qui entourent mes hanches, par ses bras qui enlacent mon cou. Son visage est tout près du mien. La sueur, la salive, le foutre de mon copain en font un tableau obscène. Je pourrais l’embrasser, mais j’ai une répulsion de devoir goûter au sperme d’Abdel. Un mec de doit pas… Je ne l’ai jamais fait…
Mais c’est elle, vicieuse parmi les vicieuses qui se colle à moi. Elle m’embrasse et je n’ose la repousser. La salope s’amuse à jouer de sa langue. Me voici complice de sa fellation.
Oh, mon Georges, savais-tu que tu avais élevé une vipère en ton sein ! Pour un peu j’aurais presque une pensée de compassion pour toi, mari qui se croyait le maître, mais qui va se retrouver dépassé.
Collée à moi, je la porte. Le canapé me reçoit et me voici avec Isabelle sur moi, cavalière dont je ne doute pas de la qualité de monteuse.
Elle se redresse abandonnant mes lèvres chargées de l’odeur de foutre. Déjà elle se tortille sur mon mandrin, ondulant comme une danseuse du ventre. Son vagin me paraît vivant, caressant de mille bouches chaque parcelle de ma queue. Son trot est une prise en main. Son galop, le signe d’une goulue. En appui sur ses bras, penchée sur moi, son ventre ondule, sa fente s’ouvre et se ferme, engloutissant ma bite pour mieux la relâcher.
Abdel regarde, le dard à l’horizontale. Il est comme moi et se souvient de notre expérience avec la bourgeoise. Elle ne voulait pas seulement se faire baiser par un black, mais aussi par deux en même temps.
La main de mon copain appuie sur le dos de la cavalière. Elle se retrouve plaquée contre moi, d’autant que mes bras l’enveloppent. Elle cesse de bouger, tourne la tête derrière et ne peut que comprendre ce qui va lui arriver alors que mon copain lui lèche le cul.
Avec la bourgeoise, dans la pénombre, cachée par un rideau, la sono en musique de fond à laquelle se joignait parfois le chahut des danseurs, notre trio se devait d’être efficace et rapide. D’ailleurs la femelle en rut qui nous avait « pécho » avait dirigé la possession. Mais dans ce salon, inondé de lumière, sous l’œil des caméras, tout est différent.
Le visage d’Isabelle est en face du mien. Il est ravagé, porte la marque de ses premières jouissances, mais si expressif.
Le regard qui croise le mien alors qu’elle comprend et que mon copain fait pointer son gland à la place de sa langue.
Le pincement des lèvres lorsqu’il force l’anus, écartant le muscle que la nature a prévu pour un autre usage. Elle a avoué connaître la sodomie, au moins par son mari, mais après ce premier round, je suis persuadé que les invités de Georges ont eu le plaisir de pratiquer ce chemin.
La bouche qui s’entrouvre alors que le mandrin avance. Moi aussi je le sens me pousser, ramper contre ma bite comme un serpent habile.
Le souffle qui sort de ses lèvres ouvertes et expulse un « Ahhhh » alors que ses paupières se ferment.
Elle semble figée alors que mon copain lui a enfilé tout son engin. Il s’est redressé et échange un clin d’œil avec moi. Redressé et cambré afin que la femelle ne se sente pas écrasée par le poids de son corps, mais que sa queue lui remplisse bien le cul.
Elle revient à elle. On le sent à ses petits mouvements, légers ajustements autour de nos deux bâtons. Elle a peu de liberté, mais cela suffit pour donner à ses mouvements une excitation supplémentaire.
Elle ouvre les yeux.
Elle remonte un peu vers moi.
Ma bite est sortie. Aussitôt, elle la cherche d’une main pour la guider.
Elle trouve son rythme. Elle se baise sur nos queues. Elle souffle de ses efforts. Elle crie son plaisir et j’ai bien l’impression que ce n’est pas pour son mari, mais que ses jouissances l’emportent.
Elle faiblit. Alors Abdel prend sa suite. Agrippé aux hanches, jouant des élastiques du porte-jarretelles, coup de reins après coup de reins, il bourre le cul de la femelle. Ses mouvements me branlent, délicieusement caché au plus profond du vagin. Isabelle s’est effondrée sur moi, son visage contre mon cou, sa bouche si près de mon oreille que j’entends chaque soupir, chaque mot à peine prononcé. C’est bon. Bien que ce soit Abdel qui la laboure, c’est contre moi qu’elle se blottit.
Et si ce n’était pas qu’une baise prétexte pour divorcer ? Si, demain je l’invitais à sortir avec moi. La séduire ? Et pourquoi pas ? Elle est belle ! Elle est intelligente ! Je l’admire. Je sais qu’elle m’apprécie aussi pour autre chose que ma queue.
Et si ? Et si ?
Abdel lui balance sa crème. Isabelle gronde de plaisir. Moi, il me suffit de quelques mouvements pour me libérer et la remplir à nouveau.
Mon regard découvre le plafond. Peinture blanche parfaite. Mais moi, je vois une dalle de verre qui se déchire.
Oh, « mon Georges », je préfère être à ma place qu’à la tienne. Moi, c’est mon plafond de verre qui disparaît. Toi, c’est le sol qui va s’ouvrir sous toi lorsque tu verras cette vidéo…