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n° 18550Fiche technique35414 caractères35414
Temps de lecture estimé : 20 mn
13/09/18
corrigé 06/06/21
Résumé:  Ils restaurent une maison de vacances. L'un y travaille seul pendant que l'autre tient leur commerce. Leurs voisins sont sympas. En particulier la voisine...
Critères:  fh ff ffh hplusag fplusag cocus voisins photofilm fellation cunnilingu pénétratio jeu confession -initff -voisins -fsoumisaf
Auteur : Faustine      

Série : Petits et grands travaux

Chapitre 01 / 02
La photographe

Je ne sais pas pour vous, mais pour moi, deux semaines d’abstinence c’est l’enfer. Alors le paradis, c’est lorsque je retrouve ma femme. Je dis "ma femme" mais en réalité nous ne sommes pas mariés. Pourtant elle est "ma femme", "mon amie", "ma complice", "ma maîtresse", "mon amour". Bref, elle est le miel de ma vie. Aussi, alors que je la retrouve après cette séparation interminable, je lui fais aussitôt sentir mes envies.


Aucune parole. Dès la porte franchie, nos yeux parlent pour nous. Elle porte une blouse. Une blouse, mais juste une blouse avec une petite culotte. Nadine porte une blouse comme moi je porte une combinaison pour bricoler. Une blouse avec des taches de peinture, reflets de ce qu’elle a fait pendant mon absence.


Notre premier baiser ne fait que m’exciter encore plus. Les PV pour excès de vitesse que je vais recevoir sont à la hauteur de ce que j’ai imaginé pendant le trajet. Pas besoin de longs discours pour qu’elle me cerne, moi et mes envies.


Déjà elle a enlevé ma chemise avec sa dextérité habituelle. Je ne parle pas du pantalon et du slip : envolés ! C’est dès l’entrée que ma femme me prend en bouche. Je ne connais rien de meilleur. Ma queue douloureuse de s’être tendue à chaque pensée dans la voiture, retrouve enfin son nid. Cette gorge chaude. Ces lèvres gloutonnes. Cette langue coquine et agile. Et puis tout le reste. Tout ce qui fait une pipe agréable. Une femme qui goûte, déguste, gémit pour laisser sourdre son plaisir. Son plaisir, mais oui ! J’en ai connu, des suceuses expertes, gorges profondes, mais rien ne remplace une fellation par sa femme, une maîtresse qui montre qu’elle aussi aime ce moment. Mais oui, qui aime vous sucer et vous pomper, vous rejoignant dans le plaisir.


Merci ma Chérie pour cette "Mise en Bouche". J’ai un peu honte d’avoir craché trop vite ma liqueur. Mais d’une certaine façon cette "spontanéité " est la preuve que, pendant notre séparation, je n’ai pas été voir ailleurs. Cela ne risquait pas. Je me sentais trop… Mais passons, c’est une autre histoire.


Heureusement ma virilité n’a pas défailli après cette première fois et j’ai toutes ces pensées alors que maintenant je baise ma coquine. Oh que oui, je la baise ! Et en plus, dans la véranda. Cette véranda qui est le point final de nos travaux que nous avons menés, dirigés, exécutés pendant toutes ces semaines.

Le canapé n’a pas été conçu pour cela, mais il est parfait. Nadine à genoux sur le siège, le corps en avant, amorti sur le confortable dossier et moi, debout n’ayant qu’à légèrement fléchir mes genoux pour bien la posséder.


La vue est bucolique. Le jardin, minuscule mais fleuri, est face à nous avec ces haies qui nous séparent des voisins. Les baies vitrées sont fermées, aussi nous pouvons nous libérer. Je me dis qu’un jour il faudra que je nous filme comme…, oui, filme, mais surtout enregistre tous ces bruits qui sont le sel de notre plaisir ainsi que nos paroles, paroles divagantes, juste le reflet de notre plaisir comme des : "oui… encore… c’est bon… plus fort… je t’aime… baise-moi… mon amour… je suis à toi… je viens… ". Des mots qui mélangent le sublime, comme ces preuves d’amour et le vulgaire, comme ces encouragements.


De longues minutes je laboure ma Chérie. Sa chatte est une grotte humide où ma queue babille comme une première fois. Oui, comme une première fois, car même si nous avons fait cela des centaines de fois, je ne me lasse jamais de le refaire. Chaque fois c’est nouveau. Chaque fois je la redécouvre.


Nous gisons épuisés sur le lit de notre chambre. Après la véranda, l’intimité de notre chambre s’est imposée. Une chambre, décorée par Nadine, avec ce miroir, mais était-ce pensé, qui nous montrait en amants insatiables, et dans laquelle nous avions célébré une nouvelle fois nos retrouvailles.

La nuit tombe doucement. La rougie nous annonce un lendemain ensoleillé. Nos respirations sont apaisées.



La voix de Nadine est faible mais le ton m’indique que c’est important. Je comprends. Ils lui ont parlé ! Pourtant j’aurais voulu que ce soit moi. Mais avec Nadine nous nous sommes juste croisés et je n’ai pas trouvé le temps, surtout le moment important pour lui dire.


Nadine et moi sommes ensemble depuis cinq ans. Cinq années de bonheur ! Nous ne sommes pas mariés et, comme elle et moi avons vécu avec nos parents des moments particulièrement pénibles comme la séparation, le divorce, résultats d’adultères constatés avec tout ce que cela comporte de mensonges, haine, vengeance, nous avons décidé de vivre autrement. Nous avons conscience que le monde où nous vivons, encore plus que celui de nos parents, est propice à de nombreuses tentations et qu’un engagement solennel de fidélité est pratiquement impossible à respecter. Aussi, d’un commun accord, fort de notre Amour et de notre attirance physique, nous avons signé un pacte différent. Un pacte secret, sans échange de sang ni salamalecs, mais encore plus fort qu’une promesse devant le curé. Un truc dans le genre :



  • — Je m’engage à respecter ma compagne (mon compagnon) et à lui être fidèle, mais si par faiblesse, par envie irrépressible ou tout simplement par une tentation passagère, je couche avec un (e) autre, je m’engage à lui avouer cet écart au plus vite.


Inutile de préciser que cela ne donnait pas droit à toutes les coucheries, mais permettait un coup de canif passager à cette fidélité que par ailleurs nous estimions nécessaire. Combien de couples, jeunes ou vieux, avions-nous vus exploser avec tous ces dégâts latéraux pour les enfants, la famille, les amis !


En cinq années je n’avais qu’une tromperie à avouer. Et encore, en déplacement pendant un mois, une sorte de baise hygiénique. Nadine m’avait avoué trois écarts. Surtout ne pensez pas "Une contre trois " car c’est le début de la fin. En tout cas pas pour moi. Nadine est si belle, si désirable, "femme jusqu’au bout des seins" comme disait un chanteur célèbre. Elle attire le regard et pourtant rien dans son attitude ou sa tenue ne peut provoquer. Mais elle dégage une "Aura de sensualité". Alors trois, c’était trois seulement ! Elle est toujours courtisée, alors… Bref, Et comme elle se sentait coupable de céder à ses envies, j’étais pour quelques semaines l’objet de toute son attention et quand je dis "attention", vous comprenez ce que cela signifie.


Mais j’avais prématurément hérité d’une petite maison au bord de la mer. Maison que nous avons décidé de garder, bien qu’en très mauvais état et nécessitant de nombreux travaux. Le hasard fait bien les choses car je suis très bricoleur. Il faut dire qu’après des emplois merdiques, j’ai choisi de m’installer commerçant, boutique de bricolage, peinture, etc. Nadine travaille avec moi. Je ne vous dis pas comment les hommes cherchent ses conseils. Conseils avisés, car c’est une vraie femme moderne. La peinture, le papier peint, la décoration, n’ont pas de secrets pour elle.

Bref, tout cela pour dire que nous avons décidé de restaurer nous-mêmes la maison. Comme on ne peut pas fermer le magasin, on a décidé de se faire une garde partagée :



J’ai fait mes trois semaines. Nadine a fait sa part et je la retrouve pour un long week-end.



Elle insiste. Que dire d’autre que "Je t’écoute ma Chérie" alors que je crains d’être pris en flagrant délit de mensonge par omission.



Travaux ? On peut dire cela, pensé-je.



Je suis plus que troublé par cet aveu. Mais ai-je vraiment envie d’en entendre plus ?



Ses derniers mots à peine prononcés. Nadine sanglote.



Nadine se soulève pour venir me regarder. Ses yeux mouillés brillent.



Elle s’assied en tailleur sur le lit, me faisant face alors que moi je profite de ce moment pour me caler avec un deuxième coussin. Elle est belle ainsi.



Je souris. Oh que oui je la connais. La photo et la vidéo… Mais Nadine prend conscience qu’elle me pose une question alors qu’elle vient de me demander de ne pas l’interrompre.



Le lendemain de ton départ, elle est passée me voir pour m’inviter comme elle l’avait fait avec toi. J’ai d’abord refusé prétextant que la cuisine était maintenant en ordre de marche et que je n’avais que les peintures à faire. Mais elle insiste et j’accepte. Pourtant elle ne part pas.



Pendant que je me prépare, sors mes outils, prépare mes pots, elle retourne chez elle. Lorsqu’elle revient avec son appareil, je trempe la brosse dans le premier bac.



Mon ton ironique ne semble pas la perturber.



Elle s’approche de moi, tourne l’écran de son appareil et fait défiler ses photos. Régulièrement elle s’arrête sur certaines. Ce n’est pas du tout ce à quoi je m’attendais.

Comme d’habitude j’avais mis ma blouse, tu sais celle que tu trouves "ringarde" car marron-gris et mal taillée. Mais je l’aime bien. Mais aussi, j’ai l’habitude d’en défaire certains boutons pour qu’elle ne me gêne pas, en montant sur un escabeau ou autre, ou bien tire sur mes épaules lorsque je lève les bras en l’air. Eh bien, Christine avait saisi au vol de nombreux moments où je me découvrais un peu.


Une jambe jusqu’à l’aine qui semble jaillir du tissu. Un sein largement visible lorsque je me penche pour recharger le pinceau. Une petite culotte alors que je suis sur l’escabeau. Mais aussi, ma nuque, un sourire, mes lèvres alors que j’accompagne le morceau que j’écoute, un mouvement fugitif ou je repousse une mèche de sous le chapeau qui protège mes cheveux. Ses clichés étaient à la fois tendres et coquins. Elle me questionne :



Nos regards se croisent alors qu’elle me complimente. Je vais faire ma modeste, comme je le ferais si c’était un homme qui me parle, mais je me retiens.



Elle me montre. Plusieurs clichés où je tiens dans ma bouche le manche d’une brosse alors que j’utilise une autre, m’évitant ainsi de devoir la déposer. Mes lèvres enveloppent le manche que ma mâchoire maintient fermement. Lorsque je le retire de ma bouche, l’extrémité du bois est plus sombre et humide de ma salive. Certaines images sont équivoques et un esprit mal tourné aurait fait le rapprochement avec une fellation.


Je la regarde. Elle sourit.



Quelques secondes de silence.



Sa voix est douce. Cela paraît si simple. Elle insiste :



Chéri, je te demande pardon mais je n’ai pas pu résister à cette offre. C’était si original, si inattendu surtout venant de cette femme qui donnait l’impression d’une bourgeoise plutôt coincée. Déjà sa façon de me photographier dénotait une vision particulière, alors du "body painting" !


Je ne vais pas te parler de toutes ses réalisations. Elle m’a donné les fichiers et tu pourras voir. Voir ! Me voir déshabillée devant elle pour me recouvrir de ces dessins. Par pudeur idiote j’avais gardé ma petite culotte. Mais pour le reste tu verras. Mais les photos ne sont que la partie visible de l’iceberg, la partie cachée est la plus importante.

Petit à petit, elle m’a guidée, dirigée, me faisant prendre une pose, puis une autre afin de mieux mettre en valeur ses dessins. Mais aussi le supplice très vite devenu délicieux de ses pinceaux de soie qui étalaient la peinture sur ma peau. Le contact pervers dans le cou qui déclenche des frissons, sur les seins avec mes tétons qui pointent, dans le creux des reins, sur le ventre, tout autour du nombril transformé par magie en fontaine, sur les cuisses, sur les chevilles, sur les pieds. Très vite, je suis devenue une toile vivante entre ses mains. Une toile qu’elle prenait en photo, me guidant vers des poses sensuelles, parfois plus qu’érotiques. Oh oui, érotiques, car comment me suis-je retrouvée sur la table de la cuisine, à genoux, cambrée pour que le dessin sur mes reins prenne vie ?


Chéri je pensais à toi. Oui à toi qui étais parti pour deux semaines me laissant seule avec maintenant un corps exacerbé par cette perverse de Christine. Je me retenais de me caresser. J’avais envie de jouer avec mes tétons et plus encore de glisser ma main dans ma petite culotte. Mais bien entendu je n’ai rien fait. Je n’allais tout de même pas me caresser devant une inconnue, quel que soit son talent.

Et puis le jeu a pris fin. L’artiste avait utilisé toutes ses cartouches. Elle me laissait alanguie.



Je la rassure. Damien va être surpris, mais surtout devrait apprécier.



Désolée mon chéri, mais je n’ai pas réfléchi. En montant, j’ai salué son mari qui lisait un journal. Il savait certainement ce que sa femme avait fait, car il avait un regard moqueur. En plus la blouse ne cachait pas le cou et les jambes avec des couleurs étalées. La douche est confortable, vaste, le jet provient d’une large pomme et l’eau chaude ruisselle sur mon corps. La peinture part assez facilement en frottant avec un savon spécial, mais je ne peux pas atteindre mon dos.



Le "ça" c’est son polo et son short. Elle est en petite culotte, mais elle aussi tombe sur le sol. J’avais enlevé ma petite culotte sous son regard. Après les poses qu’elle m’avait fait prendre, la pudeur n’est plus de mise.

(Je remarque que Nadine utilise maintenant le présent comme si elle revivait l’instant. D’ailleurs elle ne me regarde plus, son regard passe au-dessus de moi.)


Elle avance vers moi. Elle est magnifique. Sa poitrine semble de marbre, deux lobes parfaits. Elle me fait tourner. Ses mains enlèvent les dernières traces de peinture. Elle examine chaque recoin. Je me sens étrangement bien. Elle me caresse. Elle me guide hors du jet et je me retrouve tout contre elle. Ses seins me transpercent. Son pubis se frotte au mien. Son baiser me semble naturel.



Je suis toute "chose". La situation est si inattendue. Une femme ! Je ne connais pas ce trouble. Ce contact de nos peaux, de nos seins, de nos ventres, mais aussi ces mains qui me caressent. Une femme ! Bien entendu, j’ai perçu lors de la séance photo et celle de body painting que son regard était plus que celui d’une artiste. Mais de là à…



Je ne proteste pas une seconde. Sa main étreint la mienne. Je la suis. Nous traversons le couloir, la porte de ce qui se révèle être une chambre est ouverte. La lumière m’assaille, m’éblouit. Le soleil est bas et inonde la pièce de ses rayons. Je ne vois que le lit, illuminé comme mis en scène par l’astre solaire.


Elle me guide. Au bord du lit elle se colle de nouveau à moi. Le baiser est puissant, sa langue m’envahit, elle ne me laisse que le choix de subir. Mais c’est bon. Elle me pousse encore. Mes jambes butent contre le lit, je ne peux que partir en arrière, mais elle m’accompagne, lèvres soudées, me retenant pour que je m’allonge.


Elle commence alors son doux labeur, partant de mes lèvres, mon cou, mes seins où elle s’attarde, déclenchant des frissons sur mon corps, puis mon ventre, mon pubis, ma fente où je ne peux que soupirer de plaisir alors que ses lèvres se frottent aux miennes. Elle s’arrête un instant, se redresse, son regard me transperce dans une sorte de défi. Elle me domine de toute sa hauteur, fière, la poitrine se soulevant au rythme d’une respiration à peine plus rapide alors que moi j’ai déjà l’impression de manquer de souffle. Elle me sourit et puis se penche à nouveau. Se penche et s’agenouille entre mes cuisses.



Je ne suis que soupirs, frissons, alors que Christine me caresse. Ses lèvres sont des brûlures, sa langue une chose vivante qui s’insinue partout traçant des chemins humides. De longues secondes, elle m’explore comme jamais on ne l’a fait. Elle fait "mouche" à chaque geste. Mon clitoris est devenu son jouet, elle l’aspire, l’enveloppe.


(Nadine semble revivre cet instant. Ses paupières sont closes. Elle respire fort. Elle transpire. Une main est plaquée contre sa chatte.)


Des doigts me pénètrent. Des doigts qui se courbent, cherchant… Oh oui ! Là ! Exactement là. Le temps est suspendu. Christine s’est redressée mais elle me fouille toujours de ses doigts, caressant une zone que je n’avais jamais cru exister. J’ai toujours pensé que le point "G" était un mirage. Mais il existe ou en tout cas, les caresses de cette femme sont si précises, si douces, si excitantes.



Sur le moment je ne fais pas attention, mais une ombre attise ma curiosité. C’est son mari qui ne devait pas être loin, caché par la luminosité du soleil.

C’est bien lui. Il a été un voyeur dans l’ombre. Il est le témoin de ma faiblesse. Je le regarde mais je ne me sens pas trahie. Au contraire, il peut voir sur mon visage les résultats des caresses de sa femme. Surtout qu’elle n’arrête pas. Ses attouchements sont si bons. Elle me flatte délicatement et c’est un bonheur.



C’est manifestement un ordre pour son mari. Alors que je me contorsionne de plaisir, je regarde, les yeux troubles, cet homme obéir. En quelques secondes il est nu. Le soleil, maintenant, l’inclut dans notre scène. Il fait partie de notre tableau. Nous ne sommes pas des nymphes et il n’est pas un satyre, mais il en a des aspects. Petit, râblé, sec, sans une once de graisse, son corps est recouvert d’une toison généreuse. Des épaules aux chevilles il est habillé d’un duvet dont la densité varie avec son emplacement, le pubis par exemple étant une forêt, une forêt d’où jaillit sa verge. Il est en érection et sa tige est horizontale.



Mais la main fait prendre la mesure de la queue, courte, noueuse, mais étrangement large, terminée par un gland qui se détache nettement du reste. Les couilles sont à peine visibles, dissimulées par de longs poils, mais on peut les penser à la mesure du reste.



L’espace d’une seconde je me rends compte que cette femme dirige son mari un peu comme elle m’a amenée sur ce lit. Mais aussi quel mari refuserait une telle proposition ?

Il s’allonge à côté de moi, couché sur le côté, amenant ainsi son sexe au niveau de mon visage. C’est naturellement que je me tourne vers lui et, aidée par sa main posée derrière ma tête, mes lèvres sont à portée de ce gland qui me paraît encore plus gros.



Je ne peux me retenir de montrer mon plaisir car Christine me caresse parfaitement. Elle s’est agenouillée à nouveau. Ses lèvres aspirent mon clitoris. Ses doigts frottent à nouveau ce lieu magique. J’allais dire "Continue, encore !" mais l’homme a poussé ma bouche sur son gland et je n’ai pas eu d’autre choix que de le gober. Mes lèvres se reposent de leurs efforts en se refermant sur le sillon. Ce champignon suffit à me remplir. Ma langue peine à l’explorer. L’homme me maintient ainsi, sa pomme d’amour dans ma bouche. La position est inconfortable, mais pour rien au monde je ne voudrais bouger car la femme me conduit doucement à la jouissance. Jamais on ne m’a caressée ainsi. Aucun homme, certains pourtant habiles…


(Nadine m’a oublié. Elle parle comme si je n’étais pas là. Pourtant toujours allongé face à elle, je peux voir sur son visage et sur son corps les effets de cette scène qu’elle me décrit. Elle ruisselle.)


… Sa bouche m’aspire, me tète. C’est si bon. Et ses doigts qui câlinent ! Petit à petit, je la sens venir, monter et lorsqu’elle arrive c’est un cataclysme, une jouissance particulière. Je voudrais hurler et dire combien c’est bon, mais le gland ne quitte pas ma bouche et seuls des grondements doivent en sortir. L’homme me libère enfin et je peux reprendre mon souffle. Je suis au bord de l’asphyxie. Je retombe sur le lit à la recherche de l’air.

Quelques dizaines de secondes, une minute peut-être, où le temps s’arrête. Je repose sur le lit, fatiguée, fourbue, chaque muscle endolori de cette tétanie magnifique. Christine est en face de moi. Je sens son regard bienveillant, presque moqueur.



Toujours ce sourire :



Le mari ne se le fait pas répéter. Il quitte le lit et se redresse de toute sa force virile.



Je suis la pire des salopes. Pas une seconde je n’hésite.



L’homme n’attend que ce oui et il se place. Sans effort apparent, il attrape mes chevilles et lève mes jambes, m’ouvrant à son désir. Il ne me regarde pas, occupé de positionner sa bite contre ma chatte. Je sens sa pression et au moment où il lève la tête pour me regarder, il avance en moi. Il entre, m’ouvre, se fraie un chemin. Mais ce n’est que du bonheur, le mandrin trouve sa place et m’envahit. Je suis humide, ouverte, mes sucs se mêlent à la salive dont j’ai orné le gland. Mes jambes écartées dans un "V" de victoire lui laissent toute la place dont il a besoin. Son ventre heurte mes fesses. Il repose mes jambes sur ses épaules et s’appuyant sur le lit, il commence aussitôt ses mouvements. Sa possession devient très vite puissante, brutale, son ventre claque sur le mien. Je ne peux m’empêcher de parcourir son torse de mes mains, découvrant la douceur de son duvet, la longueur de ses poils.



Et lui, ahanant de ses coups de butoirs, lui répond :



Mon regard croise celui de la femme.



Ce n’est pas une question, plutôt une affirmation. De toute façon pas besoin d’un long examen pour comprendre que j’apprécie. Oh, oui j’apprécie que cet homme me défonce avec sa queue de paysan. Mais je crois que de se faire baiser sous les yeux de sa femme y contribue. Comme cette façon qu’elle a de me traiter depuis que j’ai franchi le seuil de sa maison, me privant de mon libre arbitre pour me guider là où elle veut.



Encore un ordre que le mari s’empresse d’exécuter. Il me quitte et m’aide, car moi aussi j’obéis, à m’installer. La bite m’envahit à nouveau et reprend ses mouvements. L’homme s’accroche à mes hanches. Son ventre sur mes fesses claque encore plus fort. Je sens et j’entends son mandrin me posséder. C’est bon, cette force brute. Je ne suis qu’un fétu de paille entre ses bras. Le lit bouge à côté. C’est la femme qui se place en face de moi, assise les jambes écartées.



L’ordre est accompagné par sa main qui pousse ma tête entre ses cuisses. Me voici encore plus cambrée. Je découvre la moiteur des lieux, une chatte généreuse, des lèvres bombées, des petites lèvres prononcées.



Pour la première fois je découvre la complexité d’une chatte de très près. Mes lèvres effleurent, ma langue explore. C’est ma première fois mais le "Continue, c’est bien !" me conforte et me donne confiance.

Pendant de longues minutes, je suis soumise au plus délicieux des traitements. J’aime entendre la femme gémir alors que chaque poussée de son mari me pousse vers elle. Et, alors que le mari crache son jus dans ma chatte je l’entends lui dire :



(Nadine est totalement dans sa narration. Jamais, et pourtant je la connais coquine, elle ne m’a relaté ses aventures. Juste avoué, mais aucun détail. Mais j’ai sous les yeux ma femme qui me détaille chacune de ses sensations. Et bien entendu l’entendre ainsi ne me laisse pas indifférent. Je bande. Je bande mais elle ne le voit pas, totalement plongée dans son aventure. Elle respire fort, elle transpire.)



Voilà, elle ouvre les yeux. Une seconde de flottement et puis elle me revient.



Et mes yeux montrent ma verge tendue, allongée sur mon ventre. Elle sourit.



Il lui suffit d’avancer. Elle rampe jusqu’à venir me chevaucher. De deux doigts, elle soulève mon bâton et le guide vers sa fente. J’entre facilement. Je n’ai pas une bite noueuse de paysan. Je n’ai pas un poil sur le corps, mais j’ai ce qu’il faut et surtout je sais m’en servir pour le faire durer le temps que la femme en tire du plaisir.


Elle me chevauche. J’aime qu’elle se prenne ainsi car je peux caresser ses seins, son clitoris ou la guider pour qu’elle le fasse sous mes yeux. Très vite elle trouve son rythme et c’est rapidement que son plaisir arrive. Pas de doute que son long récit l’a excitée. Je me libère avec délice avec un flash où je vois ma copine se faire défoncer en levrette par un voisin "paysan".


Je suis encore en elle. Elle est allongée sur moi, son visage contre mon cou. Nous aimons ce moment après l’amour, le temps s’arrête, nos corps se relâchent, je sens ma queue fondre doucement.



Elle pouffe de rire.



Et prenant ma bite ramollie entre ses doigts.




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Il faisait une chaleur à crever. J’étais en train de faire tomber une cloison de Placo. On sonne. Je vais voir. Je suis en short et porte des lunettes de protection. J’ouvre. C’est la voisine.




À suivre…