Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 18590Fiche technique29569 caractères29569
Temps de lecture estimé : 17 mn
09/10/18
Résumé:  Notre première fois dans un sex-shop.
Critères:  fh fhh inconnu vacances sexshop cérébral fellation pénétratio confession -couple
Auteur : Isa13450            Envoi mini-message
Paul et Béa



Cinquante-cinq ans, dont trente ans de vie en couple avec Paul, mon mari. Heureusement que la semaine, Paul est épuisé par ses journées de boulot, car je ne me vois pas accumuler toutes ces parties de jambes en l’air tous les jours. Le week-end, c’est déjà bien suffisant. Bon, je dois avouer que j’aime bien ça, faire l’amour, comme la plupart des êtres humains, mais ces deux jours de week-end où mon corps est extrêmement sollicité me rassasient amplement pour le reste de la semaine. En plus, il ne se contente pas d’une simple baise qui se limiterait à un petit moment de pénétration vaginale, non, loin de là ! Bien souvent, un petit porno diffusé sur notre télé dans la chambre ouvre le bal dès le samedi matin, juste après le réveil, et si ce porno en question est de bon goût, à notre tour, c’est dans un état d’excitation intense que nous reproduisons une série d’actes sexuels, plus cochons les uns que les autres. D’autres week-ends, lorsque les pornos nous ont lassés par leurs scénarios trop souvent identiques, nous jouons à nous raconter de petits fantasmes dans le creux de l’oreille, histoire de nous mettre en condition et dans ce cas, nous nous plaçons en général en situation d’adultère et d’interdit. L’excitation en ressort extrêmement intense et notre jouissance d’autant plus puissante. Paul fantasme beaucoup, souvent, trop souvent, et j’ai d’ailleurs toujours été convaincue qu’il serait prêt à passer réellement à l’acte pour pouvoir réaliser certaines de ses envies sexuelles. Pour ma part, je ne pensais pas être prête à vivre réellement ces scénarios que je peux lui raconter dans le creux de l’oreille ces jours de week-end, même si bien souvent, l’idée de ces actes me met dans un état d’excitation hors du commun.


Paul me tanne depuis très longtemps pour que l’on aille dans un sex-shop, simplement pour voir ce que l’on y trouve et éventuellement pour y faire un petit achat d’un jouet coquin. Je me laisserais volontiers tenter, mais j’ai tellement peur d’y rencontrer une connaissance et d’en ressortir honteuse que je préfère ne pas accepter.

Si je vous ai expliqué tout cela, c’est pour que vous puissiez comprendre que ce que je vais vous raconter maintenant n’est pas simplement le fruit du hasard, mais plutôt l’aboutissement de plusieurs années de fantasmes sexuels.




---------------------




Enfin les vacances ! Comme chaque année, nous partons quelques jours en Espagne, dans la région de Barcelone. Hôtel, restos, plage, balades, visites, spectacles, c’est un bon résumé de nos activités quotidiennes durant cette période en pays étranger. Ni Paul ni moi ne parlons un mot d’Espagnol, ce que je trouve d’ailleurs d’autant plus dépaysant. Lors d’une balade nocturne dans les rues de Barcelone, après avoir stationné notre voiture en bord de mer, nous passons par hasard devant un sex-shop : pas besoin de traducteur, l’enseigne était clairement identifiée, lumineuse, rouge sur un fond noir, en gros caractères. La vitrine entièrement fumée ne nous permettait pas de voir ce qu’il pouvait s’y trouver à l’intérieur.



Nous avons continué notre balade et nous avons trouvé mon bonheur trois rues plus loin, un petit tapas où nous avons commandé notre repas en terrasse.



Je ne lui avouais pas, mais il avait raison : nous n’aurions peut-être pas de sitôt la possibilité de visiter un tel lieu sans crainte d’y rencontrer une connaissance. Je n’avais peut-être pas pris la bonne décision, j’aurais peut-être dû accepter la visite de ce lieu coquin. Serais-je déjà en train de regretter de ne pas avoir accepté ?


Je le connais vraiment par cœur : sur le chemin du retour en direction de notre voiture, Paul s’est arrangé pour nous faire retraverser la rue où se trouvait le sex-shop. Me connaissant lui aussi très bien, il n’avait pas osé insister à nouveau pour y entrer, au risque de me contrarier sérieusement et devoir faire ceinture ce soir en rentrant à l’hôtel. Si je voulais ne pas avoir de regret, il ne me restait qu’une seule solution : alors une fois arrivés au niveau de la porte d’entrée :



Ouahouh ! Il fait assez sombre à l’intérieur, mais les rayons semblent tous assez éclairés par des petits luminaires rouges installés sur leurs hauteurs. Nous sommes accueillis par deux hommes, le premier semble ranger des objets à vendre sur les étagères, le second est derrière le comptoir. Chacun à leur tour semble nous dire la même chose :



Supposant être accueillis par un « bonsoir et bienvenue », nous lâchons alors nous aussi à tour de rôle un « bonsoir ».


Le gars derrière le comptoir était assez grand, la quarantaine, complètement chauve. Il semblait assez musclé, ce qui devait être le cas étant donné sa tenue vestimentaire : il portait un débardeur blanc assez étroit. J’imagine que son but était de montrer ses biscoteaux à qui voudrait bien les regarder. Entre parenthèses, c’est bel et bien ce que je faisais d’ailleurs, je les regardais !

L’autre gars dans les rayons semblait beaucoup plus jeune, entre vingt-cinq et trente ans je dirais, style basané, coiffé en brosse, assez baraqué, lui aussi en débardeur, mais dans son cas, je pense que son but était de montrer les nombreux tatouages dessinés sur son corps.


Après ce tour d’horizon, nous avons longé un premier rayon, celui des vidéos DVD. Tous les styles étaient étalés : partouzeurs, lesbiennes, homos, hétéros, bi, le choix était large, mais les vidéos ne représentaient pas notre centre d’intérêt, notre source dans ce domaine étant le net.

Soudain le gars derrière le comptoir s’adresse à son collègue :



Et l’autre lui répond :



Le rayon suivant proposait des sex-toys, notamment des sexes d’hommes à la réalisation incroyablement réaliste. Certains tout petits, d’autres plus gros à taille humaine, et d’autres qui laisseraient penser qu’ils sont utilisés pour autre chose que des jeux érotiques tellement leur longueur et épaisseur étaient impressionnantes.



Plus loin, d’autres rayons étaient destinés à ceux qui aiment le sexe un peu plus hard, on pouvait y trouver des menottes, des fouets, des pinces à linge, des cordes, des écarteurs, des masques, et de nombreux autres objets dont on n’imaginait même pas l’existence ni l’utilité.



Pris dans nos observations de tous ces articles plus étranges les uns que les autres, nous n’avons pas vu que le plus jeune des deux gars s’est approché de nous pour nous interroger :



Merde, il parle le français aussi bien que nous celui-là. Surprise, j’ai répondu instantanément :



Puis en chuchotant à l’oreille de Paul :



Arrivés en caisse, Paul pose le gode que nous avons choisi sur le comptoir et l’appoint en monnaie. L’homme encaisse, nous tend un ticket, range notre achat dans un sac papier et c’est avec un grand sourire qu’il y ajoute un petit tube de vaseline.

Ouf ! Enfin dehors, avec notre sachet qui contient ce petit jouet source de certains de mes fantasmes.

Arrivés à l’hôtel, puis nus dans le lit, comme à son habitude Paul commence par envoyer sa main sur mon sexe.



Mon clitoris frôlait l’hypersensibilité, les yeux fermés, j’étais attentive aux moindres mots que Paul me chuchotait dans le creux de l’oreille, les images de ces scénarios tant de fois fantasmés de cet homme qui viendrait s’associer à nos ébats sexuels se bousculaient dans mon esprit. C’en était trop ! Secouée par cette paume de main qui venait buter sur mon clitoris à chaque va-et-vient de ses deux doigts au fond de ma grotte, je n’ai pu retenir davantage ma jouissance que j’ai accompagnée en écrasant la main de mon homme sur mon sexe. Excité comme jamais, c’est sans me laisser le moindre répit que Paul s’est installé sur moi pour libérer à son tour son plaisir au fond de ma chatte. Après avoir repris nos esprits, alors que nous étions sur le point de nous endormir, Paul s’est approché de mon oreille pour me chuchoter :



Le lendemain, tout au long de la journée, nous avons évoqué à plusieurs reprises notre visite prévue en fin de soirée dans ce sex-shop :



Après un repas dans un resto situé non loin de notre destination finale, c’est sans aucune hésitation et avec impatience que nous avons poussé la porte de ce lieu devenu magique à nos yeux. Après un « bonsoir » discret, nous pouvions constater que ce soir, nous n’étions pas seuls à naviguer dans les allées de ce local : nous pouvions distinguer deux jeunes filles au rayon lingerie ainsi qu’un couple dans le rayon vidéo. Souhaitant pouvoir visiter le lieu proposé la veille, nous nous sommes dirigés vers le vendeur typé basané et c’est Paul qui s’est lancé :



Nous avons franchi une première porte pour arriver dans un couloir qui donnait accès à plusieurs autres portes alignées sur notre droite et sur notre gauche. Le vendeur a ouvert la deuxième porte qui se trouvait sur notre droite. La pièce proposée était complètement sombre et paraissait assez étroite, environ trois mètres carrés tout au plus. Le jeune homme nous a allumé l’écran fixé au mur et nous a expliqué comment sélectionner un article en appuyant sur l’icône tactile afin de pour pouvoir en regarder l’exemple de son utilisation.



Notre premier réflexe a été de verrouiller la porte pour être sûrs de ne pas être dérangés. La seule lueur de l’écran allumé me permettait de faire le tour d’horizon de la pièce. Mur et plafond étaient peints en noir, au sol se trouvait un parquet sombre sur lequel étaient déposés des coussins. Je pouvais distinguer un rouleau d’essuie-tout sur une petite table basse qui était d’ailleurs le seul mobilier de ce petit espace. Paul a commencé à faire défiler les icônes sur l’écran puis s’est rapidement arrêté sur l’un d’entre eux :



À l’écran, une femme faisait glisser un sexe masculin à l’intérieur du tube avant d’écraser et relâcher à plusieurs reprises la pompe manuelle qui se trouvait au bout de ce tube en verre. La traduction française en bas de l’écran, certainement programmée par notre vendeur, nous expliquait que le but de cette pompe à vide était d’aspirer le sang afin de gorger le gland et produire une très forte érection.



Nous avons tranquillement regardé plusieurs exemples d’utilisation d’articles, Paul envoyait de temps à autre ses doigts sous ma jupe jusqu’au contact de mon sexe pour vérifier l’état dans lequel me mettaient ces petits reportages tous plus excitants les uns que les autres. J’en faisais autant en lui tripotant son membre déjà bien dur par-dessus son short quand soudain mes soupçons se sont confirmés et c’est dans un réflexe d’éloignement en me blottissant contre Paul que je me suis exclamée :



Paul s’est levé, il a cherché un interrupteur contre les murs en tapotant aux alentours de la porte avant de pouvoir allumer une lumière rouge peu intense qui nous permettait tout de même de pouvoir observer ce sexe qui dépassait de ce trou. Je me suis à mon tour redressée pour me caler debout contre mon homme avant de passer en mode chuchotage :



Le trou était suffisamment grand pour laisser dépasser le sexe et les testicules de l’homme qui s’était plaqué contre le mur derrière notre pièce. Ces couilles étaient étroitement ficelées à leur base par plusieurs tours d’un petit cordon noir, ce qui avait pour effet de réduire considérablement l’espace dédié aux testicules dans leur habitat. La peau rougeâtre et tendue laissait se dessiner parfaitement les deux boules compressées de notre invité. De la même façon, la base de sa verge était ficelée à l’aide d’un petit cordon noir qui semblait lui aussi extrêmement serré autour de cette tige. Ce ficelage lui procurait une érection hors norme, son gland décalotté gorgé de sang pointait fièrement dans notre direction. Devant ce spectacle souvent fantasmé, mon cœur s’est mis à battre plus rapidement, mon excitation déjà avancée ne faisait que s’amplifier, j’ai serré la main de Paul dans la mienne et toujours en chuchotant, il me suggéra de réaliser son fantasme candauliste :



C’est d’une main tremblante que j’ai posé deux de mes doigts à la base de cette tige dressée pour en parcourir toute la longueur jusqu’au gland. Je dois avouer que le fait de pouvoir toucher en toute impunité un sexe qui n’est pas celui de mon homme me mettait dans un état d’excitation que je n’avais pas rencontré depuis ma première fois avec Paul. J’ai massé timidement un instant ce gland gonflé en faisant glisser mon pouce et mon index dessus, tout en prenant soin de presser délicatement sur son frein à chaque passage. Sous l’effet de ces petites pressions que j’exerçais sur cette surface, le sexe émettait des secousses de plaisirs, le forçant à se redresser davantage à chaque caresse. J’ai ensuite libéré cette magnifique fraise pour aller pétrir les couilles dans leur emballage étroit. Cette peau fine, extrêmement tendue et sans aucun poil, permettait un contact parfait de ces deux olives avec le creux de ma main. Je l’ai massée ainsi un instant. Paul s’est placé dans mon dos, me laissant libre champ, il était silencieux et observait la moindre de mes caresses pratiquées sur ce sexe inconnu. Dans cette position, l’érection de mon homme est venue s’écraser sur mes reins, ses mains sont venues emprisonner mes seins et c’est avec un petit souffle chaud ressenti sur ma nuque qu’il est venu me murmurer dans l’oreille :



J’ai posé mes genoux sur les coussins au sol, j’ai saisi le pénis par sa base en faisant un anneau avec mon pouce et mon index juste au-dessus de la cordelette qui le saucissonnait. Exactement comme je l’avais fait précédemment avec mes doigts, j’ai fait glisser très lentement ma langue de bas en haut sur cette tige dressée pour en apprécier toute la hauteur. J’ai répété ce mouvement à plusieurs reprises, humidifiant un peu plus la verge à chaque passage. Mes lèvres se sont ensuite posées sur le haut du gland que j’ai d’abord sucé timidement en faisant tourbillonner ma langue sur le petit filet de son frein. Les secondes qui défilaient rendaient mes gestes moins retenus et plus dévergondés. Avec ma bouche, j’ai alterné les mouvements de succions simples et de succions plus intenses en faisant coulisser cette tige le plus profondément possible vers le fond de ma gorge. J’alternais également la vitesse de mes mouvements qui étaient parfois lents puis plus rapides. Je m’appliquais à le protéger du contact de mes dents à chaque va-et-vient de façon à lui pratiquer une succion la plus douce possible.



J’ai fait un quart de tour pour que l’une de mes épaules se colle contre le mur afin qu’il puisse se positionner en face de notre invité. Les deux glands tendus se trouvaient à quelques millimètres l’un face à l’autre. Je réalisais enfin un de mes fantasmes tant de fois rêvés. Je pouvais branler ces deux bites en même temps, je m’amusais à coller ces deux glands l’un contre l’autre, à lécher l’un puis l’autre, puis les deux en même temps. S’en était trop pour Paul qui a appuyé sa main sur ma tête pour maintenir ma bouche sur son sexe. Ignorant notre invité, je l’ai laissé me baiser la bouche frénétiquement jusqu’à ce qu’il libère plusieurs jets de spermes qui sont venus remplir ma gorge. Comme je le fais parfois, j’ai avalé toute sa semence épaisse avant qu’il se retire de mes lèvres. Paul s’est assis au sol sur les coussins, encore essoufflé, il a pris son sexe dans sa main et m’a fait signe de poursuivre avec notre invité. Je suis alors retournée vers la tige toujours raide de cet inconnu, à nouveau face à lui, je l’ai repris en bouche pour le sucer cette fois de façon très énergique. Sous cette caresse buccale intense, l’homme a commencé à émettre des râles de plaisir, ce qui m’excitait davantage et m’encourageait à m’appliquer autant que possible pour le rendre fou de plaisir. Soudain il s’est retiré laissant vide le trou dans le mur, j’ai cru un instant lui avoir fait mal avant de le voir réapparaître cette fois sans les ficelages qui le saucissonnaient à la base de sa verge et de ses couilles. J’ai alors compris son besoin irrésistible de vouloir en finir. Souhaitant faire durer encore un peu cet instant magique, avant de lui pratiquer un nouveau baiser intime, j’ai joint mon pouce et mon index en les repliant sur sa tige de façon à former un anneau que j’ai fait coulisser de haut en bas. Mes mouvements étaient lents et doux, la pression de mes doigts assez forte, un petit filet de sperme commençait à s’écouler lentement le long de son membre gonflé pour venir jusqu’au contact de mes doigts. Sa résistance était mise à rude épreuve, il était évident qu’il était sur le point de jouir. Dans le but de lui procurer une décompression bien méritée, j’ai pris cette fraise déjà gluante dans ma bouche, d’une main j’ai attrapé ses testicules, de l’autre sa verge, et j’ai massé tout cet ensemble jusqu’au feu d’artifice final qui est venu instantanément exploser au fond de ma gorge. Son sperme était chaud, épais et de quantité impressionnante, je n’en ai avalé que quelques gouttes avant d’en laisser s’écouler au sol la majeure partie. Le temps de me retourner pour nettoyer mes lèvres avec un essuie-tout, l’homme avait disparu laissant vide ce trou dans le mur.