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n° 18578Fiche technique21338 caractères21338
Temps de lecture estimé : 13 mn
02/10/18
Résumé:  Christine doit changer de gynéco malgré elle.
Critères:  fh médical cérébral fmast fellation pénétratio confession -f+medical
Auteur : Isa13450            Envoi mini-message
Christine

Moi, Christine, 52 ans…



Boufff, il fallait bien s’en douter, M. Arnau n’est plus tout jeune, je n’apprécie guère de devoir changer de gynéco ! Enfin, de toute façon je n’ai pas le choix, nous verrons bien.



………….



Étant consciente de l’odeur forte que dégage mon sexe après avoir été renfermé dans sa culotte toute une journée, le jour de mon rendez-vous, je devais impérativement passer chez moi pour faire un brin de toilette avant ma visite et je prévois donc de quitter mon travail un peu plus tôt. Malheureusement, comme bien souvent, lorsque je mets en place une organisation, rien ne se passe comme prévu. Une coupure d’électricité de plus de deux heures en début d’après-midi m’oblige à travailler plus tard que ce que je l’avais imaginé. Tant pis pour la toilette, j’espère que cela ne sera pas trop indécent !


Ce n’est que quelques minutes avant 18 h que je peux enfin m’échapper de mon bureau, je sais que je suis en retard, mais je prends tout de même le temps d’envoyer un petit texto à Robert, mon mari, pour lui rappeler mon rendez-vous, de façon à ce qu’il ne s’inquiète pas de ne pas me voir arriver à la maison tout de suite.


18 h 40, me voilà enfin arrivée, avec pas moins de dix minutes de retard, je sonne et entre dans le hall. À cette heure-ci, il n’y a plus personne à l’accueil pour enregistrer mon arrivée. Connaissant les lieux, je me dirige vers la salle d’attente, j’entre, je referme la porte derrière moi et je m’installe. Je suis seule dans cette pièce à attendre que l’on vienne me chercher. L’atmosphère y est différente de ce que j’ai connu jusqu’ici, le mobilier a été remplacé, les fauteuils Louis-Philippe ont désormais laissé place à des sièges bien plus modernes, tout aussi confortables, la musique classique habituellement diffusée a été remplacée par des tubes récents du style « love ». Autant que possible, je cherche à me détendre, en me laissant emporter par ce son qui m’apaise. Quelques minutes plus tard, j’entends une voix dans le hall :



J’entends une porte se refermer avant de voir s’ouvrir celle de la salle d’attente où je suis installée. Mon regard se fige sur cet homme qui vient à ma rencontre. Il ne ressemble en rien au gynéco classique, il semble être assez jeune, probablement tout juste la trentaine, il est vêtu d’un jean et d’un tee-shirt moulant, un tatouage dépasse légèrement de son col juste au-dessous de son oreille droite, un autre tout aussi peu visible dépasse de la manche de son tee-shirt. J’avais devant moi le stéréotype du top boy que les jeunes filles doivent vouloir s’arracher. Cet homme n’avait rien en commun avec mon ancien gynéco, qui était du style papy et blouse blanche.



Tout en le suivant jusqu’à son bureau, mes yeux balayaient la pièce à 360°.

Je ne reconnaissais pas du tout ce lieu où j’avais pourtant fait jusqu’ici toutes mes visites avec M. Arnau. Le mobilier avait été entièrement remplacé et disposé différemment. J’ai de suite remarqué que le bureau du docteur était installé face au fauteuil d’auscultation, il n’y avait plus de rideau occultant servant à diviser la pièce, comme je l’ai connue jusqu’ici.



Je m’exécutai et il en fit de même.



Madame Richard Christine, née en …, oui, vous avez donc cinquante-deux ans si je compte bien, vous avez eu deux enfants, deux grossesses qui se sont déroulées à merveille, aucun problème de santé particulier, aucun traitement, un maintien correct de votre poids et vous prenez toujours la même pilule depuis plusieurs années, vous confirmez tout cela,



Oufff, sur cet ordre, une bouffée de chaleur est venue colorer mes joues. M. Arnau et mon mari ayant été jusqu’ici les deux seuls hommes devant lesquels je me suis retrouvée entièrement nue en tête à tête dans une pièce. Maintenant, c’est devant ce charmant jeune homme que je vais devoir me présenter dans mon plus simple appareil. J’accroche un à un mes vêtements sur le portemanteau prévu à cet effet et je me présente en culotte et soutien-gorge devant la balance.



Deuxième coup de chaud, quand faut y aller, faut y aller. Je retire ces deux derniers morceaux de tissu pour les accrocher eux aussi au portemanteau. Je monte sur la balance, M. Lassu s’approche et lit mon poids.



Troisième coup de chaud, là on y est, ce beau gosse va me tripoter. Malgré mon âge et les nombreuses visites gynéco déjà vécues, je ne suis pas du tout à l’aise. M. Lassu s’est placé derrière moi, il a plaqué son torse contre mon dos, ses mains sont venues attraper mes seins pour les soutenir, les relever, les écraser, puis avec deux de ses doigts, il a palpé minutieusement toute la surface de mes deux globes. Mes tétons se sont raidis, j’étais trahie par mon propre corps, le docteur ne pouvait que constater que ces palpations ne me laissaient pas indifférente.



Alors que M. Lassu retourne s’asseoir à son bureau, je m’installe comme il venait de me l’indiquer. À demi allongée sur ce siège, jambes en l’air, écartées, je pouvais l’observer enregistrer ses conclusions sur son ordinateur en dirigeant mon regard entre mes deux cuisses, droit devant face à moi.



Je le regardais noter tout cela dans mon dossier informatique jusqu’à ce qu’il se lève et se dirige vers moi. Dans cette position ouverte telle que je l’étais, j’ai rapidement senti l’odeur forte que dégageait mon sexe. Le docteur s’est installé sur son siège face à mon sexe. Il a enfilé une paire de gants en latex avant d’étaler une larme d’un gel lubrifiant entre son pousse et son index de sa main droite. Il a posé sa main gauche à plat sur mon ventre au niveau de mon nombril puis c’est l’index de sa main droite enduit de gel qui est venu me pénétrer d’un seul coup en profondeur jusqu’à ce que son pouce s’écrase contre mon clitoris.



Tout en poursuivant cette palpation interne que je trouvais, il faut se l’avouer, assez agréable voir quelque peu excitante, le docteur m’interrogeait :



Sur ces mots, j’ai hésité un instant à me dégager de ce fauteuil et de cet homme pour m’enfuir, mais il était déjà trop tard, je n’avais plus la force mentale de lui faire stopper cette caresse que je trouvais de plus en plus agréable.



Rhabillé, assise face au docteur, celui-ci me prescrit une mammographie, une prise de sang et me propose d’appeler son secrétariat dans les prochains jours pour prendre un nouveau rendez-vous de façon à lui présenter les résultats de l’ensemble des examens.


Plus d’un mois s’est écoulé et, comme convenu, ayant obtenu les conclusions de mes examens, je me rends à ce second rendez-vous, en ayant pris soin cette fois de prendre le temps nécessaire à un brin de toilette intime.


18 h 45, c’est à mon tour. A priori, je suis la dernière patiente de la journée à être reçue.



Il referme la porte de son cabinet derrière nous, se dirige vers son bureau et me demande de me déshabiller et de m’installer sur le fauteuil. Inquiète, imaginant qu’un des résultats nécessite une contre-visite, je l’interroge :



C’est avec beaucoup moins d’appréhension que cette fois-ci je me déshabille et m’installe entièrement nue sur le fauteuil, les pieds dans les étriers. Le docteur reste un instant devant son écran, avant de se rapprocher de moi.



L’entrée en matière est plutôt directe, mais je me sens le courage de répondre en toute honnêteté.



Il est là, debout contre le fauteuil sur lequel je suis allongée, il me regarde, pose sa main gauche à plat sur mon ventre au niveau de mon nombril. Je prends conscience que je me trouve dans une situation qui ressemble étrangement à celle que j’ai vécue dans mon fantasme et qui m’a entraînée dans de folles caresses intimes ces dernières semaines. Je dois me libérer, me jeter à l’eau…



Tout en m’écoutant, deux de ses doigts posés sur mon ventre sont descendus à la rencontre de mon sexe pour se noyer dans mon jus déjà bien présent au bord de mes lèvres. Après deux rapides rotations de son index sur mon clitoris, j’ai attrapé son poignet pour écarter sa main de mon sexe.



Ma respiration était rapide, mes seins pointaient fermement en direction du plafond et mon sexe crevait d’impatience. Le docteur s’est approché de moi, j’ai préféré garder les yeux fermés et ne pas le regarder me lier les poignets et chevilles aux parties métalliques du fauteuil. J’étais désormais prisonnière, exactement comme je l’avais imaginé, à la merci de cet homme qui pouvait maintenant abuser de moi pour mon plus grand plaisir non consenti.


Sa main gauche est venue au contact de mes seins. Il les a massés lentement, l’un après l’autre, puis il s’est arrêté sur un téton pour le pincer entre son pouce et son index. Ma respiration ne cessait de s’accélérer, je n’avais jamais connu un tel degré d’excitation. Le docteur me fixait dans les yeux. De son autre main, il a baissé la fermeture Éclair de son pantalon pour en dégager son sexe au gland décalotté et luisant, fièrement dressé au bout d’une tige tendue. Sa main gauche a libéré mon téton pour venir se poser dans mon cou, et c’est avec son pouce qu’il a appuyé sur ma joue pour faire basculer ma tête et positionner ma bouche face à son sexe. Il a approché son gland à quelques millimètres de mes lèvres et j’ai ouvert spontanément ma bouche pour l’accueillir.



Sur ces mots, il a déposé son gland sur ma joue, pour ensuite le faire glisser lentement sur mes lèvres avant de le faire circuler comme s’il me passait un bâton de rouge au lèvre de façon très minutieuse. Son odeur était forte, bien plus que celle de mon mari, mais j’aimais ça, je pense même que cela était un indice supplémentaire à mon excitation.



Je n’en pouvais plus, pourquoi me faisait-il languir autant, c’en était trop, maintenant je le voulais en moi. Je n’ai autorisé qu’un bref passage de son gland sur ma langue avant de tenter de l’engloutir.



Sa main gauche a libéré mon cou pour glisser lentement vers mes lèvres intimes



Son sexe a glissé entre mes lèvres aussi loin que ce que je pouvais l’accueillir. Arrivé en butée au fond de ma gorge, le docteur s’est immobilisé. Sa tige émettait des secousses, son gland a laissé s’échapper une infime quantité de sécrétion liquide qui s’est écoulée dans mon gosier. Après un court instant de concentration afin de ne pas libérer son extase trop vite, sa verge s’est agitée d’allers-retours frénétiques entre mes lèvres allant chercher toujours plus loin le butoir gluant que formait ma gorge. J’attendais d’un instant à l’autre ce feu d’artifice libératoire que j’étais prête à accueillir, mais le docteur s’est retiré de ma bouche en enserrant son sexe avec sa main droite devant mon visage.



Après avoir rapidement repris ses esprits, il s’est placé entre les jambes de sa prisonnière, d’un coup de manivelle il a surélevé davantage mon siège de façon à ce que son sexe soit à la même hauteur que l’entrée de ma grotte. Dès la première pénétration, j’ai senti la fermeté de son membre, ses testicules claquaient sur mon petit trou à chaque aller-retour tout aussi frénétique que ceux subis l’instant d’avant dans ma bouche. Il me baisait, exactement comme je l’avais imaginé dans mon fantasme, son endurance m’a permis de jouir la première, et mes gémissements d’extase ont eu raison de sa retenue, son sperme est venu remplir l’espace libre entre sa verge et ma paroi. Il est resté là un instant, figé en moi, avant de se retirer et laisser son jus s’écouler entre mes fesses écartées. Il a rangé son membre dans son pantalon avant de me libérer de mes liens. Je me suis essuyé le sexe avec un essuie-tout avant de me rhabiller et rentrer chez moi.


Je ne suis plus jamais retournée chez ce gynéco, c’est maintenant Madame Leroy qui me suit, mais ça, c’est une autre histoire…