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Temps de lecture estimé : 32 mn
20/09/18
Résumé:  Préquelle de "l'initiatrice".
Critères:  f h fh ff ffh jeunes piscine jardin fmast hmast massage intermast jeu init
Auteur : Katzou  (Vieux scorpion)      Envoi mini-message
Au début

Clara était naturiste.

Elle avait été initiée par surprise, pendant des vacances passées chez ses grands-parents, oui, à la campagne. Ceux-ci avaient l’esprit libre et libertaire, et elle passait toutes ses vacances scolaires chez eux, au fin fond d’une campagne déserte et rôtie par le soleil. Elle y avait des amis et amies et ses grands-parents lui permettaient de les rejoindre et souvent de passer plusieurs jours en leur compagnie. Elle avait ainsi rejoint une amie de son âge, blonde et élancée qui l’avait invitée à venir chez elle : il y avait une piscine !


Clara se souvenait particulièrement de ce jour. Son amie lui avait confié sous le sceau du secret le plus absolu, surtout vis-à-vis de ses autres copains, que chez elle, au bord de la piscine, et même ailleurs en été, on ne se donnait pas la peine d’enfiler un maillot de bain !

Clara avait frémi à cette idée puis dans un accès d’audace qu’elle ne se reconnaissait pas avait demandé à voir et à connaître, ce que Marine avait accepté rapidement. Clara s’en mordait les doigts maintenant et ne pouvait plus faire marche arrière. Son amie l’avait prévenue et elle savait donc qu’elles n’auraient pas besoin de maillot de bain ce jour-là, elle l’avait pris malgré tout afin, pensait-elle d’endormir la méfiance de ses grands-parents.


Elle ne pensait pas qu’ils lui refuseraient la visite sachant cela, mais elle préféra ne pas en parler pour ne pas provoquer une discussion qu’elle ne voulait pas aborder. (Elle sut, des années plus tard, que c’était sa grand-mère qui avait provoqué les choses, car les parents de Marine la connaissaient de longue date). Arrivée chez Marine par une belle journée de juillet, elle fut reçue à bras ouverts. C’était le matin, mais il faisait déjà chaud, le ciel d’un bleu profond bleuissait les ombres autour d’elle. La chaleur se manifestait déjà par une brume transparente dans les lointains, il allait faire chaud ce jour-là.


Marine l’attendait devant l’entrée et elle s’empressa d’ouvrir le portail percé dans l’épais mur qui entourait la maison et son jardin. Son grand-père la laissa donc aux bons soins de son hôtesse et s’en fut. Clara était impressionnée. Marine, habillée d’un jean et d’un tee-shirt blanc tout simple qui révélait cependant l’absence de soutien-gorge, la conduisit directement à la piscine, la faisant traverser un jardin magnifique et fleuri.

La piscine était grande et bien agencée, située au pied de grands pins parasols, qui ombraient légèrement les abords.


La piscine était déserte et personne ne se montrait, Marine lui expliqua que pour son initiation elle avait préféré qu’elles soient seules afin de ne pas la gêner outre mesure. Clara en fut soulagée et remercia la jeune fille de son attention. Sa copine et elle s’installèrent au bord de la piscine et les choses sérieuses commencèrent. Marine lui montra une cabine où elle pourrait se déshabiller.


C’était une cabine de plage comme on en voyait sur les cartes postales, en bois, surmontée d’un toit pointu, colorée et joyeuse. La porte était ornée d’un cœur découpé et se fermait… ne se fermait pas à clef ! Clara en fut un peu contrariée. Excitée comme elle ne l’avait jamais été, le cœur battant la chamade, elle entra dans la petite cabine et commença à retirer ses vêtements. La cabine était exiguë, il y régnait une chaleur sèche et à l’odeur de peinture passée mélangée à des effluves de lait à bronzer. Elle se cogna les bras et les jambes, une patère accueillit ses vêtements.


Elle se déshabilla et… se retrouva bloquée par la peur. L’air chaud lui caressait la peau, et sa nudité totale lui fit comme un vêtement un peu trop grand pour elle, un peu trop inhabituel. C’était cela, elle n’avait jamais eu cette sensation, même chez elle, dans la salle de bain ou dans sa chambre, jamais. Quand elle se mettait nue à la maison, tout était familier, normal tandis qu’ici… Elle paniqua à l’idée d’être nue devant Marine.

Elle s’enferma dans la cabine, bloquant la porte des deux mains.


Elle se regarda dans la glace piquée et se demanda si elle pourrait jamais se dévoiler devant les autres. Elle passa en revue sa silhouette : ses seins ne lui plaisaient pas, trop petits à son goût, ses cuisses lui semblaient maigres et ses fesses creuses, quant à son ventre, elle le trouvait trop bombé pour dire, gros ! Elle se trouva blanche, un peu trop à son goût. Sa peau était blafarde, que dirait Marine, elle qui était toute bronzée, brune, belle.


Elle remit ses vêtements et se prépara à inventer un mensonge pour Marine quand cette dernière gratta à la porte et lui demanda ce qui se passait. Elle lui raconta une histoire et Marine rit, puis, encadrant sa figure dans le cœur découpé, lui dit, « laisse-moi entrer, tu me connais ! ». Elle entrouvrit la porte.



Marine, magnifique plante de 18 ans, blonde aux cheveux courts et aux petits seins, était toute nue. Rien ne la voilait, aucun vêtement, aucune serviette. Clara ne l’avait encore jamais vue ainsi, tout au plus avait-elle aperçu sa gorge ou une jambe quand elle ne portait qu’une de ses minijupes qui rendaient malades les garçons, mais même aux vestiaires elle ne se souvenait pas de l’avoir vue nue. Elle pensait même que son amie était pudique ! Clara se rendit compte de son erreur… Elle entra dans la cabine exiguë et se serra contre Clara. Le parfum de sa crème solaire envahit la cabine et Clara sentit la tiédeur de sa peau contre elle. La porte se rabattit sur elle.


Elle glissa ses mains sous le T-shirt de Clara malgré ses protestations et le retira, puis passa ses mains sous son soutien-gorge et remonta doucement le long de ses seins pour les libérer. Les attouchements de la jeune fille la troublèrent et elle se surprit à apprécier la douceur de ses mains sur elle. Cependant elle se dit qu’elle en faisait peut-être un peu trop et que ses mains avaient tendance à se faire trop curieuses. Clara respirait fort dans la cabine aux parois bleu clair et elle remarqua que Marine fermait les yeux. Elle se sentit défaillir au contact de ses mains fraîches, mais ne bougea pas.



Puis elle fit glisser le jean de Clara sur ses jambes et tira doucement sur le slip, le faisant glisser sur ses cuisses, entre ses jambes. Clara sentit les cheveux de Marine lui caresser le ventre alors qu’elle se penchait pour lui retirer son string, coincé dans son jean. Elle eut un peu honte de se laisser ainsi déshabiller, de se laisser frôler, toucher par la jeune fille, mais elle s’avoua que c’était agréable, très agréable. Elle rougit un peu, car elle portait depuis peu un string assez minuscule et personne ne le savait. La sensation de nudité que lui procurait le sous-vêtement lui plaisait et elle avait l’impression de ne jamais rien porter. Marine se redressa et elle posa un petit baiser sur ses seins. Clara sentit la chair de poule qui l’envahissait et les pointes de ses seins durcirent, sortant effrontément sans qu’elle puisse rien y faire.



Ce faisant, la jeune fille se tournait devant elle, passant ses mains sur la pointe de ses seins, et descendant langoureusement sur ses hanches moula ses fesses en un geste torride. Une chose étonna Clara : aucune toison ne venait ombrer le sexe de la jeune fille, elle était vraiment entièrement dévoilée et son anatomie intime se révélait, lisse, charnue, ronde et fendue au jour. Ce fait choqua Clara plus encore que de la voir nue : elle était vraiment obscène ainsi découverte ! Elle comprit alors pourquoi elle ne se déshabillait jamais devant les autres… elle-même se débarrassait des poils disgracieux qui avaient l’audace de dépasser de son slip, mais elle n’avait jamais pensé enlever totalement sa toison piquante, mais clairsemée.


Clara la regarda faire, un peu étonnée, et se décida à sortir et se trouva debout en plein soleil. Elle regarda autour d’elle avec appréhension, elles étaient seules sur la pelouse tondue rase et les arbres qui bruissaient sous le vent avaient l’air d’être leurs complices. Elle retira ses mains de ses seins, non parce qu’elle était rassurée, mais parce que cela rajoutait à son excitation !


L’air chaud et délicieux lui caressait la peau et elle fut assaillie de sensations qu’elle n’avait jamais connues. Ses sens saturaient presque sous l’assaut des impressions qui la submergeaient. Le soleil qui chauffait ses fesses, le vent entre ses cuisses, sa peau que touchait la main de Marine, ses regards…

Elles se dirigèrent vers la piscine, et le court trajet suffit pour lui faire apprécier cette liberté nouvelle. Elle se mit à l’eau lentement, comme avec regret.

L’eau fraîche la masquait et rendait les choses plus faciles. Elle se détendit et nagea, faisant en sorte de ne pas sortir de l’eau, masquant son corps d’un voile transparent et changeant.

Clara s’habitua à la sensation extraordinaire de son corps libre dans l’eau et elle se souvenait encore de ses émotions à ce moment-là : l’eau lui passant entre les jambes, sur son ventre et surtout cette perception si forte de sa nudité, de sa vulnérabilité : elle ne portait aucun vêtement et tous la voyaient, plus rien ne la protégeait.

Son amie n’avait pas d’inhibitions et entrait et sortait de l’eau sans arrêt, plongeant vers elle, la chahutant, et plongeant au grand trouble de Clara entre ses cuisses, frôlant son sexe de ses cheveux.


Marine sortait de l’eau vive comme un poisson et Clara la voyait sauter, agrippant le bord de la piscine et se hisser sur le bord glissant, ses fesses bronzées brillant au soleil. Alors elle levait une cuisse brune et musclée et ce faisant s’ouvrait comme un bivalve, révélant la chair douce et délicatement ourlée de son sexe, niché au creux de ses fesses brillantes.


Puis elle se retournait et levait une jambe vers son menton, laissant l’autre pendre dans l’eau. Elle appuyait alors sa tête sur son genou et regardait Clara. Clara avait du mal à la regarder, sa position écartait ses cuisses et ouvrait légèrement son sexe, exposant au soleil sa vulve bombée et lisse, offrant ainsi à ses regards une intimité qui l’attirait malgré elle.


Marine n’était plus depuis longtemps une gamine, mais elle refusait fermement de voir des poils cacher son sexe, aussi l’épilait-elle régulièrement. Clara trouvait cette habitude choquante et cette révélation complète de ce que Marine avait de plus caché, de plus intime la gênait. En retour, elle se trouvait impure, avec sa toison folle et fournie entre ses jambes, mais elle ne pouvait se résoudre à imiter Marine.


Marine était extrêmement jolie et Clara se trouvait moche. En fait, elle était superbe, des photos d’elle datant de cette époque l’avaient confortée dans cette opinion, mais avant cette expérience, elle avait une vision très victorienne de son corps et encore maintenant, elle remerciait mentalement Marine de son « initiation ».


Marine sur le bord de la piscine, appela Clara, lui demandant de la rejoindre, ce qu’elle fit, réussissant à sortir de l’eau, franchissant un à un les barreaux d’acier inoxydable de l’échelle et sentant l’eau la quitter, alourdissant son corps. Elle se coucha à côté de Marine, sur une grande serviette. Sur le ventre. Marine s’accouda et la regarda, détaillant ses courbes.



Clara se trouva choquée par le mot « cul » que son amie utilisait, cela lui fit bizarre, n’ayant pas l’habitude de l’entendre souvent.



Il n’était pas question qu’elle se tourne, exposant son ventre et surtout ses seins nus, même à une fille…



Clara céda, un peu rapidement se disait-elle, et se retourna, prenant garde à ne pas desserrer les jambes. Elle avait mis son bras devant ses yeux, car le soleil donnait fort.



Elle se leva prestement et courut chercher sa crème, abandonnant Clara sur sa serviette. Celle-ci ne resta pas au soleil et se levant après avoir regardé autour d’elle, s’installa à l’ombre d’un parasol, soustrayant sa peau fragile aux rayons du soleil. Son amie avait raison. Accroupie, occupée à étendre sa serviette, elle constata avec terreur que quelqu’un approchait. Un garçon !


Elle regarda la silhouette masculine s’approcher : il était nu, lui aussi, elle le reconnut, c’était un ami de Marine qu’elle ne connaissait pas beaucoup. Elle l’avait déjà rencontré, mais n’y avait pas attaché d’importance alors. Mais aujourd’hui, maintenant…


Il s’approcha, il avait mis des lunettes foncées et elle ne voyait pas bien ses yeux, il était beau et bronzé sans marques de maillot et Clara avait une conscience marquée de son sexe qui se balançait entre ses cuisses, long et bien proportionné, lui semblait-il.

Cela lui paraissait bizarre un garçon nu avec tout cet attirail qui bougeait alors qu’il marchait… Elle ne pouvait détacher ses yeux de ce qui pendait entre ses jambes musclées. Elle voyait pour la première fois vraiment le sexe d’un homme, la verge et les testicules qui pendaient bien gros dessous. Le pénis lui parut bizarre, avec ce bout rouge et mafflu, cette peau chiffonnée autour… elle se secoua, effarée du tournant que prenaient ses pensées…



Il s’agenouilla à côté d’elle, les mains posées sur ses cuisses, assis sur les talons. Elle le trouva un peu jeune pour elle… Clara rougissait, essayant de masquer son sexe ouvert au bas de son ventre, en serrant ses cuisses. Elle trébucha, faillit tomber et abandonna la lutte, Alex de toute façon avait relevé ses lunettes et la regardait dans les yeux. Elle s’agenouilla pour qu’il ne profite pas de la vision de son sexe dévoilé, serrant ses cuisses.


Elle gardait les yeux rivés sur le sexe si présent du jeune garçon. Il s’était mis à genoux sur le gazon, mais ses cuisses musclées étaient écartées largement et son pénis touchait presque le sol, tellement exposé, présent. Elle avait déjà vu un homme nu, mais pas d’aussi près et pas si longtemps et surtout pas dans ces circonstances, en plein soleil. Son genou droit la touchait presque et elle sentait le parfum de sa crème solaire, entêtant.


La verge du jeune garçon était décalottée et son gland gonflé brillait au soleil comme le reste de son corps : Alex était luisant de produit solaire… Pourtant l’aspect de l’organe viril lui parut bizarre jusqu’au moment où elle se rendit compte qu’il était totalement rasé, ce qui le rendait encore plus visible, indécent et attirant. Clara voyait tout du sexe du garçon, chaque détail, chaque repli de peau lui était révélé ; tout son pénis était ainsi dénudé et aucun poil ne venait ombrer ou masquer son ventre, cela expliquait aussi sa méprise sur son âge, il n’était pas si jeune qu’elle ne le pensait.


Clara remarqua quelque chose de bizarre, un reflet métallique attirait son attention à la base du sexe d’Alex. Un épais anneau doré encerclait la base de son pénis, entourant la verge et aussi les testicules et comprimait ses organes. Clara se rendit vite compte que l’anneau serrait si fort la verge d’Alex qu’elle s’en trouvait contrariée, qu’elle se gonflait de manière énorme et restait ainsi, tendue, couverte de veines bleutées, pulsantes. L’effet était d’une obscénité totale et en même temps fascinante. Alex se trouvait doté d’un sexe d’étalon, énorme massue brune au gland rouge pourpre et brillant, tendu, vibrant.


Clara remarqua au bout du gland un chapelet de petites gouttes cristallines, brillantes au soleil comme des diamants. Un frisson la parcourut, et elle imagina la sensation qu’il pouvait avoir à exhiber ainsi sa virilité triomphante et avide. Elle détacha son regard du bas-ventre du garçon et le regarda.



Elle rougit. Le mot lui faisait un peu peur et elle se rendit compte à ce moment-là qu’elle se tenait nue devant un garçon qui l’était lui aussi et qu’elle aimait cela. Il disait « nudisme » et Marine parlait de « naturisme »… quelle était la différence ?



Il se tenait les jambes écartées et tout en le regardant dans les yeux elle trouvait son sexe énorme et elle comprit en rougissant qu’il avait une érection gigantesque, encore accentuée par l’instrument de torture qu’il portait, et qu’il ne s’en cachait pas. Il s’accroupit et se tint en équilibre sur la pointe des pieds, se balançant d’avant en arrière, sa peau luisait, brillait au soleil.


Clara réalisa soudain avec acuité que le garçon qu’elle contemplait avait envie d’elle, fortement, et que son pénis qui à son arrivée reposait douillettement sur ses testicules ronds et lisses, se dressait de plus en plus à mesure que ses regards se portaient sur elle, sur ses seins, sur son ventre et son entrejambe qu’elle devait maintenir légèrement ouvert de peur de tomber. Le sexe du garçon coulait continuellement mouillant abondamment ses cuisses et il l’essuyait machinalement comme si de rien n’était.

Clara vit sa main bronzée, aux longs doigts élégants, entourer la hampe de chair et coulisser doucement sur la peau douce de son sexe. Il serra ses doigts autour de sa verge et fit aller et venir la chair du prépuce sur son gland, le recouvrant et le découvrant en cadence : il se masturbait devant elle…


Le sexe devint de plus en plus roide, de plus en plus épais et les veines qui y courraient se gonflèrent sous l’afflux de sang. Son gland devint rouge cerise et se mouilla d’une pellicule brillante, le rendant encore plus rouge. Clara entendit le bruit mouillé qu’elle avait surpris quelquefois dans les vestiaires des garçons. Ses testicules remontaient lentement et redescendaient puis se balançaient, hypnotiques. Il s’arrêta et la regarda droit dans les yeux.


Clara se demanda ce qu’elle devait faire, la réaction du garçon la décontenançait, il réagissait à sa vue et cette considération lui faisait de l’effet. Ce déballage au grand jour la choquait, mais d’un autre côté, elle s’avoua assez rapidement aimer voir Alex apprécier sa plastique et cet hommage la flattait. Elle se redressa et s’accroupit, ce faisant elle ouvrit un peu plus encore les jambes, elle se cambra pour ne pas tomber et fit ressortir ses seins dont les pointes sensibles sortaient. Elle devait offrir un spectacle assez agréable pensait elle…



Elle se rendit compte en répondant qu’il parlait de tennis et de volley nus. Elle réalisa qu’elle aurait à jouer toute nue ! Un frisson descendit le long de son dos et avec effarement elle sentit son sexe se mouiller à cette perspective. Sans rien pouvoir y faire elle réalisa qu’une goutte perlait entre ses lèvres décloses et se frayait un chemin dans sa toison clairsemée.



Sa copine revenait, un tube de crème solaire à la main. Elle vit Alex et celui-ci se leva souplement comme elle arrivait. Il se dressa et elle se rendit compte qu’il était très grand et sa verge se détacha nettement de son ventre, il avait maintenant une érection énorme, son sexe était tendu, gonflé, rigide comme un troisième membre.

Clara se demanda ce qu’il ressentait avec cette verge dure plantée au bas de son ventre, cela lui faisait-il mal ? Et s’il se blessait ? Marine envisagea ce qui pourrait lui arriver et la fragilité de la chose la fit frissonner. Troublée, elle passa sa main sur son sexe et paniquée, la retira trempée…

Le garçon se leva et s’étendit, faisant craquer ses articulations, il s’étira comme un chat au soleil et Clara ne put manquer sa verge, pointée, énorme vers le ventre de Marine.

Marine s’approcha de lui et toucha la verge d’Alex. Celui-ci embrassa Marine et Clara remarqua qu’il posait ses mains sur les fesses de la jeune fille, l’attirant à lui, la soulevant, et pressant ses seins nus sur sa poitrine, son pénis dressé se logea entre ses cuisses et se cassa contre le ventre de Marine qui appréciait et bougeait son bassin contre la cuisse d’Alex.


Elle bougea un peu et écarta ses cuisses, se haussant sur la pointe des pieds, car elle était un peu plus petite qu’Alex. Marine avait des fesses rondes et hautes et ses cuisses s’écartaient largement pour laisser un espace entre elles, dévoilant sans pudeur son sexe dénudé. Clara, qui voyait le dos et les fesses généreuses de son amie, vit surgir le gland rouge et luisant d’Alex, qui se nichait confortablement entre les cuisses de la jeune fille, recouvert par les replis charnus de sa vulve. La verge s’était faufilée entre les jambes de Marine et touchait son sexe dont elle poussait les lèvres. Marine serrait maintenant les jambes sur lui et le martyrisait, le faisant saillir et gonfler à éclater.

Elle détourna les yeux, sous le regard d’Alex qui en faisait encore plus, se sachant observée.


Leur étreinte se prolongea et Marine se dégagea de lui, troublée, les yeux brillants. Le garçon se rapprocha à nouveau et la saisit, passant ses bras musclés sous ses fesses et sans se soucier de Clara pénétra la jeune fille en un long mouvement souple. Clara n’en croyait pas ses yeux, il la pénétrait ; son sexe nu entrait en elle, il… il la baisait devant elle et en plein jour…


Marine l’accueillit et écarta ses cuisses pour le laisser entrer. Clara fascinée vit le gland luisant se loger dans les chairs fripées du sexe de Marine et s’engloutir en elle. Le jeune garçon embrassa Marine en un long baiser et Clara vit leurs langues s’emmêler, leurs dents se toucher.


Clara n’avait pu détacher les yeux des fesses entrouvertes de son amie, des lèvres fendues bousculées par la verge tendue, des mouvements des reins de Marine. Elle releva les yeux et vit que le garçon avait planté son regard sur elle : il lui fit un clin d’œil. Elle réalisa qu’ils étaient en train de faire l’amour devant elle…


Il se détacha de Marine à regret et Clara comprit, au vu de son pénis énorme, tendu et trempé du miel de Marine, que si elle ne s’était pas trouvée là, Alex serait allé plus loin. Elle frissonna et se sentit bizarre. Cette verge, énorme, ce désir si primitif qui les remuait tous, cette envie, ce besoin qui la taraudait, tout cela la rendait presque malade. Pourtant, ce qui la secouait n’était pas si désagréable et elle envisagea rapidement de se laisser aller, de se laisser faire, surtout par lui. Marine regarda son copain.



Il tirait sur l’anneau d’or, à la base de son sexe.



Marine toucha le sexe nu, le tordant vers le haut, le bas…



Clara rougit jusqu’aux cheveux… Sa copine lui prit la main et la posa sur le sexe nu, lui faisant caresser le phallus qui se mouillait… le sexe d’Alex était doux et velouté, agréable et elle se surprit à aimer le toucher, il était chaud.



Marine savourait chaque mot, surfant sur la grossièreté de ses paroles, goûtant leur sonorité étrange, l’obscénité de son discours. En même temps elle faisait courir ses doigts sur la peau douce du phallus tendu, excitant le sexe nu en le mouillant et Clara sentait les bourses d’Alex bouger doucement sous ses attouchements. Son sexe à elle coulait sans discontinuer, rendant ses cuisses glissantes et brillantes.


Elle répondit d’une voix un peu rauque, serrée par ce qu’elle décida être de la timidité. Elle était étonnée d’entendre la voix posée et calme de son amie, si peu en rapport avec ses actes, avec le sang qui fouettait son corps… Son aplomb la stupéfiait, elle si souvent rouge de confusion, se trouvait maintenant à détailler l’anatomie intime scandaleusement étalée de son amie et son amant, tous deux excités sexuellement au plus haut point. Elle-même se préparait à recevoir des attouchements plus qu’érotiques sans pour cela broncher. Cela commençait même à lui plaire. Elle regarda Alex dans les yeux, celui-ci se concentrait pour ne pas jouir tout de suite. Clara réalisa que sa verge était devenue énorme, dure et chaude et elle eut soudain envie qu’il lui enfonce au plus profond de son ventre.



Marine bougea rapidement vers elle. Clara se mit avec soulagement sur le ventre, tournée vers Alex qui les regardait intensément, les yeux brillants. Il était toujours en érection, mais ni lui ni Marine ne semblaient gênés par cette manifestation. Son phallus était impressionnant de taille et de rigidité et Clara fondait à sa vue. Le comportement du garçon, qui ne se souciait pas de tempérer son érection, choquait énormément Clara. Elle voyait la verge se tendre et pointer vers le ciel, et pouvait voir les testicules, gonflés, luisants, bouger dans les bourses nues, imberbes.


Elle se trouvait choquée, mais malgré elle, son ventre se nouait, se liquéfiait à la vue du membre viril déployé et montré au jour. Jamais elle n’avait vu un homme bander ainsi, devant elle ou d’autres, et elle pouvait voir chaque détail du sexe, énorme, gonflé, qui se tenait, roide et marqué de veines bleutées, planté entre les cuisses d’Alex. L’absence de vêtement rendait le garçon tellement nu qu’elle ne pouvait détacher ses yeux du sexe offert au soleil, érigé, durci par le désir.


Cette vision obscène la fascinait et elle ne pouvait s’empêcher de fixer intensément l’organe déployé, les bourses, la tige rigide qui oscillait doucement aux mouvements du garçon, le bout surtout, énorme et rouge, luisant et mouillé. Des gouttes glissaient du méat et le garçon les essuyait régulièrement, en enduisant sa verge brillante.

L’anneau surtout, cette torture qu’il s’infligeait lui-même, et ce que cela signifiait, ce désir de magnifier ainsi son sexe, de l’exhiber devant tous, de le faire se tendre continuellement, ce bijou intime la remuait encore plus que de se savoir nue.


Cela ne le gênait pas, il ne se troublait pas et se comportait comme si rien ne se passait.

Clara fit une constatation bizarre, que la vision continuelle et obscène de cette verge énorme, si présente, devenait une partie du corps du garçon comme une autre ; cela ne la choquait plus, de la même façon que le sexe continuellement montré de Marine ne la dérangeait plus ou presque. Elle regardait et détaillait la vulve de son amie comme toute autre partie de son corps, son sexe perdait le statut de partie intime pour devenir autre chose, un endroit moins montré, moins vu du corps de Marine.


Elle s’allongea sur le ventre sur la margelle brûlante de la piscine et Marine étala la crème, la frictionna, ou plutôt la caressa, ce qui fit courir des frissons au creux de son dos. Ses mains nerveuses et fraîches lui massèrent les épaules puis descendirent inexorablement vers ses fesses. Ses gestes étaient agréables et doux, ses mains glissaient sur sa peau, partout. Clara sépara ses cuisses légèrement pour ouvrir un peu son sexe, fendre sa vulve.


Alex se déplaça, ne voulant pas louper le spectacle, pour finir aux côtés de Marine.

Sans état d’âme, Marine, à califourchon sur elle, massa lentement et longuement les fesses fermes et musclées de la jeune fille, n’hésitant pas à les séparer largement, révélant et ouvrant son sexe mousseux sous l’œil intéressé d’Alex.


Clara paniquait sous ses caresses précises et appuyées ; son sexe doucement s’humectait au fur et à mesure des onctions de Marine et au souvenir de l’érection d’Alex, si cela continuait ainsi elle allait avoir un orgasme, elle allait jouir…

Alex avait une vue privilégiée sur Marine à genoux, les fesses grandes ouvertes, et Clara qui se laissait aller sous ses massages : il se régalait sans arrière-pensées du spectacle que les filles lui offraient et laissait son corps s’exprimer. Le spectacle des reins de Marine le comblait, et la vue des pétales mouillés de son sexe, du fouillis ordonné pourtant de sa vulve humidifiée par le désir faisait se dresser son sexe encore plus.


Marine touchait Clara à un endroit où personne à part elle-même n’accédait jamais, mais cette sensation de trahison, cet attouchement interdit qui lui fit tout d’abord serrer les jambes, ce geste intime et troublant, si doux pourtant, la fit trembler.


Sous la douceur de la caresse, s’abandonnant, Clara écarta plus les cuisses et Marine passa ses doigts enduits de crème solaire entre ses lèvres nues, les massant doucement, les séparant sans vergogne ni hésitation, remuant son clitoris, enduisant ses doigts de son miel qu’elle sentait sourdre doucement, le mélangeant à la crème solaire épaisse et laiteuse. Clara se mordit les lèvres sous l’assaut du plaisir qui déferlait et anesthésiait son bas-ventre, qui mouillait les doigts de Marine. Ses doigts se faisaient lourds et précis, elle labourait son sexe, sa fente, ouvrait sa vulve et étirait les lèvres mouillées pour atteindre la chair fragile dessous. Les fesses de Clara bougeaient à chaque mouvement. Elle jouissait maintenant presque en continu, se laissant emporter par les salves de plaisir insensées qui anesthésiaient son bas-ventre. Marine agissait comme si cette masturbation éhontée était rendue nécessaire par l’ardeur du soleil et la dangerosité de ses rayons ultraviolets.



La voix de Marine était blanche. Elle appuyait sur le tube solaire et une crème laiteuse, épaisse en sortait qu’elle appliquait sur ses mains avant de toucher le corps brûlant de Clara. Alex, accroupi devant elles, les regardait toujours et Clara vit que son sexe avait pris des proportions vraiment conséquentes et qu’il se dressait maintenant entre ses cuisses, tige de chair bien proportionnée jugea-t-elle. Une goutte cristalline se forma sur l’extrémité de son gland brillant et fila doucement en une larme paresseuse jusqu’aux dalles du sol.


Cela ne semblait pas l’émouvoir particulièrement et il s’installa plus confortablement, écartant un peu ses jambes de manière à ne pas gêner l’érection qui soulevait sa verge, bien campée sur ses testicules bruns et gonflés. Son sexe était pointé vers le ciel et Clara remarqua qu’il pulsait, lentement, qu’il oscillait sous l’effet du sang qui le faisait se tendre. Elle remarqua avec curiosité les testicules, gonflés, révélés par l’anneau qui les serrait. Ils étaient lisses et sans poils, gonflés et brillants et elle eut envie de les gober, de se les approprier, de sentir sous sa langue leur rondeur lisse et charnue. Elle aurait donné cher pour pouvoir avaler ce sexe tendu dans sa gorge et sentir déferler son sperme crémeux sous sa langue habile.


Clara vit avec acuité qu’il avait pris un peu de crème solaire et qu’il passait sa main sur son pénis, le huilant et l’enduisant de crème, accentuant bien sûr, encore plus sa raideur. Son gland maintenant énorme, pourpre et lustré, laissa sourdre à nouveau une goutte opaline qu’il essuya distraitement. La lourde tige de chair bronzée bougeait doucement à chacun de ses gestes. Il avait posé ses mains aux longs doigts écartées sur ses cuisses et se tenait en équilibre sur la pointe des pieds, bougeant un peu d’avant en arrière.



Elle se retourna et Marine lui enduisit les jambes, remontant vers son ventre qu’elle effleura.



Elle lui prit le tube des mains et s’agenouilla pour enduire son ventre et ses seins, maudissant les réactions de son corps, sous les caresses de Marine et maintenant les siennes. Ses tétons devenus durs pointaient et elle avait mouillé la serviette sous elle.

Alex se releva souplement et elle put voir que son sexe se trouvait maintenant tendu vers son nombril qu’il cachait presque ; il se cambra en s’étira comme un chat.

Son membre, le mot était bien choisi, car le sexe érigé du garçon lui semblait presque aussi épais que l’avant-bras de la jeune fille, étonna Clara et elle se surprit à l’imaginer en elle, se demandant s’il lui ferait mal, se demandant comment il entrerait dans son ventre. Peut-être était-ce dû au fait qu’il était imberbe, cela amplifiait sa forme, le magnifiait et le rendait encore plus… obscène.


Oui, c’était le mot : obscène. Cet étalage de chair intime, cette exhibition écœurante la choquait, mais en même temps, le comportement du garçon, qui se souciait si peu de son érection, qui laissait sa nature bestiale s’exprimer, ce manque total de retenue, d’inhibition la charmait, lui faisait entrevoir des régions inexplorées du plaisir. Clara commençait à aimer cela, cette liberté totale, sans frein, sans barrière, elle pouvait faire ce dont elle avait envie…


Elle imagina ce sexe énorme entrer dans le vagin de Marine, écartant les lèvres charnues, les distendant, forçant son passage entre les muqueuses lubrifiées et butant dans le fond de ses entrailles. Elle s’imagina à la place de Marine… Elle le trouvait beau et brutal aussi. Elle frissonna et un choc l’ébranla, la faisant mouiller encore plus la serviette : elle venait de ressentir à nouveau un orgasme, elle serra ses cuisses et son plaisir déferla en elle, la faisant chanceler. Son plaisir ruissela sur ses cuisses, les rendant brillantes et une tache sombre s’agrandit sur sa serviette. Elle ferma les yeux et sentit sa poitrine rougir.


Alex se dirigea vers la piscine, se retournant vers elles, il descendit lentement dans l’eau, empruntant l’échelle en inox et son sexe tendu heurta chacun des barreaux avec un petit bruit mat, plongeant Clara dans un trouble profond. Marine rit et se levant aussi, sauta à sa suite, appelant son amie. Clara plongea dans l’eau fraîche de la piscine, espérant ainsi calmer la tempête qui secouait son ventre. L’eau la frappa et en effet calma son corps l’amenant à plus de sérénité. Pas pour longtemps cependant, car bientôt Alex commençait à jouer avec elle, la tirant par les pieds, la menaçant de boire la tasse si elle ne se défendait pas.


Elle riposta, et leur lutte amicale ne fit qu’échauffer encore plus ses sens, le contact du corps musclé du garçon, puis le corps plus frêle, mais doux de son amie la firent bientôt abandonner toutes ses résolutions.


Clara prit son pied et n’hésita plus à prendre Alex à bras le corps, le ceinturant et collant son ventre contre le sien, sentant plusieurs fois sa verge énorme et dure, buter contre son périnée ou se caler entre ses fesses. Elle ne voulut pas de lui cependant, bien qu’il essayât à plusieurs reprises de forcer sa verge en elle. Elle se défendit non par principe, mais parce qu’elle préférait attendre et profiter du corps souple et doux de sa copine qui savait mieux y faire et dont les caresses, précises et ensorceleuses la faisaient trembler de plaisir. Marine, de son côté s’en donnait à cœur joie et se faufilait entre eux, les séparant ou au contraire, les rapprochant, passant entre leurs jambes ouvertes.


Clara plongea et passant sous Marine, surprit à plusieurs reprises la main de celle-ci qui s’accrochait au sexe tendu d’Alex et elle vit bientôt celui-ci émettre un filet bleuâtre de sperme qui, dérivant dans l’eau, s’accrocha à la toison de Clara.


Alex sortit de la piscine et s’allongea sur une chilienne, les jambes de chaque côté, impudiquement ouvertes sur son sexe nettement moins imposant et raide maintenant.

Le soleil faisait briller les gouttelettes d’eau qui le couvrait, et Clara lui trouva des ressemblances avec une statue grecque qu’elle avait vue à Athènes, athlète nu au ventre dur et lisse, aux muscles longs.


Marine nageait doucement sur place, se soutenant d’un bras. Clara distinguait sa main libre, nichée entre ses cuisses, bougeant lentement. Soudain elle eut un sursaut, sa bouche s’ouvrit et ses yeux se fermèrent, tout son corps se plia en arrière, dans un spasme et la jeune fille coula au fond de la piscine.


Clara, inquiète nagea alors sous l’eau et le spectacle qu’elle vit la cloua sur place : Marine avait mis ses deux mains entre ses cuisses et tout son corps était secoué de spasmes qui la faisait faire des sauts de carpe, tête rejetée en arrière. Ses jambes s’ouvraient et se refermaient sur ses mains glissées entre ses cuisses, plaquées sur son ventre.


Clara admira son amie, l’enviant de pouvoir prendre son plaisir ainsi, sous ses yeux, car elle savait qu’elle la regardait et apparemment sa présence, ondine au fond de la piscine provoqua d’autres spasmes. Elle riva ses yeux bleus aux siens et ses gestes se firent invitants, Marine l’appelait, se déhanchant comme une sirène, les mains rivées à son sexe, les cuisses largement ouvertes. Elle tournoya sur elle comme une balle, lui dévoilant toute son anatomie offerte, de son entre-fesses, perforée par un anneau sombre à sa bouche ouverte et douce aux dents blanches.


Telle une sirène un peu vénéneuse, elle enjôlait, perdue dans des éclats de lumière glauque et bleutée. Clara s’approcha d’elle, tentée par sa peau douce et fine, mais constata que Marine était manifestement en train de boire la tasse. Elle la saisit, son corps, souple et chaud sous ses mains, mollissant et s’abandonnant. Elle lutta contre l’inertie de son amie, et difficilement la ramena à la surface, collant son corps contre le sien, poussant de toutes ses forces les reins de la jeune fille vers le soleil et une fois arrivée à l’air cria en direction d’Alex qui réveillé par ses cris sauta tout de suite à l’eau pour l’aider. Elle prit Marine par la taille puis passa ses bras sous ses fesses pour la pousser hors de l’eau.


Ils sortirent Marine et l’allongèrent à même le sol carrelé et frais. Clara se mit à genoux à ses côtés et sans se soucier de ce que quiconque penserait, elle se pencha et lui fit un bouche-à-bouche salvateur. Clara écrasa les lèvres de la jeune fille sous les siennes, le corps sans vie de Marine allongé au soleil ne bougeait pas. Elle s’activa sur elle, se courbant comme un roseau au vent, saoule de ses inspirations et expirations forcées. Marine bougea légèrement et son thorax se souleva, sa main saisit le bras de Clara et le serra fort.


Alex, malgré la gravité de la situation, admira en connaisseur les fesses magnifiques que Clara ouvrait largement sur un sexe mousseux et mouillé. Il eut du mal à détacher son regard des cuisses écartées de la jeune fille et de son clitoris qu’il devinait, gonflé et tentateur derrière sa toison transparente, telle une perle rose au creux d’un coquillage.

De l’eau gouttait paresseusement d’entre ses fesses, coulant, tiède et lourde entres elles et trempait les poils fins et blonds du sexe clairsemé de Clara puis tombait doucement sur la peau brunie du ventre de Marine. Les cuisses nues et longues et fines se tendaient et la peau brune de la jeune fille bougeait sous le jeu des muscles sollicités.

Le pénis d’Alex poussa de nouveau entre ses cuisses. Il faisait chaud au bord de la piscine et l’émotion gonflait son cœur. Il voyait les lèvres du sexe de Clara s’entrebâiller et se refermer à chacun des mouvements respiratoires qu’elle prodiguait à la jeune noyée.


Il se noya lui aussi dans la contemplation des chairs torturées du sexe ouvert de Clara, de l’étoile brune exposée au soleil. Son esprit devint sexe, phallus tendu et s’aventura entre les parois si douces des fesses que la jeune fille ouvrait si grand, il força sa tête entre les lèvres douces et brillantes du sexe féminin, heurtant un clitoris énorme et tendu lui aussi comme un arc prêt à décocher puis s’enfonça moelleusement, sa bouche se saisit du petit membre tendu et ses dents l’agacèrent.


Marine toussa et recracha de l’eau et s’ébroua : elle respira un grand coup et se plia en deux sous la toux qui la déchira. De l’eau coula de son sexe. Clara sentit son cœur s’alléger et respira elle aussi plus librement. Marine leur sourit :



Alex rougit, il arborait un sexe encore plus gonflé et tendu, abreuvé de sang, douloureux à force de tension, brûlé par le soleil, chaud, mouillé et insensible, presque paralysé de désir.



Marine baissa la voix :



Elle regardait Clara qui détourna les yeux. Marine se sécha et elles s’installèrent au bord de la piscine, allongée au soleil, un verre de jus de fruit à portée de main.



Clara savait ce que Marine voulait dire.



Marine se penchait vers elle, et tout en parlant, suivait la courbe de sa gorge, glissant sur son sein, accrochant un téton gonflé de sang, redescendant sur ses côtes, puis laissant sa main courir sur la peau mouillée de Clara, lui caressait le ventre, enfonçant un doigt dans son nombril, la chatouillant. Sa voix se fit plus basse, plus secrète et chaude, Clara se surprit à l’aimer, à la trouver belle.


Puis sa main s’aventura plus bas, sur son pubis plus clair, et encore plus bas. Elle reprit son verre de jus d’orange et doucement versa sur le ventre de Clara le liquide sucré et collant qui coula dans son nombril puis dégoulina lentement entre ses cuisses. Clara se laissa faire, frissonnant sous le contact du jus glacé. Elle rentra son ventre, gardant le liquide dans le creux sous ses côtes, puis Marine éparpilla le liquide froid sur son ventre. Clara frissonna et retint sa main qui jouait avec les poils blonds et collants de son sexe, les bouclant autour de son doigt. Marine déposa un baiser sur ses seins nus, léchant le sirop qui les mouillait. Son autre main frôla les pointes de ses seins et celles-ci se dressèrent, énormes. Marine lui massa doucement les seins.



Elle en prit un dans sa bouche et doucement la mordilla, la faisant gémir. Clara lâcha sa main écarta les jambes et s’ouvrit, relevant les genoux, faisant craquer ses articulations. Le liquide frais goutta doucement entre les lèvres de sa vulve, dans les poils blonds de sa toison.



Clara ne répondit pas, abrutie par le plaisir qui sourdait des doigts de la jeune fille.



Marine avait prononcé ces mots tout doucement, d’une voix rauque et Clara en les entendant eut un spasme de jouissance, jamais elle n’avait même entendu ces mots, personne ne lui avait dit cela, et elle-même n’aurait jamais imaginé que la langue d’une femme, que la bouche d’une femme ait pu les assembler et les faire glisser en elle de cette manière, elle avait joui comme si les mots avaient été des sexes raides et doux enfoncés en elle. Marine la caressa lentement, d’abord posant sa paume sur les poils rêches de son sexe, puis appuyant, elle fit saillir ses lèvres mouillées et glissa ses doigts entre elles, de plus en plus profondément.


La fente de Clara était trempée, et les doigts de Marine brillaient au soleil. Clara se trouva impudique et coupable, mais cela lui plut, elle ouvrit encore plus ses jambes, faisant saillir ses tendons et son mont de Vénus, s’ouvrant comme un livre qu’on force jusqu’à la couture. Longuement Marine la caressa, glissant ses doigts sur sa peau, les faisant courir sur ses lèvres ouvertes et jouant avec son clitoris rouge et gonflé. Le soleil impitoyable brûlait la peau fragile de son entrejambe.


De temps en temps Marine ajoutait de la crème solaire, lubrifiant le ventre ouvert au soleil. Un parfum d’orange cannelle flottait autour d’elles. Son sexe devenu hyper sensible était tout collant de sucre et de jus de fruit. Soudain elle réalisa qu’Alex devait toujours être là à la regarder, à voir ce que Marine lui faisait et bizarrement cette constatation fit exploser le plaisir qui abreuvait son ventre.


Il était allongé sur une chilienne et Clara vit sa main aller et venir doucement sur sa verge roide et brillante. Il étalait l’écran solaire sur sa peau, massant avec force la hampe de son phallus, faisant saillir encore plus le lacis bleuâtre des veines et elle se rendit compte qu’il se masturbait, recouvrant le gland de ses doigts et les passant sur les muqueuses rouges et gonflées de sang.


Son exhibition, le regard du garçon dont elle voyait les jambes et le sexe tendu, la conscience de son impudeur totale firent qu’elle jouit à jet continu pendant plusieurs dizaines de secondes, paralysée par la jouissance qui l’inondait. Cela la prit comme si le sexe d’Alex qu’elle voyait osciller l’avait pénétrée, comme s’il était entré en elle et l’avait épinglée comme un papillon extatique, frémissant au bout de l’épingle qui l’empalait.


Clara flottait sur un nuage de plaisir, relaxant tous ses muscles et les tendant les uns après les autres, seuls son vagin et son clitoris existaient encore.


Marine saisit alors le glaçon à moitié fondu du verre de jus d’orange et doucement l’enfonça dans son sexe, le faisant glisser au plus profond de ses entrailles, déclenchant d’autres spasmes de plaisir. Elle enfonça le cube de glace tout droit, avec force et détermination, ravageant son vagin hypersensible de ses doigts tendus, la prenant au plus profond d’elle-même. Clara sentit la glace fondre en elle et ne put se retenir, elle se cambra, arquant son corps, tous ses muscles tendus à rompre et agrippa de toutes ses forces la serviette sous elle, puis ferma ses mains autour de ses chevilles, se bandant comme un ressort d’acier. Elle étouffa un cri, refermant ses cuisses sur la main de son amie, l’écrasant sous l’assaut d’une deuxième série d’orgasmes explosifs qui fit se coller à elle la bouche et le corps de Marine. Clara se laissa retomber, les cuisses et le ventre mouillés par son plaisir et sa petite mort.


Un peu plus loin, Alex avait assisté à toute la scène en connaisseur ; le plaisir l’avait submergé en même temps que Clara, il n’avait pas pu empêcher l’orgasme qui avait secoué son ventre et accroupi devant les filles qui se caressaient, il avait senti sa verge se détacher littéralement de son ventre, il avait senti sa semence gronder au fond de son ventre et gicler d’un jet prodigieux. Clara avait un style bien à elle et ses mouvements, la manière qu’elle avait de se masturber, de caresser son amie, son impudeur totale avaient séduit Alex. Le corps de Clara était extraordinairement souple et beau et il était fasciné par son abdomen aux muscles si doux et par ses fesses tellement impudiques qui révélaient au jour la splendeur de son sexe juteux et gourmand.


La jouissance l’avait fait trébucher et ses jambes s’étaient dérobées sous lui.

Il avait pourtant arrêté de se masturber, se refusant à éjaculer, voulant réserver sa semence et sa jouissance au ventre qu’il voyait s’ouvrir devant lui, imaginant le liquide épais et laiteux inondant les replis secrets et irrités de Marine.


Mais le spectacle des deux filles en train de se faire plaisir l’avait abasourdi et ses résolutions avaient été emportées par le flot de désir qu’il sentit ravager son ventre et son sexe douloureux. Son sperme, épais et blanc sous le soleil avait giclé en un jet dense et court et était venu s’écraser sur le ventre nu de Clara qui avait ressenti avec un choc le liquide chaud s’infiltrer en elle. Elle essuya les éclaboussures de sperme et s’en badigeonna le ventre et les seins, respirant le parfum érotique de la semence mâle. L’odeur la fit jouir encore plus fortement.


Elle avait laissé s’écrouler les fragiles barrières qui retenaient sa libido plutôt explosive, mais elle s’en voulait, ressentant en plus du plaisir insensé qui l’avait secouée, un goût de cendre dans la bouche. Elle avait honte, en fait pas véritablement, mais son corps et ses pulsions la trahissaient.

Elle avait partagé avec une autre une intimité jusqu’alors préservée farouchement. S’il lui arrivait de se caresser, c’était toujours seule et à l’écart du monde, dans son lit la plupart du temps ou encore sous la douche.

Elle ne parlait jamais de ses copains et de ses expériences, Marine était sa première amie véritable et elle lui en voulait de ce qu’elle avait fait.

Elle avait jusque-là une vision plutôt ordonnée du monde avec d’un côté le bien et de l’autre, tout le reste, avec parfois des zones d’ombres. Mais ces zones d’ombres, elle les trouvait toujours chez les autres et jamais chez elle.

Or là, elle se découvrait, nue en train de faire l’amour à une fille, elle qui n’avait connu que quelques étreintes rapides et inachevées sur un canapé, chez des copains un peu boutonneux.


Elle qui regardait avec mépris ses copines se faire embrasser et peloter en public, elle se laissait masturber, entièrement nue, en plein soleil par une autre fille, et elle jouissait dans ses bras et un homme l’arrosait de sa semence. Elle était en pleine zone d’ombre, elle eut froid soudain et voulu se rhabiller. Elle se retourna. Marine la prit dans ses bras, mais Clara se dégagea et se leva.



Et elle se dirigea vers le jardin. Son ventre et ses cuisses étaient poisseux du jus sucré dont l’avait baptisée Marine et le sperme d’Alex coulait sur ses jambes, elle se sentait souillée. Alex et Marine la regardèrent partir, un peu surpris.