n° 18581 | Fiche technique | 28419 caractères | 28419Temps de lecture estimé : 17 mn | 04/10/18 |
Résumé: Nous recevons chez nous Adam, le correspondant allemand de notre fils. Un adorable jeune homme encore puceau. | ||||
Critères: fh fplusag piscine fellation cunnilingu pénétratio init -inithf | ||||
Auteur : Isa13450 Envoi mini-message |
Et nous voilà partis pour un petit quart d’heure de voiture, nous allons récupérer le correspondant allemand d’Antoine qui vient passer quinze jours à la maison. L’année du bac, début mai ; perso, je trouve la date pas forcément bien choisie, les gamins ont besoin de se concentrer en cette période de l’année surtout si proche de l’examen du bac. Enfin, ne portons pas de jugement, je suis une maman heureuse des résultats scolaires de son enfant, je ne regrette pas le choix de cette école privée spécialisée en classes de langues que nous avons choisie pour notre fils unique. Il avait raison le gamin, une demi-heure de retard annoncé sur le vol Berlin-Marignane. Ça nous a permis de prendre le temps de discuter un peu, Antoine en a profité pour me dresser un portrait plus précis d’Adam, ce jeune homme de tout juste dix-huit ans, qui à en croire mon fils, parle le français aussi bien que nous, voire même mieux. Ce qui n’est pas réciproque pour Antoine qui, lui, a encore de petites lacunes en langue allemande.
Nous traversons le hall jusqu’à la porte de débarquement.
Vu son allure, il paraît surtout beaucoup plus mûr que mon petit ange. Un vrai jeune homme habillé assez « classe », comparé à mon petit bonhomme au style parfait petit ado.
Nous voilà partis en direction de la maison, c’est vrai qu’il se débrouille vraiment bien en français. Sacré Antoine, pour sa part, il s’est bien gardé de lui souhaiter la bienvenue en allemand !
Je les ai laissé discuter ensemble tout au long du trajet, en ne faisant qu’une seule intervention :
Paul, mon mari, est un acharné du boulot, aujourd’hui samedi, pour lui, c’est un jour comme un autre de la semaine, il ne rentrera que vers 19 h, sa seule journée de repos, c’est bien le dimanche, alors s’il peut déléguer et s’éviter tout bricolage ou entretien pour profiter de sa journée, il n’hésitera pas à le faire.
Et le lendemain, c’est justement ce qui est au programme de notre dimanche : journée relax, piscine et détente. Depuis hier soir, nous n’avons pas beaucoup croisé les jeunes, ils ont passé la soirée dans la chambre d’Antoine, et ce matin ils sont allés en ville. Antoine a présenté Adam à ses amis. Dès leur retour à la maison, j’ai senti qu’il y avait un malaise, mais je n’ai pas posé de questions. Ce n’est que plus tard, après le repas du midi, que j’ai eu l’occasion de questionner Antoine.
Un aussi charmant jeune homme, qui donne l’impression d’un gaillard assez mûr pour son âge, gêné devant une fille qui lui fait la bise, hum, j’ai du mal à y croire, me suis-je pensé !
Avec moins de temps qu’il ne le faut pour le dire, nous nous sommes retrouvés tous les quatre dans la piscine.
Des fois, il a des expressions vraiment déplacées. S’il se considère vieux avec ses cinquante-cinq ans, c’est son problème, mais surtout, qu’il n’entraîne pas dans sa vieillesse une jeune femme de mon âge !
Et ça bouge dans tous les sens, ça s’éclabousse, ça crie, ça rit, il est vrai que cette piscine est idéale pour s’amuser, tout se passe pour le mieux, notre invité semble s’amuser autant que nous, il s’intègre à merveille et participe à une bonne ambiance. Sauf que… sans le vouloir, en m’amusant, et plus précisément lors d’un saut très étiré, le haut de mon maillot a laissé s’échapper un sein qui est venu afficher toute sa beauté au grand jour.
Ben oui, j’ai une grosse poitrine, et ce n’est pas toujours évident de la garder à sa place, surtout lorsqu’on bouge et qu’on saute comme je le fais. J’ai remarqué qu’Adam semblait être gêné par ce qu’il venait de voir, et j’ai pu constater la rougeur de ses joues jusqu’à ce qu’il nous quitte quelques instants plus tard prétextant devoir aller aux toilettes. Ne le voyant pas revenir, nous avons terminé la partie à trois.
Durant la semaine qui a suivi, occupés par nos activités, nous avons tous passé notre temps à nous croiser, le seul petit moment où nous étions réunis étant le soir lors du repas. Ce rythme de vie quotidien ne nous permettait pas de pouvoir faire plus ample connaissance avec notre invité.
Vendredi soir, juste avant de me mettre au lit à côté de Paul qui m’y attendait entièrement nu comme un ver, en rangeant mes chaussettes dans mon placard, j’ai remarqué quelque chose de troublant, j’avais la désagréable impression que quelqu’un avait fouillé dans ma lingerie, mes petites culottes n’étaient pas rangées comme à l’accoutumée.
Après quelques secondes d’un léchage humide de sa tige comme je sais si bien le faire, c’est avec un sexe en hypertension que Paul s’est installé entre mes cuisses pour me pénétrer sous un rythme effréné. Sous ces coups de boutoir, j’ai dû me mordre les lèvres pour ne pas exprimer bruyamment mon plaisir comme j’ai parfois tendance à le faire, mais le claquement de notre lit contre le mur n’a certainement laissé aucun doute à notre voisin de chambre sur ce qui était en train de se passer dans la chambre de ses hôtes.
Le lendemain matin, une fois Paul parti au boulot et les gamins au lycée pour leur trois heures de cours de langue prévues ce samedi matin, toujours perturbée par le désordre trouvé la veille dans mes petites culottes, je décide de les ranger comme il se doit avant d’aller lancer un coup d’œil dans la chambre de notre invité. Son lit étant défait, j’en ai profité pour faire une petite inspection et je vous laisse imaginer ma stupeur lorsque j’ai découvert mon petit string noir entièrement souillé de sperme, caché sous son oreiller. Le tissu était entièrement imbibé, chiffonné et encore collé de semence sèche, il était évident qu’il avait servi d’essuie-tout il y a quelques heures.
J’ai passé la matinée à ne penser qu’à cette découverte, l’idée de ce jeune homme qui s’est soulagé dans mon string après me l’avoir dérobé me perturbait. Un gaillard si charmant, si jeune, le savoir fantasmer sur moi me semble décalé, mais je dois avouer que l’idée ne me laisse pas indifférente, je peux même dire que j’en suis assez flattée.
12 h 30, les jeunes sont de retour du lycée, après un repas pris très rapidement, Antoine s’échappe pour quelques heures, il va rejoindre sa petite amie. Adam, lui, prend un petit bain dans la piscine et s’installe ensuite sur la table de la terrasse pour réviser ses cours. Quant à moi :
En m’accroupissant devant lui entre ses jambes :
Deux de mes doigts imbibés de pommade tourbillonnaient autour de cette seconde piqûre. Sans un mot, Adam observait ces deux doigts féminins caresser le haut de sa cuisse autour de cette rougeur. Lorsqu’une bosse s’est formée sur son maillot, mon regard s’est figé sur ce volume qui ne cessait d’augmenter en mettant en tension le tissu dans lequel ce jeune sexe était prisonnier.
C’est devant ce spectacle que j’ai eu un mauvais réflexe, un réflexe que je qualifierais d’incontrôlable. Vous savez ce réflexe dont on vous parle lorsque par exemple vous passez votre code et permis de conduire. On vous présente une photo où un oiseau passe devant votre voiture et on vous dit :
Eh bien, là, c’est exactement ce qu’il m’est arrivé, je n’ai pas su contrôler la direction de ma main qui est venue attraper le sexe d’Adam par-dessus son maillot. Ça a été plus fort que moi, comme un très mauvais réflexe. J’ai voulu vérifier qu’il s’agissait bien d’une érection, vérifier que ce n’était pas simplement des plis sur le tissu qui formaient cette bosse. J’ai serré ce sexe entre mes doigts, en positionnant le bout de mon index sur le haut de sa tige au niveau du gland et la paume de ma main à sa base comme si je voulais pouvoir en mesurer la longueur et l’épaisseur. Le jeune Adam s’est tétanisé en serrant ses mains sur les accoudoirs de la chaise. Au lieu de le libérer, de m’excuser, et d’être honteuse de ce que je venais de faire, je l’ai gardé dans ma main, en lui faisant passer un interrogatoire :
Sa respiration s’est accélérée, ses joues sont devenues encore plus rouges que ses piqûres d’abeilles. Il ne me répondait pas. Et toujours sans lâcher ma prise :
Je l’ai repris dans ma main, de la même façon, en pressant cette fois mon index sur le creux de son frein pour le comprimer.
Je ne pensai pas le faire venir si tôt, alors que je le touchais à peine et seulement depuis quelques secondes. Son sperme s’est étalé jusque sur sa poitrine en trois jets presque simultanés. Malgré cette libération, son sexe restait droit, rigide, comme si rien ne s’était passé, il ne laissait paraître aucun signe de ramollissement. Que c’est beau, la jeunesse !
C’est au moment où je l’ai libéré pour qu’il se rhabille et pour qu’il se nettoie qu’il s’est exprimé :
Mon dieu, mais qu’est-ce qui m’a pris ! Je suis devenue folle ! Oser tripoter ce gamin !
Et pour couronner le tout, si je devais être honnête avec moi-même, cette situation m’a beaucoup excitée, je dois me ressaisir, le gamin est encore chez nous jusqu’à samedi soir prochain.
Le lendemain, peu fière de mes actes de la veille, je suis restée assez discrète tout au long de la journée, laissant les garçons et Paul jouer sans moi dans la piscine, prétextant un coup de fatigue qui nécessitait que je me repose au calme, pour la journée.
La semaine qui a suivi a été extrêmement perturbante, j’étais hantée, je devais me rendre à l’évidence, la situation m’excitait au plus haut point, il était désormais évident que ce jeune homme et moi nous nous désirions autant l’un que l’autre. J’ai passé ces derniers jours à nourrir un fantasme que je pouvais potentiellement réaliser. Je suis sûre que vous me comprenez, vous les dames quinquagénaires. Seriez-vous capable de résister à un charmant jeune homme de trente ans de moins que vous, qui vous désire ?
Samedi, le jour de son départ est si vite arrivé. 12 h 30, de retour de leurs trois heures de cours, les deux jeunes s’empressent d’engloutir leur repas. Mon fils Antoine s’échappe pour rendre visite à sa copine, comme tous les samedis après-midi. Je suis consciente qu’il me reste quelques heures à passer seule en tête à tête avec Adam que nous devons raccompagner à l’aéroport ce soir à 19 h. Tout se bouscule, dois-je moi aussi m’échapper cet après-midi pour éviter un mauvais réflexe qui me mènerait droit à l’accident, ou bien dois-je rester et tenter de maîtriser mes réflexes ?
Une fois ses bagages bouclés, Adam s’est installé sur la terrasse pour potasser ses cours. J’ai finalement décidé de rester à la maison, choisissant de profiter de ces derniers instants, seule avec notre invité. J’ai passé mon maillot deux-pièces, le rose, celui que je mets uniquement à la maison, Paul et Antoine m’ayant convaincue que sa coupe était beaucoup trop provocante pour que ce deux-pièces soit porté à l’extérieur, à la vue de tous.
Je me suis baignée devant Adam qui s’est libéré de ses cours pour figer son regard sur moi. Je lui ai proposé de venir me rejoindre dans l’eau, il n’a pas hésité une seule seconde. Dans la piscine, il restait à l’écart, loin de moi, probablement n’osait-il pas se rapprocher. Je me suis alors dirigée vers lui le fixant du regard. Il restait là, contre le mur du bassin, figé, attendant la suite. Arrivée à sa rencontre, j’ai collé mes lèvres sur les siennes pour ensuite l’imbiber de ma salive avant de pénétrer sa bouche avec ma langue. Le baiser était langoureux, Adam avait l’air d’apprécier, son sexe déjà très dur, pris en étau entre nos deux corps, émettait de petites secousses très vives. Sans cesser de fouiller sa bouche avec ma langue, j’ai baissé son maillot pour pouvoir libérer son sexe et le tenir dans ma main. J’ai d’abord soupesé et massé un instant ses testicules avant d’entamer une lente masturbation en serrant sa tige entre mon pouce et mon index pour simuler un parfait petit anneau étroit. Après environ deux petites minutes, il a libéré ma bouche pour pouvoir me parler :
En guise de réponse, j’ai recollé mes lèvres contre les siennes de façon à reprendre là où nous nous étions arrêtés et j’ai serré davantage sa tige entre mes doigts sans cesser les mouvements de haut en bas. Cela est suivi par plusieurs secousses laissant jaillir dans l’eau son sperme par intermittence. J’ai lâché son sexe, je me suis collée contre son corps, j’ai dégrafé mon haut de maillot le laissant flotter sur l’eau, j’ai pris ses mains pour les positionner sur mes fesses, j’ai libéré ses lèvres des miennes.
Ses mains ont saisi fermement mes fesses, son souffle chaud dans le creux de mon oreille me faisait frissonner de plaisir, ses baisers étaient humides. Les premiers étaient tendres et timides, puis de plus en plus énergiques lorsqu’ils glissaient en direction de mes tétons, il prenait peu à peu de l’assurance. Appréciant ces caresses buccales, j’ai basculé ma tête en arrière en exprimant mon plaisir par de petits gémissements, lui laissant libre accès à la pointe de mes seins rigides qui attendaient d’être pris en bouches. Sa langue a d’abord dessiné le pourtour de mes aréoles, puis il s’est décidé à prendre mes seins à pleine bouche chacun à leur tour pour les butiner et les téter tel que l’aurait fait un nouveau-né que l’on allaite.
Mon Dieu que c’était bon, j’étais de plus en plus excitée, de plus en plus impatiente d’aboutir à l’acte ultime, mais ces petits plaisirs préparatoires étaient tellement bons que je ne pouvais m’empêcher de faire durer encore un peu ces préliminaires.
Il a remonté son maillot avant de sortir de l’eau, j’ai attrapé mon soutien-gorge qui flottait toujours et après un rapide essuyage en guise de séchage, Adam m’a suivie sans un mot. Nous nous sommes dirigés dans sa chambre, j’ai retiré mon deux-pièces avant de m’asseoir sur le bord de son lit. Je lui ai tendu la main pour attraper la sienne et le rapprocher de moi, le laissant debout devant moi, entre mes cuisses écartées, son sexe à hauteur de mon visage.
Son sexe à nouveau libéré, je pouvais observer ses testicules dont la peau était déjà tendue, son bâton se dressant fièrement à quelques centimètres de mon visage. De ma main gauche, j’ai enserré ses couilles, et de ma main droite j’ai décalotté son gland. J’ai fait glisser ma langue en partant de sa base pour remonter jusque sur son frein, j’ai reproduit cette caresse à plusieurs reprises, son sexe tendu laissait s’échapper quelques gouttes de sécrétions que je ne manquais pas d’étaler sur le pourtour de son gland avec le bout de ma langue. Sa respiration ne cessait de s’accélérer, de petits gémissements de plaisir envahissaient la pièce. Le voir et l’entendre prendre un tel plaisir n’avait d’autre effet que de multiplier le mien, je me sentais très humide, très excitée. Afin de pouvoir engloutir son gland en vue d’exercer une parfaite succion, j’ai saisi plus fermement sa queue avec ma main et dès la première butée de sa tige au fond de ma gorge :
Je l’ai alors dégagé de ma bouche pour pouvoir répondre et le rassurer :
Aussitôt son gland remis en bouche, sans avoir pris le temps de terminer sa course entre mes lèvres pour arriver en butée, un jet de sperme épais et gluant s’est échappé pour venir s’étaler au fond de ma gorge. J’ai persisté un instant à le sucer, prenant le temps d’avaler toute sa semence. Je restai stupéfaite de le sentir toujours aussi dur, il ne laissait paraître aucun signe de ramollissement, seuls de petits signes de rétractation à cause d’une hypersensibilité de son gland le faisaient réagir au passage de ma langue sur son frein.
J’ai simplement basculé mon dos en arrière pour passer de la position assise à la position allongée, en gardant les fesses au bord du lit. Adam s’est mis à genoux au sol, entre mes cuisses. Ses mains caressaient mes cuisses, mon ventre, mes seins, jusqu’à écraser et pincer mes tétons entre ses doigts. Sa langue s’est agitée sur mon sexe, sa bouche engloutissait mes lèvres intimes, il me suçait frénétiquement, sauvagement, rapidement, trop rapidement.
Incontrôlable, irrésistible, j’ai atteint le sommet plus vite que ce que je l’avais imaginé, regrettant de ne pas avoir pu apprécier la chose encore un instant.
Nous nous sommes allongés sur le lit, côte à côte, son membre restait en permanence en érection, fièrement dressé en direction du plafond. Nous sommes restés là, silencieux, appréciant l’instant. Il me restait à lui offrir l’acte ultime, l’acte qui allait le faire changer de statut. Dans quelques instants, il sera fier de ne plus être puceau. J’ai attrapé son membre, j’ai entamé une lente masturbation.
J’ai guidé son sexe devant l’entrée de ma grotte, il n’a pas eu besoin de pousser bien fort pour se noyer sans aucune difficulté au fin fond de mon ventre dans mon conduit chaud et extrêmement humide. Ses mouvements de bassin étaient parfaitement rythmés sur les miens, sa respiration s’accélérait, son souffle chaud accompagné de petits gémissements de plaisirs dans le creux de mon oreille qui m’excitaient au plus haut point. Après quelques coups de boutoir, il a ralenti le rythme jusqu’à s’immobiliser en moi.
Deux va-et-vient ont suffi pour le faire jouir, il est resté quelques secondes allongé sur moi et en moi avant de se dégager de ce conduit qui venait de le dépuceler. Une quantité non négligeable de semence s’est échappée pour venir s’écouler entre mes fesses.
Il était déjà 17 h, Antoine pouvait dès lors rentrer à tout instant.
Comme prévu, dans les heures qui ont suivi, avec Antoine nous avons raccompagné Adam à l’aéroport. Mais avant de partir, je n’ai pas oublié de glisser discrètement mon string noir dans ses bagages, étant convaincue que ça serait un cadeau qu’il appréciera beaucoup et qui l’aidera à se souvenir dans les moindres détails de sa première fois.