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Temps de lecture estimé : 17 mn
06/09/18
Résumé:  Je rencontrais Agathe en we chez mes parents. Elle aimait les jeux avec des gages...
Critères:  f h jeunes grosseins groscul poilu(e)s fsoumise voir exhib noculotte fmast hmast jeu -occasion
Auteur : Rice de Foiscan      Envoi mini-message
Agathe a su me surprendre grâce à un jeu de dés

En classe prépa pour faire plaisir à mes chers parents, je revenais ce week-end dans la maison familiale, une belle et grande demeure bourgeoise.

J’y avais ma chambre, très grande avec sa salle de bains, presque un petit appartement.

La maison disposait de cinq chambres du même confort, alors, comme nous habitions en province, mes parents aimaient recevoir leurs amis et profiter de cette grande surface habitable pour les accueillir chaleureusement. Justement, un couple que j’avais vu deux ou trois fois venait passer ce week-end chez mes parents.


Ma mère m’avait dit qu’il serait accompagné de leur fille, Agathe qui avait à peu près mon âge, peut-être un peu plus jeune. Elle faisait ses études dans un établissement très catholique où elle y recevait une éducation stricte. À eux trois, ils représentaient un portrait assez classique de nos fréquentations familiales.


Les Leroy arrivèrent le samedi après-midi, je décidai de ne pas descendre tout de suite, je voulais profiter de ma chambre, de mes bouquins, de mes objets, de regarder mes quelques décorations murales. J’avais notamment l’affiche en petit format du film « Emmanuelle » collée au mur, au-dessus d’un fauteuil en rotin.


Au décès de ma grand-mère, j’avais récupéré ce fauteuil et mon idée de le marier avec ce poster amusa la sainte famille. Quelquefois, j’aurais bien aimé qu’une fille prenne la même pose dans mon fauteuil, mais l’occasion ne s’était jamais présentée.


Je rejoignis tout le monde dans le salon, un bonjour à chacun avec évidemment la bise de circonstance, Agathe reçut aussi ma bise, sa joue me parut très douce quand mes lèvres l’effleurèrent. Les conversations d’usage s’installèrent et j’en profitais pour détailler Agathe.


Elle était une petite boulotte avec un visage rond et sympathique, je remarquais une poitrine assez forte, un ventre avec un pli grassouillet. Je me prenais au jeu et regrettais qu’elle soit assise quand j’étais entré dans la pièce, car je ne pouvais voir son séant.

Je m’interrogeais : comment était le cul d’Agathe ? Gros, imposant, débordant ? En tout cas, il ne pouvait être un petit cul dont les deux fesses tiendraient dans chacune de mes mains, il devait comme on dit, se tenir là.


Assise face à moi, elle était vêtue d’une jupe assez longue pour couvrir ses genoux, je ne pouvais malheureusement pas espérer apercevoir un petit quelque chose d’érotique comme la peau d’une cuisse ou le début de son entrejambe.

Malgré cela, par moment, mon sexe se contractait, émettait comme un signal inconscient suggérant qu’une ouverture était possible, mais à ce stade difficile de savoir pourquoi. Peut-être le fait de l’imaginer toute nue alimentait mon cerveau, côté sexuel ?

Je l’observais, prenant tout mon temps, je remarquai qu’elle était agréable et participait à la conversation poliment et toujours juste à propos, une future dame ès spécialiste en conversation mondaine.


Elle étudiait dans un établissement catholique où elle trouvait sérieux et approfondissement dans ses études, elle regrettait la discipline un peu rétrograde.

Je m’interrogeais sur cette notion de rétrograde, subissait-elle des sévices d’un autre âge ?


Je l’imaginais en travers des genoux de la mère supérieure, jupe relevée et culotte baissée, subissant quelques claques sur son postérieur rougissant.

Mon sexe répondit très positivement à cette scène et je vis que mon pantalon montrait une légère déformation; je croisai vite les jambes et posai une main sur ma cuisse.

Je voulais cacher le visible appendice de mes pensées et annihiler cette protubérance incongrue.


Malheureusement mon sexe n’allait pas se reposer si tôt, car ma chère mère demanda à ses invités de la suivre pour prendre possession de leurs chambres, j’anticipai la découverte du côté pile de notre invitée.


Agathe se leva, appuya même un regard dans ma direction et se tourna pour rejoindre ma mère. Mes yeux ont dû sortir de leur orbite : son cul était éléphantesque et je voulais instantanément y coller ma trompe. Mes deux mains pouvaient se poser allègrement sur une seule de ses fesses sans se toucher : mon Dieu, quel cul, mais quel cul !

En marchant, chaque rondeur singeait le mouvement des vagues dans une grâce infinie, j’aurais voulu la suivre pour prolonger et ne pas manquer la montée d’escalier, mais je n’y étais pas invité, car montrer de mon initiative la chambre à une jeune fille, c’eût été une faute d’éducation. Maman s’adressa à moi :



J’avais répondu d’une voix chaleureuse, mais dans ma tête, tout se bousculait… Agathe restait avec moi ce soir, mon sexe approuvait cette situation à en déchirer mon caleçon.

Dans ma tête, un chronomètre s’installa. Il était 19 h, nous dînions à 20 h, et à 22 h nous serons seuls avec Agathe. Il me fallait avant 22 h trouver un stratagème pour profiter de cette providentielle opportunité, car comment la mettre à poil et plus si affinités sans lui sauter dessus et surtout sans avoir l’air d’un obsédé ? Le repas n’en finissait pas, Agathe était en face de moi et, de temps en temps, me gratifiait d’un sourire ou d’un regard plein de souffrance en me soufflant :



J’avais trouvé mon stratagème, les deux petits cubes dans le tiroir de mon secrétaire allaient être mes alliés. Un petit jeu de dés déguisé en maths m’aiderait à insinuer gages pour déshabiller la belle. Ouf, ils venaient enfin de partir, la voie est libre.



Je ne voulais pas lui proposer une de nos chambres, j’étais bien élevé et je ne voulais pas la choquer.



J’avais disposé un bloc de papier et un crayon sur la table du salon. Agathe fit la moue.



Un peu décontenancé, je lui dis :



Oh que oui ! et mon opportunité du moment s’appelait Agathe, mais je ne pouvais le dire, alors j’ai dévié :



Elle approuva.



Elle me regardait droit dans les yeux, fière de sa réponse et surtout fière de m’avoir déstabilisé.



Je fis non de la tête en me doutant qu’elle devait avoir fait le programme la semaine passée. Elle enchaîna :



Je restais muet puis ma question ne put être retenue :



D’une voix presque professorale, elle répondit :



Je buvais et vivais ces paroles, je m’imaginais invisible dans leur dortoir parmi toutes ses demoiselles en chaleur.



Je dois vous avouer que mon sexe se sentait de plus en plus à l’étroit, je gardais pourtant une contenance de celui qui écoutait sans trop d’émotion, mais de quelle couleur était la chatte d’Agathe ? En un quart de seconde, cette question devenait essentielle, mais je ne pouvais la lui poser.



Je dissimulai mon émoi tant cérébral que physique en m’intéressant à toutes les participantes tout en attendant où Agathe en était quand leur jeu s’est stoppé.



Elle a prononcé « sucé avec gourmandise » comme si un bonbon glissait sur sa langue, j’imaginai mon sexe en bonbon ou plutôt une sucette érigée vers sa bouche.



J’avais tellement peur qu’elle oublie de parler d’elle que je m’empressai de lui poser la question.



Mon sexe et mon cerveau ne faisaient plus qu’un, ils se transformaient en une main qui s’abattait sur son éléphantesque cul !

Puis, m’imaginant la scène, je voyais que sa culotte gênait mon regard.



Rien que d’avoir osé évoquer devant Agathe sa petite culotte, une trique d’enfer me submergea, je ne savais pas comment la cacher et j’avais peur qu’Agathe ne le remarque. Me voyant me tortiller, Agathe eut un léger sourire et apporta quelques précisions sur sa petite culotte.



J’enviai sa copine qui avait profité de la volupté de son séant, elle avait vu la fissure séparant ses globes que j’imaginai remplis de graisse et de muscles un peu mous.



Agathe était nature, sans filtre, incroyablement bandante.



Je l’ai dit très vite comme si cette éventualité aurait pu s’échapper.



Je serrai encore plus les jambes pour masquer mon embarrassant embarras !

Si Agathe avait remarqué, elle n’était pas indifférente.



Agathe était une délicieuse vierge effarouchée, d’ailleurs, était-elle vierge ?



Je devais accepter ses conditions, car elle voulait prendre en main les limites du jeu, elle connaissait et acceptait les gages auxquelles elle devrait se soumettre et pour les miens, elle faisait confiance à son intuition.



Grand sourire d’Agathe. Sa main saisit les dés, elle les lance, elle est déterminée et déjà en plein dans le jeu. 1 et 4, elle a l’air déçue. À mon tour. Je les lance « double deux », mince !



Nous avons lancé les dés près de cent fois sans atteindre la combinaison magique.

Elle était coquine et se moquait gentiment de mes déceptions feintes.

Des « Oh », « Wah », « Presque », si un six apparaissait ou « Dommage » si un autre double s’invitait. Nos interjections retentissaient jusqu’au au moment où les deux six se sont exposés.

Ma main avait exaucé le miracle, j’étais comme KO debout.

Agathe me regarda dignement, comme une condamnée qui allait exécuter sa peine.



Je m’installai au fond du fauteuil, les bras croisés.



Agathe se leva, déplaça la table du salon et se mit face à moi. Elle était hors de portée de mes mains comme si deux précautions valaient mieux qu’une. Mes yeux ne voulaient rien perdre du spectacle improvisé qui s’offrait à moi. Agathe que je connaissais à peine, Agathe que je croyais timide et cul béni, Agathe dont les courbes en rondeurs avaient fait de mon sexe une ligne droite, Agathe allait se transformer en coquine effrontée. Que la fête commence !



Alors, quand j’ai vu la bosse de ton pantalon, mes mains auraient bien aidé à satisfaire mon envie de découverte. Je dois t’avouer que si j’avais gagné, un gage prévoyait de rétablir mon ignorance.


Je mis instinctivement deux doigts sur ma braguette pour lui montrer mon sexe débordant d’enthousiasme.



Je retirai mes mains et les posai sur mes cuisses, je voulais qu’elle voie la déformation du tissu, je me disais qu’elle pourrait aussi changer d’avis.



Elle déboutonna son corsage de bas en haut, les petits plis de son ventre apparurent, puis la couleur blanc et la dentelle très sage de son soutien-gorge. Ses seins débordaient des bonnets, seule la forme de ses tétons était visible. Agathe avait posé son chemisier sur une chaise et elle était face à moi. Son regard pointa à l’endroit de mon sexe.



Je lui lançai une perche pour la faire changer d’avis, mais non, elle continuait.



J’allais voir la chatte d’Agathe, rapidement certes, mais j’allais connaître la couleur de sa toison, la densité de son buisson, mon sexe était sorti du caleçon, il frappait désespérément à la porte pour sortir. Agathe souleva sa jupe et la replia pour l’accrocher à sa ceinture.


Ses genoux et ses cuisses se touchaient, elle n’était vraiment pas du genre à écarter ses compas facilement. Sa culotte en coton blanc n’avait pour seule décoration qu’un petit nœud rouge et rien ne pouvait laisser deviner le trésor qu’il masquait. Agathe me fixa, ses pommettes commençaient à rougir.


Ses doigts se faufilèrent sous l’élastique, elle appuya son regard de détermination, mon regard passait de ses yeux à son slip et de son slip à ses yeux, pour retourner à son slip.

Elle réussissait à me mettre mal à l’aise, je voulais à la fois soutenir son regard pour l’encourager et surtout ne pas manquer l’éphémère spectacle sans passer pour un obsédé.


Elle cligna des yeux comme pour se donner le signal puis abaissa sa petite culotte.

J’ai vu ses poils apparaître, noirs charbon, bouclés et abondants. C’était beau de mater ensemble, sa chatte et elle, slip baissé et rouge de timidité.

Je photographiai ce tableau dans ma mémoire, car les tissus recouvrirent vite sexe, cuisses et genoux : tout était déjà remis en place.



Elle se mit à glousser et écarquilla les yeux en dodelinant de la tête.



Je n’insistais pas, je n’allais faire capoter les trois derniers défis.



Effectivement, elle passa ses deux mains sous sa jupe, elle tortilla deux ou trois fois son gros popotin et le tour fut joué. La culotte rejoignit le chemisier.



J’acquiesçai et la félicitai de ce petit tour de magie.



Je lui disais que j’étais ravi de participer activement, de plus, j’allais voir son éléphantesque cul nu, j’allais le toucher.



Je n’avais aucune expérience de fessée et la réussite de ce nouveau gage pourrait lui faire penser que je suis un homme d’expérience, ce qui pourrait la rassurer.

Elle se tourna, s’approcha à la portée de mes mains, souleva délicatement sa jupe.

Ses cuisses se dévoilaient, charnues, un peu graisseuse, puis la rondeur de son cul hypnotisait mon regard, sa jupe était remontée haut sur son dos, ses fesses gigantesques m’appartenaient.



Deux claquements pas trop forts et Agathe m’encouragea.



Elle se disait vierge, sans expérience et je la croyais, mais ses paroles faussement naïves me transportaient au point, moi aussi, de me demander si je ne finirais pas par jouir sans me toucher. À chaque coup, Agathe le ponctuait d’un « c’est bon » ou « encore ».



Son cul rougissait et ma main chauffait, Agathe était appétissante, amoureusement désirable. J’aurais voulu prendre son cul contre moi pour lui faire un câlin.



Le dernier gage était une simulation de masturbation. Quels étaient ses plans ? J’avais hâte de savoir.



Agathe allait se mettre à poil, je n’en croyais pas mes oreilles. Agathe, entièrement nue, aucun centimètre carré de sa peau ne pourrait plus échapper à mon regard.



Elle minaudait, à la limite me suppliait, j’en étais bouleversé de désir, presque d’amour. Elle allait regarder ma bite dressée par elle, dressée vers elle.

J’ouvris ma braguette, baissai mon caleçon et mon pantalon dans un même geste. Mon sexe claqua sur mon ventre, il était bandé comme un arc.

Agathe avait les yeux grands ouverts, elle scrutait mon membre sans aucune gêne. Elle mit une main sur ses lèvres et envoya un baiser à ma tour d’ivoire.

Agathe était d’une délicatesse, chacun de ses gestes était comme un voile ondulant au gré d’une brise légère.



Elle dégrafa son soutien-gorge et découvrit ses seins blancs, bien remplis et majestueux, ses aréoles claires laissaient pointer deux tétons qui ne demandaient qu’à être titillés. Elle ôta rapidement sa jupe pour être comme au jour de sa naissance, je la trouvais belle dans son corps opulent. Sa grosse chatte aux poils noirs et bouclés tranchait sur le blanc de sa peau. Je voyais le « 1 » de notre jeu de dés.


Elle se tourna, s’agenouilla et se mit à quatre pattes, ses coudes sur le sol firent remonter son immense popotin. Elle se cassa les reins pour mieux s’offrir tout en éloignant ses genoux l’un de l’autre. Le spectacle méritait un César, ou plutôt un Molière, j’étais le seul spectateur et au premier rang. Au fur et à mesure que ses joues fessières s’élevaient, le sillon s’écartait, de même que ses grandes lèvres.


Son petit trou et son clito furent deux acteurs majeurs de cette scène intime et inédite. Son doigt se faufila entre ses chairs pour recouvrir son appendice à plaisir.


Le signal : ma main enserra vigoureusement mon sexe et commença son va-et-vient, Agathe me regardait par moment, ses doigts s’enfonçaient dans sa caverne encore vierge. Nous nous tenions par les yeux, notre masturbation partagée s’exprimait de râles et de soupirs. Nous sentions que notre prestation ne pourrait durer une éternité, pourtant nous cherchions à retarder l’échéance. Je sentis mes bourses prêtes à exploser quand j’entendis Agathe me crier :



C’en était trop, ses lèvres étaient gluantes, ses doigts étaient collés de filaments visqueux, ils allaient et venaient sur la rivière de sa jouissance. Mes bourses lâchèrent leur trésor, des saccades de pièces d’or montaient et s’éparpillaient sur mon ventre, Agathe hurla son bonheur en regardant la tige lâcher sa sève.

Après cette explosion commune, un silence s’invita dans la pièce, nos hémisphères de plaisir échangèrent des ondes d’orgasmes émerveillés.

Agathe se leva, ramassa ses vêtements, s’approcha de moi, osa une bise sur mes lèvres, s’approcha de mon oreille et me glissa :



Je la vis s’éloigner. Je ne la regardai plus comme une envie de jouissance, je la devinai comme une étoile aimante…