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n° 18604Fiche technique30721 caractères30721
Temps de lecture estimé : 18 mn
17/10/18
Résumé:  On ne sait pas jusqu'où l'amour d'une mère peut la conduire ! Julien, professeur remplaçant, va le découvrir.
Critères:  fh fplusag fellation préservati pénétratio fsodo confession
Auteur : Margrite      
Cours particuliers

J’ai un pot de cocu. Enfin pas vraiment de cocu car je ne suis avec personne actuellement. Mais la chance est bien avec moi. Elle est avec moi et malheureusement a fait défaut au prof titulaire que je remplace, vu qu’il s’est tué en voiture, à peine deux mois après la rentrée. Mais le malheur des uns fait le bonheur des autres. On m’a dit que je passerai le reste de l’année scolaire à ce poste dans ce lycée.


Je suis enseignant, prof de maths et physique, pour les terminales, mais prof intérimaire, remplaçant au pied levé des enseignants absents. Comme un bonheur n’arrive jamais seul, le lycée est dans un quartier chic avec des gosses de riches. Ils sont comme tous les jeunes de leur âge, celui de passer le bac, mais assez faciles à contrôler. Les parents sont derrière et comme ils veulent le meilleur pour leur progéniture ils suivent avec attention et aident si nécessaire l’enseignant pour recadrer certains.


Le coin est trop cher pour moi, les indemnités de déplacement de l’Éducation Nationale ne sont pas celles de ceux qui nous gouvernent. Aussi j’ai trouvé dans un quartier plus populaire une chambre studio où je peux faire un minimum de cuisine. Le midi, je mange à la cantine de l’établissement et si je petit-déjeune chez moi je préfère pour le dîner manger en ville car les odeurs de cuisine impriment mes draps et mes vêtements. J’ai trouvé un café du type « pour routiers » ou je peux dîner pas cher dans une ambiance sympa.


Parfois j’y emporte quelques copies à corriger. Le bruit des conversations me fait un fond sonore qui me va bien. Justement un silence étonnant me fait lever la tête. En suivant le regard de mes voisins je remarque comme eux qu’une femme a franchi la porte du resto. Ce n’est pas le fait que ce soit une femme, mais sa tenue et son allure qui la rendent « étrangère ». Elle porte un long manteau, tient un sac à main, la coiffure impeccable, le visage souligné mais pas peinturluré. Une bourgeoise de toute évidence. Une bourgeoise avec ses codes de luxe. Le sac est d’une marque reconnue. Le manteau tombe parfaitement. Après un regard vers la salle, elle se dirige au comptoir et demande au serveur :



L’homme grommelle un oui et montrant la salle du doigt marmonne :



Un coup d’œil vers nous les clients et puis elle se dirige vers moi. Elle se plante devant ma table, un sourire enjôleur et me demande :



La demande est tellement surprenante alors que de nombreuses tables sont libres que je ne trouve rien à dire qu’un :



C’est dans ces moments-là que l’on regrette d’avoir reçu une bonne éducation. Je n’ai pas du tout envie de devoir supporter de la compagnie, surtout une femme, une femme qui doit être de l’âge de ma mère, plus jeune peut-être, une bourgeoise en plus. Même à 25 ans il reste des réflexes durement acquis avec ses parents.



Elle enlève son manteau qu’elle laisse négligemment tomber sur le dos de la chaise d’à côté. Le tailleur doit valoir le prix de toute ma garde-robe. Il la moule sans exagération, le décolleté est « un peu, mais pas trop », la montre si discrète qu’elle doit être de marque et je ne parle pas des bracelets.

Et moi, comme un con, alors qu’elle va s’assoir je me lève pour l’accompagner et me transforme en « valet du capitalisme ».



Et voilà ! C’est par ces deux questions que commence notre conversation. Je dirai plutôt interrogatoire car tout l’intéresse, jusqu’à l’indiscrétion parfois.



Et je ne parle pas des questions indiscrètes du genre :



Le tout fait avec amabilité. Une amabilité qui vous fait sentir important. Le repas se termine.



Et elle se lève aussi. Nous nous retrouvons tous les deux sur le trottoir. Je vais la saluer et prendre congé, mais :



La remarque est tellement surprenante que je ne trouve rien à dire que :



Je n’avais rien compris du tout. Je ne m’y attendais pas.



Un silence où elle attend que je parle mais je me sens un peu con. Elle continue :



Trop vieille ? Si elle savait la moyenne d’âge de celles avec qui j’ai baisé ces derniers mois ! À part les vacances où je me suis fait des femmes de ma génération, le reste de mes conquêtes est dans la gamme 40-50 ans. L’arrivée d’un jeune remplaçant, pas mal de sa personne, dans le petit monde d’un lycée avec une forte proportion de femmes, change la donne. Ces profs, mariées, mères de famille, coincées dans une routine familiale et de travail, voient en moi une tentation. Liaison sans risque. Personne ne le saura si elles sont discrètes. Et en plus, leur amant n’est que de passage.


Il faut reconnaître que ces femmes-là sont de magnifiques amantes. Elles s’offrent sans retenue. Elles se permettent des choses qu’elles n’oseraient pas demander à leur mari. Expertes dans le plaisir. Plaisir reçu mais aussi, elles se font un devoir de chouchouter leur amant comme pour se prouver qu’elles sont de parfaites courtisanes et pas seulement des baises après la télé ou après avoir couché le petit dernier.



Elle sourit.



Lorsque j’ouvre la porte de mon studio je préviens par un :



Petit moment de gêne lorsque nous nous retrouvons face à face. Elle prend l’initiative en détachant le haut de son tailleur. La jupe suit dans un mouvement si fluide que je ne réagis pas, tout au plaisir de la découverte. Je ne connais pas les grandes marques de lingerie mais ce qu’elle porte est ravissant. Ravissant et élégant, autant par la couleur d’un noir qui paraît digne d’un tableau de Pierre Soulages que par la matière, aérienne, vaporeuse. Dissimuler pour mieux montrer ! Mais que dissimule une dentelle de Calais ou d’ailleurs, fût-elle de soie noire ? Pas la générosité d’une poitrine dont les tétons et les aréoles sont des repères. Pas la rondeur des hanches que le porte-jarretelle souligne. C’est à peine si le triangle du string arrive à dissimuler le lieu de tous les délices et ce ne sont pas les ficelles qui le maintiennent qui doivent protéger du regard et du reste, les fesses que je devine fermes.


Mais que je suis « nunuche » de rester bouche bée devant ce spectacle, comme si c’était ma première fois. Je dois réagir. J’attrape le zip de mon gilet pour le descendre. Je l’enlève et me retrouve en chemise. Je vais continuer mais la femme m’arrête par un :



Et se saisissant du premier bouton elle ajoute :



La chemise tombe à terre. Les lèvres parcourent un chemin délicieux de mon cou à mon ventre, s’attardant sur mes tétons qu’elles sucent et aspirent dans une caresse que peu de femmes pratiquent. Et puis les mains découvrent la ceinture, le bouton, le zip. Elles semblent plus impatientes, tirent sur le pantalon pour le faire descendre, entraînant avec lui les chaussettes. Je l’aide en soulevant, jambe après jambe, pour ne plus être entravé par le tissu. Je suis en slip.


J’aime être bien maintenu. J’ai horreur que ma verge soit « négligée », pendant tristement sur les bourses comme certains caleçons le laissent faire. Je choisis mes slips et boxers afin que dans une glace la bosse soit parfaite, bien équilibrée. Je sais que c’est un peu idiot mais il y a bien d’autres bizarreries !


Je ne sais si elle apprécie mais elle s’arrête un instant devant ce spectacle. Son déshabillage et sa prise en main du mien ont déclenché un début d’érection et la bosse doit paraître plus prometteuse. Elle se décide, attrape l’élastique et avec précaution le détache de mon ventre pour ne pas venir se coincer contre ma tige alors qu’elle tire le slip vers le bas.


Cette fois-ci, je suis nu. Comme la plupart des gens de ma génération, je veille à ce que mon pubis et le reste soient vierges de tout poil. Ma nudité est totale. Sa main m’enveloppe. Elle m’explore. Je ne suis pas inquiet. Je ne sais si elle a connu beaucoup d’hommes et caressé beaucoup de queues, alanguies ou tendues, mais je sais que je n’ai pas à rougir. Mes maîtresses de travail, expertes ou pas, ont toujours apprécié la taille de mon engin. La taille mais aussi sa dureté. Lorsque je bande ma bite est si tendue qu’elle se plaque contre mon ventre devenant un mât qui attise le désir.


J’ai envie qu’elle me suce. J’adore qu’on me pompe la bite. Je le demande toujours avant de passer aux choses sérieuses. Je suis comme tous les hommes qui adorent sentir leur queue avalée par des lèvres gourmandes, ressentir la caresse d’une langue qui parcourt leur vit de bas en haut et de haut en bas, voir leurs couilles gobées comme de gros bonbons. Mais surtout, surtout, regarder cette femme agenouillée ou penchée sur ce qui va bientôt la posséder, dans une sorte de prière, concentrée sur ce qu’elle peut pratiquer comme un art et du regard, partager ce moment avec moi.


Et ce regard peut être, comme celui de Rose, chargé de promesses, de luxure, de vice.

Elle a juste eu à me pousser un peu pour que je me retrouve assis sur mon lit. Elle s’est agenouillée devant moi. Elle a dû tirer avec deux doigts sur ma bite afin de la dégager de mon pubis pour pouvoir y poser les lèvres, des lèvres qui aussitôt engloutissent le gland et qui pompent maintenant avec envie. J’ai droit au grand jeu. Si elle n’arrive pas à me gober entièrement, il reste peu de ma hampe à l’air libre.


Elle me suce et c’est bon. Je ne vois plus que sa chevelure qui s’agite. Les bretelles sur ses épaules me rappellent qu’elle est toujours en soutif. Avec le temps, j’ai appris à dégrafer ces attaches parfois vicieuses, comme si les fabricants de lingerie faisaient exprès de les compliquer afin de devoir demander à la femme de les défaire elle-même. Les bretelles glissent sur les épaules. Je passe mes mains pour aller découvrir les deux lobes. Ils sont chauds, doux, fermes et dès que je flatte les tétons avec une paume, Rose me dit, par un grognement indistinct, qu’elle apprécie.


Mais ce petit jeu m’excite beaucoup. Je sens que ma sève ne demande qu’à se précipiter. C’est bien normal, cela fait un moment que je n’ai pas baisé et ce ne sont pas mes branlettes solitaires devant un écran qui peuvent remplacer. Je me vois mal gicler sans prévenir, à la fois par sécurité mais aussi par respect. Je ne suis pas de ces hommes qui « abusent » d’une gorge sous le prétexte qu’elle fait une fellation. Je préviens ma suceuse :



Elle comprend. Sourire aux lèvres, mais aussi quelques coulures de salives, elle se relève et va chercher dans son sac une boîte de capotes.

Voilà une femme prévoyante !

Voilà une femme qui a de l’expérience !

Elle enveloppe ma bite en quelques secondes. Elle se relève. Elle se penche pour enlever sa petite culotte. Son minou est bombé. Ses petites lèvres ondulantes. Sa fente humide. Sa nudité est totale.


Elle me repousse du doigt pour me faire allonger. Elle m’enjambe. Ses bas crissent sur mes cuisses. Elle attrape ma bite, sent la force de ce ressort de chair qui la plaque tendue, dure, bâton vigoureux avec juste la souplesse pour qu’elle puisse se laisser guider vers la fente.


Elle regarde ma bite et sa chatte. Elle guide mon gland. Elle le frotte contre son trésor, m’arrachant un soupir de plaisir. Et puis elle descend sur mon pieu. Le gland est à peine entré que déjà elle se redresse pour mieux descendre et s’empaler en douceur.



Déjà elle commence à se déplacer. Elle se baise avec douceur, plus en ondulant que par une possession active. Et puis elle gronde. J’attrape ses seins lourds, je les enveloppe, mes mains sont trop petites, les aréoles sont des disques imposants, ses tétons pointent. Des tétons que je roule maintenant entre mes doigts.



Elle commence vraiment à bouger. Je l’aide en donnant des coups de reins. Ses fesses claquent sur mes cuisses. Sa main s’est plaquée contre son clitoris. J’en sens les doigts qui effleurent mon mandrin alors qu’elle monte et descend dessus. La chambre se remplit de nos soupirs et de ce bruit si excitant de sa mouille brassée par mon piston de mandrin.


Elle me regarde mais ne me voit pas. Elle est concentrée sur son plaisir les yeux regardant au-delà de moi, battant les paupières au rythme de ses mouvements. Elle va si vite que je ne bouge plus. Ma queue gonfle pour mieux la remplir. Et puis ce moment magique où :



Elle jouit. Tétanisée quelques secondes et puis elle se laisse venir sur moi, me couvrant de son corps. Enfin, je peux me laisser aller. J’essayai de ne pas trop me laisser emporter pour mieux contrôler ma jouissance. Il me suffit de quelques coups de reins pour que mon sperme jaillisse, malheureusement retenu dans sa prison de latex. Voilà un plaisir que des liaisons rapides ne permettent pas : inonder la femme de la liqueur qu’elle a provoquée.


Son corps est tout en douceur, sa peau est douce, son souffle qui s’apaise me chauffe le cou. Je l’enveloppe de mes mains, ne résistant pas au plaisir de découvrir la fermeté de ses fesses, de jouer avec l’élastique qui relie les bas au porte-jarretelles.

Nous restons un instant ainsi, couple provisoire lié par le souvenir de cet instant de plaisir. Ma verge est toujours en elle, bien au chaud, à peine relâchée par ses efforts. Je n’ai plus la dureté de la première fois mais loin de n’être qu’une tige ramollie. Je suis bien ainsi, baignant dans mon propre jus.


Elle doit le sentir aussi. Elle bouge un peu pour en confirmer la présence. Elle se relève. Son sourire fait plaisir à voir. Elle me libère pour découvrir ma queue en demi-érection. Elle lui rend sa liberté en enlevant la capote. Du foutre coule jusqu’à mon pubis. Sa petite culotte lui sert de serviette pour enlever le principal, avant de me reprendre en bouche. Ma vigueur est déjà de retour, je bande !



D’un bond je me lève. Le spectacle est magnifique. Jambes gainées de noir qui tranchent sur la peau des fesses, les cuisses écartées qui laissent voir son minou que l’humidité souligne. Je m’installe, debout, mon pieu guidé par ma main qui s’avance pour se glisser dans une fente accueillante. J’entre sans effort. Elle est ouverte. Elle s’offre à moi, elle m’aspire, ma bite retrouve la chaleur de sa grotte, mon ventre bute sur les fesses, mes mains s’agrippent aux hanches généreuses.



La salope tortille du cul pour mieux m’exciter. Je la prends avec force.



À nouveau la chambre résonne de notre étreinte. Je la laboure sans retenue. Le claquement de nos chairs rythme la possession. Je ne me retiens plus. Elle se penche, appuie sa tête contre le drap, se tourne vers moi.



Elle se caresse à nouveau le petit bouton. Elle se cambre comme une salope qui va au-devant d’une bite paillarde. Elle gronde. Le « Oui ! Ouiiiii » qu’elle crie doit parvenir aux oreilles de mes voisins. Elle jouit à nouveau. Moi, je suis en pleine forme. Ma bite est un bâton de chair dont je suis fier. Brave « petit » soldat qui sait se retenir après une première jouissance. Je continue à la travailler.



Je ne suis pas certain d’avoir bien entendu mais elle insiste :



Je ne l’ai jamais fait. Si, pardon, une fois un soir de beuverie avec un pari stupide entre copains avec l’un d’entre nous qui affichait avec fierté son homosexualité et qui m’avait défié. Je l’avais sodomisé. Je n’avais pas été très fier de cette aventure bien que son petit trou avait dû connaitre bien d’autres queues que la mienne et qu’il s’était largement offert.


Mes mains glissent des hanches aux fesses et ouvrent le petit trou. Il est là, provocant, obscène et légèrement ouvert. Je n’hésite pas. Mon gland s’y frotte déjà. Il suffit d’une légère poussée et il disparaît. L’anneau semble vivant. Un instant, j’ai eu l’impression qu’il se relâchait et la seconde suivante, il m’étrangle délicieusement.



Le poids de mon corps suffit à faire disparaître mon mandrin. Mes couilles caressent la fente. Je suis entré. C’est étroit. L’anneau se fait sentir. Dès que je bouge, il me branle.



Oh que non, je ne me retiens pas. C’est bon. Très bon. Divin. Je monte sur le lit, surplombe la femelle pour mieux la posséder, pour mieux l’enculer. Elle se caresse à nouveau le clito mais une main enveloppe des bourses. De longues secondes je la baratte. Je griffe ses fesses en l’ouvrant encore plus. Elle crie son plaisir. Je me moque des voisins. Vas-y, crie, hurle, tu n’es qu’une bourgeoise salope qui vient se faire enculer par un petit jeune dans un quartier où tu ne risques pas de rencontrer des connaissances. Ma jouissance est fantastique. Les muscles de mes cuisses me font mal, tellement je fléchis les jambes pour mieux la posséder.


De l’eau. Nous avons bu de l’eau. Je l’avais prévenue, je n’ai rien pour recevoir. Mais cela lui convient. Nous sommes allongés côte à côte. Sa main est négligemment posée sur mon ventre.



En effet. Mais pourquoi m’avouer cela ?



C’est fou ! Comment peut-on imaginer qu’il suffit de trouver les bons arguments pour qu’un prof favorise un élève ? C’est évidemment contre l’idée que je me fais de mon métier et de sa déontologie.



Un long silence. Sa main continue de se promener sur mon ventre.



Ses yeux brillent.



Et elle n’attend pas ma réponse que déjà sa main atteint ma bite et qu’elle se déplace pour la gober à nouveau.



Cinq mois se sont passés depuis notre première rencontre dans cet endroit. J’ai décidé de coucher sur le papier ce sacrifice si particulier d’une mère pour son enfant. Évidemment ce n’est pas le courrier de l’Académie qui va le faire paraître, mais peut-être qu’un site comme « Revebebe » le trouvera intéressant.


Cinq mois. Rémy a fait d’énormes progrès. Sans avoir besoin de tricher il a pu remplir ses dossiers de candidature avec un espoir de réponses positives. Sa mère aussi a fait des progrès…


En réalité c’est moi qui suis son élève. Le Kama Soutra est son livre de chevet. Pas une pièce de sa maison qui n’ait été le témoin de nos ébats avec cependant une préférence pour la salle de bain et son grand miroir qui nous renvoie l’image de nos corps en harmonie.


Nous sommes amants mais j’ai bien peur qu’un autre sentiment ne soit apparu entre nous. Plus que de la tendresse, de l’impatience pour nous retrouver, du plaisir d’un baiser chaste, d’une présence indispensable. Je vois avec inquiétude la fin de l’année scolaire arriver. Je n’ose la questionner…


La séparation d’avec son mari a été très difficile pour elle. Quelle femme ne souffre pas lorsqu’après vingt années de vie commune un mari décide son « Coming-Out » sans vraiment de signes avant-coureurs ? Sauf peut-être, d’après ce qu’elle m’a confié, la prédisposition de son mari pour la sodomie. Enfiler sa femme ainsi mais surtout lui demander de faire de même avec des jouets sexuels et surtout ce double gode ceinture avec lequel elle labourait le cul de son mari tout en le branlant.


Elle ne m’a pas qu’enseigné la géométrie dans l’espace. Elle a appliqué sur moi l’expérience acquise avec son mari. D’un doigt, puis de deux accompagnés de ses délicieuses « feuilles de rose », elle m’a fait découvrir ce plaisir si particulier. La voir harnachée de cet engin dont elle a conservé toute une panoplie de godes de tailles et de couleurs différentes est devenu pour moi l’annonce d’une jouissance spéciale. Je n’ai pas honte de reconnaître que tous ces jouets sont devenus nos complices et qu’ils s’invitent souvent pendant nos baises. Mais j’ai bien peur que le cul, au moins pour moi, ne soit pas le seul plaisir de nos retrouvailles et j’angoisse de…


Le silence dans le restaurant me fait lever la tête de ma tablette où je relisais une dernière fois mon aventure avant de la proposer à un éditeur. Un homme est debout face à ma table. Il est grand, en costume et lorsque j’arrive à son visage j’ai l’impression de l’avoir déjà vu. Merde, c’est l’Ex de Rose.



Il doit voir que je m’interroge.



Le temps de ranger mes affaires, régler l’addition, mon cœur accélère. Que peut bien me vouloir cet homme ? Il m’attend. Il me tend la main. Poignée de main ferme.



Il rit.



Il s’arrête. Ouvre sa mallette et sort une bouteille qu’il me tend.



Un silence. Il me regarde droit dans les yeux et :