n° 18598 | Fiche technique | 25955 caractères | 25955Temps de lecture estimé : 14 mn | 14/10/18 |
Résumé: Un libertin qui voit un scénario traditionnel d'un trio classique lui échapper totalement, et paradoxalement en tirer un plaisir intense et inattendu. | ||||
Critères: fplusa fh hh fhh hbi hplusag hagé fépilée fsoumise hdomine ffontaine fellation cunnilingu fist pénétratio fsodo | ||||
Auteur : JCX Envoi mini-message |
Comme à son habitude, Michel avait passé une bonne heure à parcourir les annonces de couples à la recherche d’hommes seuls sur son site coquin favori. Par expérience, il savait que le déroulement d’une telle rencontre pouvait différer très largement selon que ses hôtes étaient en quête de satisfaire simplement une envie particulière ou carrément un fantasme avec un tableau plus élaboré. Cet homme dans la fleur de l’âge se prêtait toujours volontiers à ces petits jeux qui pimentaient une relation sexuelle ponctuelle dont il voulait absolument profiter pour également combler ses propres besoins cérébraux dans l’acte physique. Malgré quelques tentatives infructueuses, un couple avait, cependant, accepté la proposition de Michel de se mettre à leur entière disposition pour scénariser une soirée à leur convenance.
Après s’être égaré à plusieurs reprises dans la petite zone résidentielle de cette ville moyenne, il parvint enfin à l’adresse qui lui avait été communiquée. Il avait à peine cinq minutes d’avance sur l’heure fixée lorsqu’il appuya fermement sur le bouton de la sonnette. Un carillon retentit une seule fois et la porte s’ouvrit pratiquement dans la foulée sur un homme d’une soixantaine d’années, grand, mince, aux cheveux châtains courts coupés soigneusement. De prime abord, son visage rayonnant le rendait sympathique. Le choix de ses vêtements et son comportement lui conféraient, en plus, un côté BCBG qui lui allait parfaitement bien.
Michel passa devant Jean-Paul puis attendit deux pas plus loin. Ce dernier lui indiqua de son bras la direction à suivre.
Sophie était assise sur le canapé, les jambes croisées arborant des bas résille noirs du plus bel effet. De taille moyenne, elle était fine et blonde avec des cheveux mi-longs qui lui tombaient sur des épaules frêles. Des seins menus pointaient à merveille à travers le tissu de la robe et ne faisaient qu’en rajouter à une plastique déjà admirable.
La robe courte et légère qu’elle portait superbement était négligemment transparente et laisser l’imagination deviner les formes de son corps. À son contact aussi futile et rapide eût-il été, Michel ne put s’empêcher d’avoir une érection immédiate très forte et clairement marquée dans son pantalon. L’excitation fut intense et, bien évidemment, ne passa pas inaperçue, mais ses hôtes eurent, toutefois, la politesse de ne pas lui en faire la remarque. Ce qu’ils ignoraient, cependant, c’est que loin d’être gêné, Michel en était plutôt fier, mais lui, également, préféra la discrétion à la fanfaronnade.
Aucun besoin de préciser les rôles et Sophie remplissait certainement très bien le sien, celui d’être dévouée corps et âme à son mari. L’exécution sur le champ de la demande, même indirecte, de son époux montrait son acceptation de la situation et aussi, il fallait en convenir, de sa délectation.
Sophie revint au salon avec un grand plateau rectangulaire chargé de trois assiettes garnies chacune d’une douzaine de petits craquelins salés au fromage et aux olives, de mini-pizzas et quiches, ainsi que de sushis. Elle le posa sur la table basse à presque équidistance entre le canapé cuir deux places et le fauteuil club d’où Jean-Paul observait sans mot dire sa femme présentant, de surcroît, à leur invité une vue imprenable sur une paire de seins quasi parfaits.
Jean-Paul ne parla que lorsque Sophie eut rempli les trois flûtes et rejoint Michel à ces côtés.
Joignant le geste à la parole, Sophie et Michel l’imitèrent et le tintement délicat du cristal donna le signal du début des festivités.
Comme la fois précédente, Sophie n’en prit nullement ombrage, se leva en s’excusant et se dirigea vers la mini-chaîne. Michel la suivit mécaniquement du regard et vit que son coup d’œil impudique n’avait pas échappé à Jean-Paul.
Une demi-heure s’écoula à discuter de tout et de rien, des voitures, de la politique et des passions de chacun pour finir avec quelques anecdotes mémorables choisies des vies professionnelles respectives des convives.
Michel fut pris quelque peu au dépourvu, mais il en fallait quand même plus pour le décontenancer.
Michel regarda Sophie s’adosser contre le gros coussin du sofa, lui donnant tacitement sa permission de concrétiser son envie et son sourire timide, indécent qu’elle lui retourna l’encouragea à poursuivre. Sa main droite caressa tout d’abord cette poitrine dont les mamelons appuyaient plus durement et outrageusement encore sur le fin tissu blanc qui essayait vainement de les couvrir. Sa main ne quittait qu’à regret ces seins fermes, hauts et idéalement proportionnés pour se diriger vers le ventre plat de Sophie et son triangle de vénus. Ses abdominaux étaient contractés et avaient beaucoup de mal à se relâcher. Sa peau chaude et tiède trahissait grandement son désir. S’arrêtant sur ce délicieux bouton de rose qu’il titillait doucement de son index, Michel ressentit nettement la présence massive de cyprine, preuve en était, s’il devait, que le feu était allumé. Sophie gémissait presque honteusement, silencieusement.
Sophie se leva, positionna ses mains sur la nuque de Michel et s’assit à califourchon sur le sexe tendu de son invité du jour. Elle se mit à bouger lentement en s’y frottant la chatte dans un mouvement régulier. Michel remarqua de plus belle la chaleur et l’humidité de la culotte entièrement trempée de Sophie. Cinq minutes de ce massage efficient avaient suffi pour faire grimper en lui une excitation des plus délicieuses. Jean-Paul observa la scène avec un intérêt prononcé et maintenant très explicite. Il respirait plus vite, plus fort et se touchait régulièrement son bas-ventre. Il était manifestement à l’étroit dans son pantalon.
Obéissante et décidément totalement soumise aux moindres désirs de son époux, Sophie recula pour se caler sur ses jambes, défit la ceinture, déboutonna les deux boutons qui retinrent encore cet arc bandé pour abaisser d’un trait brusque pantalon et boxer sous les fesses de Michel, libérant du même coup son pénis qui se dressa énergiquement. Un diable sortant de sa boîte !
Aussitôt dit, aussitôt fait ! Sophie se positionna entre les jambes de Michel, prit en main, dans les sens figuré et propre, ce chibre et d’un trait le décalotta complètement. Le gland était gonflé à bloc et luisait. Sophie prolongea ce premier geste par son mouvement contraire en remontant la peau de cette hampe jusqu’à recouvrir entièrement le renflement et le méat. Elle pinça alors la peau entre ses doigts et la maintint ainsi quelques secondes juste avant de recommencer en accélérant, cette fois, très sensiblement la cadence pour ensuite, à nouveau, ralentir le va-et-vient et jouer à varier finement la pression exercée par sa main sur le membre.
Michel, à son tour également, prit conscience que sa ventilation s’accélérait et que son sexe enflait ponctuellement à son maximum, signe avant-coureur d’une jouissance imminente. Cette proximité d’une éjaculation proche n’échappa pas non plus à Sophie qui s’arrêta net. Michel souffla et se ressaisit comme il put en reprenant partiellement la maîtrise de sa respiration. Son rythme cardiaque décéléra et sa passion tomba suffisamment pour ne pas juter précocement.
La chambre à coucher était située au premier étage de la maison. D’une superficie généreuse, elle était meublée sobrement et avec goût. Une immense armoire à deux portes-miroir coulissantes se trouvait à droite de la porte d’entrée et dans le prolongement de celle-ci, une commode basse grise à six tiroirs. Un très grand lit double enserré par une armature en fer torsadé noir, contrastant avec le blanc cassé des murs et accentuant plus encore la simplicité de l’endroit, était positionné au centre de la pièce. Au plafond, et à la verticale de cette couche, une superbe lampe en osier, destinée, à l’évidence, à ne fournir aux potentiels occupants lubriques de ces lieux qu’un éclairage faible et diffus.
Les dernières lueurs du jour pénétraient par la double-fenêtre pour se réfléchir sur les glaces de l’armoire et créer, ainsi, un clair-obscur en tous points approprié aux jeux subtils de la copulation. La couette matelassée comme les deux oreillers ne dérogeaient pas à la règle et étaient eux aussi assortis au style décoratif de l’environnement immédiat. Sophie faisait clairement preuve d’un avant-gardisme avéré dans ses choix de composition. Un fauteuil placé stratégiquement dans un coin, au-delà du lit et face aux portes-miroir, était un poste d’observation idéal pour celui ou celle qui y prenait place et qui voulait suivre en détail tout ce qui se passait dans cette chambre, notamment, la « suite de la fête » annoncée !
À peine passé le pas de la porte, Jean-Paul commença à planter son scénario, la concrétisation de son fantasme ; Sophie étant, par nature, une soumise qui sollicitait, (in)consciemment, la poigne de son « maître ».
L’injonction sonnait manifestement comme un ordre auquel Sophie, servile, se plia et Michel se laissa faire. Il se retrouva vite en tenue d’Adam devant ce couple sexagénaire avide chacun d’une autorité respectivement exercée et acceptée.
Cette splendide femme avait une solide expérience dans l’art de faire plaisir aux hommes, son âge ne diminuait nullement son appétit sexuel donnant même l’impression d’une insatiabilité dans sa condition d’esclave domestique qui trouvait son épanouissement et sa jouissance dans celles de ses partenaires ponctuels et de son mâle dominant.
Sophie avait posé ses lèvres légèrement humides sur le gland de Michel, taquina une seconde le méat avec le bout de sa langue, puis poussa lentement pour engloutir en un mouvement unique cette queue en érection. La succion savamment orchestrée par cette belle soumise avait ramené Michel en un temps record au bord de l’explosion. La grosseur des veines sur sa tige démontrait son état d’excitation extrême qu’il tentait, malgré tout de maîtriser au mieux. Combien de temps encore, il l’ignorait, toutefois ! Quelques petites minutes, tout au plus !
Il lutta contre lui-même pour ne pas décharger dans l’instant. Ses couilles étaient pleines, elles ne cherchaient qu’une chose, se vider dans cette bouche qui se présentait comme un réceptacle optimal ! Sophie était très attentive aux réactions de Michel et stoppa ses faveurs pour la seconde fois en cette soirée afin de faire prolonger quelque temps encore cette délicieuse torture. Anticipant les directives de Jean-Paul, elle enserra très fortement la base de ce pénis avec ses doigts, de façon à bloquer toute jouissance intempestive. Michel inspira profondément, jeta sa tête en arrière et se laissa tomber sur le dos.
Jean-Paul était visiblement aux anges ! Il avait ôté, lui aussi, ses habits et les avait entassés grossièrement à côté de son siège sur lequel il trônait. En outre, il bandait durement et la taille de sa bite pouvait largement rivaliser avec celle du « troisième homme ». La nature les avait tous deux plutôt bien dotés.
L’intonation donnait le ton autoritaire de la requête et Michel hurla littéralement, perdant quelque peu de sa superbe en s’abandonnant à ses plus bas et vils instincts !
Sophie se redressa alors, tourna le dos à Michel sans lâcher le chibre et s’y empala d’un trait. Elle fixa Jean-Paul droit dans les yeux et entama des va-et-vient rapides en resserrant très fort son vagin. Elle connaissait la musique et… les faiblesses des hommes !
La sensibilité du membre devenait insoutenable et une légère brûlure dans l’urètre annonçait à Michel une éjaculation menaçante lorsqu’il entendit Jean-Paul dire à Sophie :
Mais Sophie n’avait qu’un maître et il était le seul à pouvoir en disposer. Elle demeura pénétrée et suspendue cinq petits centimètres au-dessus de la base du pénis de Michel qui doutait de ce qu’il devait faire.
Et Michel poussa fort, très fort, forçant littéralement pour lever son fessier, car même si Sophie ne pesait approximativement qu’une cinquantaine de kilos, son gabarit suffisait à rendre plus difficile une pénétration suffisamment profonde de son sexe pour provoquer le réflexe d’une jouissance. Et elle le savait ! Mais Michel voulait se soulager, à tout prix, il ne fallait pas arrêter de bouger dans ce fourreau brûlant sous peine de faire retomber son excitation. Rester insatisfait aurait été aussi décevant qu’humiliant.
Il glissa ses mains sous les fesses de Sophie, la souleva pour se donner une allonge plus importante et redoubla d’efforts, il buta bruyamment comme un fou à plusieurs reprises, encore et encore, contre le cul de sa cavalière pour, enfin, sentir ses bourses se relever, se contracter et se plaquer sous sa bite, le sphincter s’ouvrir en grand. Son sperme fut expulsé violemment sous la pression exercée et alla s’écraser puissamment tout au fond de cette chatte toute dégoulinante de cyprine. Un cri guttural accompagna cet orgasme intense. Michel trembla de tout son corps, avait la sensation pour un instant de perdre conscience et sentit ses muscles se relâcher subitement. Son cœur battit moins vite et sa respiration redevint lentement normale.
Sophie, quant à elle, s’affaissa sur le bassin de Michel et garda en elle cette queue toujours bien gonflée.
Michel, qui reprit doucement ses esprits, releva la tête du lit pour le considérer dubitativement. La curiosité était, même pour le meilleur, un vilain défaut.
Sophie se dégagea en faisant particulièrement attention à ne pas perdre une goutte du liquide séminal. Elle se coucha sur le lit, jambes repliées et remontées au plus haut face à Jean-Paul dont l’excitation augmentait démonstrativement. Il ne tarderait pas non plus à vouloir aspirer lui aussi à une libération explosive.
Michel se leva à son tour et jeta un regard lubrique au sexe de Sophie dont s’écoulait en douceur son sperme, celui-là même qu’il y avait projeté il y a quelques secondes à peine. Rasée méticuleusement, la peau satinée de cette partie intime ne demandait qu’à être léchée, caressée, embrassée goulûment, sans ménagement, sans tabou aucun. Michel s’agenouilla devant cette ouverture béante, approcha et y plongea vigoureusement sa langue. L’odeur qu’il huma était relativement douce et résultait d’un mélange de parfum de rose, de transpiration et de sueur, et de foutre, le sien. Sa langue adroite et prompte à titiller et à lécher, tour à tour, le clitoris, les lèvres intérieures et extérieures, ramassa également au passage et avec une gourmandise étonnante son sperme modérément sucré qu’il avala comme le lui avait prescrit Jean-Paul. Il se découvrit même une certaine appétence pour ce liquide corporel dont il ignorait jusque-là la véritable saveur. Sophie réagissait concrètement par des petits cris et des soupirs suggestifs à chaque lèchement de son bouton. Pour amplifier cette volupté naissante, Michel enfonça son index et son majeur droit dans la vulve bouillonnante et constata immédiatement le bien-fondé de son initiative.
Michel hésita un instant, mais dans l’effervescence et la griserie du moment, il retira ses doigts, forma une pointe avec sa main, la planta dans l’ouverture déjà bien préparée et poussa jusqu’à ce qu’elle fut entièrement avalée. Les légers mouvements de son bras combinés à ceux de sa langue finirent par avoir raison de Sophie qui fut prise d’une véritable vague de spasmes successifs. Des frissons parcoururent tout son corps, elle n’était plus que le pantin désarticulé de son plaisir.
Michel obéit sans réfléchir et s’appliqua à faire rigoureusement ce que lui intima le maître. Au bout d’une trentaine de secondes de masturbation assidue, Sophie souleva son bassin aussi haut que possible et poussa de toutes ses forces. Le dénouement ne se fit pas attendre et le violent jet expulsé de son urètre arrosa grandement Michel de ce liquide tiède et odorant très fort l’urine…
Michel n’eut pas le temps de se remettre de ses émotions que Jean-Paul l’apostropha déjà.
Michel ne fut pas vraiment surpris par la sollicitation de Jean-Paul et s’y plia de bonne grâce. Jean-Paul était très bien membré et affichait fièrement un sexe d’une bonne vingtaine de centimètres de long, épais et droit. Jean-Paul tenait son chibre dans sa main droite, décalotta complètement le gland et le secoua prestement comme le ferait un batteur avec ses baguettes. Une nouvelle fois, Michel se mit à genoux devant un sexe chaud. Il empoigna celui du maître des lieux et commença tout d’abord par le branler lentement de sa main droite tout en soupesant doucement les bourses de sa main gauche. Jean-Paul gémit, se cala contre le dossier du fauteuil et laissa les sensations l’envahir. Les poils de ses bras et de ses jambes se dressèrent, signe que les premières caresses faisaient effet. Michel entrouvrit ses lèvres, les plaqua contre un côté de la hampe et descendit très progressivement vers sa base. Il appliqua le même traitement au côté opposé avant de gober pleinement le gland. Il fit plusieurs fois le vide dans sa bouche pour ensuite avaler les vingt centimètres de queue jusqu’à ce qu’elle bute au fond de sa gorge. Quand Michel la ressortit, elle était couverte de salive et plus dure encore qu’avant.
Michel titilla la base du gland, le prépuce et le frein uniquement avec la pointe de sa langue sans l’aide de ses mains puis fit le tour de la couronne, dans un sens comme dans l’autre. Le sexe tressaillait à intervalle régulier traduisant une sensibilité croissante. Engloutissant une nouvelle fois le phallus, il entreprit de masturber et sucer ce membre en combinant chaque aller et retour de sa main avec une rotation prononcée à droite et à gauche. C’était plus que Jean-Paul ne pouvait supporter nerveusement et ses couilles se relevaient de plus en plus souvent. Il remua beaucoup sur son fauteuil, rejeta la tête en arrière et poussa à plusieurs reprises son sexe vers les profondeurs de la gorge de Michel. Ses gémissements augmentaient en rythme et en fréquence, Jean-Paul s’arcbouta, se raidit et Michel s’aperçut que son membre gonflait jusqu’à son maximum. Une fraction de seconde plus tard, l’urètre enfla également et Michel reçut le premier jet de sperme dans la bouche, deux autres répliques moins importantes, mais tout aussi puissantes suivirent dans la foulée. Il déglutit machinalement et avala ce flot abondant et consistant. Quelques mouvements de main pour récupérer les dernières gouttes et permettre à Jean-Paul de se soulager totalement.
Sophie avait observé toute la scène depuis le lit où elle était restée assise.
Jean-Paul quitta la chambre à coucher et descendit nu les escaliers, ses vêtements à la main.
Michel vit qu’il n’avait pas du tout débandé.
Sophie se coucha sur le ventre et souleva les fesses…