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n° 18557Fiche technique23478 caractères23478
Temps de lecture estimé : 15 mn
17/09/18
Résumé:  Un homme marié de 46 ans se laisse séduire de manière inattendue par une jeune femme de 19 ans.
Critères:  hplusag fsoumise hdomine noculotte odeurs fellation cunnilingu pénétratio fdanus fsodo init -totalsexe -occasion
Auteur : Coquin68
Sarah la douce - Nouveau départ

Voici une histoire qui m’est arrivée il y a un peu plus d’un an lors d’un week-end d’été inattendu.


À quarante-six ans, marié et père de famille, ma vie sexuelle était quelque peu morne depuis un moment, n’ayant plus eu de relation sexuelle avec mon épouse depuis près de trois ans ! Elle n’a jamais été portée sur la chose, mais depuis quelques années sa libido s’est totalement tassée alors que je suis plutôt du genre chaud lapin.


En ce chaud mois de juillet, ma chère femme est partie avec notre fils chez ses parents pour y passer un week-end tranquille et me laisser le champ libre pour travailler un peu. Elle part donc le vendredi soir avec un retour prévu le lundi matin.


Mon samedi matin se passe tout tranquille, sans problème : lever à 7 h, petit déjeuner douche et hop, au boulot. Vers 11 h 30, j’entends qu’on sonne à la porte. Il s’agit de Sarah, la fille de connaissances de longue date. J’avais prêté ma perceuse à son père et comme il n’en avait plus besoin et que Sarah devait passer dans le secteur, il la lui a donnée en lui demandant de passer me la déposer. Vu l’heure de la matinée et étant poli, je propose donc à Sarah de rentrer prendre un apéritif avec moi.


Cette jolie Sarah est une charmante petite brune de dix-neuf ans, aux cheveux longs, de 1,56 m pour 48 kg, avec de belles proportions (85C, quand même) ! Ce jour-là, elle est vêtue d’un tee-shirt jaune avec une minijupe noire et de hauts talons et, lorsqu’elle passe devant moi pour aller vers le salon, je me rends vite compte que cette petite femme ne me laisse pas indifférent. Peut-être aussi l’abstinence y est-elle pour quelque chose ? Nous nous installons sur le canapé et prenons tous deux un martini. Elle s’installe confortablement dans son coin en croisant ses belles jambes l’une sur l’autre. Nous conversons de choses et d’autres, des choses banales comme le fait de savoir comment vont ses parents et du temps particulièrement chaud et étouffant. Puis je la questionne sur sa tenue :



Sarah éclate de rire.



Sarah décroise ses jambes et écarte négligemment son entrejambe.



Je n’en croyais pas mes yeux, mais effectivement la petite coquine n’avait pas de culotte et j’avais une vue plongeante sur une jolie petite chatte toute lisse.



Sarah se rapproche de moi sur le canapé et vient s’installer à califourchon sur moi



Ces mots me mettent en émoi. Que dois-je donc faire ? Succomber au démon de midi et enfiler cette jeune femme qui s’offre à moi en la faisant crier comme jamais et en la traitant comme la jeune chienne qu’elle a l’air d’être, ou dois-je la repousser ?



Sarah se penche vers moi en souriant et dépose un baiser sur mes lèvres. Je l’enlace et l’embrasse fougueusement, avant de la regarder dans les yeux, et Sarah de dire :



C’en est trop et je succombe au démon de midi. Nous nous embrassons à nouveau, mes mains se baladent sur ce corps de rêve et se glissent sous son tee-shirt, le relevant lentement pour le lui enlever avant de le jeter au sol. Mes mains se posent à nouveau sur elle pour l’explorer et se porter vers le fermoir de son soutien-gorge que je défais sans difficulté, libérant ses jolis seins de leur écrin. Je me saisis d’eux pour les caresser, les malaxer et l’embrasse sur la bouche, dans le cou, sur les épaules.


Sarah tire sur mon tee-shirt pour me l’enlever et je lâche ses seins pour lever mes bras le temps qu’elle m’enlève mon tee-shirt. Je me jette à nouveau avec avidité sur ses seins pour les caresser, les embrasser et lécher et sucer ses tétons tout durs et érigés. Pendant ce temps, Sarah s’affaire sur mon jean, le déboutonnant, puis elle glisse sa main sous mon shorty pour se saisir de mon sexe totalement raide pour cette belle princesse. Je sens sa main qui me caresse. J’ai envie d’elle, de la pénétrer.


Mes mains descendent le long de son corps puis je baisse mon pantalon et mon shorty pour libérer mon sexe tendu. Avant que j’aie le temps de faire quoi que ce soit, Sarah a déjà placé sa chatte juste au-dessus de mon gland et enfonce mon dard dans sa chatte humide à souhait. Elle monte et descend sur mon chibre en gémissant de plaisir et je caresse son corps, j’ouvre la fermeture Éclair de sa minijupe et la lui enlève en la faisant passer au-dessus de sa tête. Je pose mes mains sur ses hanches et la guide dans sa chevauchée un peu maladroite. Je gère le rythme ainsi que la profondeur de ma pénétration, son plaisir augmente et le mien aussi. Je me retire avant de ne plus pouvoir me retenir et je l’allonge sur le canapé.


Je termine de me déshabiller puis je la rejoins, je glisse mon visage entre ses cuisses et me mets à lécher sa délicieuse chatte odorante et humide. Ma langue passe sur ses lèvres et remonte vers son clitoris autour duquel je m’attarde avant de redescendre fouiller l’intérieur de sa chatte avec ma langue et de la boire, de la déguster, m’abreuvant de sa mouille délicieuse. Mes mains la caressent et s’attardent longuement sur ses seins, sur ses tétons que je pince entre mes doigts. Ma jeune partenaire frémit et gémit de plaisir.



Je continue à fouiller avidement son entrejambe si merveilleusement odorant et à lécher et sucer son clitoris tout en m’occupant de ses seins puis je commence à remonter en embrassant son ventre, léchant son nombril sur lequel trône un joli petit piercing puis embrasse ses seins tout en faisant à nouveau pénétrer mon sexe dans sa chatte dégoulinante de mouille.


Je commence à aller et venir en elle, lentement, en douceur, en caressant ses fesses et ses cuisses de mes mains, j’astique sa chatte en douceur, en la caressant et en embrassant ses seins. Elle gémit de plaisir et se laisse aller à mes assauts dans sa chatte très humide.


Tout doucement j’accélère le rythme. Son bassin ondule en rythme avec moi, partant à la recherche de ma queue à chaque fois que je me retire et me permettant à chaque assaut de la pénétrer plus profondément. Ses gémissements se font cris au fur et à mesure que j’accélère en elle.


Je me retire et l’entraîne vers la table de la salle à manger. Je la mets face à la table, la fais se pencher légèrement en avant puis me saisis de sa cuisse droite pour lui soulever la jambe que je lui fais mettre sur la table. Je pénètre à nouveau sa chatte et la saisis par les hanches. Je l’astique en levrette, lui ramonant sa chatte toujours dégoulinante de mouille. Comme un fou, je me mets à la pilonner. Sarah crie et hurle de plaisir sous mes assauts, je fais remonter mes mains jusqu’à ses seins que je saisis, la redressant au passage pour pouvoir bien les lui malaxer pendant que je la baise sans relâche. Puis ma queue se raidit et je sens ma semence commencer à remonter dans ma verge et je me décharge en elle, vidant mes années d’abstinence dans cette chatte très humide, la remplissant d’une quantité abondante de sperme. Sarah jouit comme une folle. Nous restons emboîtés quelques instants, sans bouger, pour reprendre notre souffle après cet orgasme époustouflant, mon visage perdu dans sa longue chevelure brune.


Une fois repris nos esprits, je me retire de Sarah, elle se tourne vers moi et se blottit tout contre moi, nous nous enlaçons tendrement.



La main de Sarah se pose sur mon membre et elle me caresse doucement.



Tout en disant cela, Sarah se baisse à genoux devant moi et enfourne mon sexe dans sa bouche. Elle referme ses lèvres délicatement et commence à bouger le long de mon chibre. Sa bouche chaude m’excite énormément. Je glisse mes mains dans ses cheveux et la caresse en m’abandonnant à sa délicieuse fellation. Elle suce bien la petite chérie, même si elle ne prend pas totalement mon membre dans sa bouche. Je la regarde me sucer et commence à glisser mes mains vers l’arrière de sa tête. Puis, sans la prévenir, je commence à pousser légèrement sur sa tête pour que mon sexe s’enfonce un peu plus dans sa bouche.


C’est moi qui commence à imprimer le rythme de la fellation, la forçant à sucer plus vite et à me prendre plus profondément en bouche qu’elle ne le voudrait bien. Mais elle ne dit rien, ne s’offusque pas, ne bronche pas. Je la regarde me sucer et, par moments, elle lève ses yeux de braise vers moi et je me plonge dans son regard tout en continuant à lui imprimer le rythme et la profondeur de sa fellation. À chaque mouvement que je lui imprime, ma queue explore maintenant sa gorge. Ma jeune maîtresse à l’air d’y prendre plaisir et se laisse faire pour le mien. Je me retire de sa bouche sans avoir joui et la fais se relever tout en l’embrassant fougueusement sur la bouche.


Je la soulève dans mes bras et l’emporte à travers la maison, ses bras autour de mon cou. Je monte les escaliers en la portant jusqu’à la chambre conjugale. Je l’allonge sur le lit et viens la rejoindre. Nous nous enlaçons, nous embrassons, nous nous caressons de longs moments avant que je ne m’allonge sur elle et que je ne la pénètre sans ménagement, lui arrachant au passage un sublime cri de plaisir. Je la baise avec grand plaisir, d’autant plus que je vois et entends qu’elle prend beaucoup de plaisir sous mes assauts.



Sarah subit mes assauts. Elle crie, elle hurle son plaisir et mouille énormément. Jamais encore je n’avais eu de partenaire aussi humide. Sa chatte dégouline de mouille sur ma queue bien raide qui continue à la pilonner rageusement jusqu’à ce que je vienne en elle pour la deuxième fois, la remplissant à nouveau abondamment.


L’après-midi se passe ainsi, à faire l’amour dans diverses positions, les alternant toutes, mais sans que jamais je ne fasse entrer mon membre turgescent dans cette petite rondelle tant désirée. Arrive le soir, et la faim se fait sentir. Je propose à Sarah de descendre manger.



Puis je l’entraîne avec moi dans la cuisine, nus comme des vers. Je me lance pour nous préparer des escalopes à la crème, épluchant les champignons, découpant les oignons, faisant rissoler les escalopes avant de rajouter la crème avec un peu de moutarde. Je laisse tout rissoler à feu doux pendant que je lance le riz qui accompagnera ce délicieux repas. Durant tout ce temps, je vois bien la sublime Sarah qui s’impatiente, échangeant quelques mots inoffensifs de temps en temps.


Lorsque tout est enfin en route, je me dirige vers ma belle et la prends dans mes bras, l’embrasse langoureusement sur la bouche tout en la poussant vers la table. Je l’allonge dessus, lui écarte largement les cuisses et la pénètre aussi sec. Je me saisis de ses cuisses et me mets à l’astiquer fougueusement, sa chatte mouillant abondamment sur mon membre. Je la regarde dans les yeux et tout en lui limant sa belle chatte je fais remonter mes mains vers ses fesses, je les lui caresse délicatement puis, l’air de rien, laisse passer mon majeur le long de la raie de ses fesses, passant à plusieurs reprises dans sa petite raie avant que le bout de mon majeur ne s’arrête sur sa petite rondelle que je commence à masser, délicatement, faisant de lents cercles tout autour de son petit anus serré avant de pousser lentement et délicatement la porte d’entrée de son cul. Je sens Sarah se crisper et elle gémit un peu de douleur alors que j’introduis lentement mon majeur dans son cul que je me mets à explorer lentement enfonçant progressivement mon doigt de plus en plus profondément. Je sens la sublime créature sous mon corps qui mouille de plus en plus fort, sa cyprine lubrifiant abondamment mon sexe tendu en elle.


Après cinq minutes d’exploration anale avec mon majeur, je retire mon doigt de cette belle ouverture et me retire de sa chatte. Je la remets debout sur ses pieds puis l’enlace pour l’embrasser tendrement. Puis je la retourne dans mes bras et la fais se pencher en avant. Sarah commence à lever sa jambe gauche, se préparant à se faire prendre en levrette, mais je la lui repousse vers le bas. Je la sens enfin prête, ma petite chatte en chaleur, prête à se faire dépuceler du derrière. Je me rapproche de ce beau trou tant convoité ! De la main droite, j’écarte délicatement ses petites fesses pour mieux voir son cul, légèrement dilaté du fait du traitement infligé cinq minutes plus tôt par mon doigt. De la main gauche, je dirige ma queue vers son orifice, je pose mon gland tout contre son anus puis, tout doucement, pousse mon sexe bien raide et lubrifié de sa mouille dans son anus. Ses sphincters se dilatent et me laissent le passage.


Sarah gémit légèrement de douleur et a le souffle court, mais ne dit rien. Mon gland est totalement en elle. Je me saisis de ses hanches puis commence de lents mouvements de va-et-vient dans ce petit cul particulièrement serré. À chacun de mes va-et-vient, mon sexe s’enfonce un peu plus profondément dans ce territoire vierge, inconnu, mais conquis. Je la sens bien un peu crispée et entends que ses premiers gémissements sont plus des gémissements de douleur que de plaisir, mais Sarah ne me demande pas d’arrêter.


Au contraire même, après quelques instants, je sens bien que Sarah bouge en rythme avec moi pour que ma pénétration se fasse plus profonde et il ne faut pas longtemps pour que la totalité de mon sexe tendu ne soit en elle à lui labourer sa petite rondelle. Sarah se détend et ses gémissements se font de plus en plus fort. Ce coup-ci, ce sont bien des gémissements de plaisir qui sortent de la bouche de ma petite salope. J’accélère donc le rythme et me retrouve bien vite à lui défoncer son petit cul tout serré comme un forcené. Je la pilonne bien fort et crie mon plaisir tout comme elle. Nos cris se mêlent, nos corps suintent de sueur, Sarah se cabre dans mes bras, je me saisis de ses seins, sa main gauche amène ma tête en avant pour que sa bouche puisse se poser sur la mienne et au moment précis de son doux baiser je me contracte et viens en elle. Je me vide entre ses fesses en gémissant de plaisir. Sarah cesse de m’embrasser, je la garde dans mes bras, mes mains posées sur ses seins et ma queue toujours plantée entre ses fesses. Elle me sourit, ses yeux pétillent de plaisir et de bonheur.



Nous avons dîné tout tranquillement avant de remonter nous coucher. Nous avons fait l’amour une partie de la nuit et avons recommencé le lendemain dès notre réveil. La journée était portée par le sexe et le mélange de nos corps. Ma Sarah adorée a eu droit à tout et par tous les orifices. Son petit cul a été bien dilaté et elle a eu mal quelques jours après ce traitement royal pour cette princesse.


Elle est partie le dimanche soir, me laissant juste le temps de tout remettre en ordre et de nettoyer les draps qui étaient imprégnés de son odeur et de l’odeur de sexe de nos deux corps.


Après cela, et durant un peu plus d’un an, je n’ai cessé de penser à elle jour et nuit, ma vie sexuelle conjugale étant toujours un vrai désert. Il y a dix jours, nous nous sommes croisés dans la rue. Maintenant, elle a un travail et un appartement. Nous avons discuté, bu un café, nous nous sommes remémoré nos souvenirs, elle m’a avoué ne pas avoir eu de relation sexuelle depuis notre week-end et pensé sans cesse à moi, je lui ai avoué que moi aussi. Nous nous sommes rendus à son appartement et avons passé le reste de la journée chez elle à faire l’amour. La première pénétration ce jour-là a été pour son petit cul toujours aussi attirant et désirable. Depuis lors, nous nous voyons tous les jours, en cachette, chez elle, et prenons beaucoup de plaisir ensemble. J’ai décidé de divorcer (enfin !). Les papiers sont en cours, divorce par consentement mutuel. Dès qu’ils seront signés, je m’installe avec Sarah et nous pourrons prendre un nouveau départ ensemble. Elle veut que je lui fasse un enfant et j’ai bien l’intention de le lui faire, et d’autres après. Peut-être est-il déjà en route d’ailleurs, puisque Sarah a cessé toute contraception après notre week-end. Cela fait donc dix jours que nous baisons en connaissance de cause de ce risque, mais j’ai vraiment trop envie d’un enfant d’elle. Vive ce nouveau départ et voyons où cela va mener.