Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 18547Fiche technique14095 caractères14095
Temps de lecture estimé : 9 mn
09/09/18
Résumé:  Récit vécu de nos visites, assez sages, à des saunas libertins.
Critères:  h fhh couplus extracon hépilé fépilée sauna amour voir exhib hmast intermast fellation cunnilingu pénétratio -totalsexe
Auteur : Léonarddigital      Envoi mini-message

Série : Virginie

Chapitre 01 / 03
Virginie aime être couverte

Le présent récit n’est pas une fiction, mais une histoire réellement vécue ; seuls quelques petits détails ont été volontairement modifiés dans le but de sauvegarde de notre anonymat.


Nous sommes un couple marié depuis presque vingt ans et habitons en Belgique dans la région de Courtrai ; nous travaillons tous deux dans deux grandes sociétés de notre région et sommes les fiers parents de deux charmantes filles, âgées de seize et de dix-huit ans et d’un fils âgé de treize ans.


Je me prénomme Hervé, suis âgé de 46 ans, ma femme porte le prénom de Virginie, elle a 42 ans. Nous sommes des gens normaux et nous nous aimons encore autant qu’à l’époque de notre rencontre et ceci malgré le poids des années de vie commune.


Nous consacrons notre temps libre à faire de grandes promenades en compagnie de nos deux chiens, des teckels à poil court, nous nous baladons à bicyclette et nous rendons régulièrement à l’étranger – en France principalement – pour savourer de courtes vacances ; nous adorons l’Alsace et la Haute-Provence.


Je mesure un mètre quatre-vingt et pèse quatre-vingt-trois kilos, mon épouse mesure un mètre soixante et pèse cinquante-cinq kilos. Nous sommes tous deux fort attentifs à notre présentation et à notre bien-être. Si mon physique est assez commun – je pèse quelques kilos de trop – mon humour et ma bonne humeur m’ont toujours garanti un certain succès auprès des femmes.


Ma femme est par contre assez réservée en général et ne se lie pas facilement d’amitié. Son physique est cependant particulièrement avenant. Elle est blonde, a des yeux brun-vert et son visage est fort joli. Sa silhouette – j’hésite à utiliser le terme de plastique – est exceptionnelle.

Son corps est harmonieux et ne présente pas une once de graisse superflue ; des jambes sont parfaites, son derrière est ferme et rebondi à souhait, et je la sais fière de ses seins qui sortent du commun : ils sont pleins, fermes et gros et surmontés de deux larges aréoles brun oranger : on les mangerait !

Sa peau est de surcroît d’une douceur exceptionnelle.


Son corps est enfin naturellement et intégralement bronzé une bonne partie de l’année, car notre jardin est entouré d’un muret et de hautes haies qui garantissent une intimité totale et dès que le soleil est au zénith, elle fait bronzette en nu intégral.


Depuis une vingtaine d’années, son sexe est totalement et parfaitement rasé : il est tel qu’elle l’a reçu à sa naissance. En fait, lorsqu’elle est nue, elle a tout de la playmate et de la poupée Barbie et je ne peux que m’en réjouir. Elle est canon !


Nous sommes un couple uni, mais notre vie sexuelle a cependant au fil des années, évolué vers un libertinage modéré. Comme la plupart des couples actuels, nous sommes passés par le stade des jouets sexuels de tout genre (godemichets, vibromasseurs, balançoire d’amour, tenues et cuissardes vinyles, masques, martinets et autres), mais l’attrait de tous ces attributs s’est estompé au fil des ans.


Comme beaucoup d’hommes, j’ai très souvent fantasmé – il semble qu’il s’agisse d’un fantasme purement occidental – en imaginant ma femme emboucher et lécher un gros sexe noir ou en l’imaginant dégouliner de foutre après s’être fait sauter – à grands bruits – par un, voire par plusieurs, mecs.


Je lui en ai fait part à de nombreuses reprises et me suis chaque fois heurté à un veto catégorique. Jamais elle n’accepterait soit de sucer soit de se faire pénétrer par un inconnu. Nonobstant mon insistance, je suis finalement arrivé à la conclusion qu’elle ne changerait jamais de point de vue. J’ai donc dû suivre une piste plus « soft », mais fort érotique tout de même.


Le hasard a voulu qu’il y a presque six ans nous ayons commencé à fréquenter de manière plus au moins régulière (une fois par mois) un sauna « libertin » situé à Lille. La première fois, ce fut par pur hasard : il nous arrivait régulièrement de déjeuner dans une brasserie à la rue de Béthune, généralement le vendredi midi. Un midi d’automne où il pleuvinait, je lui proposai de nous rendre dans un sauna (classique) pour nous détendre. Nous demandâmes au garçon si un tel établissement existait à proximité (dans le piétonnier donc) et il nous donna l’adresse d’un sauna à quelques centaines de mètres.


Nous nous y sommes donc rendus, mais en franchissant le portail (fort discret) nous nous avons compris tout de suite qu’il s’agissait d’un « lieu de plaisir ». Que faire ? N’étant nullement coincés nous nous sommes dit que l’occasion faisait le larron et sommes entrés et sommes devenus « membres » de l’établissement.


Le lieu était classique : vestiaire, bar, jacuzzi au rez-de-chaussée et une dizaine « d’alcôves » à l’étage. Le port de la (seule) serviette de bain autour de la taille y était la règle et, surtout, le lieu était peuplé de bien plus d’hommes seuls que de femmes ou de couples. L’ambiance semblait cependant cordiale et le personnel (féminin) charmant.


Lors de notre première visite, nous nous sommes contentés du jacuzzi et du sauna. Nous avions à peine pris place dans le sauna – assez vaste et peu éclairé – que nous fument rejoints par trois hommes seuls, de différents âges et gabarits.


Ces présences ne gênèrent cependant pas Virginie qui s’allongea sur le banc au seul endroit où la luminosité était forte. Deux des mâles se mirent à caresser leurs verges en la regardant sans dire un mot, juste en face d’elle. Elle ne s’en offusqua nullement et se mit à ouvrir les jambes et à caresser ses seins allant jusqu’à différentes reprises emboucher ses mamelons. Les trois types se mirent à se masturber. Ce spectacle m’excita beaucoup et, assis sur la planche inférieure, je me mis à introduire un puis deux doigts dans le vagin de Virginie qui coulait littéralement de cyprine. Je l’ai alors masturbée à grand bruit et son plaisir était tel qu’elle me prit la main pour augmenter la force des va-et-vient dans sa vulve. Elle atteignit assez rapidement un orgasme et c’est à ce moment que deux de nos spectateurs déchargèrent sur le sol. Sans dire un mot, ils quittèrent tous les trois la cabine de sauna.


Ma tendre épouse s’avérait donc être une femme plus libérée que je ne l’avais imaginé !

À l’époque, j’ai considéré ce moment comme le plus érotique vécu auparavant ; entre-temps – et à mon grand bonheur – le libertinage est monté de plusieurs crans au sein de notre couple.


Nous nous sommes rendus, depuis, une vingtaine de fois (ou plus) dans ce sauna libertin et y avons vécu de nouveaux moments d’érotisme.

Le plaisir de Virginie de s’exposer était bien réel : ainsi chaque fois que le jacuzzi était plein de mâles en rut, elle prenait un plaisir non dissimulé à se doucher longuement et de façon fort provocante dans la (seule) douche à grand pommeau qui jouxtait le jacuzzi. Lorsqu’elle se savonnait les seins (gonflés par sa libido) en pivotant sur elle, les mâles la dévoraient des yeux tout en faisant toutes sortes de remarques obscènes, dont – à mon grand bonheur – je me régalais puisque je prenais toujours place dans le jacuzzi en feignant ne pas connaître Virginie.


Les expériences nouvelles ont suivi plus tard. Dès notre troisième visite à notre club, nous avons franchi le pas et nous nous sommes rendus à l’étage des « alcôves » (en fait des chambres de baise). On accède à l’étage par un escalier qui débute au bar. Je fis la suggestion à Virginie de me remettre sa serviette et de monter nue à l’étage (ce que personne ne faisait) et à mon étonnement, elle se débarrassa de sa serviette, me la remit et prit l’escalier après m’avoir donné un petit bisou. Toute la faune présente au bar suivit la scène et nous fumes rapidement suivis par quelques mâles excités.


Arrivés à l’étage nous avons fait le tour du propriétaire : il y avait huit chambres de différentes grandeurs, dont une vaste pièce avec un grand lit rond. Les « règles » de l’utilisation des rideaux étaient indiquées au mur : rideau (tout à fait transparent !) fermé et tout le monde reste à l’extérieur, rideau ouvert et l’entrée est libre pour tous, rideau à moitié ouvert et c’est le couple occupant qui donne ou refuse l’accès après demande.


Peu de chambres étaient occupées. Nous nous sommes dirigés vers un local assez vaste pourvu de banquettes fixes et dans lequel un (très) grand écran était fixé au mur du fond et des projections fort « hot » y passaient en boucle. Si dans le couloir et dans les chambres il faisait fort sombre, ce n’était pas le cas dans cette salle de projection. Deux hommes étaient présents et suivaient avec appétit la scène projetée (une jeune femme fort jolie et blonde se faisant monter par deux beaux blacks super musclés).


Nous nous sommes assis côte à côte sur la banquette en jetant un coup d’œil à l’écran. À peine assise, Virginie saisit mon sexe et commença à le caresser en massant doucement mes testicules ; en un temps minimal, je fus en érection totale. Elle me fit signe de me lever et je me plaçai debout devant elle, toujours assise. Elle commença alors à me sucer avec application avant de quitter sa banquette et de se placer accroupie dos à l’écran devant moi. Si je la savais maîtresse en fellation – art dans lequel elle excelle, car elle adore le pratiquer – elle fit un effort digne de la plus pro des actrices pornos et enchaîna avec beaucoup de bruit les succions de ma queue gonflée tout en la léchant du gland aux testicules avant de le gober à grand bruit en salivant à l’extrême, ceci bien sûr aux yeux – ravis – des deux mâles présents. Ils se rapprochèrent de nous et suivirent sa fellation de tout près.



Et plus les commentaires augmentaient en vulgarité et plus son excitation augmentait.

Je pris alors une initiative osée et leur dit :



Elle ne réagit pas, mais me suça de plus belle ! Les deux mecs se placèrent debout derrière elle et commencèrent tout de suite à se masturber. En peu de temps, le premier éjacula à grand bruit et à grands jets sur son dos ; le second le suivit quelques secondes plus tard en couvrant de crème blanche son épaule et son bras.


Elle n’en fut pas gênée, tout au contraire, et poursuivit ses caresses buccales jusqu’au moment où je ne puis plus me retenir et me vidai dans sa bouche chaude et grasse.

Nous nous sommes alors embrassés (sa bouche gouttait de sperme) et j’ai essuyé le jus qui couvrait son corps avec des kleenex. J’étais aux anges !

Je pense que cet épisode m’a confirmé ce que je pensais : Virginie adore sentir de multiples projections de sperme sur son corps ; elle aime la crème ! J’essayerai donc de tirer profit de cette constatation…


Depuis, chaque fois que nous faisons l’amour « en privé » je lui décris des scènes torrides en lui laissant deviner son corps entier couvert de crème onctueuse et une dizaine de mecs autour d’elle, la queue dressée et la couvrant d’insanités. Cela la met systématiquement dans un état d’excitation maximal.


À chaque visite à « notre « club nous franchissions une nouvelle étape : nous avons commencé à fréquenter les alcôves en évoluant du rideau fermé au rideau entre-ouvert et ensuite ouvert : lorsque nous faisions l’amour nous étions entourés de cinq, voire plus de mâles dont la plupart avaient le pubis et les testicules rasés, comme les miens.

Les hommes étaient chaque fois informés du fait qu’ils pouvaient regarder – même de très près –, mais pas toucher Virginie. Ils recevaient cependant le droit de vider leurs couilles sur son corps, pas sur son visage et cette règle était scrupuleusement respectée.


Nous commencions toujours notre rapport par une bruyante fellation, suite à quoi Virginie de couchait dur le lit les jambes grandes ouvertes ; je procédais ensuite à un long cunnilingus exposant régulièrement son sexe glabre et trempé aux yeux de nos « supporters » avant de l’enfourcher. Il m’est arrivé d’éjaculer – soit dans son vagin, soit dans sur sa vulve, avant les autres mâles qui l’entouraient et qui terminaient ensuite la besogne en aspergeant ses seins ou son ventre – jamais son visage – de leur foutre chaud et gras.


À l’occasion d’un de ces ébats, je me suis muni à plusieurs reprises – sans en avoir fait part à Virginie la première fois – d’une toute petite lampe de poche LED et j’ai pris l’habitude, après m’être vidé en elle, d’exposer son vagin dégoulinant à l’aide de cette lampe de poche et lui écartant les petites lèvres et après avoir enduit le capuchon de son clitoris de ma crème et invitant les mecs (généralement deux ou trois, jamais plus à cette époque) à venir savourer du spectacle (et de l’odeur) de tout près : l’effet est toujours radical et le foutre coule toujours à flots en un peu de temps. De l’érotisme torride !


Il y quelques mois, nous avons commencé à fréquenter, au compte-goutte, un établissement beaucoup plus hot, mais ceci fera l’objet d’un prochain récit.