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16/09/18
Résumé:  « Je souhaite prendre une seconde épouse. Tu y trouveras des contentements que tu n'imagines pas, ma chérie. »
Critères:  f fh ff ffh couleurs couple fépilée bain amour massage rasage portrait
Auteur : Drulin            Envoi mini-message
La seconde épouse



Mon mari est Jordanien et moi je suis Palestinienne. La population de la Jordanie est constituée de près de 50 % de Palestiniens et la reine, est elle-même de cette origine. Prendre une seconde épouse est quelque chose d’assez fréquent dès lors que le mari dispose de revenus le permettant. Comme toute bonne épouse, je devais me soumettre à sa volonté, comprenant bien que son amour pour moi n’avait pas varié.



Je réfléchis très vite et me dis : « Il vaut mieux accepter la venue d’une nouvelle épouse et bien s’entendre avec elle, car nous allons devoir vivre en commun. Si elle est satisfaite sexuellement, elle sera de bonne compagnie. »


Alors je lui répondis :





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Car lorsque Ibrahim me fait l’amour, j’éprouve de la jouissance et assez fréquemment ce qu’on nomme un « orgasme », ce dont aucune femme ne m’avait encore parlé.


Ibrahim m’a tout appris, car avant notre mariage, je ne savais rien et naturellement j’étais vierge. Les seuls sexes masculins que j’avais pu voir, c’était ceux de petits garçons au hammam, lorsqu’ils accompagnaient les femmes jusqu’à un certain âge. Ou alors la vision lointaine de ceux de jeunes hommes se baignant dans la rivière. Sinon, il aurait été impensable, inconcevable et inapproprié que je puisse voir le sexe de mon père ou ceux d’autres hommes de la famille. Dans notre culture musulmane, c’est quelque chose de tabou.


Aussi, lors de la nuit de noces, lorsque je me suis trouvée en chemise face à mon mari, qu’il a quitté ses habits et que j’ai vu son sexe bandé, venant presque se plaquer contre son ventre, j’ai eu la peur de ma vie. Heureusement, il m’a traitée avec respect. Il m’a couchée sur le dos, est venu à bout de mes résistances par de douces caresses, et seulement après, m’a pénétrée doucement, très doucement, jusqu’au moment où il a donné un coup sec qui me fit pousser un petit cri de frayeur et de douleur.



Il se retira et nettoya mon entrecuisse maculé de sang avec le drap.



Maman m’avait expliqué que je saignerais durant la nuit de noces et que je ne devrais pas m’inquiéter, au contraire, c’était très bien, même si cela pouvait être un peu douloureux.


Pourtant, elle était restée silencieuse sur les sensations agréables que pouvait me prodiguer cette tige effrayante lorsqu’elle entrerait en moi. Je découvris mes premiers émois sexuels avec mon mari. Le seul homme à qui je me suis donnée. Avec un étudiant de mon âge, j’avais échangé des baisers et je suis allée jusqu’à tolérer qu’il pose ses mains sur la rondeur de mes seins. Nous n’avions rien fait de plus, pourtant je me sentis terriblement honteuse de mon attitude.


Je n’étais pas excisée, cette mutilation barbare du clitoris et des petites lèvres vaginales qui prive les femmes de tout plaisir sexuel. Cela me permit donc d’éprouver du bonheur dans les bras de mon époux. Et c’est une réelle jouissance que je découvris lorsqu’il me caressa sur des parties intimes de mon corps ou qu’il me pénétra les nuits suivantes.


Le plaisir qu’il fit naître en moi en enfonçant son zob dans ma fente débarrassée de son hymen, me transporta vers des rivages de félicités inconnus et nulle part équivalents. Oui, je connus avec mon mari, mon sublime amant, un magnifique orgasme dès notre nuit de noces.


Au petit matin de cette nuit de noce que je n’oublierai jamais, le drap maculé de mon sang fut présenté à toute la noce. Cela indiquait que j’étais arrivée vierge au mariage et que je ne l’étais plus à l’aube.




********************




Grâce à lui, je devins moins pudique dans la sphère de notre intimité. Il me persuada de me mettre nue devant lui sans pudeur. Ce n’était pas si facile, car j’avais peur, peur qu’Ibrahim ne me trouve pas à son goût. Notamment, comment allait-il juger mon sexe. Il faut dire que les poils pubiens qui avaient dissimulé mes muqueuses toute mon adolescence, avaient été éradiqués.


Le Prophète layhi salatou wa sallam nous a enseigné la règle suivante :



Ainsi « les poils qui entourent le sexe féminin » devaient disparaître avant que je n’apparaisse aux yeux de mon époux pour la nuit de noces. C’est ce que je fis au hammam où une femme officiait dans ce domaine.


Devant obéir à mon époux, je me suis donc retrouvée aussi nue que le jour de ma naissance. Je le fis avec honte et appréhension. J’ignorais les différentes exigences de cet homme, auxquelles je devrais me soumettre. Il était couché sur le lit, sans aucun voile, le corps musclé et puissant, le torse imberbe, et au niveau du pubis, ce zob qui se déployait tel un cobra. Il me caressa longuement les seins qui avaient selon moi, la seule fonction de nourrir un bébé. Or, ce fut une découverte magnifique que de ressentir par des attouchements sur ces rondeurs, des délices voluptueux. Mon époux les empaumait sans la barrière des tissus, il prenait mon mamelon entre ses doigts et le faisait tourner, m’arrachant des gémissements de plaisir.


Peu à peu, la crainte se dissipa, mais la honte restait présente, qu’allait-il penser de cette femme, sa femme, qui éprouvait ainsi du plaisir et de la jouissance ?


Très vite, il réussit à me rassurer en me citant le Coran :



Il a tout fait pour me « distraire » et c’est « bien se comporter » que de partager les plaisirs de l’amour. Finalement, je me suis sentie à l’aise dans les bras de mon amour, même lorsque j’étais nue et offerte, son corps collé au mien. Nous ne nous sommes pas comportés comme des bêtes. Je n’ai pas trouvé bestial qu’il me caresse tout le corps, y compris mes seins et mon sexe. D’ailleurs le plaisir procuré était énorme, ainsi lorsqu’il massa mon mont de Vénus, je fus à deux doigts de défaillir. Et lorsque ses phalanges vinrent visiter ma figue, les sensations furent indicibles. La jouissance cette fois fut bien présente et irréfragable.


Moi-même j’ai tenté, avec toute ma candeur bien réelle, de bien me comporter avec lui. Quand il prit ma main et la posa sur sa verge tendue, je fus saisie d’une confusion extrême, pourtant je n’ai pas repoussé le contact et suivant les commandements de mon maître, j’ai fermé mes doigts autour du cylindre.



Par la suite j’ai constaté que mon mari ne respectait pas en tout point l’Islam. S’il faisait le ramadan avec sérieux et faisait sa prière cinq fois par jour, c’était une apparence. Pour son métier, il se rendait souvent en Europe et là-bas, il oubliait les principes de sa religion. Il ne détestait pas l’alcool, tout en restant toujours digne, ne s’enivrant jamais. Il n’avait aucun dégoût pour la viande de porc. Et dans notre couple, là aussi les interdits tombèrent. Il ne concevait pas qu’il puisse y avoir des interdits sexuels entre une femme et son mari. Ainsi, il me demanda de le masturber, puis de lui faire des fellations. Je m’exécutai sans broncher plus par amour que par obligation. J’ai suivi ses indications et comme il semblait y prendre, malgré mon inexpérience, beaucoup de plaisir. J’ai ouvert complaisamment les jambes lorsqu’il a voulu sucer mon coquillage. La pudeur avait disparu pour laisser place à la fierté, puisqu’il trouvait ma figue « divine », « au goût délicieux », « mouillée comme la rosée du matin », « chaude comme le sable du désert » et la « peau du pubis, douce comme le miel et plus délicate que celle de tes magnifiques seins ».


Sa langue courait sur le pourtour de mes petites lèvres, sur mon clitoris, ses doigts jouaient avec mes muqueuses. J’étais en pâmoison et c’est ainsi qu’il vint effleurer de sa langue l’entrée de mon anus sans que je cherche à me dégager.


Un peu plus tard, il profita d’une de mes plus grandes jouissances pour venir, avec ses doigts visiter mon conduit secret. Au même moment son zob tendu et dur comme de l’acier ramonait mon vagin. Incapable de protester, je subissais cette introduction sans éprouver la moindre douleur et peut-être une once de jouissance que je tus à l’époque et qu’il m’est encore aujourd’hui difficile d’avouer.


Finalement, je me pliais à tous ses désirs, sans que cela me coûte. Car lorsque je lui faisais plaisir, je me faisais plaisir. Ma jouissance venait de ce qu’il me donnait, mais également de ce que je provoquais chez lui.


Un jour, j’ose à peine l’avouer, Je ne sais comment cela se produisit exactement. La seule chose que je me souvienne c’est que le sexe de mon époux se trouva, non dans mon vagin, mais dans mon anus. J’étais comme dans un état second, sachant que je faisais quelque chose d’interdit, sans pouvoir protester. Ibrahim me tenait fermement et lorsque sa tige fut au fond de mon ventre, alors qu’il commençait à se mouvoir tout doucement en moi, une boule de feu m’a traversé le ventre, se propageant aussi bien dans le vagin, dans l’anus, le long de la colonne vertébrale jusque dans mon cerveau. La jouissance ressentie se transformant en un orgasme bien supérieur à ceux que j’avais pu connaître.



Je vivais un véritable conte de fées avec Ibrahim. J’étais sous l’emprise des djinns de la volupté depuis mon mariage. J’aimais lorsqu’il me faisait l’amour. Il m’apprit à lui procurer du plaisir par mes caresses et mes baisers. Je m’enhardis à caresser son corps, à porter une attention toute particulière sur des zones auxquelles je ne pensais même pas durant ma virginité.




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Je ne voyais pas ce qu’il voulait dire. Quel contentement pouvais-je trouver à la présence d’une femme qui allait se faire prendre par lui pendant que moi, alors qu’en même temps, seule dans mon lit, je n’aurais qu’à me morfondre. Le plus terrible, me semblait-il, c’est que j’allais devoir entendre leurs tumultes.



En effet, mon époux m’avait fait voir les photos de magnifiques femmes totalement impudiques dans des magazines occidentaux. J’en avais été scandalisée :



L’interrogation s’accompagnait d’indignation. Puis je fus charmée par la grande beauté qui émanait de ces femmes que je trouvais plus courageuses que scandaleuses. Elles osaient montrer au plus grand nombre, ce que seul mon mari pouvait voir chez moi.

Ainsi je découvris que l’atmosphère policée du gynécée n’était pas aussi pudibonde qu’elle n’y paraissait. Lisa, que j’avais toujours prise pour une femme réservée cachait bien son jeu.



Je devins écarlate. J’étais prise en défaut par mon époux. Je ne savais plus quoi dire ni quoi faire, j’aurais voulu disparaître.



Leïla était à mes côtés, notamment lors de mes bains, me nettoyant, me frottant, me massant le corps si j’en avais besoin. Elle s’occupait d’entretenir mon sexe et mes aisselles, afin qu’ils restent parfaitement glabres, puisque j’étais rasée et non épilée. Elle m’habillait et me déshabillait avec toujours le même calme ce qui rendait ces moments particulièrement sensuels. Elle me décorait magnifiquement les mains d’enluminures au henné.


Et lorsque mon mari était absent, ses soins pour moi étaient plus appuyés. Je n’y avais pas porté plus d’attention que cela, ne ressentant aucune pudeur face à cette femme qui me voyait nue tous les jours et devant laquelle j’ouvrais largement les jambes pour mon rasage intime. Cependant, peu à peu, il ne s’agissait plus de soins. C’était des caresses qui effleuraient mes seins, puis mes muqueuses intimes, jusqu’à venir chercher mon clitoris excité entre mes lèvres intimes qu’elle ouvrait du bout des doigts. Et comme cela me donnait beaucoup de plaisir, car Leïla était douce et adroite, je la laissais faire. J’étais cependant loin de me douter qu’Ibrahim connaissait les penchants lesbiens de cette ancienne épouse de son père.




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Finalement, je ne fus pas associée directement au choix de la seconde épouse. Mon mari me présenta juste une photo de la jeune femme en me disant :





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Maude était une splendide jeune femme aux cheveux bruns, déjà teints au henné. Elle n’était pas très grande, 1,60 m, une taille fine, mais un corps à la plastique parfaite avec des seins assez volumineux et au maintien parfait et un fessier tout en rondeur. C’est la seule chose que je pus voir au moment de notre rencontre.


Pour la nuit de noces, Ibrahim s’enferma dans sa chambre avec Maude. Au matin, elle arborait un sourire resplendissant tandis que notre homme était d’excellente humeur. Il présenta un drap blanc fripé avec une tache de sang en son centre. Pour tous, il avait défloré sa seconde femme. Je craignis qu’elle me fasse sentir un air de supériorité ; il n’en fut rien. Nous conversions en français, et elle me dit :



J’ai rapidement découvert tous les charmes physiques de la seconde épouse, car nous prenions nos bains en commun et elle n’était absolument pas pudique. Effectivement elle avait une charmante poitrine, au maintien parfait, qu’elle soit soutenue par de la lingerie ou non, avec de larges aréoles. Son pubis, cela allait de soi pour pouvoir faire l’amour à un musulman, était dénué de tout poil. Lorsque je vis ses fesses, incontestablement, on pouvait dire d’elle qu’elle était une femme callipyge.


Cette promiscuité où nous pouvions détailler mutuellement nos corps était absolument naturelle pour elle, comme elle me le dit :




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Lorsque Leïla, qui s’occupait de nous deux, souhaita retourner dans son village natal pour retrouver sa famille et s’occuper de ses parents âgés, un dilemme s’est posé. Qui allions-nous prendre pour la remplacer ? Alors que nous en discutions avec Ibrahim, Maude proposa :



En réalité, je n’avais aucune envie de devoir me mettre nue devant une femme dont j’ignorais absolument tout. Je m’étais habituée à Leïla et je ne me voyais pas me livrer aux mains d’une autre qu’elle. Tandis que Maude, je la connaissais, elle faisait partie de mon environnement.


Nous nous sommes donc frottées mutuellement dans l’eau chaude du grand bassin de la demeure, ancien hammam du harem paternel. Cependant, lorsque la question du rasage intime survint, je fus saisie d’une frayeur terrible. Saurait-elle me raser aussi bien que Leïla ? N’allait-elle pas me blesser ? Je pense que l’idée de me présenter jambes écartées, sexe offert à son regard, au contact de ses doigts contribuait à ma crainte. Finalement elle s’y prit avec une douceur infinie, une assurance certaine.



Elle me montrait avec ses doigts ce que cela donnait sur son pubis.



Je compris alors que je n’aurais pas à la raser, ni même à rectifier la repousse de ses poils, ce qui d’une certaine façon m’arrangeait, ignorant mes capacités à rendre la peau d’un sexe féminin aussi doux que celle d’un bébé.


Maude n’hésita pas un seul instant lorsqu’il fallut s’occuper de ma pilosité renaissante. Elle prit la crème qu’elle étala sur le bas de mon ventre, jusqu’à mes lèvres vaginales. Je n’étais pas gênée, ayant tant de fois écarté ainsi les jambes impudiquement devant Leïla. Je fus pourtant troublée par le regard insistant de celle qui allait couper à ras mes poils. Je ne saurais dire pourquoi. Peut-être l’excitation venait que celle qui officiait était la seconde épouse de mon mari, une sorte de double de moi-même. D’autant plus que ces gestes étaient terriblement sensuels. Ainsi, tout en étalant la crème, elle me massait tout le pourtour de la vulve.


Elle fit courir le rasoir sur mon pubis, éradiquant les poils qui commençaient à repousser. Puis ce fut le pourtour de mes lèvres vaginales. Elle faisait attention de ne pas me blesser, protégeant de ses doigts mes petites lèvres qui dépassaient légèrement de mon sourire vertical, preuve d’une grande excitation chez moi. Comme par mégarde, elle entra en contact avec mon clitoris. Pourtant elle n’enleva pas le doigt qui le pressait et au contraire le massa.



Elle introduisit un doigt dans mon vagin et le ressortit triomphalement couvert de cyprine. Sous l’effet de la surprise, je poussai un gémissement. Maude profita de la situation en investissant mon sexe dégoulinant et en massa l’intérieur avec deux doigts. Elle fit des va-et-vient dans ma chatte. Je fus saisie d’une telle jouissance que je ne pus rien faire. Je subissais ses caresses qui me perforaient, m’excitaient le clitoris où remontaient jusqu’à mes seins.


Mon vagin, tel un cœur, battait la mesure, se contractant et se relâchant sur les doigts inquisiteurs.



Ibrahim m’avait incitée à exprimer tout haut la jouissance que je pouvais éprouver lorsqu’il me prenait. J’avais mis du temps à me lâcher. Dans l’éducation que j’avais reçue, l’homme éprouvait le plaisir et la femme enfantait dans la douleur. Mon époux voyait les choses différemment, il désirait que je jouisse et que je l’exprime sans crainte ni honte. Avec Maude, je reproduisais l’habitude que j’avais prise.


Soudain je sentis la langue de Maude venir agacer mon clitoris, ce qui m’électrisa. Je gémissais sans discontinuer, me malaxant les seins, pinçant mes tétons entre mes doigts à m’en faire mal.


Soudain, je poussai un cri rauque et continu, comme une bête aux abois. Et là, j’expulsai un jet de liquide d’une quantité impressionnante. Je hurlais. La couche sur laquelle Maude me massait était couverte de mes fluides.


Lorsque je repris mes esprits, je me sentais terriblement honteuse d’avoir joui ainsi devant Maude.



Maude m’explique que cela venait d’un mystérieux point « G », que toutes les femmes ont, mais qui est plus ou moins détectable.



Je me retournai et me mis à genoux pour qu’elle puisse effacer la pilosité de la raie de mes fesses. Ensuite elle passa un gant de toilette pour faire disparaître le résidu de mousse, sécha mon bas-ventre avec de douces serviettes. Enfin, elle apaisa le feu du rasoir avec une pommade adéquate.




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Le plaisir que j’avais pris dans les bras de Maude m’incita à renouveler l’expérience. Nous en vînmes à partager la même couche lorsque notre époux était absent.


Maude m’emportait sur les rivages sublimes du saphisme et peu à peu je lui rendis la pareille. J’étais fort timide. Lui masser les seins fut aisé, il y avait quelque chose de maternel dans ces caresses. Mais aller à la rencontre de sa vulve me rebutait. Non qu’elle ne soit pas jolie, bien au contraire, je la trouvais merveilleuse, supérieure à la mienne lorsque ses lèvres bien closes ne laissaient voir qu’une fine fissure ou à l’inverse, lorsqu’elle était largement ouverte, découvrant moult détails, jusqu’à l’entrée suintante du pertuis obscur. Finalement, je suis parvenue à repousser mes craintes et les interdits qui m’empêchaient de lui donner du plaisir. C’est ainsi que nous formions durant ces nuits entre femmes célibataires, un couple de gomorrhéennes.


Ibrahim n’ignorait pas les rapprochements intimes de ses deux femmes et s’en félicitait :



Ibrahim choisissait au dernier moment laquelle de nous deux partagerait sa couche. Puis il changea de technique, c’est lui qui venait nous rejoindre dans notre chambre. Le soir venu, il se glissait dans la mienne ou celle de Maude. Cela nous obligeait, elle comme moi, à être parée, prête à recevoir notre maître. Il était accueilli aussi bien par l’une que par l’autre, moi aimant les plaisirs sexuels qu’il m’avait fait découvrir, elle aimant les joutes amoureuses bien avant de le connaître.


Souvent le matin, il changeait de partenaire et venait cajoler l’épouse délaissée. Ces réveils sexuels étaient de sublimes moments, tant et si bien que je ne pouvais que me féliciter de l’arrivée de la seconde épouse dans le ménage. De même, lorsqu’elle tomba enceinte, je fus associée à la grossesse, à l’accouchement et aux soins du bébé, comme si j’en étais un peu la mère. J’aimais caresser le ventre s’arrondissant de la future mère, lui pétrir les seins lourds gorgés de lait, voir le nouveau-né sortir du ventre, puis l’enfant à la mamelle.


Dans un premier temps, Maude se retirait pour allaiter son enfant lorsque nous avions de la visite. Je lui fis comprendre qu’au contraire, elle devait montrer avec fierté qu’elle donnait le sein à son enfant.





********************




Une nuit, je fus réveillée par Maude. Elle me caressait les seins et dans mon demi-sommeil je me laissais faire. Elle profita de mon abandon pour me déshabiller et bientôt nous fûmes nues l’une contre l’autre, échangeant de suaves baisers. C’est alors que je vis Ibrahim qui nous regardait. Il se tenait debout, à quelques pas du lit, suprêmement beau dans sa nudité absolue ; son sexe qu’il tenait dans sa main était dressé par l’excitation. Je voulus repousser Maude, mais elle me retint, et au contraire vint plonger ses doigts dans mon vagin brûlant.



Ibrahim vint se coucher sur moi. Mon sexe accueillit son zob avec plaisir. Maude me pétrissait les seins, les yeux rivés sur le sexe qui entrait et sortait de mon con. Mes deux partenaires ne furent pas longs à m’emporter vers l’extase. J’étais comme dans un rêve et j’ai obtenu un orgasme qui me fit fermer les yeux. Lorsque je les rouvris, je vis Maude qui suçait le sexe d’Ibrahim, qui vint décharger son foutre sur nos corps.


Un peu plus tard, c’est Maude qui se faisait prendre vigoureusement en levrette, tandis que son visage était collé contre ma chatte. Elle léchait mon abricot comme un chat son écuelle de lait.


La pratique des jeux sexuels à trois fut une découverte extraordinaire permettant encore de varier nos relations sexuelles sans que personne ne soit trompé. Je faisais l’amour avec Ibrahim, exposant mes ébats à Maude qui n’en perdait pas une miette. Maude faisait l’amour avec Ibrahim et je me délectais du spectacle qui m’était offert. Je faisais l’amour avec Maude sous le regard satisfait, parfois libidineux, d’Ibrahim. Certaines fois nous faisions l’amour tous les trois, nous forniquions les uns les autres, nos corps se collant, nos membres s’enchevêtrant. La pudeur n’avait plus de prise sur nous.


Dans ces trios amoureux, Ibrahim ne délaissait jamais l’une ou l’autre de ses épouses, allant de l’une à l’autre. Tandis que son vit investissait l’un de mes trois trous, il caressait et malaxait le corps de Maude. Et lorsque c’est elle qui était prise, à mon tour je sentais ses mains douces courir sur mon épiderme, se faufiler entre mes jambes, soupeser mes seins bandés de jouissance. Il était si habile qu’il parvenait à nous faire jouir en jouant sur nos zones les plus sensibles, car il effectuait une nette différence lorsqu’il faisait l’amour avec moi ou avec Maude. J’étais plus sensible à la douceur, à la sensualité, alors que la belle Française ne dédaignait pas quelques coups de queue plus brutaux et sulfureux, voire quelques tapes sonores sur les fesses durant un coït tonitruant.


Lorsqu’il venait de déverser son foutre, nous allions, Maude et moi, le récolter où il se trouvait pour nous le partager équitablement. Ceci étant une occasion pour nous donner mutuellement du plaisir, car il fallait parfois recueillir ces gouttes de liqueur à l’orée d’une vulve ou dans le sillon fessier. Tout comme la pudeur, le dégoût n’était plus de mise.


Notre époux se délectait de cette si bonne entente entre ses deux femmes et bien souvent nos échanges saphiques avaient pour effet de tendre à nouveau sa queue.


Naturellement, nous avions des pratiques qui ne respectaient pas le Coran, mais d’un autre côté, il recommande de garder secrètes les relations sexuelles au sein du couple. C’est sans doute pour permettre de faire des choses que certains réprouvent.



FIN