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Temps de lecture estimé : 8 mn
06/10/18
Résumé:  Ma mère m'avait prévenu : quand on dépasse la cinquantaine, des tas de problème de santé vous tombent sur le coin de la figure et du corps !
Critères:  fh couple fellation coprolalie -couple
Auteur : Patrik  (Carpe diem diemque)            Envoi mini-message
Mal de dos


Mal de dos



Petit texte pas trop érotique et légèrement inspiré de la vie quotidienne…

Ne pas confondre narrateur et auteur :)




Ma mère m’avait prévenu : quand on dépasse la cinquantaine, des tas de problèmes de santé vous tombent sur le coin de la figure et du corps. Hélas pour moi, cette prédiction s’est révélée exacte, et depuis quelques mois, j’ai droit à des tas de maladies diverses qui affectent mon beau corps musclé qui s’avachit doucement, mais sûrement sous ces assauts. Grandeur et décadence ! Et aujourd’hui, c’est le bas de ma colonne vertébrale qui fait des siennes !



Là, c’est ma douce moitié qui vient de parler. Grimaçant, je lui réponds :



Ce n’est pas faux. Péniblement, je pars donc dans la chambre en embarquant un bouquin au passage. Je vais en profiter pour le lire, ça va faire deux mois que j’ai déniché cette méthode d’égyptien ancien sur une braderie, fin septembre, une rareté sur laquelle je me suis jeté et que j’ai eue à un prix dérisoire.


Ce jour-là, quand ma femme a découvert le titre de ma nouvelle acquisition, elle a levé les yeux au ciel, disant :



Et nous en sommes restés là. À chacun son truc pour s’évader…


Je me mets à l’aise avant de me coucher. Allongé sur le dos, seulement habillé d’un T-shirt, sous la couette, la tête bien calée, je feuillette le premier chapitre de cet ouvrage, puis le suivant. J’ai toujours eu un faible pour les civilisations antiques. Depuis quelques pages, je suis en train de lire des choses que je connais déjà. Mais ci et là, je découvre des nouveautés, tout au moins, des points de détail inconnus. Plus jeune, j’avais réussi à retenir divers symboles afin d’écrire des courts textes, mais avec les années, j’ai oublié la quasi-totalité des sons et significations, sauf quand le symbole est évident. Je constate avec un relatif plaisir que je n’ai pas tout désappris, diverses choses me remontent en mémoire.


Je me surprends à penser à voix haute :



Je me suis toujours demandé pourquoi les Égyptiens n’avaient pas accédé à une écriture plus simple alors qu’ils étaient capables avec moins de trente de leurs signes de noter leur langue. La tradition ? Le fait que les scribes étaient jaloux de leurs connaissances en la matière ? Un peu des deux ?


Petit à petit, le soleil décline, je dois allumer la lumière afin de continuer à lire. Mon dos me fait moins souffrir, mais je sens que je n’ai pas trop intérêt à me lever et à gambader. Quelques minutes et quelques pages passent, puis j’entends du bruit. Peu après, la porte de la chambre s’ouvre sur ma femme qui vient m’annoncer :



Je jette un coup d’œil sur le radioréveil : en effet, c’est presque l’heure du repas. Faisant la moue, je réponds :



En général, quand je suis malade, je mange nettement moins. Mais si maintenant je devais manger quelque chose, ce serait ma femme. Comme il fait chaud dans la maison, elle a revêtu une ancienne robe d’été qui lui sert de vêtement décontracté à tout faire, et cette robe de plus en plus patinée ne cache plus beaucoup ses charmes et ses courbes, sans parler du fait que ma femme est rétroéclairée par la lumière du couloir, ce qui dévoile encore plus de choses ! D’ailleurs quelque chose plus bas, entre mes jambes, frémit un peu. Non, je n’arrive pas à me lasser de ma moitié malgré les années ! Mais hélas, aujourd’hui, vu mon dos, je ne peux pas sauter sur mon aguicheuse, comme il m’arrive souvent de le faire en temps normal.


Elle s’avance un peu dans notre chambre, je distingue mieux ses formes à moitié cachées. Se penchant légèrement sur moi, elle me demande :



Je proposerais bien quelque chose, mais, moins salace, ma bouche répond :



Une fois, soit, mais deux fois, c’est tenter le diable ! Pour toute réponse, je découvre la couverture, révélant un sexe qui commence à se tendre. Hochant de la tête, ma femme sourit :



Mon sexe s’érige de plus en plus fièrement, tel un obélisque. Je le désigne :



Elle râle pour la forme, ce qui ne l’empêche pas de poser ses doigts sur ma bite qui frémit sous son contact. Après quelques taquineries, elle s’empare fermement de ma queue et commence une bonne branlette comme elle sait si bien le faire. Ça dure environ une bonne minute, puis elle se redresse, me demandant :



Gracieusement, elle s’assied sur le bord du lit, puis elle regarde droit dans les yeux :



Son air narquois m’excite encore plus. Sans parler du fait qu’elle vient de parler de pute… Alors, je poursuis dans cette voie :



Elle ne dit rien, mais je vois une certaine lueur dans ses yeux. Je continue :



Prenant mon ton le plus dominateur, je la questionne :



Elle semble vouloir jouer le jeu. J’accentue :



Le son de sa voix me fait frémir, je souris :



Et elle s’exécute, engloutissant d’un seul coup ma fière queue bien dressée. Sans aucune léchouille d’introduction, elle pompe ma tige, telle une grosse sucette, et ça me fait un sacré effet ! Elle s’applique, sans chichi, spontanément, comme si mon sexe lui était naturel. Ça me fait vraiment plaisir de voir une femme, ma femme, s’occuper de ma bite sans faire la moue, et non par obligation.



Elle sait y faire, cette petite garce ! Parfois je me demande si d’autres hommes bénéficient de ses talents. Il est vrai que je ne sais pas ce qu’il peut se passer à son boulot, d’autant qu’il y a beaucoup d’hommes sur place. Elle va aussi de temps à autre à la gym, et là aussi, j’ignore bien des choses. Peut-être se fait-elle la main ou plutôt la bouche sur d’autres hommes que moi…



Peut-être aussi que je me fais des idées. Peut-être que je fantasme inutilement. Peut-être que ma femme m’est sans doute fidèle. Je ne sais pas. Tout ce que je sais, et ça, je le sais parfaitement, c’est que ses lèvres savent me procurer un divin plaisir et que c’est le septième ciel !



Sa bouche de salope est si suave, si chaude, si humide que c’est très difficile de résister ! Sa langue agile et chaude taquine, lèche, caresse ma colonne de chair et mon gland écarlate. Comment un simple contact peut-il procurer tant de sensations, de plaisirs ? J’essaye de juguler le flot qui monte en moi, mais c’est difficile, très difficile, trop difficile !



Puis n’en pouvant plus, dans un long râle, je lâche tout, j’inonde cette bouche si sensuelle qui me fait tant de bien ! J’expulse mon foutre en longues saccades, je me vide, tandis qu’elle me boit. J’adore quand ma femme se comporte en pute, quand elle avale tout !



Ce qu’elle fait sans se forcer. Fiévreux, j’imagine tout ce sperme chaud dans sa bouche, sur sa langue, puis qui descend au fond de sa gorge, dans son œsophage, pour aller la nourrir, la remplir. J’imagine même celui-ci se perdre dans ses intestins…



Clignant des yeux, je secoue la tête, je suis en train d’imaginer des trucs bizarres ! Non, ça ne me vaut rien d’être malade ! Bien que… quoique…


J’expulse ma dernière goutte, je me sens à la fois vide, serein et apaisé… Ma femme s’applique toujours un peu autour de ma queue qui ramollit lentement. Un dernier coup de langue, puis elle me délaisse. Un brin hautaine, elle me demande :



J’ouvre les yeux pour répliquer :



Elle attend deux secondes avant de rétorquer :



Puis sans attendre ma réponse, me tournant le dos, elle se lève puis quitte la chambre. Tandis qu’elle s’éloigne, je me laisse aller, béat, planant. Se faire sucer, c’est franchement génial, ça vaut largement un coït classique, voire plus, sans parler du côté un peu dominateur de la chose. Je rêve parfois d’une docile soumise qui m’accepterait dans sa bouche à chaque fois que je claquerais des doigts. Peu importe le lieu, elle serait là entre mes jambes pour me soulager et choyer ma bite.


Parfois, ma femme m’offre ce petit luxe pas toujours très innocent, mais si excitant… Elle ne le fait pas tous les jours, loin s’en faut. Elle m’accorde cette fantaisie selon les circonstances, comme par exemple, pour me récompenser, ou pour compenser comme quand je suis malade…


Oui, parfois, il y a du bon à être malade…